(Nobriella) That the game begins

Soirée qui commence bien. Tu es en compagnie de jeunes femmes, d'hommes aussi pour rigoler et boire mais surtout de jeunes femmes que tu sais que tu vas ramener. Tu as enfilé cette chemise bleue ciel avec ton bermuda blanc. Un côté vacancier en chasse dirons-nous mais tu es plus intelligent que ça. Tes lunettes de soleil sur le crâne, tu observes la soirée. C'est dans ce bar que tu aurais pu trouver n'importe quoi ou n'importe qui mais tu es bien heureux d'être en compagnie d'amis, de personnes que tu connais. La plus part des gens sont des personnes qui viennent de Boston et le reste, tu parles avec eux et tu arrives à bien les comprendre. Une chance pour toi d'ailleurs quand ton regard fixe le barman. Tu n'as plus rien dans ton verre et la jeune brune à tes côtés est sympa, il ne faut pas dire le contraire mais le cerveau lui manque. Tu profites d'un moment pour t'éclipser alors que tu commandes du whisky, leur meilleur. Tu n'aimes pas les autres alcool, tu n'aimes encore moins l'alcool bon marché et ici dans ce bar c'est tout le contraire. Ils servent un très bon bourbon et un excellent cocktail à base de vodka. Toi qui ne boit jamais de vodka, tu es servi. Tu en profites pour t'adosser au bar pour regarder la salle dans son ensemble, dos au barman qui prépare ta commande alors que tes yeux s'arrêtent sur cette blonde. Ses longues jambes, ta façon de marcher, de bouger ses cheveux, tu la reconnaitrais en mile. Tu avales difficilement ta salive avant de souffler doucement pour prendre ton verre, mais finalement tu sers les dents. Tu t'avances, une main dans la poche, l'autre ayant ton verre pour boire une légère gorgée alcoolisée, tu souffles en moyen le moins que rien à ses côtés. Gaby non quand même. Pas lui, tu m'as dis que tu préférais de loin les courbes féminines aux magnifiques pénis laotien ou bostonien. D'ailleurs, elle n'aime pas les blonds, tu devrais dégager avant que tu repartes d'ici avec moins de dents que tu n'as déjà et un magnifique tatouage non permanent au niveau de l'oeil mon pauvre mec. Après c'est toi qui voit ! Lâches-tu alors que le mec décide enfin de partir. Tu souffles doucement, tournant la tête vers ton ex-fiancé qui a l'air en colère. Fais pas cette tête, je t'ai évité de t'ennuyer au lit ce soir, soit heureuse ! et voilà, tu étais repartit, bouche contre ton verre, pour accumuler une nouvelle gorgée de cette boisson dont tu étais devenu accro.

@Gabriella D. Calvini

(Invité)

Noah & Gabriella
That the game begins

C

e soir, j'ai décidé de m'amuser. Enfin, c'est exactement ce que je fais depuis l'été mais disons que ce soir, ne fera pas exception. J'ai passé la journée avec des copines, à profiter du soleil et à papoter de tout et de rien. Ce soir, elles ont prévues de rester tranquille,à siroter un cocktail. Mais moi, j'avais d'autres plans. J'avais entendu parler d'un petit bar très branché, dans lequel mes camarades d'Harvard se rendent. Qui dit bar, dit alcool. Dit mâle.
Dit amusement. Je suis célibataire, j'ai réussi mon année universitaire. Je peux bien me permettre quelques amusements. Vêtue d'un débardeur bleu, inséré dans un short en jean taille haute, mes cheveux étaient coiffés d'une simple queue de cheval. Simple et efficace. Ma petite paire de tennis aux pieds, j'étais prête pour danser -et draguer- jusqu'au bout de la nuit.
À peine entré dans l'établissement, j'observais les alentours. Qui serait ma proie ce soir ? Là-haut,
je vois un jeune homme, plutôt mignon et surtout : seul. Avec lui, je sais d'avance que je me ferais offrir un verre. Et c'est la première étape de la soirée. Nous commencions donc une conversation,
où je rirais entre deux phrases. Mais ma première impression était confirmée : ce mec était plus sympa. Enfin... Tout se passait bien jusqu'à ce que j'entende une voix familière. Je me retourne alors et là, quoi voilà. Noah Ferrari. Alors celui-ci, il me suivra partout. Jusqu'à la fin de ma vie, je l'aurais sur le dos. Je suis plutôt méchante mais il le cherchait bien. Qu'on partage les mêmes vacances ? D'accord. Le même bar ? Je peux limite l'accepter. Mais pourquoi se mêle-t-il de MA conversation ? Plutôt surprise, je l'écoutais. Le pire, c'est qu'il ne me parle pas à moi. Mais au gars avec qui je faisais connaissance. Et alors que ce dernier fuit -ce qui semble normal-, voilà que ce même Noah me demande presque de le remercier avant de faire demi-tour. Donc le mec, me nique mon coup et je dois faire comme si de rien n'était. C'est une blague ?
Mon verre de rhum à la main, je finis par réaliser ce qu'il venait de se passer. Je marche alors,
attrapant son bras pour le freiner. Je me positionne alors face à lui. « Et qu'est-ce que tu en sais, d'abord ? J'aime bien les blonds. Même les crânes rasés. Et aussi les pénis laotiens et bostoniens ! Plus qu'avant, même ! C'est quoi ton délire ? »
Je riais nerveusement, mon verre de rhum à la main. Je regardais autour de nous avant de reposer mes yeux sur lui. « Est-ce que moi je choisis la paire de seins que tu vas plotter ce soir ? Non !»

