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et si les sentiments étaient déjà là ? (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ezio ne savait pas trop ce qu'il s'était passé dans sa tête pour sortir une chose pareille. Quel genre de copain je ferais si je te laissais dans la merde ? C'était invraisemblable que quelqu'un comme lui puisse dire ou même sous entendre une phrase aussi lourde de sens. Pourtant, il l'avait fait en toute connaissance de cause. Le bel italien ne pouvait pas nier l'évidence, il ne pouvait pas rejeter cette fille et la vouloir uniquement que pour le sexe. C'était impossible. Il n'arrivait pas à enlever le visage et le corps de son esprit, il pensait souvent à elle, pour ne pas dire tout le temps. Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, il était moins enclin à sortir pour s'amuser et pour draguer si Louison n'était pas avec lui. Ezio se sentait prit au piège mais ce n'était pas pour lui déplaire. Alors forcément, quand la blondinette lui avoua ses soucis familiaux, il ne pu s'empêcher de vouloir l'aider. Il voulait faire parti de sa vie, il la voulait que pour lui, son côté possessif était particulièrement développé avec elle. Suite à sa remarque, Louison lui demanda s'il avait bu, elle devait être sous le choc la pauvre. Seras-tu capable de me le redire en face à face ? Il n'en attendait pas moins d'elle. Ezio n'avait pas mit longtemps avant de la rejoindre. Il marchait en direction de la Mather House, allez savoir pourquoi, il avait voulu tester sa nouvelle chambre à la Quincy House ce soir là. Ses pas le menèrent jusqu'au bâtiment où il termina sa clope avant de rentrer avec une facilité déconcertante. Putain, mine de rien, cette confrérie lui manquait. Une fois devant la porte de sa chambre, Ezio regarda autour de lui avant de frapper légèrement. Il était anormalement calme et serein. Il savait qu'il faisait le bon choix.
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Ton coeur tambourinait contre ta poitrine. Tu ne savais plus où te mettre dans ta chambre déserte. Tu faisais à présent les cent pas, déplaçant quelques objets d'un millimètre comme si cela pourrait calmer tes palpitations. Ezio était sur le chemin. Il n'allait pas tarder et tu ne savais pas comment le recevoir, ni comment faire face à la déclaration qu'il venait de te faire. Tu t'étais alors jetée sur ton paquet de cigarette, ouvrant en grand la fenêtre de la pièce pour fumer en contemplant le ciel. Tu n'arrivais pas encore à encaisser la nouvelle. Tu n'y croyais d'ailleurs toujours pas. Ezio ne faisait jamais dans les sentiments. Grillant lentement ta clope, ton regard s'était perdu dans le vide une bonne minute avant que quelques coups lourds te réveillent. Il était là. À moins que cela ne soit encore le gamin bizut d'en face. À cette heure-ci, c'était peu probable. Écrasant ton mégot dans le cendrier posé sur le rebord de la fenêtre, tu retiras ensuite la serviette nouée sur tes cheveux mouillés pour accueillir le nouveau Quincy. Après quelques pas tremblotants, tu t'étais postée devant la porte, agrippant doucement la poignée pour la tourner et enfin ouvrir. Le brun était là, calme et paisible. Tu empoignas subitement son poignet pour qu'il entre, refermant violemment la porte derrière lui. " Re-bienvenue chez toi " déclaras-tu en contrôlant le flot d'émotions qui faisaient peu à peu déborder ta soupape de sécurité. Te plantant devant lui sous ton peignoir doré, tu le fusilla du regard, attendant impatiemment qu'il se déclare de nouveau. " T'as encore fait le malin Scorsese... Tu regrettes ? " lui lanças-tu bien méfiante et suspicieuse.
