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HELP ME PLEASE !!! I'm dying right now (ft. Charlie)

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Je n’aime pas les premiers jours…les premiers jours de boulot, les premiers jours d’examens, les premiers jours d’écoles, les premiers jours de règ… oups là je m’égare. En résumé : LES PREMIERS JOURS CA CRAINT. A 24 ans, je pensais pouvoir m’épargner ce genre de truc. Je veux dire : je suis étudiantes depuis plusieurs années, j’ai un job à mi-temps que j’ai obtenu grâce à un peu de piston je l’avoue ; au mieux ils restent les examens (et l’autre chose que j’ai préféré ne pas citer) mais ça, personne n’y réchappe réellement.

La question c’est : pourquoi je n’aime pas ?? Tout simplement parce que contrairement à d’autre, je ne me sens jamais aussi à l’aise qu’un poisson dans son bocal. C’est ça l’expression, ou pas ? Je ne sais plus…Bref, ce n’est pas mon truc. De deux choses l’une : soit j’ai l’air d’une paumée, soit je ME suis paumée ! Et là pour le coup, c’est les deux.

Cela faisait bien 10 minutes que je me trouvais planté devant le panneau d’accueil du grand hall universitaire, à essayer de détecter plus d’infos que ne pouvait me donner cette fichue carte des lieux que j’avais du mal à comprendre. Je me disais ce matin que partir avec un peu d’avance ne serait pas du luxe étant donné qu’Harvard est un lieu immense où je n’avais encore pris aucune marque mais…comment dire…je crois que j’ai plus que cramé mon avance, là !!

Je retournais mon plan dans tous les sens, tout simplement parce que – n’étant pas fichu de le lire clairement depuis tout à l’heure – je pensais que le lire en biais m’aiderait peut-être. Et je soufflais pour la énième fois, avant de relever la tête en me disant que parmi tous ces gens qui grouillait autour de moi comme des fourmis en plein travail dans leur fourmilière, peut-être y avait-il quelqu’un qui saurait m’aider ??

C’est quand, une voix familière m’interpella que je soufflais à nouveau, cette fois de soulagement. Un ange tombé du ciel, ce n’est pas possible autrement ?! Dieu existe et il a décidé de m’épargner cette fois ??! « Tu ne peux pas imaginer comme je suis super heureuse de te trouver » avant de lui tendre le plan d’Harvard fourni l’avant-veille par courrier par l’administration de l’université (En réalité, je l’ai depuis longtemps, c’est juste que je n’ai pas ouvert mon courrier avant « avant-hier »). « Qui est-ce qui a conçu ce plan merdique ? Qu’est-ce qu’il cherche ? à faire diminuer les quotas d’étudiants en les faisant renoncer avant les premières heures de cours ??! »