WILDBIRD

@Noah M. Ferrari

Code RP:

(Invité)

Et hop, comment briser en deux secondes, le meilleur coup de ta vie. Enfin quand même pas non plus, mais tu es heureux de le voir faire demi tour parc qu'un côté, tu l'aurais tellement mal pris. Tu commences à marcher vers ton groupe d'amis que tu as lâché pour sentir ton bras se faire retenir. Un regard sur la jeune femme, alors qu'elle te parle, tu terminas ton verre d'une traite. Tu souris finalement en coin pour ajouter. Ah mais tu fais bien ce que tu veux Calvini, bien au contraire. Prends ton pied avec qui tu veux, fait toi plaisir, si tu aimes tellement ça dis-tu alors que tu t'apprêtes à repartir, tu t'arrêtes légèrement, tournant la tête vers elle. Tu veux choisir avec qui je coucherai ce soir ? Soit sérieusement une seconde Gaby, tu ne choisiras personne, tout simplement parce que tu les penses trop bien pour moi. Mais finalement, tu souffles pour tendre ton bras et y déposer ton verre au bar qui n'était qu'à un mètre à peine de vous. Tu indiquas la même chose au barman, qui connaissait tes gouts à force de venir mais quand tu rattrapas ton verre, tu la regardas de nouveau. Alors ? Comment tu vas ? Je parle pas de ta vie sexuelle épanouie, je parle de toi et de ta personne, bien sur. Demandes-tu parce qu'après tout, tu l'as aimé cette femme, tu as été son fiancé, tu as même été plus, avant que tout ne s'arrête brusquement ...

@Gabriella D. Calvini

(Invité)

Noah & Gabriella
That the games begins

J

'ai toujours su que la rupture avait été douloureuse pour Noah.
Le savoir malheureux ne m'avait pas fait plaisir mais il y a un moment, où je me suis dit que je devais penser à moi. Cette bombe, cette blessure avait réveillé en moi une envie de vivre. VIVRE. Et je n'avais pas pu faire autrement. Rester avec lui, lui mentir et me rendre malheureuse ? Impossible. Alors depuis tout ce temps, j'avais refait ma vie sans réellement me remettre en couple. Mais je sais pourtant que, même en adressant juste la parole à un homme, cela met en colère Noah. Sans trop savoir pourquoi, ni en sachant ce qu'il peut ressentir pour moi à présent.
Mais je ne peux pas arrêter de vivre pour lui. Il faut savoir tourner la page. Noah venait de ruiner mon coup de ce soir. Il en avait l'air satisfait et moi, j'étais hors de moi. Je ne pouvais pas le laisser faire sans rien dire. C'est pour cette raison que je le retiens pour lui dire quelques mots. Auquel il répond de son arrogance naturelle. « C'est ce que je comptais faire, si tu n'avais pas remarqué. » Et oui, ce soir, je comptais prendre mon pied. Mais je ne perds pas espoir, la soirée commence à peine. Je trouverais bien une autre proie. « Si tu savais ce que je pense d'elles. Pas grand chose, si ce n'est qu'elles ont des bonnes têtes de pouffiasses. » Je le vis poser son verre vide sur le comptoir avant d'en commander un nouveau. Visiblement, le serveur et lui se comprennent en un regard. En l'écoutant à nouveau, je bus une gorgée de mon verre. Après tout, je n'étais pas pressée. Je ne le quittais pas des yeux, toujours en colère de son geste. « Ma personne allait très bien jusqu'à ce que tu mettes ton nom dans mes affaires. Mais bizarrement, ça ne m'étonne même pas. Par contre, je ne sais pas si je dois te retourner la question. Il n'est même pas minuit et tu pues déjà l'alcool. » Mon verre revint à mes lèvres pour en avaler deux gorgées.

