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et si les sentiments étaient déjà là ? (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Des moments tendres comme celui-là, Ezio n'en avait jamais vraiment eu. A chaque fois, il expédiait la fille après avoir baisé, ne voulant absolument rien savoir d'elle et de sa vie, s'en foutant complètement. Ce soir c'était différent, déjà parce que c'était la troisième fois qu'il se retrouvait dans un lit avec la petite Louison nue mais aussi parce qu'il venait de se passer quelque chose d’invraisemblable, de fou. Ils s'étaient mis en couple et, pour la première fois de sa vie, ce n'était pas par intérêt. Il l'avait fait parce que la blondinette lui plaisait et occupait toutes ses pensées. Il l'avait fait en parfaite connaissance de cause, sans même en parler à ses proches. Si, Maxime était au courant mais c'était certainement le seul à le savoir. La délicatement posée sur sa cuisse, il la caressait tendrement en lui balançant une bombe. Ezio se découvrait prévenant mais aussi possessif. Il ne se savait pas ainsi mais misait sur une honnêteté. Il voulait que Louison le tienne au courant de tout, qu'il fasse parti intégrante de sa vie. Lorsqu'elle se retourna pour lui faire face, il la regarda malgré le peu de lumière qui les éclairait. Il continuait de caresser sa jambe qui l'avait encerclé maintenant. Son sourire vint s'élargir lorsqu'elle l'appela mon chéri, il ne savait pas trop ce que ça voulait dire mais ça avait l'air gentil. Puis, la blondinette vint lui parler de son pote, qu'elle avait mit dans la confidence. « Côme Dubois, c'est qui celui-là ? » demanda-t-il, pas par jalousie mais plus par interrogation. Qu'il pouvait être abrupte quand il s'y mettait. Puis elle parla de ses parents, sa détresse et sa peine était touchante. Louison était prédisposée à parler, il allait en profiter pour en savoir plus, pour apprendre à la connaître. « Raconte-moi ton histoire ... j'ai l'impression de ne rien savoir de toi. Tes parents sont français, tu as des informations sur eux ? Comment ça se fait que tu ne t'en souviens pas ? » Il avait une multitude de questions mais cela ne se faisait pas de l'attaquer ainsi, s'introduisant dans sa vie comme s'il en avant le droit. Se rendant compte de son erreur, il enleva sa main de la cuisse de la blondinette et vint lui caresser la joue. Il déposa un chaste baiser sur son front, lui faisant comprendre qu'il était là à présent. « T'es plus toute seule Louison, ok ? J'suis là maintenant. » murmura-t-il en la regardant dans les yeux. Qu'elle prenne son temps, il pouvait attendre malgré son impatience visible.
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L'heure était apparemment aux confidences. Tu n'avais jamais pu concevoir qu'Ezio puisse sensiblement s'intéresser à des histoires déprimantes. Sa vie paraissait si rose et au-dessus de tout. Au dessus des misères du petit peuple dont tu faisais partie. Certes, tu n'étais pas à plaindre sur le plan financier grâce à tes héritages mais tu n'étais pas heureuse. Tu avais besoin de renouer avec tes origines directes, tes parents. Leur abandon n'était toujours pas passé, toutefois, tu souhaitais toujours comprendre le pourquoi. Ainsi, tu t'étais fourrée dans une quête de réponses, cherchant désespérément leur trace... Cela faisait désormais plus de deux ans que tes recherches ne menaient à rien alors, par un hasard absolu et une fatigue importante, tu avais laissé entrer Côme dans tes aventures. Tu espérais que son aide éclaircirait certaines de tes pistes grâce à ses facilités en informatique. " Côme c'est un mec que Bambi m'a présenté il y a deux ans, elle voulait nous