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J'arrivais sur le campus le cœur léger et avec une bonne heure d'avance. L'année scolaire commençait et, bien que je sois toujours malade, et que je refasse exactement la même chose que l'année dernière, j'étais vraiment contente de retourner en cours. Cette année allait être plus simple que l'an dernier, vu que je redoublais, et rien que cette idée me soulageait un peu. Comme si mes absences à répétition n'allaient, ce coup ci, pas trop affecter mes résultats. Je traînais donc des pieds entre les bâtiments, profitant de cette mâtinée agréable, observant les autres se presser en cours, tout en sachant que je ne commençais les miens que dans une heure. Cette année, j'avais décidé de me rendre utile en rejoignant l’association étudiante afin d'aider les petits nouveaux. Ma protégée s'appelait Joan, une brune, un peu asociale sur les bords et awkward, qui arrivait tout juste à Harvard. J'étais rentrée en contacte avec elle par mails, puis rapidement par skype et par téléphone. J'avais pu lui parler, la rassurer un peu et apprendre à la connaître. Elle était franchement sympa, bien que vraiment stressée de la vie. Et là, je la retrouvais ce matin totalement par hasard. Je la reconnu de loin sans trop de soucis. Elle était plus petite que je me l'étais imaginée, mais je pouvais sentir son anxiété à deux kilomètre à la ronde. Elle tournait un plan dans tout les sens, observant les alentours, paniquée. J'esquissais un petit sourire amusée en la voyant, me décidant à aller la rejoindre pour lui donner un coup de main. Après tout j'étais là pour ça. « Joan ! Besoin d'aide ? » lâchais-je en arrivant à sa hauteur. Son soulagement était palpable et elle n'hésita pas une seconde à me le dire, avant de me tendre son plan un peu froissé du campus. Je pouffais de rire en l'entendant critiquer ce plan que je tournais à mon tour dans tout les sens. « C'est sûr que, maintenant qu'il est tout froissé on a du mal à s'y retrouver. » concluais-je un sourire taquin collé aux lèvres. « Je te sens stressée... » ajoutais-je calmement, presque pour la taquiner un peu. Évidemment qu'elle était stressée c'était son premier jour dans un grand campus et dans l'une des plus ancienne fac d’Amérique. Il y avait de quoi être stressée. « T'as cours où ? »

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Les conversations Skype ont du bon. Surtout pour quelqu’un comme moi. Je ne suis pas vraiment fan des relations sociales. Pour du tour dire, je compte mes amis et ma famille sur les doigts d’une main. Je ne sais pas comment font tous ces étudiants pour connaitre tout le monde, savoir qui est qui, qui fait quoi. Je dis cela sans aucune critique, hein ? Vraiment, je ne sais littéralement pas comment ils font. On ne m’a pas appris à garder des contacts, à me familiariser avec les gens. Ceux qui restent encore proche de moi, c’est ceux pour qui les choses se font fait de manière innée, un peu comme si tout avait été prédestiné, écrit…Charlie ? Elle fait partie des personnes avec qui j’ai tâtonnée, pour la simple et bonne raison qu’elle est arrivée avec tout le kit « HARVARD » si on peut dire cela ainsi : Nouvelle université, nouveaux horizons, nouveaux étudiants…Ce terme NOUVEAU qui m’angoisse à chaque fois. Et pourtant, le contact s’est fait bien facilement contre toute attente, avec Charlie : elle est totalement différente de moi, mais je me rends compte que c’est le cas pour 90% de mes amis. De simples conversations échangées par mails, nous avions fini par engager une relation dès l’instant où nous nous donnions rendez-vous sur Skype en Visio. Et je dois dire aujourd’hui que sa Cam ne lui a jamais réellement rendue justice. Je la trouvais déjà belle avec cette frimousse adorable, mais la voir ainsi en personne, il n’y avait vraiment plus rien à redire…si ce n’est : « Pourquoi portes-tu des talons ? Tu te sens pas déjà assez grande, bordel ? » Forcément, je n’avais pas pu m’empêcher de jauger sa taille au moment où je lui tendais le plan en maugréant ; réflexe de ma part à chaque fois que quelqu’un de plus grand que moi s’approche – c’est-à-dire TOUT LE TEMPS. Elle estima la qualité du plan : « Il est pas… » Je fronçais le regard, remarquant effectivement le plan abîmé en contractant la lèvre pour ensuite ajouté « il n’est pas froissé c’est juste que – Enfin c’est normal quoi, le papier est même pas fait pour ça, c'est du basique. Un plan, s’est fait pour être manipuler et sa fonction principale, tu la connais ? C’est pour aider à trouver son chemin. Là, ce n’est pas du tout le cas » me défendais-je tout en tapant sur le bout de papier d’un doigt, comme pour le punir d’être aussi mal foutu. Bon effectivement, vu ma façon d’agir, Charlie avait raison de dire qu’elle me sentait stressée. Alors pour tenter de me calmer, je laissais retomber mes épaules tout en soupirant longuement avant de répondre : « J’aime pas être perdue… » Je jetais un œil à droite puis à gauche, pour constater comment les autres étudiants eux, flânaient tranquillement dans les couloirs comme si ils étaient nés dans ces lieux. « J’ai cours de Programmation Informatique… » Mes yeux fixant le sol carrelé du hall devant l’entrée, avant de tourner la tête pour m’adresser à Charlie « Je suis désolée » C’était la moindre des choses à faire : Sous prétexte que j’étais stressée, ne me donnait pas le droit de stresser les autres. « T’as raison, je suis stressée…je ne pensais pas que tout ceci me ferait flipper à ce point en fait. » osais-je avouer « J’veux dire : je viens de Yale, donc…c’est pareil, nan ? Grosse université, masse d’étudiants etc…» Ouais enfin, ce que je n’avouais pas, c’était qu’il n’y avait pas que cela qui m’angoissait : Ce n’était pas le premier jour que pour moi. Ilias…mon fils. Lui aussi, c’était tout nouveau. Notre vie ici…entre les jours de garderie à Harvard – à le laisser y entrer pendant que moi je la jouais discrète à me planquer derrière le mur d’un couloir pour lui faire coucou discrètement – ou encore les jours en école avec horaires aménagés; pour lui aussi, c’était du gros bouleversement, et si je devais être honnête, c’est surtout pour lui que je stressais aujourd’hui. Cette histoire, de plan, d’université mal foutue, c’était un prétexte pour avoir des raisons de criser… « Ils ne pourraient pas mettre des flèches de couleurs pour indiquer la route pour chacun des établissement ou classes ? » suggérais-je. C’est vrai quoi : au sol ou sur les murs, peu importent, mais dessiner des flèches de direction, tout le monde sait le faire !! « S’ils veulent de la redécorations, je veux bien m’y mettre !!! Du moment que je peux jeter ce plan à la poubelle !! » Et me voilà repartie à bougonner…