@Noah M. Ferrari

WILDBIRD

(Invité)

Ce moment où elle est partie, t'as brisé le coeur. Ce jour où elle t'a dit qu'elle voulait vivre sa vie, sans toi, t'as achevé. Tu aurais pu te suicider comme ça, sans jamais renoncer à elle, mais Asia t'as pris sous ses ailes, Asia t'as aidé, Asia a été celle qui t'a redonné espoir et foi pour les femmes et leur coeur. Tu n'aurais jamais cru que ce temps de reconstruction soit aussi dur mais aujourd'hui, aujourd'hui, ça va mieux. Beaucoup mieux. Tu n'es plus le parfait jeune homme qui tout le monde pense. Non. Tu es redevenu le connard de tes seize ans. Mais ça, personne ne pourra te l'enlever. Et bien sur, depuis un an, tu la fais, tu lui casses sa vie, comme elle a brisé ta tienne. Sa remarque, tu souris en coin, avant d'ajouter. Oups alors Oui tu es un chieur, un gros chieur de première et tu es bien heureux de le faire. Mais voilà qu'on parle des jeunes femmes qui s'occupent de toi, qui te font du bien entre parenthèses mais qui s'échappe au lever du jour. Tu hoches la tête doucement. Tête de pouffiasses ? Quand même Gaby, tu m'as habitué à mieux niveau vulgarité quand même. Tu abuses, franchement Mais tu la cherches, elle te cherche aussi. Surtout quand tu déposes ton verre sur le bar pour en avoir un autre. T'es d'humeur à t'amuser, autour s'amuser avec de l'alcool dans le sang non ? Maintenant, tu joues dans la cour des grands, tu essayes de t'intéresser à elle alors que finalement, tu veux juste savoir, sincèrement, comme elle va. Parce que c'est important pour toi. Alors si tu vas bien c'est parfait. Attends dans tes affaires ? Ce petit branleur, puceau jusqu'au os ? Non. Gaby. Quand même. Tu n'allais pas coucher avec lui ? A la vue d'une paire de seins, il serait parti en courant, te laissant en plan sur le lit. Je viens de te sauver la vie. Mais la fin de sa phrase te reste dans la gorgée. Elle commence à t'attaquer, faut que tu restes calme. Je vais toujours bien, peu importe la senteur ou le nombre de milligrammes d'alcool que j'ai dans le corps. Mais, cela ne t'intéresse plus je te rappelle, tu n'es plus à moi. Merde, c'était peut-être trop violent non ? Tu prends une gorgée de ton verre, une légère pour regarder regarder ce qu'elle a dans sa main. Un verre de quoi ? Tu penches la tête, ne voulant pas non plus la faire chier d'avantage, quoi que c'est plus fort que toi. Et toi, tu tournes à quoi dis moi donc, vu qu'on est dans les confessions alcooliques ma chère Calvini demandes-tu d'un ton tout naturel et plus posé que le précédent.

@Gabriella D. Calvini

(Invité)