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Attendant patiemment que Louison ouvre la porte, Ezio ignorait totalement ce qu'il allait trouver de l'autre côté, dans quel état pouvait bien être sa belle. Enervée, désabusée, vexée, heureuse ? Tellement de possibilités s'offraient à lui, il ne savait pas s'arrêter sur l'une d'entre elles. Alors il y allait au feeling en priant pour qu'elle soit prédisposée à parler ou même à l'écouter. Depuis l'histoire avec Anja, Ezio ressentait presque le besoin de parler pour savoir concrètement les choses. Il ne pouvait plus rester sur des on dit. Quelques instants plus tard, la blondinette ouvrit la porte et son regard croisa le sien. Un mince sourire assuré s'afficha sur ses lèvres. Louison attrapa son poignet et le fit rentrer rapidement. De quoi avait-elle peur ? Qu'on la voit avec lui ? Sans chercher à mettre une réponse sur son interrogation, il rentra dans le plus grand des calmes et se tourna vers elle. « Merci. » répondit-il assez faiblement. Il ne pu s'empêcher d'afficher une mine amusée. Comme prévu, elle vint lui demander si c'était une blague et s'il regrettait ses mots, à croire qu'il l'avait dit juste pour la manipuler ou la provoquer. Louison le fusilla du regard mais cela ne semblait pas le perturber plus que ça. Il haussa les sourcils pour bien faire planer le doute. « J'fais le malin mais je ne suis pas encore tombé dans le ravin Chamberlain. » s'amusa-t-il à dire sur un ton détaché. « T'as cru que je regrettais ce que je t'ai dit ? J'ai jamais été aussi sérieux. » Il ne pouvait pas ôter son sourire de petit con, il ne pouvait pas non plus lui demander de passer aux choses sérieuses de but en blanc. Non. Cela ne serait pas digne de lui, d'eux. Alors, il sortit sa main de derrière son dos et posa sur sa tête la casquette de Louison, qu'elle lui avait laissé la dernière fois. Il la sortit de nulle part et vint la mettre sa grosse tête. Poussant le vice à son maximum, il se mit à genoux, juste devant elle et ouvrit les bras en rigolant. « Je te veux Lou et je veux que tout le monde le sache. » lui dit-il d'un français nettement amélioré qu'avant. Il lui restait plus qu'à attendre sa réaction.
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Les quelques secondes qui s'égrenèrent jusqu'à ce qu'il te réponde avaient été abominables. Tu lui avais tendu une jolie perche, t'attendant à ce qu'il se serve de l'expression foireuse que tu lui avais sorti quelques jours plus tôt. Ce qu'Ezio avait d'ailleurs fait pour ton plus grand plaisir. Vous étiez terriblement connectés, que vous le vouliez ou non. Pouffant de rire nerveusement, tu plaças tes mains sur tes hanches tout en expulsant un petit " Pfff ". Le brun n'arrêtait pas de jouer avec tes nerfs, tu étais sur le point d'exploser lorsqu'il reprit enfin pour certifier ses propos. Abasourdie, tu avais même arrêté de respirer. Votre relation prenait vraiment de l'ampleur. Tout à coup, alors que tu avais la sensation de vaciller, l'italien sortit de son dos ta casquette de racaille, la foutant sur le sommet de son crâne avant de s'agenouiller devant toi. Il avait vraiment craqué son slip ce soir. La drogue peut être. Lorsqu'il te déclara une nouvelle fois sa flamme et ce, dans un français impeccable, tu abandonnas définitivement tes réticences. Ezio ne pouvait pas monter tout ce petit manège. Il t'avait remporté, tu ne pouvais plus lui résister. Avançant à tâtons pour pénétrer dans le périmètre de ses bras ouverts, tu creusas ton dos pour attraper son visage entre tes mains, le regardant amoureusement dans la pénombre. " Je... Je te veux aussi Zio', je veux être la tienne. " chuchotas-tu avec émotion avant d'embrasser farouchement sa bouche qui t'obnubilait depuis que tu l'avais quitté. Survoltée, tu fis demi-tour vers ta fenêtre, basculant ton buste à l'extérieur pour gueuler à plein poumons " Ezio Scorsese appartient à Louison Chamberlain les gars ! " Quelques pelés drogués relevèrent leur tronche vers ta fenêtre, tu levas alors les bras toute victorieuse avant de te retourner vers ta chambre et ton... copain ? " Désolée, ça devait sortir " confias-tu en te précipitant contre lui, encerclant son dos tout en appuyant tendrement une de tes joues contre ses pectoraux. Tu pouvais t'endormir debout, sentir ses poumons se gonfler et se dégonfler te berçait. Tu nageais en plein bonheur. Louison était heureuse, qui l'eut cru ? " T'es prisonnier maintenant, tu dors avec moi ce soir " dis-tu posément les yeux clos, inspirant profondément son odeur qui avait le don de te faire planer.  