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Elle faisait près de vingt-cinq centimètre de moins que moi. C'était une surprise. Je me savais grande mais là, pour le coup, elle était petite ! Ce qui n'était pas une surprise par contre, c'était de voir dans quel état de panique elle se trouvait. Je tournais le plan froissé dans tout les sens, tentant de trouver le 'bon' sens, s'il en existait un. J'étouffais un petit rire, presque moqueur, alors que Joan passait encore ses nerfs sur ce pauvre bout de papier. Papier qui, d'après elle n'était pas le bon et qui ne remplissait pas sa fonction... Bref, c'était la faute du plan. « Ok, méchant plan. On va faire sans. » Concluais-je en mettant en boule le papier avant de le jeter dans la poubelle la plus proche. « Je t'en trouverai un mieux. Avec un papier adapté. » Certainement une promesse en l'air, sachant que je ne savais pas si j'allais pouvoir lui trouver un plan qui ne soit pas en 'basique'. Mais bon, j’essayerais. Joan reprenait son calme, notant tout de même qu'elle n'aimait pas être perdue. J'avais bien envie de lui dire que personne n'aimait être perdu mais je me retenais, lui demandant plutôt où elle avait cours. « Ne soit pas désolée. C'est normal d'être perdue le premier jour et c'est normal aussi de stressée. Je vais t'accompagner et ça ira mieux. » Programmation informatique, elle étudiait dans le département des sciences appliqués, on était donc assez loin de la partie du campus qui la concernait. Sans plus attendre je lui fis signe de me suivre et l'on sortie du hall pour rejoindre l'extérieur. « Ne compare par le numéro trois avec le numéro un ! » lâchais-je d'un air faussement arrogant avant de pousser de rire. « C'est pas tout à fait la même chose. Statistiquement parlant il y a plus de monde à Harvard qu'à Yale. Puis je ne sais pas comment est foutu le campus de Yale, mais ici, c'est un vrai labyrinthe. » Je n'étais jamais aller à Yale donc c'était difficile de comparer les deux campus, mais je savais par expérience qu'il n'était pas toujours simple de s'orienter ici. Campus étalé un peu partout, plein de petits bâtiments, certains qui se ressemblent étrangement... Bref on avait vite fait de s'y perdre. « Y'a des flèches. » fis-je remarquer en pointant du doigt des petits panneaux en formes de flèche qui indiquaient certain bâtiments. « Mais s'il y en avait de partout on ne s'y retrouverai plus ! » ajoutais-je en esquissant un sourire amusé. J'osais à peine imaginé la confusion que ce serait s'il fallait des flèches pour indiquer chaque bâtiments et chaque département. « On va rejoindre Oxford street, et je vais te montrer l'endroit ou 90% de tes cours auront lieu. Comme ça à l'avenir tu ne viendras plus te perdre ici, mais là bas. » Elle se perdrait quoi qu'il arrive. Et c'était normale. Mais autant qu'elle se perdre près de ses salles de cours, qu'à l'autre bout du campus.