caser ensemble mais ça n'a pas fonctionné, depuis on est pote... Mais tu sais, je crois que ta soeur et lui sont proches... Je me trompe peut être... " balanças-tu hésitante en haussant légèrement tes épaules. Le poids écrasant de ta poitrine semblait s'alléger de seconde en seconde. Te confier à Ezio était assez facile finalement... Pour une fois que tu semblais intéresser quelqu'un sincèrement. Lorsqu'il chercha à creuser un peu plus, tu avais esquissé un sourire pathétique, il était adorable sous ses airs de macho. Tu n'étais plus seule. Cela sonnait bien mais à l'intérieur, ta conscience se refusait à être secourue. Tu te complaisais un peu dans ta peine, cela te donnait raison pour agir comme une conne agressive. Si toute cette histoire se résolvait subitement, que deviendrais-tu ? Ton malheur t'avait constitué ainsi, en guerrière et redoutable solitaire. La fusion avec Ezio était déjà entrain d'effriter tes remparts et rien que cela, cela t'angoissait de plus en plus. Te redressant contre ta tête de lit, tu fixas devant toi en posant tes mains sur ton abdomen. " Je suis née à Paris, ça tu le sais. Mes parents m'ont élevé jusqu'à mes 4 ans mais je ne me souviens de rien, c'est beaucoup trop loin...J'ai parfois quelques flashs, des odeurs ou des musiques qui me rappellent cette période mais c'est flou... Un jour, ils m'ont laissé à mes grands-parents et ils ne sont jamais revenus comme convenu. Papy disait qu'ils travaillaient pour un truc ultra secret et dangereux, mamie disaient qu'ils étaient dans une secte cheloue... Je crois plus mon grand-père. Je crois qu'ils ont travaillé pour les services secrets français et même anglais " racontas-tu d'un ton plutôt monotone et affligé. Marquant un court silence tout en restant stoïque, tu avais aussitôt repris " Ils ont dû se mettre dans une sacrée merde, je refuse de croire qu'ils sont morts. Je ne recevrais pas régulièrement du pognon sur mon compte, d'où ça vient quoi ? Mes grands-parents sont morts, je n'ai plus personne. " avais-tu continué un peu plus furieuse et obstinée à découvrir la vérité. " Bref, bienvenue dans ma vie, tes parents sont comment toi ? " retournas-tu au brun, bien curieuse de savoir dans quel environnement avait grandi le mec qui te faisait totalement tourné la tête.
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ezio semblait enclin à s'investir dans cette toute nouvelle relation avec Louison. Lui pour qui la notion de couple ne voulait pas dire grand chose, était plutôt entreprenant envers elle. Pas d'un point de vue sexuel, non de ce côté là il était carrément envahissant, mais plutôt d'un point de vue sentimental. Il voulait tout connaître de sa vie, dans les moindres détails, parce qu'il en avait envie mais également parce qu'il en ressentait le besoin. Aussi, lorsque sa blondinette évoqua un autre homme, il voulu en savoir un peu plus. Normal, non ? Evidemment, quand elle évoqua le fait que Bambi avait voulu les caser ensemble, il fronça les sourcils. Il était du genre possessif lui. Côme était donc un ex ou un semblant d'ex, ce n'était pas bon tout ça. Et quand Louison avoua que Cassiopéa et lui étaient proche, ses sourcils se froncèrent encore un peu plus, manifestant son mécontentement. Pour lui, sa soeur était pure et chaste, il détestait qu'on évoque sa vie privée ou que l'on parle de ses conquêtes. Néanmoins, pour ne pas se griller auprès de sa nouvelle chéri, il ravala sa fierté et ne fit aucune remarque désobligeante. « Ah bon ? Côme Dubois tu dis ? J'vais mener ma petite enquête. Cassio ne m'a jamais parlé de lui ... en même temps, elle évite d'évoquer ce sujet en ma présence, j'suis du genre chiant avec