Noah & Gabriella
That the game begins

J

e n'avais pas prévu de croiser Noah ce soir. Oui, je savais que lui aussi était au Summer Camp et le bar dans lequel je me trouvé faisait partie des plus réputés pour les jeunes. Mais de là à tomber nez-à-nez avec lui et à ce qu'il commence une conversation. Ou devrions-nous plutôt dire : commencer la provocation. Il cherchait clairement les problèmes et même si je ne voulais pas entrer dans son jeu, j'avais dû mal à garder mon sang-froid. Je ne pris même pas la peine de répondre à son "Oups alors". Je ne comprenais même pas comment il arrivait encore à venir me pourrir pour casser un coup. On a quel âge ? Je le trouve ridicule. Mes propos sont violents alors que j'ai tout de même été très amoureuse de lui. Et passer de l'amour à la haine,
c'est un sentiment compliqué. Et réciproque. Je l'ai habitué à mieux niveau vulgarité ? « Comme quoi, on change tous un jour, non ? » On se croirait dans une cour de récréation et si des gens nous entendait, nous aurions l'air bien cons. Mais il me cherche, il me trouve. « Et si j'avais eu envie de coucher avec lui ? Je peux encore faire ce que je veux, non. Tu veux peut-être que je te remercie aussi ? Donc si je vais parler à ce mec là-haut : beau gosse, séducteur et probablement plus expérimenté que la plupart des gars ici : je peux y aller ? Ou tu vas aussi faire ton discours d'abruti ? ». J'essayais tant bien de rester calme et polie mais s'il continuait, j'en aurais beaucoup de difficultés. Et c'est justement à ce moment que moi aussi, j'essayais d'attaquer. Je l'attaquais sur les verres d'alcool qu'il enchaînait. Et Noah terminait par un "tu n'es plus à moi". Je savais que je lui avais fait beaucoup de mal et je reçus ces derniers mots violemment. Pourtant, je ne devais rien montrer. « Si je ne dois pas m'intéresser à toi parce-que 'je ne suis plus à toi' : pourquoi me demandes-tu comment va ma petite personne ? Cette notion d'appartenance marche dans les deux sens, non ? ». Et alors que j'avale une nouvelle gorgée de mon rhum, Noah se penche pour remarquer le contenu de mon verre. Et la provocation continue. Cette soirée tourne au vinaigre et est loin de ressembler à ce que j'avais espérer. « Sauf que moi, je n'en suis pas à mon troisième ou quatrième verre, Ferrari. N'oublies pas que les femmes trouvent ça moche un mec saoul. Tu devrais le savoir. » J'étais énervée, même exaspérée par cette conversation. J'aimerais qu'elle tourne court mais je ne pouvais pas le laisser dire sans répondre. Ce n'était pas dans mon caractère. Je mis mon nez dans mon verre pour le finir. Je montre alors ce verre vide à Noah avant de le poser sur le comptoir et d'en commander un nouveau. « Peut-être que d'ici la fin de la soirée, on sera dans le même état. À ce moment-là, nos conversations tiendront peut-être la route. Quoi que... Je n'en suis même pas sûre. »

@Noah M. Ferrari

WILDBIRD

(Invité)

Qui aurait cru que cette soirée soit placé sous le signe de l'envie de faire chier et de destruction de coup. Bien drôle et assez détaché, tu la regardas commençant à voir son petit côté énervé ressortir. Elle était tellement canon quand elle faisait sa nana énervée que tu réprimandas un sourire à sa remarque. C'est ce que j'allais dire, tu m'enleves les mots de la bouche. Changer était devenu habituelle. Tu avais changé en négatif, c'était sur et certain mais elle ? Elle avait l'air normal, simple et toujours la même. Peut-être une façade ? Peut-être pire même. Tu réfléchis avant de regarder l'homme plus loin. Ce n'était pas son genre, il avait l'air d'un kaid sortit tout droit d'un film d'action dégueulasse. Toi qui pensait qu'elle toucherait plus haut niveau sociabilité. Tu avais tout faux, finalement, tu ne la connaissais pas tant que ça. Tu humectas tes lèvres rapidement Oui, remercie moi, ça serait la moindre des choses. Et puis, c'est pas comme si, tu pouvais te taper qui tu voulais en un claquement de doigt non ? , mais aussitôt tu ajoutas Et le mec a l'air d'une grosse tapette, et encore, je suis bien gentil Tu la fais chier comme c'est pas permit, tu lui brises la soirée, tant pis, t'es fatigué de devoir être le fils brave et parfait que ton père veut que tu sois, tu as décidé de te lâcher cet été et c'est bien ce que tu comptes faire ce soir. Et elle recommence avec ses manières, tu serres légèrement les dents avant de sourire doucement Ce sont des simples paroles de gentillesse. Bien que je m'en fou éperdument de comment tu vas Et encore envoyer. Tu devrais peut-être te calmer à force non ? Tu es vraiment un petit con quand tu t'y mets c'est horrible. Sauf que tu es obligé de continuer. Ta tête se penche, ajoutant presque naturellement J'en suis qu'à mon troisième verre et les hommes ont horreur que les femmes commentent leur état d'alcoolémie. Tu devrais le savoir Calvini. La guerre est déclarée non ? Tu commences juste à t'amuser et elle vide son verre. Tu souris en coin. Peut-être effectivement, mais je tiens beaucoup mieux l'alcool que toi, si mes souvenirs sont bons, donc je risque d'être lucide et toi non. Donc fait attention quand même, c'est toi qui risque de briser tes propres coups et hop encore un pique, t'abuse, t'es infernal aussi... Mais c'est donnant donnant, tu es taquin, tout le temps, avec tout le monde alors bon ..

