(Toah) Un temps pour parler, un temps pour baiser, un temps pour jouir et surtout un temps pour s'engueuler

Alors c'est partit pour la guerre, une guerre qui risque de se finir très mal, ou très bien. Tu risques de trouver ça très drôle en fait. Tu caresses ta langue contre tes lèvres à ses paroles alors que tu en profites pour passer ta main dans tes cheveux. Elle veut une guerre de ce jeu. Ce jeu continue de vous maltraiter durant deux longues années, et qui n'a pas finit de s'arrêter. Mais voilà la sex tape, le rire qui s'échappe de ta bouche alors qu'elle commence à reproduire chacun de tes gestes que tu as commença à apprendre, tu rigoles une nouvelle fois à sa remarque. Le Doyen m'a forcé à regarder trois ans de compétitions, y'a dix compétitions dans l'année s'il te plait ... ce qui est vrai, puisqu'il t'avait donné les dvds. Merci beaucoup quoi. Donc, bon, tu avais appris pas mal de choses, grâce aussi aux filles et à Internet. Mais voilà, tu te retrouves contre elle, petit sourire en coin, quand tu sens ses frissons, tu souris doucement. Mais voilà, elle place ta main contre sa bouche, alors qu'elle fait un de ses mouvements de bassins, tu souris un peu plus, alors que tu hésites. Ton souffle contre sa joue, tu réfléchis encore avant de mordre légèrement le lobe de son oreille Presque bandant. Tu attrapes sa main pour l'éloigner et la faire revenir vers toi en tournant pour la coller contre toi. Tu sais que normalement, je suis le coach et qu'on ne chauffe pas le coach ? Tes mains qui glissent sur son fessier alors que tu approches tes lèvres pour t'arrêter à quelques millimètres près, tu les humectes Montre moi le mouvement d'après du coup ? ton corps qui s'éloigne du sien d'un coup, tu lui souris légèrement pour l'observer faire, bras croiser contre ton torse, qui ressort plus que n'importe quel objet de la salle. Et bien sur, ton short qui descend légèrement sur ton caleçon. Tu fais face à elle, tu n'as pas l'impression de perdre aujourd'hui. Ah non ..

« Je pensais jamais te dire ça mais faudrait ce faire des soirées à visionner les compétitions, je pourrais t'expliquer plus en détail. » Rire qui s'échappait de tes lèvres parce qu'au fond tu te foutais de lui, ça n'avait rien de sincère, c'était réellement la dernière chose que tu souhaitais faire avec lui, regarder du cheerleading, puis même si tu organisait ce genre de soirée tu n'étais même pas sûre de pouvoir rester en place et regarder plus de cinq minutes une compétition sans lui sauter dessus. Ton corps qui réagissait légèrement sans que tu ne puisses le contrôler au simple frôlement de sa main contre ta peau, sa main que tu plaçais contre ta hanche pour enchaîner sur le prochain mouvement, volontairement un mouvement du bassin, juste pour le faire chier, pour le déconcentrer, son souffle que tu sentais caresser doucement ta peau, frissonnant involontairement alors qu'il mordillais ton lobe, lèvre que tu ne pouvais t'empêcher de mordiller à la suite, sourire amusée qui se dessinait sur tes lèvres à sa phrase, distance qu'il provoquait un court instant avant d'instaurer à nouveau cette proximité. « Tu sais très bien à quel point j'aime aller à l'encontre ses règles. » Ton regard qui ne pouvait s'empêcher de se déposer sur ses lèvres bien trop proche des tiennes pour revenir les plonger dans les siens alors que sa main venait se nicher sur ton fessier, souffle qui se stoppait un court instant, ta défaite qui était proche, bien trop proche s'il continuait ainsi. Souffle que tu reprenais à l'instant où il s'éloignait de toi, tête que te secouais légèrement pour reprendre tes esprits, n'y arrivant pas, prenant juste sur toi pour éviter de perdre aussi rapidement. « T'as peur de perdre ou quoi Noah ? T'avais pas besoin de t'éloigner. » Lèvre que tu mordais à nouveau alors que tu lui tendais ta main comme pour le faire revenir, dernier mot que tu n'avais pas donné.