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Voir un sourire sur son doux visage n'avait pas de prix pour Ezio. Il faisait le con pour faire passer une vérité beaucoup plus lourde mais au fond de lui, il restait très sérieux. Il pensait ce qu'il venait de lui avouer. Il ressentait des choses pour Louison, des choses fortes, extrêmes. Il voulait juste le crier sous tous les toits, que tout le monde soit au courant de son attraction pour cette fille aux multiples visages. Les bras délicatement ouverts, il attendait la sentence de sa belle. Elle afficha ce sourire tant attendu et s'approcha lentement de lui, il la laissa faire et, lorsqu'elle fut assez prêt, il vint resserrer ses bras pour la toucher, la capturer. Ses mots lui faisaient du bien, c'était plaisant de savoir que la réciprocité était présente. Elle acceptait d'être sa meuf, sa copine, sa fiancé, qu'importe, elle voulait être avec lui autant que lui. Une fois ces quelques mots murmurés, Louison ne lui laissa pas le temps de réagir qu'elle vint l'embrasser langoureusement. Ezio répondit à ce baiser avec fougue, avec passion, bercé par la douce euphorie de leur révélation. Elle le lâcha pour aller gueuler sa mise en couple à travers la fenêtre. Amusé, il éclata de rire en se relevant. « Redis-le, ils n'ont pas bien entendus ceux de Boston. » lança-t-il en levant les yeux au ciel. C'était pour ça qu'il était accro à cette fille, elle était surprenante et pleine de surprises. « Je vois ça Louison, ça fait plaisir au moins. » s'amusa-t-il à lui dire, conquis par ce petit manège. Elle revint vers lui et vint se blottir dans ses bras. La blondinette lui affirma qu'il n'avait pas d'autre choix que de dormir avec elle ce soir. « Que ce soir ? J'te l'ai dit ma belle, t'es coincé avec moi, je vais squatté ici tous les soirs. Quoique, c'est un peu petit mais on se serrera. » Ne revenant toujours pas de ce qu'il venait de se passer, il ne pouvait pas ôter son sourire niais de ses lèvres. Il se recula légèrement pour lui faire face. Il déposa un chaste baiser sur son front, profitant d'avoir toute son attention. « Alors comme ça ... » Puis un baiser sur son nez. « T'es à moi ... » Un baiser sur sa joue droite. « J'peux faire ... » Il dériva totalement son visage pour déposer un baiser sur le haut de sa nuque. « Ce que je veux de toi ? » Tout ça pour ça, qu'il pouvait être con quand il s'y mettait. Machinalement, il posa ses mains sur ses hanches avant de capter, enfin, qu'elle était en peignoir. Il baissa la tête et afficha, cette fois, un sourire beaucoup plus pervers. « Je rêve où t'es nue là dessous ? »
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Ce soir, blottie dans ses bras, tu te sentais enfin entière. En aucun cas tu n'aurais pu t'imaginer qu'Ezio serait la partie manquante de ton puzzle, c'était impensable. Tu faisais peut être encore fausse route, si c'était le cas, si cette histoire n'était qu'une illusion, tu te laissais volontiers berner. Depuis que vous vous étiez chauffés à Rome, il n'y avait pas eu un seul jour où tes pensées n'étaient pas dirigées vers lui. Chaque matin tu te réveillais avec un vide dans le coeur, avec son visage moqueur et ses blagues foireuses. Tu l'entendais en boucle prononcer ton nom de famille, parce qu'entre vous, une certaine distance avait toujours été là et elle continuerait sûrement de persister car vous n'étiez que de gros blocs de marbre. Maintenant que tu l'avais sous la main, tu ne voulais plus le quitter, le séquestrer dans ta chambre était une première solution. Ezio ne semblait pas contre, bien au contraire. Un sourire illumina alors ton visage lorsqu'il t'avoua vouloir souvent squatter ici. " Je pourrais très bien me faire à ton duplex aussi. Je préfère quand même être serrée contre toi. " rajoutas-tu avant d'être littéralement mitraillée de baisers