elle. » raconta-t-il en rigolant légèrement. Il n'allait pas mentir non plus. Ezio pouvait être un connard quand il s'y mettait mais n'était en aucun cas un menteur, d'ailleurs bien souvent, son franc parlé lui jouait des tours. Lorsque Louison se redressa pour s'asseoir contre le dossier du lit, le bel italien se tourna pour se mettre sur le ventre, s'appuyant sur ses coudes. Il l'écouta avec toute l'attention dont il était capable. Putain, son histoire était horrible, intrigante mais horrible. « Un truc ultra secret et dangereux, tu penses à genre une mafia française ou plus les services secrets ? Enfin j'veux dire, dans quel camp étaient-ils à ton avis ? » Parce que ça pouvait faire toute la différence. « Ca va peut-être te surprendre, ou pas d'ailleurs, mais j'ai ... » commença-t-il à dire avant de baisser la tête et de rigoler faiblement. Il releva les yeux vers elle et afficha un mince sourire. De toute façon, il pouvait balancer, ils étaient en couple maintenant et si Louison se livrait à lui, il devait en faire autant. « ... Un ou deux potes dans la mafia italienne, mon meilleur ami est bien placé dans la hiérarchie monégasque. Donc qu'ils étaient dans l'un ou l'autre camp, j'peux aussi me renseigner de mon côté si tu le souhaite ... T'inquiète, je ne ferais rien sans ton accord, j'te propose juste mes services, faut bien que je serve à quelque chose hormis te donner du plaisir. » répondit-il, incapable de rester sérieux bien longtemps. Mais il pensait ce qu'il disait. Puis, rapidement, la discussion dériva sur lui. Louison voulait savoir dans quel contexte familiale il a vécut, c'était légitime après les confidences qu'elle venait de lui faire. « Mes parents sont .. comment dire, très spéciaux. J'ai toujours été tenté de croire que ma soeur et moi étions des accidents. Mon grand-père n'a eu qu'une seule fille, ma mère. Elle a toujours voulu garder son nom de jeune fille donc quand elle a rencontré mon père et qu'ils se sont mariés, elle n'a pas changé. Mon père est dans les affaires et ma mère est une peintre plutôt reconnue dans mon pays. Et disons qu'ils ne se sont jamais vraiment occupés de nous. On a été élevé par des nounous ou des filles aupair, on les voyait qu'à noël et encore, quand ils daignaient venir. Ah on a manqué de rien, j'veux dire, on avait tout ce qu'on voulait, quand on le voulait mais on a grandit sans nos parents. Enfin plus moi que ma soeur. Ils ont toujours eu une préférence pour Cassio, ils l'appellent souvent alors que moi c'est silence radio depuis au moins un an et demi. C'est pour ça que je n'ai eu aucun scrupule à quitter ma famille il y a neuf ans. » avoua-t-il sans même essaye de cacher quoi que ce soit. C'était bien la première fois qu'il se livrait sur son passé, d'habitude il était très discret comme gars mais là, il était tellement bien avec Louison qu'il voulait lui prouver sa bonne foi. « En fait, quand j'ai eu seize ans, j'me suis barré avec Andréa, mon meilleur ami, et on a fait le tour du monde pendant deux ans. J'ai vu des choses inimaginable Louison, des choses magnifiques et des choses beaucoup plus dramatiques, c'était un rêve qui me tenait à coeur. Tout ce temps, je n'ai même pas eu un appel de mes parents, j'aurais pu crever à l'autre bout du monde, ils n'en avaient rien à foutre. Du coup, en rentrant, j'ai pas réussit à rester en Italie, j'ai essayé de me caser un peu partout, dans certaines grandes villes d'Europe ou du monde mais j'ai jamais vraiment trouvé ma place. J'suis revenu il y a deux ans maintenant, auprès de Cassio. » C'était toute l'histoire de sa vie, l'histoire d'un gamin qui avait quelque peu souffert du manque d'attentions de ses parents.