Elle se fout de ta gueule en plus, c'est une grosse blague, tu humectes tes lèvres rapidement alors que tu passes ta main dans tes cheveux. Bien sur, cela n'était qu'une remarque amusante mais tu avais envie de pousser la chose Un jour, on se fera une petite soirée comme ça alors, je t'inviterai au restaurant et on se fera comme dessert, tous les dvds des championnats, c'est carrément mieux qu'une soirée à coucher ensemble. lâches-tu. Mais voilà que c'est repartit, comme au Laos, dans cette ambiance electrique à souhait. Tu caresses son bras, sa main, tu profites lentement de ce moment pour embrasser son oreille, tu la cherches, tu le sais que tu la déstabilises. Tu en profites pour la ramener contre toi, caressant alors sa dos puis descendant ton autre main sur son dos lentement Je sais que tu adores ça Tes paroles en un murmure, comme si cette remarque était un secret que seul toi savait, tu n'avais pas envie de t'enlever d'elle, mais voilà, il fallait bien bosser aussi. Tu humectes tes lèvres lentement pour sourire en coin Tu penses réellement que j'ai peur de perdre ? T'es tellement chaude actuellement, que je suis sur que tu te retiens de me sauter dessus ? Mais on est là pour bosser je te rappelle non ? Sa main qu'elle tend, tu la forces à venir contre toi, bien contre toi, comme si tu ne l'avais pas quitté, comme si ton corps était collé au sien naturellement, tu la regardes avant de sourire en coin Regarde dans quel état tu es dis-tu, en murmurant à la porte de ses lèvres lentement, articulant chaque mot avec une pression supplémentaire. T'es insupportable.

Nuit de folie que tu ne troquerais en aucun cas pour des dvds de championnat de cheerleading, soirée que tu ne troquerais contre rien au monde au final, parce que rien n'avait autant de valeur à tes yeux que cet instant charnel à ses côtés, c'était sûrement con mais c'était réellement ton ressenti, coucher avec lui qui devenait presque une passion, si ce n'est plus. Proximité qu'il avait établi, son souffle que tu sentais contre toi, chaleur qui s'emparait peu à peu de toi le sentant collé à toi, sans aucun espace entre vous. Sourire en coin qui se dessinait instinctivement sur tes lèvres après ses murmures, son corps qui s'éloignait finalement, te mettant presque dans tous tes états intérieurement, tu ne voulais en aucun cas qu'il s'éloigne de toi, pas après tout ce qu'il venait de faire, jeu qu'il maîtrisait beaucoup mieux que toi aujourd'hui alors que tu te sentais fondre à chaque nouveau geste sur toi. « Je suis toujours chaude nuance, problème de température corporelle et je veux simplement continuer à travailler, arrête d'avoir les idées aussi baladeuses que tes mains. » Sourire en coin que tu conservais alors que tu tendais ta main dans sa direction, mensonges encore et toujours, tu brûlais d'envie d'en avoir plus, d'arrêter ce foutu jeu et de te concentrer sur tes désirs pour lui, échec que tu accepterais beaucoup plus facilement en sachant ce que ce dernier te réservait. Ton corps qui venait à nouveau à la rencontre du sien, te sentant beaucoup plus à l'aise, comme si c'était ce dont tu avais besoin, comme si c'était automatique, naturelle. Simple sourire qui s'affichait sur ton visage à ses mots, lèvre que tu venais torturer une nouvelle fois, essayant de te contrôler du mieux que tu pouvais bien que ça devenait réellement compliqué. « On est là pour travaillé t'as oublié. » Sujet que tu essayais de détournais alors que tu venais tourner ton corps pour lui donner ton dos, conservant cette proximité. « Y a ce mouvement aussi que j'aimerais bien revoir. » Ton corps que tu laissais glisser doucement contre le sien avant de remonter tout aussi lentement, juste pour accentuer le contact, essayant de le faire craquer alors qu'en réalité tu venais de signer ta perte, corps que tu pivotais à nouveau pour lui faire face. « Tu veux toujours qu'on parle de mon état ? » Mots que tu lâchais en un murmure tandis que tu venais déposer tes lèvres contre les siennes avec envie.