fugaces de la part du jeune homme. Entre chaque zone effleurée par ses lèvres, le bel âtre prononçait des mots qui t'ensorcelaient à vitesse grand V. Frémissant sous sa bouche désobéissante, tu soupiras de plaisir avant qu'il ne remarque ta tenue particulière. " Totalement nue. " répondis-tu en lui envoyant un clin d'oeil espiègle. " Ton appétit est insatiable Ezio " soulevas-tu en dénouant ton peignoir, le laissant choir sur le sol comme l'avait fait Kate Winslet face au mythique Leonardo DiCaprio. Sans gêne, tu t'avanças vers la fenêtre grande ouverte, cherchant ta chemise de nuit alors que l'on pouvait facilement apercevoir ta poitrine. " J'allais de toute façon me changer " rajoutas-tu en attrapant enfin ce qui te servait de pyjama. L'enfilant sous les yeux du jeune homme, tu ne t'attardas pas sur la recherche de sous-vêtements, tu grimpas plutôt sur ton lit, t'y allongeant en tapant à tes côtés " Rejoins moi Scorsese. Mais avant, enlève-moi tout cet attirail, je veux sentir ta peau toute douce de bébé. " précisas-tu en dirigeant ton index de sa tête à ses pieds pour pointer ses vêtements qui étaient, selon toi, de trop.    
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Louison Chamberlain & Ezio Scrosese

Ezio était quelqu'un que l'on pouvait qualifier de sang chaud. Certes ses origines italiennes y étaient pour beaucoup, c'était presque dans sa culture d'aimer les femmes mais il avait ce sens extrêmement développé. Il aimait la compagnie féminine, il aimait voir les formes félines et la nudité d'une femme, c'était indispensable à sa survie. Il était pervers et macho à souhait, il était fait ainsi. Alors forcément, lorsqu'il avait une créature comme Louison devant lui, il avait ce besoin de la toucher. Au-delà d'être attirée vers elle, il ressentait des choses, des sentiments peut-être. Le tout combiné rendait Ezio particulièrement enclin au toucher, débordant d'envies et de besoins. Alors, forcément, lorsque la blondinette avoua être toute nue sous son peignoir, il frissonna bruyamment. « Insatiable, le mot est faible. J'ai toujours envie de toi Louison, va falloir que tu te fasses une ... raison. » s'amusa-t-il à dire avant de buger en la voyant enlever son peignoir. Ce dernier tomba lourdement sur le sol, dévoilant une Louison carrément nue. Sa bouche s'entrouvrit et, en bon macho, il croisa les bras contre son torse, la regardant dans son intégralité. Il la bouffait des yeux putain. « Prends-en soin de ce corps, il est à moi maintenant. » dit-il avant de déglutir. La blondinette se retourna, lui laissant une parfaite vision sur ses petites fesses blanches. Bordel, il les croquerait bien là. « Fais dont Louison, fais comme si je n'étais pas là. » répondit-il en rigolant. Cette situation l'amusait. Ezio avait du mal à garder son sérieux ou à rester concentrer. Il ne lui en fallait pas plus pour soulever une excitation en lui. Louison enfila le truc immonde qui lui servait de pyjama et grimpa dans son lit, sous les couettes. Le beau brun s'avança calmement vers la fenêtre pour la fermer, les autres n'avaient pas besoin de voir leurs cochonneries. Amusé, il alla jusqu'au bord du lit où il enleva ses pompes, son pull ainsi que son t-shirt. « Mates bien chéri, t'en auras pas deux des comme moi dans ton lit. » dit-il en rigolant mais avec une once de vrai quand même. Ezio comptait bien être le seul et l'unique dans son plumard. Finalement, il enleva également son jean, il laissa tout par terre, en vrac. Il attrapa la couette et vint s'y glisser dessous, se rapprochant automatiquement de Louison. Bouillant comme la braise, il se colla à elle sans la moindre retenue. « A l'avenir, fais moi penser à te donner des t-shirts pour que tu dormes avec ... parce que ton truc là, c'est tue l'amour. » dit-il en posant ses mains sur elle, la prenant dans ses bras peut-être.