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Tu marchais encore sur des oeufs avec Ezio, ne sachant pas quel type d'homme il pouvait être lorsqu'il était en couple. Était-il jaloux, possessif, je m'en foutiste ? De ce fait, en partageant le nom d'un homme qui t'épaulait dorénavant dans tes recherches, tu glissas au passage un hypothétique rapprochement entre ce fameux Côme et la soeur de l'italien. De cette façon, tu éloignais possiblement des questions gênantes sur le début de votre relation. Malin non ? Ezio avait effectivement mordu à l'hameçon, te laissant petit à petit jauger ses réactions. Tu apprenais de ce fait son vif intérêt pour sa soeur, la pauvre. Tu la plaignais tout en la jalousant un peu d'avoir autant d'attention du jeune homme. " Si j'avais des frères et soeurs, je n'évoquerais pas non plus ma vie sentimentale. T'es un gros fouineur ou quoi Scorsese ! " répondis-tu au brun avant de te redresser sur ton pieu pour répondre à ses interrogations. Après lui avoir déballé un peu plus ta vie passée en détails ainsi que tes questionnements sur les activités étranges de tes géniteurs, Ezio revint aussitôt à la charge, semblant plus qu'intéressé par la vie trépidante de tes parents. Lorsqu'il tenta de mieux comprendre la situation tout en te faisant une confession étonnante sur un de ses amis proche, tu arquas un sourcil, complètement à l'affut. " Ezio... Je ne dis pas non à cette proposition. Je vais y réfléchir. J'ignore de quel côté était mes parents mais je pense qu'ils ont sûrement faits des choses qui leur semblaient justes sur le moment... Peut être que les services secrets leur ont demandé d'agir contre leurs valeurs et ils se sont alors rangés du côté des soit disant méchants... Je n'en sais rien. " répondis-tu en retrouvant son regard tendre qui avait un putain de pouvoir apaisant. Tendant ton bras pour effleurer sa joue de tes doigts congelés, tu lui révélas un sourire mielleux, touché par ses derniers mots. " Hé... je ne sais pas qui t'as fait croire que tu n'étais bon qu'à apporter du plaisir mais il faut arrêter d'y croire tout de suite. Personnellement, tu m'apportes bien plus que ce que tu peux imaginer. " avais-tu osé admettre en laissant s'aventurer tes doigts dans sa tignasse soyeuse. " J'ai conscience que tu détestes que l'on te décoiffe mais j'aime énormément tes cheveux " prononças-tu avant de partir à la conquête de son histoire. Tu étais bien curieuse d'entrevoir dans quel monde le puissant Ezio Scorsese avait grandi. Tu voulais en tout cas l'entendre de sa bouche, tu voulais comprendre son histoire, ce qui l'avait conduit à devenir ce qu'il était aujourd'hui. Connaissant l'aspect assez rugueux du Quincy, tu ne t'attendais pas à ce qu'il se livre autant en détails. Peu à peu, tu te représentais son schéma familial, la peine qu'il avait pu ressentir tout petit lorsque ses parents partaient sans lui, l'abandonnant à des mères de substitution. Même si tu n'avais pas connu tes parents, tes grands-parents eux t'avaient offerts tout l'amour du monde et une attention illimitée. En écoutant ton brun, ton coeur se serrait de plus en plus fort dans ta poitrine. Ezio était émouvant et cet aspect de sa personnalité qu'il cachait dur comme fer déchaînait tes sentiments en voie de développement. Malgré l'opulence dans laquelle vivait l'italien, il n'en était pas pour autant le plus heureux des hommes. Il avait ses faiblesses, ses rancunes et une humanité dissimulée. Ezio t'avait bel et bien foudroyée par son authenticité. " Je ne veux pas me la jouer thérapeute familiale mais... que s'est-il passé il y a un an et demi pour qu'ils cessent de prendre de tes nouvelles ? Tu ne peux pas l'expliquer ? " demandas-tu en tordant ta bouche. Toujours aussi indiscrète, tu lui avais rapidement jeté une nouvelle question pour ne pas l'oublier " Et donc, tu es officiellement à Harvard depuis deux ans c'est ça ? J'essaie de tracer ta chronologie... Je veux devenir incollable sur ta petite personne ! " terminas-tu avant de remonter la couette sur ta tête, recouvrant au passage l'italien.   

