(Toah) Evil plan in the kitchen

Ses remarques, ses paroles, son ton, tout te passe au dessus de la tête, tu t'en fou, tu t'en ai toujours foutu de tout. Tout simplement parce que le jour où tu as posé les yeux sur elle, tu savais qu'elle serait difficile à avoir. Ton défi, ton petit défi de l'année. Mais voilà, depuis deux ans, tu galères un peu, pour essayer de l'avoir. Vous parlez simplement, sans réellement avoir affaire tous les deux, vous êtes simplement que tous les soirs et tu tentes le tout pour le tout. Après tout, qu'est que tu risques, un rateau ? Un de plus ? Tu dois à être rendu à une dizaine maintenant, tu n'es plus à ça prêt, pas avec elle. Tu n'as jamais eu de mal à avoir une fille dans ton lit, bien au contraire, mais elle, elle s'est différent, c'est plus compliqué, plus difficile. Mais tu aimes les défis. Tu souris doucement alors que tu passas ta main dans tes cheveux. Ca pourrait être pas mal pour tes prochains rapports. Surtout qu'avec ce que tu manges, ça va être compliqué tu la retacles, t'es un vrai connard en fait. Mais finalement, tu humectes tes lèvres surtout à son remarque sur la perfection. Oui très compliqué Ca, tu en es sur, tu pensais l'avoir trouvé avec Gabriella, mais manque de bol pour toi, c'était tout le contraire. Finalement, te voilà entre ses jambes après d'être mis debout à l'observer. Tu en profitas pour piquer une phrase, même si sa fraise était délicieux, c'était sa fraise. Est-ce que tu me peux me le redire correctement ? J'ai pas bien entendu, avec ta petite voix de petite lycée en chaleur, j'ai eu du mal à comprendre à qui cela appartenait. lâches-tu finalement alors que tu le fais exprès, tu la cherches. Mais tu ne l'as quitte pas des yeux, tu as vu l'observation qu'elle avait quand tu as croqué dans son fruit, tu as vu l'effet que tu lui faisais quand tu as passé ta langue sur tes lèvres, tu as tout vu et même sa petite remarque ne te fait rien du tout. J'ai cru voir tes jambes s'écartées, je ne refuse jamais un écartement de cuisses, tu sais. Surtout dans une cuisine, avec un bol de fruits et une jolie fille sur le plan de travail. dis-tu avant de prendre un fruit et de lui déposer dans la bouche.

Nouvelle remarque concernant tes rapports sexuels que tu ignorais, ne préférant tout simplement pas en rajouter sachant d'ors et déjà que tu n'allais faire que d'ajouter de l'huile sur le feu. Sourire qui ne s'effaçait pas de ton visage à sa réponse, au moins un point sur lequel vous étiez sur la même longueur d'onde, perfection qui était réellement difficile à trouver, c'est d'ailleurs l'une des raisons qui ont fait que tu n'ais jamais réellement eu de relations sérieuses, aucune personne n'étant assez bien pour toi, perte de temps que tu préférais donc t'éviter. Son corps qu'il venait placer entre tes jambes sans que tu puisses avoir le temps de réagir. Rapprochement qui te perturbais beaucoup plus qu'il ne devrait, comme déstabilisée de l'avoir si proche de toi. Ton regard qui ne pouvait s'empêcher de détailler cette fraise dans laquelle il croquait, de dessiner du regard ses lèvres si parfaites. Ton comportement que tu n'arrivais pas à comprendre pour le coup essayant de reprendre tes esprits, faiblesse que tu ne pouvais pas ou plutôt ne devais pas avoir devant lui. « Je t'emmerde Noah. » Ton beaucoup plus ferme qu'auparavant alors que tu le fusillais du regard, tes nerfs vis-à-vis de lui qui reprenaient le dessus après ses propos, c'était fou comme il pouvait casser le moindre moment paisible. Faux sourire que tu lui adressais après son explication sur le pourquoi du comment tes jambes se trouvaient autour de lui, fruit que tu prenais en bouche d'une façon des plus sensuelles possible, lèvre que tu venais mordre légèrement par la suite ton regard ne quittant pas le sien. « Merci, c'est cool de savoir que tu as compris qui domine ici. » Sourire amusée qui s'affichait sur ton visage que tu n'arrivais pas à réprimander. Bol de fruits que tu plaçais sur ses mains fermant pas la même occasion tes jambes pour te mettre debout face à lui. « T'as gagné, garde ce foutu bol j'ai plus faim. »  

