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(Nobriella) That the game begins

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Regard déposé sur la jeune femme, tu ne peux t'empêcher de sourire à sa remarque. Elle vient de dire que tu étais un bon coup. Alors bien sur, un peu joueur sur les bords, tu lui réponds naturellement Toi aussi, tu es un très bon coup Gaby Parce que oui, jamais tu ne l'aurais épousé si elle était mauvaise au lit, surtout avec toutes les merdes que tu avais pu faire avant ou après même. Mais là, ce n'est plus la question des compliments mais des méchancetés, elle a commencé, elle risque de continuer, jusqu'à ce que tu la brises finalement, tu vas devoir le faire, même si ça te fait mal de le faire. Dommage, je suis gentil et honnête, je vois pas pourquoi tu es partie pourtant, tu avais tout et tu t'es quand même cassé, vivre ta petite vie. Mais pas de réponse, je m'en fous en fait, ça m'a beaucoup ouvert les yeux. Et toi, ça t'as permis d'ouvrir les cuisses pour d'autres hommes, c'est pas mal finalement Tu englobes toutes ses paroles, tu en as marre finalement, tu es joueur mais elle attaque au mauvais moment, au mauvais endroit. Et finalement tu continues dans les mêmes tons. Tu avais finalement, tu pris une gorgée de ton whisky pour continuer de lui répondre La plus belle erreur de ma vie oui effectivement. Tu devais être sacrément amoureuse de moi pour accepter ta plus belle erreur. Heureusement, comme tu dis, tu as pu tout arrêter. Imagine, on serait marié à l'heure qui est, et heureux. Tout de suite, ça te donne moins envie, c'est sur, partager ta vie avec l'homme que tu aimes. Maintenant, tu fais quoi d'ailleurs ? Dis moi qu'est que tu rends aussi heureuse ? Ah moins que tu n'es jamais été heureuse depuis notre rupture ? Ca se comprendrait d'ailleurs, tu n'as rien ici ! lâches-tu en lui montrant son coeur, même tu distingues plus sa poitrine que son coeur mais c'est un fait. Mais maintenant que tu as bien versé ton venin, tu souris doucement à sa question et ses remarques avant d'humectes tes lèvres. Tourner la page et avaler la pilule. Ca été très dur, mais tu t'en fous en fait, tu t'es barré juste après le pire jour de ma vie, tu n'as jamais donné de nouvelles et pour couronner le tout, t'es revenu à Harvard comme si de rien était alors que tu aurais pu rester dans ton pays, faire ta traînée et rester la même personne indigne, sans coeur et démunie de sentiment, celle que tu as toujours été. Non, t'es obligé de faire chier ton monde à revenir ici et à vivre ta vie. Donc tu vois, je me suis donné la mission de te pourrir la vie, manque de bol pour toi, j'y arrive très bien. Ajoutes-tu avant de sourire doucement mais, finalement, c'est un rire qui sortit de ta bouche. Tu riais un peu plus fort avant de souffler Mon Harem ? Ils font ce qu'ils veulent, j'ai pas de compte à leur rendre. S'ils te pourrirent la vie qu'ils le fassent. Oh et si j'ai un conseil à te donner. Lime toi les ongles, d'après ce que j'ai compris, vous les femmes, vous vous griffer pour vous battre. Tu terminas cul sec ton verre avant de le déposer sur le bar et tu passas à côté d'elle. Amuse toi bien Calvini ajoutes-tu avant de rejoindre finalement tes amies qui étaient un peu long. Finalement, tu repris ta place parmi les femmes et les hommes de ton entourages et tu en profitas pour sourire à la jeune femme qui se de rien était. Tu te sentais mieux en fait, t'avoir libérer, tu avais pu parler et lâcher ce que tu avais sur le cul sans aucun regret et maintenant, tu pouvais draguer comme bon te semblait, sans aucun remords.

@Gabriella D. Calvini
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   Noah & Gabriella
   That the game begins

L
a soirée ne ressemblait pas du tout à celle que j'avais prévu. Moi qui pensais m'amuser, danser, séduire et boire, je me retrouvais simplement face à mon ex. On se lâchait des horreurs l'un à l'autre, en jouant jusqu'au moment où on saura lequel de nous deux dirait la plus grosse saloperie. Je ne pouvais pas ne pas lui répondre, le laisser me rabaisser et faire comme si de rien était. Alors oui, je lui répondais, j'étais parfois méchante dans mes propos. Et il est vrai que certaines paroles pouvaient dépasser ma pensée mais à ce moment précis, je m'en fichais complètement. Mon verre à la main, je ne le quittais pas des yeux et je l'écoutais attentivement. À présent, c'est lui qui prend la parole. Et il ne la quitte pas. Sans avoir le temps de répondre à ses différentes remarques, je l'écoutais débiter. Il avait l'air de lâcher son venin mais au final, je ne pouvais pas lui en vouloir. Il avait probablement ça sur le cœur depuis des années. Mais je dois avouer qu'à certains de ses mots, j'avais la sensation de me prendre un coup dans le ventre. L'entendre dire que je ne pouvais pas être heureuse ici parce-que 'je n'ai rien'. Me qualifier de traînée. Qu'il me dise que je n'ai pas de coeur et que je suis inhumaine ne me choque pas. Il a même raison, je pense. Et puis, lorsqu'il évoque l'avenir que nous aurions pu avoir et me dire qu'à cette heure, nous devrions être mariés et heureux. Putain, je n'avais jamais pensé de cette manière. Enfin si, je me l'étais déjà dit mais sans réellement le réaliser. Alors mon verre à la main,
je l'écoutais sans essayer de le couper dans son discours. En fait, je crois que je n'avais rien à répondre. Il pensait ça de moi et c'était légitime. Et je pense que je lui ai suffisamment fait de mal par le passé pour en rajouter une couche. Une chose est certaine : je suis rhabillée pour l'hiver comme on dit. Il finissait son verre, le posa sur le comptoir et passa à côté de moi en me souhaitant de bien m'amuser. Je lui souris alors bêtement comme pour le féliciter de ses dernières paroles et je ne pris même pas la peine de lui répondre quoi que ce soit. Dans le fond, je crois que je ne réalise pas l'échange que nous venons d'avoir. Jamais on ne m'a parlé comme ça. Pas même mes parents. Mais je crois qu'il n'y a que Noah qui pouvait être capable de me parler de cette façon.
Et il n'y a que lui pour être capable de me toucher à ce point.
Je finis alors à mon tour mon verre cul sec, que je venais poser sur le comptoir. Je lui jetais un dernier regard noir, avant de prendre la destination d'un autre endroit...
WILDBIRD
 


@Noah M. Ferrari Ça s'appelle rester bouche bée ahah.
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