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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Son histoire touchait le bel italien, quoi qu'il puisse en dire. Derrière sa carapace de mec fort, viril et macho, se cachait quand même un gamin légèrement jem'enfoutiste mais avec des valeurs. Il se savait chanceux de par son passé et restait touché par le malheur des autres, ou du moins de ses proches. Même si leur mise en couple était ultra récente, ils se connaissaient quand même depuis un moment et Louison faisait maintenant parti de ses proches, qu'elle le veuille ou non. Alors il l'écoutait, il buvait presque ses mots et, lorsqu'elle eut terminé de parler, il n'hésita pas une seule seconde à lui proposer son aide. Il connaissait bien Andréa qui avait accès à tous les renseignements possibles et inimaginables dans toute l'Europe mais également un pote ou deux dans la mafia italienne. Oh il n’était pas très fier de cette collaboration avec l'un d'entre eux, un mec qui d'ailleurs lui devait encore une dette. Mais bon, la mafia occupait une grande place dans son pays, autant ne pas se les mettre à dos. Quoiqu'il en soit, Louison semblait être intéressée par sa proposition. « Prends le temps de réfléchir Louison, ce n'est pas une proposition limitée dans le temps. J'veux dire, tu peux attendre d'en savoir un peu plus si tu veux mais sache que j'peux t'aider. » répondit-il avec un mince sourire sur les lèvres Tout se faisait tellement naturellement entre eux, la blondinette le poussait à se livrer sans qu'il ne prenne la peine de réfléchir. L'ambiance était détendue et à la confidence. Elle posa ses longs doigts fins sur son visage, y déposant quelques caresses agréables. Ezio avait balancé cette remarque comme ça, ne la pensant pas forcément, il fut surpris de sa réponse. « Ah bon ? Et je t'apporte quoi exactement ? » demanda-t-il, les yeux remplis de malices. Il était curieux de la réponse, c'était bien la première fois qu'on lui disait une chose pareille. En temps normal, les filles restaient sur la réserve avec lui, en sachant pertinemment qu'il se foutait de tout et de tout le monde. Louison remonta ses doigts jusqu'à sa chevelure parfaitement coiffée. Il leva les yeux au ciel en rigolant. « Fais attention Chamberlain, tu t'aventures sur un terrain glissant là. » s'amusa-t-il à dire en prenant un air faussement provocateur. Ses cheveux, c'étaient genre toute sa vie. Il prenait des heures à peaufiner sa coiffure, au même titre que sa silhouette et passait toutes les semaines quasiment chez le coiffeur. Ezio accordait beaucoup d'importance à son allure, toujours bien coiffé, toujours bien habillé avec la classe à l'italienne, c'était un principe auquel il ne dérogeait jamais. Bref. Louison lui posa des questions sur son passé et, aussi étonnant que cela puisse paraître, il répondit sans le moindre filtre. Il parla de son enfance et de son adolescence, à quoi bon lui cacher des choses. Elle allait faire parti de son quotidien à présent, elle était parfaitement dans son droit. La blondinette lui demanda ce qu'il s'était passé il y a un an et demi pour que ses parents coupent plus ou moins les ponts avec lui. Ezio vint déglutir difficilement mais avant qu'il ne puisse répondre, elle enchaîna avec une autre question. « Si, si, je peux l'expliquer ... En fait, ma soeur n'est pas au courant donc je compte sur ta discrétion. » Ezio cachait ça à sa soeur jumelle, c'était bien le seul secret entre eux. « Comme je te l'ai dit mon père est dans les affaires et comme il a vu que j'avais un peu de mal à rester tranquille, il m'a ordonné de rentrer au pays pour intégrer son entreprise en tant que direction adjoint, il avait même prévu une fiancée pour moi. J'ai refusé, ça a mal fini, j'me suis énervé contre lui, on a faillit en venir aux mains. Depuis je n'ai aucune nouvelle mais pour faire profil bas, ils m'ont augmenté mon compte en banque, comme si ça allait arranger les choses t'sais. » Ezio vint déglutir difficilement avant de continuer. « Ouais c'est ça, j'entame ma troisième année là. Et toi ? Après je t'avoue que je ne sais pas trop combien de temps je vais rester là, mes études ne me plaisent pas vraiment. » avoua-t-il avant que Louison ne mette la couette au dessus d'eux, les plongeant dans le noir. Sans chercher à comprendre plus loin, le beau brun se décala et grimpa au dessus d'elle, pressant son corps contre le sien, retrouvant une chaleur tant convoitée. Il posa ses coudes de part et d'autre de la blondinette pour prendre appui. Et puis, attiré vers elle comme un aimant, il plongea son visage dans son cou pour l'embrasser tendrement. « Il faut juste que je trouve une bonne raison de rester. » lança-t-il en laissant sous entendre que Louison pourrait éventuellement être la raison en question.