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En temps normal, avec un tel état de nerfs, j’aurais sans doute envoyé chier Charlie pour sa manière de se moquer ouvertement de moi avec cette histoire de plan ! Mais pour le coup, je ne disais rien à la blonde : Elle avait au moins le mérite de vouloir m’aider à me détendre, et puis, j’étais persuadée qu’elle était vraiment sincère, à vouloir me rassurer ainsi. Je soufflais longuement pour évacuer la pression liée au stress, et d’un mouvement d’épaule, détendais mes muscles tout contractée. Il fallait vraiment que je me calme, ce n’était pas possible d’être aussi angoissée, sérieux !! Elle m’indiquait la direction à prendre et je la suivais bien volontiers, marchant tranquillement – façon de parler – à côté d’elle, pendant qu’elle me faisait un cours sur mes comparaisons étonnées ! Là, je me mis à sourire franchement. « Euuuhhh…c’est censée me rassurer, ça ? Nan parce que je t’avoue que de t’entendre me dire que les statistiques prouve qu’il y a des chances pour que je me sente encore plus étouffée par une masse d’étudiants, ici, Ça ne me donne pas envie de dédramatiser, tu vois ?! » Et forcément, ça me donnait encore plus envie d’évacuer mon stress à coup de critiques sur l’université et le manque d’orientation. J’avais évoqué les flèches, et Charlie me fit remarqué qu’il y en avait, mais non : ça ne suffisait pas, il fallait que je bougonne quand même : « Ouaaaiiis bah, elles sont trop petites ces flèches !! Moi, si j’avais été eux, je les aurais dessinés à même le sol, tu vois ? Je les aurais faire partie du hall et les aurais peintes même sur la route, pour qu’on comprenne où il faut aller ! » Mauvaise foi jusqu’au bout - « mon idée est meilleure de toute façon » - Du Grieve tout craché !

Charlie m’expliqua que 90% de mes cours auraient lieu au même endroit : « Alléluiah !! Ce sera 90% de mon temps à perdre en moins ! » J’exagérais clairement, mais quand on me connaissait bien, on se rendait vite compte qu’il y avait une petite partie de vérité : La ponctualité et moi ? Ça faisait deux ! Non pas que je ne savais pas m’organiser, bien au contraire. C’est juste que même si je partais en avance, je trouvais toujours le moyen de me perdre, ou d’être assez poisseuses pour que le sort s’acharne sur moi et ne me mette à la bourre. ** T’oublie peut-être aussi les fois où ce n’est vraiment pas le sort qui s’acharne sur toi, mais plutôt toi qui t’acharne sur ton réveil au point qu’il ne finisse par plus sonner pour te réveiller ?? **…Hmmmm, Joker.