Face à toi cette jeune femme qui essaye de t'insulter, tu souris simplement à ses paroles. Des paroles qui viennent du fond du coeur, tu le sais, cela te fait sourire et même rire. Bien sur, tu ne laisses rien paraître du tout. Mais voilà, l'avoir au niveau de tes hanches te donnent l'impression de la dominer, si ce n'est plus, d'ailleurs, tu souris, continuellement, tu ne peux pas t'empêcher de sourire face aux paroles de la jeune femme. Le jeu c'est installé entre vous et tu ne peux pas t'empêcher d'essayer de la taquiner un maximum. Non, jai pas bien compris qui dominait. En tout cas, ce n'est pas toi et ta petite voix de petit fille hein ! ajoutes-tu en souriant encore. Un sourire compliqué à te faire enlever surtout quand elle saute du plan de travail pour atterrir sur ses jambes. Tu te rends bien vite compte de la situation. Elle est collée à toi, face à elle, légèrement plus petite que toi, et bien sur, la situation est très gênante pour elle ou pour toi, va savoir. Tu déposes le bol sur l’îlot, derrière elle. T'as plus faim ou tu cherches un autre appétit ? Alors toi, direct et toute discrétion comme toujours en fait. Tu lui remets une mèche de cheveux qui traînait sur son visage alors que tu la sens tendue. Le bol derrière elle, que tu as déposé tout à l'heure, tu fais exprès encore, de t'approcher d'elle pour prendre un morceau de fruits, te mettant bien contre elle avant de te redresser correctement Tu vas te recoucher du coup ? Me laisser tout seul ici ? Demandes-tu en croquant dans le fruit.

Son sourire qui pouvait te mettre à la fois hors de toi et au même moment te faire craquer, chose que tu n'avouerais certainement jamais, ça lui ferait trop plaisir, son ego déjà assez surdimensionné pour en rajouter une couche surtout venant de ta part, tu savais très bien que c'était ce qu'il voulait entendre depuis ces deux ans, qu'il se sache désirer, qu'il soit certain de l'effet qu'il pouvait avoir sur toi. « Et c'est sûrement pas toi et ta foutue insolence. » Sourire qui venait se dessiner sur tes lèvres à ton tour, sourire emplie d'hypocrisie comme pour répondre au sien qui ne voulait pas quitter son visage, bien au contraire il s'accentuait à chacune de tes remarques.Bol que tu lui remettais entre les mains alors que tu te levais pour être face à lui, regrettant à la seconde même où tu comprenais que tu te retrouvais encore plus proche de lui et surtout que tu avais perdu ta position dominante, mais quelle conne tu pouvais bien être. « J'ai plus faim j'ai dit ! » Yeux que tu levais au ciel laissant un léger soupir s'échapper de tes lèvres complètement prise au piège. Sa main que tu poussais instinctivement alors qu'il essayait de replacer une mèche de tes cheveux. Son corps qui s'approchait toujours un peu plus du tien alors qu'il reprenait un fruit, ton regard qui ne le quittait pas, tournure de cette soirée dont tu n'étais pas certaine, soirée différente des autres, habituellement vous ne vous retrouviez jamais aussi seuls. « Je t'ai pas assez fait chier comme ça donc non je reste. » Tes yeux qui ne pouvaient s'empêcher de dériver sur ses lèvres et ce fruit dans lequel il croquait. « Arrête ça. »