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Bien que tu jouais souvent à la fille prude, en réalité, tu n'étais qu'une énorme obsédée. Cacher ton jeu était une manière d'interroger les hommes et de les envoûter pour mieux avoir le contrôle sur eux par la suite. Évidemment, tu sélectionnais astucieusement tes proies. Dorénavant, il n'y en avait plus qu'une que tu souhaitais bouleverser, il s'agissait bien entendu d'Ezio. Profitant de ce que la nature t'avait offert, tu dévoilas tes courbes féminines avec une pointe d'excitation quand tu avais aperçu le regard dépravé du brun. Ton bas ventre brûlait de désir mais tu tempéras ces sensations en allant gentiment couvrir ton corps dénudé par un chiffon. Sur le chemin de ta penderie, Ezio te lança une phrase purement jouissive. Ton corps était désormais également le sien. Le dos tourné, tu esquissas un sourire mielleux tandis que tu mettais enfin la main sur ton pyjama. Tu explosas de rire en l'enfilant lorsque le brun te demanda de faire comme s'il n'était pas là. " Impossible, t'as déjà empesté ma chambre de ton odeur de prédateur là " répliquas-tu en te précipitant sur ton lit tout en claquant les fesses de l'italien au passage. Tu t'étais ensuite faufilée sous ta couette, ne laissant que ta bouille dépasser de la couverture. Tu examinais à présent ton homme avec une passion dévorante. Son corps moulé dans ses vêtements te torturait toujours autant. Tu lui indiquas alors de les retirer pour qu'il te rejoigne au chaud. Ezio s'exécuta avec son orgueil démesuré. Tu soupiras longuement en levant les yeux au plafond. Malheureusement, cet abruti avait bien raison. Cependant, le lui dire ne ferait que gonfler son ego déjà surdimensionné. Tu laissas alors couler en sifflotant, zieutant ton petit ami se désaper totalement. Un côté ambitieux qui ne te déplaisait guère. Lorsqu'il s'approcha enfin de ton lit, tu te décalas quelque peu sur la droite pour le laisser s'installer convenablement. Basculant de profil vers le brun, tu mélangeas tes jambes aux siennes en posant ta tête sur son torse. Ezio ne tarda pas à se montrer une fois de plus corrosif. Il ne s'arrêtait jamais de te clasher ce mec. Tu redressas tout à coup ta tête pour lui coller une petite claque sur sa joue gauche. " Tu ne serais pas venu si c'était un tue l'amour, je peux toujours l'enlever de toute façon. T'es jamais content Scorsese. " exprimas-tu faussement mécontente avant de l'abandonner pour te retourner, lui laissant une vue imprenable sur ta nuque blonde. Recroquevillée en position foetale, tu lorgnais le mur d'en face avec une moue boudeuse. " Mais je ne dis pas non à tes tee-shirts quand même... "  rajoutas-tu d'une voix à peine perceptible.