« Hey, je suis juste en train de réaliser là, mais…je te retarde pas en fait ?! Tu te rendais peut-etre à ton cours ou un truc du genre ? » Bah oui Grieve, c’est une chose que toi tu sois à la bourre, mais faudrait peut-etre laissé les autres être à l’heure !


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Peut-être que c’était une sorte de fierté mal placée qui m’avait poussé à déballer ces petits facts sur Harvard, quoi qu’il en soit, ça n’avait pas été une bonne idée. Dire à Joan qu’il y avait plus de monde ici qu’à Yale, autant dire que ça n’allait pas la rassurer. Et elle me le fit très vite remarquer, ce qui me fis légèrement grimacer. Son stresse était justifié et compréhensible, il ne fallait pas que j’en rajoute. Alors je tentais de la rassurer un peu en l’accompagnant jusqu’à sa salle de cours, et en lui assurant qu’il y avait bel et bien des indications sur le campus pour s’y retrouver. Joan insistait tout de même sur le fait qu’il n’y avait pas assez de fléchage, qu’elle en aurait tracé directement au sol si elle était en charge de l’orientation sur le campus. Je mettais sa mauvaise foi sur le compte du stress et hochais lentement la tête. « Oui, de grosses flèches rouges avec écrit ‘Joan’ dessus. Rien que pour toi ! » Me risquais-je à plaisanter, un sourire amusé collé aux lèvres. J’essayais de détendre l’atmosphère en lui expliquant que la plupart de ses cours auraient lieu dans la même partie du campus, ce qui réduisait le terrain à une poignée de bâtiment. Sauf soucis administratif, ou option en dehors de son département, elle n’aurait pas à quitter cette zone du campus, et très vite elle la connaitrait comme sa poche. Cette annonce semblait la soulager, ce qui m’arracha un sourire satisfait. Puis rapidement Joan reprit la parole, se demandant, à juste titre, si elle ne me mettait pas en retard. Je secouais lentement la tête tout en continuant d’avancer. « Non, j’ai pas cours tout de suite. Je ne commence que d’en une heure, mais je suis venue plus tôt… j’sais pas trop pourquoi. » Peut-être que c’était pour pouvoir voir mes nouveaux camarades de classe stresser à l’idée d’avoir de nouveau cours compliqués avec des profs qu’ils ne connaissaient pas, peut-être que c’était simplement parce que j’étais réveillée et que j’avais voulu profiter d’un moment où je ne me sentais pas mourante pour sortir de chez moi avant que ma maladie ne m’en coupe l’envie… ou peut-être que c’était simplement le destin qui m’avait poussé hors de mon appartement pour venir aider Joan. « En faite j’apparais comme par magie quand t’as besoin d’aide. » plaisantais-je. « Hors sujet totale mais….Je t’imaginais pas si petite. » lâchais-je enfin.

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Venir plus tôt ? Pourquoi faire ??? Je la regardais avec un air d’incompréhension totale, puis finalement décidais qu’il ne valait mieux pas que je cherche plus loin. Alors d’un haussement d’épaule, je déclarais simplement à l’attention de la blonde « Ouais bah chacun son truc, comme on dit ! Moi c’est plutôt du genre à entendre mon réveil sonner, de l’éteindre pour mieux le réentendre 10 minutes plus, et faire ça 5 ou 6 fois de suite avant que je ne réalise que je suis à la bourre pour déposer mon fi… » Woaw…stop, on s’arrête là. Je sais pas ce qui m’a pris de vouloir parler du truc qui fallait pas ! Peut-être le fait que cela fait un certain temps que je discute avec Charlie virtuellement maintenant ? C’est vrai que certains soirs, je me souviens avoir été obligé d’aller occuper mon fils à un endroit pendant que moi, je m’étais installer devant ma Webcam pour une visio avec l’étudiante, mais bizarrement, j’en oubliais presque que je n’avais jamais parlé de mon fils à la blonde Quincy… Pourquoi ? Je sais pas. Par automatisme sans doute…vu que j’avais passé mon temps à cacher Ilias à tout le monde pour éviter que l’on vienne à me poser des questions indiscrètes sur qui était le père etc, j’avais fini par prendre le pli en évitant toute révélation à ma vie privée. Surtout que je n’aimais en règle générale, pas m’étaler… Mais cette réaction est idiote, je le sais. Surtout quand on sait que Charlie a été désigné comme ma marraine de cette association d’intégration étudiante. Elle était là pour moi, pour faciliter ma vie au sein d’Harvard, pour améliorer mon intégration…il aurait été normal finalement, qu’elle sache dès le départ qu’elle n’avait pas à faire à une simple étudiante célibataire qui a quitté sa ville natale, ou ses parents, pour venir étudier ici…