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Cela ne faisait qu'une poignée de minutes que vous étiez officiellement en couple et tu te laissais déjà aller à quelques sentiments pour le beau brun. En fait, tu te demandais plutôt s'ils ne s'étaient pas déjà développés au Summer Camp... En tout cas, tu avais envie de t'imposer, de lui faire comprendre qu'il n'était pas devenu qu'un coup régulier. De cette manière, tu t'étais avancée sur ce qu'il pouvait t'apporter depuis l'entrée fracassante qu'il avait dans ta vie. Cette déclaration n'était d'ailleurs pas passée inaperçu aux oreilles du jeune homme. Traversant de tes doigts sa chevelure, tu inspiras profondément avant de lui fournir une réponse maladroite, niant ses éventuelles représailles sur ton geste d'affection " Roooh tais-toi. Tu m'apportes énormément. Je me sens plus forte depuis que tu es là. Je me sens heureuse, tu me rends heureuse. " lui confias-tu tout en t'intéressant ensuite à sa vie personnelle. Quelques interrogations avaient rapidement fait surface lorsque le beau brun s'était dévoilé. Tu avais sauté dessus en t'attendant éventuellement à ce qu'il se replie sur lui même. Mais il ne l'avait pas fait, il s'était encore un peu plus ouvert. Tu l'écoutais alors te conter son histoire particulière. C'était incroyable. Les mariages arrangés existaient encore ? S'il avait accepté ce deal, Ezio ne serait pas là ce soir, dans ton lit, à t'envoûter et te compléter... Bref, son histoire familiale paraissait bien nébuleuse. Au final, ne pas avoir eu de parents t'avait préservé de ce type de conflit. Tu n'avais également jamais eu d'héritage à poursuivre, tu avais toujours été libre de choisir ce qu'il te plaisait. Pour ne pas remuer plus le couteau dans la plaie, tu avais dévié sur un autre sujet beaucoup plus léger, à savoir les études à Harvard. Sans trop être choquée, le Quincy te livra ne pas être en phase avec ses études et qu'il n'était probablement ici que de passage. Une sorte d'éclair traversa ton coeur à cet instant là, il ne pouvait pas partir, plus maintenant, plus après les ravages qu'il occasionnait sur ta personne. Ne souhaitant pas songer à ce que produirait son départ, tu jetas la couette sur vos deux têtes pour vous plonger dans l'obscurité. Quelques secondes à peine plus tard, Ezio se hissa au dessus de toi. Tu sentais son souffle s'écraser sur ton visage puis ses lèvres s'enfouirent dans ton cou pour embrasser ce dernier. Il faisait déjà une chaleur accablante sous cette couverture et ce baiser n'avait fait qu'accentuer la température. Les mots prononcés par le brun avaient aussi enflammé ton corps légèrement vêtu. Attrapant l'arrière de sa tête pour l'enfoncer encore un peu plus dans le creux de ta nuque, tu effleuras de ta lèvre inférieure le lobe de son oreille avant de le lui murmurer quelques mots " Je ne veux pas que tu partes, c'est hors de question. Ta place est près de moi maintenant. " Cet instant particulièrement tendre et gorgé d'émotions te rendait toute chose, cela t'excitait même car tu te sentais en danger... et le danger t'avait toujours attisé. Déposant plusieurs baisers sur une partie de sa joue, tu attrapas ensuite son visage pour le retrouver en face du tien. Tu percevais vaguement ses prunelles qui brillaient dans la pénombre, il était beau. C'était devenu le plus beau. Autrefois, tes yeux louchaient sur n'importe quelle paire de fesses moulée dans un