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Ezio s'était glissé dans son lit sans la moindre gêne, comme s'il était chez lui, que le lit était le sien et que Louison était à lui. Il prenait vite ses marques et ses repères dans cette chambre qu'il comptait envahir de sa présence. La blondinette prit plutôt mal sa remarque sur son pyjama. En même temps, ce n'était pas de sa faute si son pyjama était moche, affreux, abominable, il se devait de lui dire. Ne lâchant pas son sourire de ses lèvres, il leva les yeux au ciel lorsqu'elle râla sur lui, pour être honnête, ça l'amusait énormément. Cette petite blague n'était pas au goût de tout le monde puisque Louison lui tourna le dos et marmonna quelques mots incompréhensible. « On est ensemble depuis dix minutes et tu fais déjà l'hôtel du cul tourné. Putain j'me suis fait arnaqué. » grogna-t-il avant de rigoler. Il éclata de rire même. Se doutant bien que sa remarque désobligeante n'allait pas améliorer la situation, il s'approcha d'elle et colla son corps brûlant contre le sien. Sa main libre partit à la recherche d'un contact avec sa cuisse nue. Il la caressa lentement, sans chercher à aller plus loin, il tentait d’apaiser les tensions. Il posa sa tête contre la sienne et ferma les yeux. Restant ainsi quelques instants, Ezio se décida enfin à briser le silence. « Au fait Louison, maintenant qu'on est officiellement en couple, j'veux que tu saches que je suis là pour toi, peu importe ce qu'il se passe ... J'ai envie de faire parti de ta vie donc ne m'exclus pas de tes problèmes. Je peux t'aider, je veux t'aider. Je t'interdis de me cacher des choses, ok ? » dit-il en continuant ses caresses. Ezio voulait s’investir dans la vie de la blondinette, de sa blondinette.
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Repliée sur toi même en offrant volontiers ton dos à Ezio, tu jouais désormais à la boudeuse pour une réflexion -parmi tant d'autres- de la part du jeune homme. Grignotant la peau de ton pouce, tu ne pus t'empêcher de pouffer de rire face à son commentaire. " J'suis pas une transaction financière oh ! " rétorquas-tu en te retournant, un sourire incontrôlable collé à ton visage. Ezio te faisait toujours rire, c'était un véritable parcours du combattant pour lui en vouloir. Parce qu'au fond, même si ces remarques étaient parfois blessantes, tu étais persuadée qu'il s'agissait d'un vrai gentil. De toute façon, l'italien savait se faire pardonner. Sa main dévala ta cuisse sans prévenir, augmentant tout à coup ta pression artérielle. Tu étais bien là, sous sa protection et ses petits gestes attentionnés. Calant un peu plus ta tête contre la sienne comme il venait de le faire, tu fermas à ton tour tes paupières pour profiter pleinement de sa présence. Même dans le silence, tu te sentais parfaitement comblée. Peu de temps après vous être apaisés, Ezio reprit la parole posément, te laissant découvrir une part de lui qu'il ne montrait probablement à personne. Ce petit malin t'avait presque ému. Rouvrant tes yeux, tu relevas ta frimousse vers la sienne qui te surplombait. Puis, tu t'étais retournée de nouveau vers lui, passant une de tes jambes sur les siennes. Tu avais ensuite calmement déposé ta main gauche sur son torse avant de dessiner des boucles au hasard sur sa peau brûlante à l'aide de ton index. " D'accord... Je te tiendrais au courant, mon chéri. " répondis-tu en utilisant quelques mots doux de ta langue maternelle.  Maintenant que vous étiez lancé sur ce sujet, tu devais lui confier tes récentes péripéties " Du coup... je pourrais peut être t'informer que j'ai embarqué un pote à moi dans mes recherches, Côme Dubois. Il est apparemment calé en informatique... Je vais voir ce qu'il peut m'apporter. " lui avouas-tu assez craintive avant d'embrasser chaudement son épaule. " J'aimerais tellement revoir mes parents...je ne me souviens pas d'eux... " lui livras-tu totalement pensive et démoralisée.  
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