Je marchais tranquillement en réfléchissant à ça, tout en évaluant mentalement les risques que je prenais à parler de mon fils à Charlie ou non, quand cette dernière me rappelait à la réalité en me faisant une remarque que je n’attendais pas ! Enfin, si, dans le sens où on m’avait bien souvent fait remarquer ma petite taille, mais disons que …pour le coup, le fait qu’elle m’en parle là maintenant - de façon totalement anodine - c’était ça qui me surprenait le plus. « Comment ça, « si petite » ? C’est quoi ta norme exactement ? » Lui demandais-je faisant mine d’être offensée « Je ne suis pas petite…je suis…je suis à la bonne taille. Comme disait mon père : « La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent par terre ! » ». Cette remarque m’amusait toujours autant d’ailleurs…l’une des rares fois où j’arrivais à penser à mon père en ayant un sourire accroché au visage, plutôt que d’y penser avec un air coupable et beaucoup de regret avec… « Et puis si tu évitais de mettre des talons aussi, peut-être que je paraitrais moins petite » ajoutais-je avec BEAUCOUP de mauvaise foi !



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Joan faisait, vraisemblablement partie de ces personnes qui appuyaient sur le bouton snooze de leur réveille. Je n’avais honnêtement jamais compris ce besoin de dormir 5 ou 10 minutes de plus. À quoi bon tenter de se rendormir quand on sait que l’on sera re-réveiller une seconde fois qui sera tout aussi douloureuse, voir plus douloureuse que la fois précédente ? En quoi cette torture était agréable ? et surtout comment est ce que l'on pouvait se rendormir l'esprit tranquille ? Enfin bon, je ne préférais pas me lancer sur le sujet, me concentrant plutôt sur la fin de sa phrase. Déposer son quoi ? son ‘fi’ ? Sans vouloir jouer au Sherlock, le seul mot qui pouvait rentrer là et qui commençait par le son ‘fi’ était ‘fils’, mais j’avais honnêtement du mal à imaginer Joan avec un enfant. Puis comme elle avait coupé court à ça phrase, je m’imaginais qu’elle n’avait pas envie d’en parler, que c’était un sujet sensible ou qu’elle préférait simplement garder ça pour elle. Alors je ne posais pas de question. J’y réfléchissais un petit moment puis je passais à autre chose, sans transition, venant lui parler de sa taille. Je savais, par expérience que 95% des personnes dites ‘petites’ n’aimaient pas qu’on le leur fasse remarquer, pourtant j’abordais quand même le sujet. Parce que c’était plus fort que moi. En la voyant par écrans interposés je ne m’étais à aucun moment imaginé qu’elle serait si petite. Sans grande surprise Joan prit un air vexé, évoquant la norme. Je m’empressais de lui lâcher un rapide : « Un mètre soixante ou soixante-cinq. » alors qu’elle reprenait la parole, citant son père qui avait visiblement de l’humour. Cette remarque m’arracha un sourire. Il avait raison il n’y avait pas de bonne ou de mauvaise taille. Elle commenta sans plus attendre mes chaussures, histoire de rejeter la faute sur moi et je baissais brièvement la tête pour observer mes pieds tout en marchant. « Ils sont pas si hauts que ça. » râlai-je. Je portais des bottines en cuire avec des talons franchement petits, mais elle trouvait quand même à redire. « C’est pas parce que je fait un mètre quatre-vingt que j’ai pas le droit de porter des talons. Imagine si je devais porter que des chaussures plates tout le temps…. Ce serait la déprime. » Ajoutais-je avant de pouffer de rire. « Puis c’est pas négatif d’être petite. Je t’avais simplement imaginé plus grande. » précisais-je avant d’ajouter, un petit sourire sur les lèvres : « T’es très mignonne. Plus grande tu le serai moins. Là on a envie de te prendre dans les bras. » Bon c’était un compliment de base, même si à m’entendre je parlais presque d’une peluche.