(Invité)

Noah & Gabriella
That the game begins

J

'avais toujours su qu'à l'issue de notre rupture, nos relations seraient compliquées. On ne peut pas être amis, ni s'adresser correctement la parole et ça peut être compréhensible. Moi, j'étais prête à l'ignorer mais lui, visiblement, était surtout prêt à se venger et à me pourrir la vie d'une certaine façon. Quand Noah confirma qu'on changeait tous un jour, je ne répondis rien. Dans le fond, je sais qu'il a changé et qu'il est redevenu celui qu'il était avant qu'on ne soit en couple. Et ce n'était pas une bonne chose. Pourtant, je ne pouvais rien y faire. C'était même de ma faute. On en revenait alors sur le sujet des mecs présents dans cette soirée. Noah me disait en effet que je pourrais le remercier de m'éviter des boulets. Il insistait sur le fait que je pouvais me taper qui je voulais en claquant simplement des doigts. Et je trouvais ça dingue qu'il puisse parler comme ça de moi. Mais dans le fond, je n'étais pas surprise. Et ce mec là-haut, c'était aussi une tapette disait-il. À ses dernières paroles, je riais nerveusement avant de lui répondre.
« Donc si je comprends bien, ici, à part toi, il n'y a pas de bon coup, c'est ça ? Tous les mecs sont des mauvais coups, sauf toi, c'est ça ? J'ai pas de bol dis donc, il fallait que ça tombe sur mon ex ! ». Et c'est alors qu'il me confiait qu'il n'avait que des paroles de gentillesse mais qu'au fond, il n'en avait rien à faire de comment j'allais. J'avais dû mal à y croire mais je m'en fichais. « Alors ne me demande pas comment je vais. Je ne te demande pas d'être gentil, Noah ». Alors que je le taclais sur son alcoolémie, Noah enchaîna sur le même sujet. « Je ne traîne habituellement pas avec des alcooliques Ferrari. Je ne peux pas le savoir ». Ce jeu était dangereux et notre relation en serait encore différente à l'issue de la soirée. Elle serait encore pire. Je pris en main le verre plein de rhum que je venais de commander. Je reposais mes yeux sur mon ex-fiancé qui me taclait sur mon manque de résistance à l'alcool. « Estime toi heureux, alors. Si tu es lucide et moi pas, tu récolteras peut-être ce que tu veux de moi. Ah non ! Même complètement saoul, je ne referais pas les erreurs du passé ». Paf. Ça, c'est très méchant. Et je n'avais pas réfléchi avant de parler. Mais il le mérite.

WILDBIRD

@Noah M. Ferrari

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Face à elle, tu souris doucement alors qu'elle te pose la remarque et voilà c'est repartit. Tu hausses les épaules légèrement. Ca s'est toi qui le dit, pas moi. Tu avoues donc que je suis un bon coup. J'ai envie de te retenir que ça en fait. Et je vais pas faire d'effort pour retenir le reste. Et oui, ça marche comme ça avec toi et tu souris plutôt heureux de la chose. Mais avec honnêteté, tu lui avoues la chose et elle a l'air en colère Parler de banalités c'est pas moi désolé. La gentillesse est un point important chez un homme non ? Demandes-tu. Vous vous faites la guerre, et voilà que c'est partit. Encore une fois, elle est infernale et toi aussi en fait .. Faudrait commencer alors, ça t'enlevera le balais que tu as dans le cul alors Et hop, une nouvelle gorgée de ta boisson alcoolisée. Alors qu'elle commence à attaquer sur votre relation. Tu serres les dents. Tu te calmes, il faut que tu te calmes, meme si il est vrai que tu as cherché la merde, mais là, c'est elle, qui la continue. Tu humectes tes lèvres pour essayer de continuer de te calmer, mais ça ne marche pas, tu sors finalement d'un coup, sans réfléchir ! Il est vrai que niveau erreur tu en as fait pas mal, comme j'en ai fais pas mal, notamment celle de te demander en mariage, pire erreur de ma vie alors si on part de ton principe. Elle veut jouer, tu vas jouer. Oui, t'es une pute, mais t'en fou royalement.