jean Levi's aujourd'hui, tu te levais en songeant à Ezio, tu mangeais du Ezio et tu dormais en rêvant d'Ezio. Mordant dans ta lèvre, tu étais radicalement entrain de fondre pour lui sans qu'il ne s'en aperçoive vraiment. " Mon coeur... Ne me laisse pas. J'ai besoin de toi maintenant, je suis sérieuse pour une fois. Je... " t'étais-tu interrompu face à ton emballement. " Juste, déconne pas, je commence à m'attacher à toi, je ne sais pas si c'est bien ou mal, je ne sais pas si cela te plaît ou si cela te fait peur. Ça me gonfle même d'être dans ce doute. Mais si tu es là c'est que toi aussi tu... " laissas-tu en suspend pour qu'il complète de lui même tes propos.  
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

C'était plus fort que lui, Ezio n'arrivait pas à faire taire ses pulsions primaires qui l'animaient. Il avait besoin de contact, d'être tactile, pour satisfaire ce manque qui ne le quittait jamais. En réalité, être un homme à femmes était beaucoup plus simple que de s'attacher à quelqu'un qu'il pourrait perdre. Son côté macho, sexiste et queutard n'était en réalité qu'une fuite en avant. Il ne s'attachait à personne, c'était un principe auquel il ne dérogeait jamais. Sauf ce soir, sauf pour elle. Pour Louison il était prêt à se mettre en couple et à se coller une étiquette sur son front. C'était impensable et pourtant, il avait sauté le cap. Ezio était bien conscient de ce que ça signifiait pour lui, il savait qu'il ne pourrait plus regarder les autres femmes tel un chien affamé, il ne pourra plus draguer les inconnues, ni même les ramener chez lui pour les baiser et les jeter ensuite. Le bel italien allait devoir faire une croix sur tous ces petits plaisirs-là mais d'un autre côté, il était gagnant. Il allait passer des moments inimaginable avec cette fille qui occupait toutes les pensées. Il allait s'attacher de plus en plus à elle, vouloir la combler et satisfaire toutes ses envies. Il était bien avec Louison. Installé sur elle, dans la pénombre de sa chambre, sous cette couette qui représentait leur bulle, leur univers rien qu'à eux. Peu importe ce qu'il pouvait penser, il avait l'impression de la connaître depuis toujours, c'était appréciable. Ezio n'avait rien à faire à Harvard, il n'avait aucune attache sauf peut-être sa soeur jumelle. Il lui fallait une bonne raison de rester, une raison valable. Inconsciemment, il voulait que la petite Chamberlain devienne cette raison. Il lui avait suggéré entre deux baisers endiablés dans son cou. Louison lui avoua que sa place était à côté d'elle maintenant, qu'il avait trouvé sa place. Elle vint également le mettre en garde sur son comportement futur. Elle était sincère et ne supporterait pas d'être trahis pour un simple histoire de fesses ailleurs. Elle avait besoin de lui, elle avait également besoin qu'il la rassure mais manque de chance pour elle, il n'était vraiment pas doué pour ça. Ezio allait tout de même essayer, il n'avait absolument rien à perdre, au contraire. « Que moi aussi, je ? Tu sais Louison c'est pas mon genre de faire des déclarations comme ça, c'est la première fois que j'me mets en couple avec une fille qui me plait vraiment. J'veux dire, c'est la première fois que je ne fais pas ça que pour le cul. Y'a ... Y'a tout qui me plait chez toi. J'aime quand t'es douce et câline mais j'aime aussi quand tu fais ta chiante, ta femme sure d'elle et de ses choix. T'as cette force de