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Ma question sur la norme n’attendait aucune réponse et pourtant, la blonde ne se démonta pas pour me confirmer que j’étais presque à dix centimètres en dessous de ses attentes. A cette précision, je ne manquais pas de lever les yeux au ciel avant de l’attaquer gentiment sur la hauteur de ses talons, et ce fut à son tour de râler. Autant dire que sa réaction me fit rire intérieurement : là ou moi, on me lançait souvent des réflexions sur ma petite taille – l’un de mes ex m’ayant très vite surnommé « Poly Pocket » – Charlie, elle devait sans doute avoir à faire aux remarques inverses. « Chacun sa croix ma belle ! » lui répondais-je en riant alors qu’elle avait exprimé son dégout à l’idée de porter des chaussures plates toute sa vie ! Quant à moi, je lui rappelais la phrase que me lançait souvent mon père quand j’étais petite, et j’avoue que la réponse de la blonde me surprit ! Jamais on ne m’avait dit les choses de cette façon-là : « T’es très mignonne. Plus grande tu le serais moins. Là on a envie de te prendre dans les bras. » Sur le coup, je me suis mise à rougir, tout en baissant la tête, avant qu’un petit sourire en coin n’apparaisse sur mes lèvres. Mais n’étant pas habitué à ce genre de compliment, je me sentais un peu gênée…et tous mes proches savent très bien que lorsque je suis gênée, j’ai tendance à réagir avec sarcasme ou ironie. Charlie, malgré son compliment adorable, n’allait pas dérogé à ma règle : « Tu me fait quoi ? Tu veux me faire un câlin peut-être ? Je ne suis pas ton nounours ! » Disais-je d’une voix peu assurée, que je dissimulais derrière une fausse envie de glousser. J’aurais dû lui dire qu’elle était choupie de me dire ça…c’est ce qu’aurais fait quelqu’un de normal, n’est-ce pas ?


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Trop petite, trop grande, quelques part on était jamais vraiment content de ce qu’on avait. Et si toute fois on s’en contentait, il y avait toujours quelqu’un pour nous faire une remarque. J’esquissais un sourire amusé alors que Joan riait, puis rapidement je ne put m’empêcher de la complimenter, histoire de me rattraper de l’avoir contrarier en parlant de sa taille. Et même si à m’entendre on pouvait croire que je parlais d’une peluche, je n’en étais pas moins sincère. Joan resta premièrement silencieuse, baissant la tête, avant de reporter son attention sur moi et de relever ce qui me semblait un peu évidant : je l’a prenais pour une peluche. « J’veux bien te faire un câlin oui ! » lâchais-je en pouffant de rire. Puis j’ajoutais plus sérieusement : « Désolée si je t’ai offensé, c’était vraiment supposer être un compliment. » j’étais peut-être pas très douée pour communiqué, surtout de bon matin. On traversait la rue pour rejoindre la partie du campus qui intéressait Joan. « Bon voilà, on arrive vers ta seconde maison. » lâchais-je en indiquant le bâtiment dans lequel elle allait avoir cours d’ici peu.

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