Représentation type de la faiblesse, elle était beaucoup trop faible actuellement pour jouer à ce jeu. Et dire qu'il y a quelques minutes, vous étiez en train de vous prendre la tête pour une affaire de nana, une broutille finalement. Tu passas ta main dans ses cheveux pour les enlever de son cou, pouvant ainsi avoir la proximité de ton souffle sur sa peau légèrement tendue. Elle était tendue, elle réagissait à chacun de tes mouvements et bien plus que tu ne l'aurais rêvé. Mes mains baladeuses que tu adores avoir sur toi, arrête donc de le nier Tu la cherches encore, caractérisant ce moment de jeu alors que tu la colles de nouveau contre toi. Tu la sens perdre, tu la sens qu'elle faiblit petit à petit. Ta peau contre la sienne alors qu'elle essaye de passer à travers tes paroles, essayant de se trouver une excuse, tu caresses sa joue légèrement, prêt à l'embrasser mais finalement tu souris en coin Travailler rime avec s'amuser non ? mot que tu accentues avec une caresse sa joue, alors qu'elle continue de te chercher. Elle se tourne, se baisse pour remonter petit à petit, tu la regardes faire, elle essaye de t'exciter et ça marche. Sauf qu'elle est face à toi et elle parle. Tu n'as pas le temps de réagir qu'elle t'embrasse, elle t'embrasse avec envie, tu ne peux qu'accentuer son geste, avec sa main blessée sur sa joue, caressant sa peau légèrement et d'une douceur extrême contrairement à ce baiser bien plus torride que tu n'aurais voulu. Ton corps se pose contre le sien, ton corps qui n'appelle que le sien depuis cette nuit à Rome, depuis ce moment à Rome, depuis votre trêve de plusieurs jours pour le plaisir charnel et l'envie d'en connaitre à un peu sur le corps de l'autre. Ce baiser se rompt, tu la regardes, tu souris un peu plus, avant de chuchoter lentement à son oreille Je crois que le cours particulier est terminé, t'as tenu dix minutes, t'as peut-être le droit à une récompense non ? même si c'est terminé et qu'elle a perdu, tu la cherches encore, parce que tu n'es doué que pour ça, tu recules, l'entrainant avec toi vers la partie du vestiaire réservé aux hommes encore, parce que c'est encore plus pratique et dangereux comme ça. Et finalement quand la porte se referme, laissant le noir du lieu assombrir l'ambiance, tu ne peux que l'embrasser contre cette porte, l'embrasser comme il faut, retrouver son corps perdu y'a quelques secondes, l'embrasser jusqu'à plus de souffle.

Faiblesse qui ne te ressemblait pas, faiblesse que tu ne comprenais pas, toi qui pouvais tenir des heures et des heures face à lui depuis ces deux années, te voilà faible, impuissante face à lui, complètement déstabilisée, ce week-end qui avait eu raison de toi, cette dispute précédente qui t'avais un peu plus affaiblit, mots échangeaient qui étaient différents d'habituellement, beaucoup plus sincère et profond, beaucoup plus... étrange, simple reflet de cette relation qui était en train de changer sans même que vous ne vous en rendiez compte, sans même que tu puisses réagir au final. Sa question à laquelle tu ne prenais même pas la peine d'y répondre, sourire en coin qui faisait suffisamment l'affaire, tu te tournais par la suite, laissant glisser ton corps tout au long du sien, défaite que tu reconnaissais à l'instant même où tu t'étais rapproché de lui une deuxième fois, tu avais juste envie de le provoquer un peu plus, de le faire réagir, de faire réagir son corps face à toi, bien qu'il ne le montrerait sûrement pas tant que tu n'aurais pas avoué ton échec. Ses lèvres que tu venais retrouver à l'instant même où tu étais de nouveau face à lui, baiser beaucoup plus intense que tu ne l'aurais imaginé, contrôle que tu perdais inconsciemment, comme si ton corps avait besoin de lui depuis Rome, comme s'il revivait à chaque nouveau contre du sien contre toi, dépendance que tu n'arrivais pas à comprendre et que tu ne cherchais même pas à comprendre. Regard qui venait se perdre dans le sien tandis que tu reprenais doucement ton souffle après ce baiser, léger sourire en coin qui se dessinait sur tes lèvres à ses propos. « Une énorme récompense même. » Doux rire qui se faisait entendre alors que tu te laissais entraîner, t'engouffrant dans les vestiaires des hommes que vous aviez quittés il y a quelques instants, éclairage qui s'atténuait à mesure que la porte se refermait jusqu'à devenir presque nulle, baiser auquel tu venais y répondre avec envie, désir qui se reflétait à chaque rencontre de tes lèvres avec les siennes, envie de le garder pour toi, de ne jamais le laisser s'échapper, de l'embrasser encore et encore sans jamais t'en lasser. Tes mains qui venaient se déposer sur sa nuque pression que tu voulais ajouter, comme s'il t'avait manqué, comme s'il représentait ton oxygène dont tu avais été privé à ton retour à Boston. « Et si on se faisait prendre ? » Mots que tu lâchais en un souffle alors que vos lèvres se séparaient, lèvres que tu déposais contre sa peau, couvrant son cou de plusieurs baisers alors que tu remontais une de tes jambes contre lui, contact que tu ne voulais pas rompre, que tu ne voulais plus rompre, t'avais juste envie de lui peu importe l'endroit, risque qui ajoutait une certaine excitation.