caractère mais aussi cette faiblesse qui est d'autant plus touchante. J'ai envie d'te protéger et d'te faire chier en même temps, c'est bizarre. Je ne sais pas comment dire ça mais j'aime tes défauts et tes qualités. Bien sûr que ça me fait plaisir d'entendre ce que tu viens de me dire, j'pensais pas que ça serait aussi fort, aussi vite entre nous. Je n'ai pas peur parce que je suis sur de mes choix. C'est avec toi que je veux être et personne d'autre. C'est à toi que j'veux faire l'amour, tout le temps. C'est toi qui occupe mes pensées, c'est toi. Toi, Louison Chamberlain. » Oh mon Dieu, Ezio n'en revenait pas de ce qu'il venait de dire. Cette fille lui inspirait tellement de choses, c'était spontané, il ne s'était pas forcé. Cette position ne le laissait pas indifférent, Louison devait s'en rendre compte d'ailleurs, il ne s'en cachait pas. « Je m'en sors comment ? » lui demanda-t-il en rigolant légèrement. Le bel italien voulait être à la hauteur, il faisait des efforts en espérant qu'elle se rende compte que s'il faisait tout ça, c'était uniquement pour elle.
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Décidément, cette fille était unique en son genre. Elle le poussait à se dévoiler toujours un peu plus, cas assez exceptionnelle pour le petit Ezio qui avait l'habitude de tout garder pour lui. Beaucoup de choses furent dévoilées ce soir, beaucoup d'émotions s'émana de leurs confidences. Ils étaient ensemble depuis quelques minutes à peine et voilà qu'il lui faisait déjà des déclaration endiablées. Les sentiments et l'attachement qu'il avait pour elle étaient finalement bel et bien réels. Il ne pouvait plus se le cacher. Le Quincy se prenait la vérité en pleine face sans qu'il ne l'ait vu venir. Toi, Louison Chamberlain, ses paroles avaient étés sincères et plutôt forte. Il n'avait fait qu'exprimer son ressenti et s'était laissé bercé par les émotions du moment. C'était bien la première fois qu'il vivait quelque chose d'aussi intense avec une fille, et pas seulement pour le cul. Ezio attendait l'avis de sa blonde, il pouvait l'appeler ainsi maintenant. Elle semblait satisfaite pour son plus grand plaisir. « Je t'ai excité ? » s'amusa-t-il à répéter, un peu surprit de sa réaction. Il s'attendait à d'autres émotions que celles-ci mais n'allait certainement pas s'en plaindre. Louison se tortilla sous lui, faisant bouger les membres de son corps, attisant maladroitement l'envie qui était déjà bien présente dans cette pièce. « Alors on est deux chanceux. » marmonna-t-il avant de répondre à son baiser et d'enfouir de nouveau sa tête dans son cou pour l'embrasser. Mais c'était sans compter sur une blondinette plus rapide que lui, elle parvint à s'échapper de son emprise par je ne sais quelle moyen et quitta le lit. Ezio s'affala de tout son long sur le ventre. Il afficha un large sourire en entendant la musique imprégner toute la chambre de la petite Mather. Il vint se mettre sur le dos pour l'observer, après tout, elle était quand même vêtue d'une vieille loque en guise de pyjama, rien d'autre. Louison avait ce regard perfide et aguicheur, elle prenait des allures de femme sauvage, indomptable. Il plissa les yeux en la laissant arriver jusqu'à lui. S'il avait pu, Ezio aurait laissé un fin filet de bave sur le coin de ses lèvres. « Hmm. » répondit-il d'un bruit peu catholique, presque dans un gémissement.
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