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Noah & Gabriella
That the game begins

J

e savais pertinemment que je rentrerais seule ce soir. Je n'avais plus la volonté de séduire. Ou alors juste pour faire chier Noah. Mais j'avais tellement les nerfs que pour l'instant, j'en serais incapable. Il avait réussit son coup, et il pouvait en être fière. Le truc, c'est que ça fait presque quatre années que nous sommes séparés. Et je ne comprends pas qu'il n'est toujours pas digérer la pilule. Même s'il est vrai que moi non plus, je ne me suis pas réellement remis en couple depuis cette rupture. J'avais beau faire preuve de méchanceté ce soir,
Noah restait l'unique homme que j'ai aimé et pour certaines raisons, j'ai tout brisé. J'espère réellement ne jamais le regretter et dans le pire des cas, ce serait bien fait pour moi. En attendant,
à ce moment précis, l'heure n'était pas au regret. Loin de là. Les propos du jeune homme ne faisait que confirmer la raison pour laquelle je l'avais quitté. Nous en venions quand même à parler de bon coup ou de mauvais coup. C'était une discussion des plus incroyables. « Si tu étais un mauvais coup, je ne serais pas resté aussi longtemps avec toi. » Je me faisais passer pour la fille qui ne s'arrêtait qu'au sexe alors que c'était faux. Avec Noah, ça avait été beaucoup plus fort et sincère qu'une simple partie de jambes en l'air. Mon verre à la main, je bus une nouvelle gorgée. Le rhum était bon, pur et fort. Tout ce dont j'avais besoin à cet instant. « La gentillesse, oui. Mais quand elle est honnête. » Je me demandais combien de temps cette gue-guerre allait encore durer. Lorsqu'il fit une remarque sur le soi-disant balai que j'ai dans le cul,
je ris. Un rire spontané, non réfléchi et certainement nerveux. « Faudra que tu m'expliques à quel moment j'ai un balai dans le cul, mon cher Ferrari. Parce-que quand tu commences à parler comme ça, c'est que tu es en manque d'argument. Mais c'est pas grave, hein. » Jusqu'à présent, c'était des piques uniquement pour faire chier l'autre et ça ne m'atteignait pas. Mais à présent, on touche clairement à notre relation. Et ces mots vont probablement faire plus de dégâts que les autres. Cependant, c'est moi qui était entré sur ce terrain, je ne peux pas le nier. Je parlais d'erreur, il en fait de même évoquer sa demande en mariage. Mon cœur battait plus vite à présent, sûrement dû à l'énervement qui montait en moi depuis quelques minutes à présent. Je ne le quittais pas des yeux et je comptais bien lui faire mal et continuer dans cette lignée. C'est idiot mais ça doit sortir. Pour lui, comme pour moi « Exactement Noah. Ça, c'est ton erreur. La mienne est d'avoir accepté. Heureusement, j'ai pu faire marche arrière avant qu'il ne soit trop tard. » Lui répondis-je en souriant. Un sourire satisfait et provocateur. Elle est là, la différence : l'appeler Ferrari se fait dans un contexte de provocation, où on ne se respecte plus. Noah, c'est pour la vérité, le concret. Sans le quitter des yeux j'amenais une nouvelle fois mon verre à mes lèvres. Et après en avoir avalé une gorgée, je repris. « Du coup, c'était quoi le but de venir m'accoster et de foutre la merde ? Parce-que je comprends pas que tu m'accordes encore de l'intérêt depuis ces années. À un moment, faut tourner la page, faut avaler la pilule. » Je m'arrêtais un court instant avant de reprendre aussitôt. « Et si tu pouvais dire la même chose à ton harem, ça me ferait beaucoup de bien. Et là, je trouverais une raison de te remercier. » En parlant de harem, j'évoquais bien entendu sa sœur, son meilleur ami et tous les autres qui ressentent le besoin de le défendre.

WILDBIRD

@Noah M. Ferrari

(Invité)

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