Et ce n'est surement pas toi et ta petite gueule de princesse d'ange non plus ce petit visage d'ange que tu as longtemps observé et aimé à observer mais c'est autre chose. Ton regard se bloque sur ses yeux, qui eux, bloquent sur tes lèvres et tu en fous, tu adores jouer avec elle, c'est un défi tous les jours, un défi constant qui finalement finira par te bruler les ailes ou autres choses mais pas aujourd'hui. Quand tu la vois se lever, maintenant coller à toi, tu joues encore avec elle, avant de sourire doucement à sa réponse. J'avais bien compris que ton appétit est repu. D'ailleurs c'est tout à ton honneur. et c'est repartit. Tu la cherches, tu l'emmerdes, tu lui touches légèrement les cheveux alors qu'elle envoie balader ta main, et finalement tu souris en coin à sa remarque. Sérieux ? Génial alors ! On va pouvoir s'éclater ensemble. Quand tu viens croquer dans ton fruit, mâchant légèrement, tu lèves légèrement les sourcils avant d'humectes tes lèvres, une fois ta bouche vidée. Arrêter quoi ? C'est plutôt à moi de te demander d'arreter de mater mes lèvres comme si tu allais les dévorer. Je te fais autant d'effet que ça Magyar ? Je croyais que personne n'avait d'effet sur toi, c'est toi qui donne l'effet ? Il t'en faut peu pour être aussi déstabilisé dis donc tu ne l'avais pas quitté des yeux alors que tu terminas ton fruit. Tes deux mains sur chaque côté du plan de travail, elle entre. Tu l'observas. Elle ne pouvait pas bouger, elle avait décidé de sa place après tout et toi, tu t'amusais avec elle. Encore.

« Je préfère de loin être une princesse à la gueule d'ange qu'un emmerdeur. » Sourire en coin qui venait appuyer l'ironie de tes propos. Piège qui se refermait sur toi au moment même où tu avais eu l'idée stupide de descendre de ce plan de travail pour être face à lui. Position qui changeait du tout au tout te retrouvant alors inconsciemment à sa merci. Yeux que tu plissais légèrement à sa remarque sur ton appétit, poussant sans même réfléchir sa main qui venait toucher tes cheveux, non c'était mort, il n'était pas question qu'il s'approche de toi, pas dans la situation dans laquelle vous étiez à présent, tacticité qui n'avait pas lieu d'être si tu souhaitais rester de marbre face à lui. « On peut jouer au Monopoly aussi tant que t'y es vu que tu trouves ça tellement amusant. » Ce fruit qu'il mangeait d'une façon particulière, il le faisait exprès, enfin qui pouvait manger un fruit de façon si... si particulière le plus naturellement possible et surtout sans arrière pensée, et c'était bien ça le problème, ton regard que tu n'arrivais pas à détacher de ses lèvres, de cette langue qu'il passait par moment dessus, et au final tu ne savais pas si ça t'insupportais de voir qu'il employait tous les moyens possibles pour te faire craquer ou s'il te perturbait réellement, du moins beaucoup plus que tu ne le pensais. « Crois moi j'ai aucunement envie de dévorer quoi que ce soit qui ai un rapport avec toi donc arrête ça, arrête ton petit jeu parce que t'arriveras à rien, t'es juste en train de perdre de l'énergie pour rien et comme tu l'as si bien dit c'est moi qui fait de l'effet aux autres pas le contraire ! » Ton regard qui venait se perdre à nouveau dans cet océan essayant du mieux que tu pouvais de ne laisser rien paraître. « C'est pas ce soir que les règles du jeu changeront Ferrari. » Lèvre inférieur que tu venais mordre alors qu'un léger sourire en coin s'affichait sur ton visage, le fixant toujours sans aucune gêne. Jeu qui vous unissait qui devenait beaucoup plus compliqué ce soir.

Ces remarques ne te font rien du tout, tu souris même à ses dernières en pensant qu'elle essaye de te briser, mais ça ne marche pas, ça ne marche plus finalement. Tu es trop brisé pour ressentit la moindre émotion de tous ses clashs. Tu as vécut trop de choses pour ressentir la moindre émotion face à ses réprimandes et le pire dans tout ça, 'est que tu t'amuses encore. Là, c'est pire que tout, tu as envie de la mettre en colère, de te montrer son côté méchant et très violente. Et elle y arrive petit à petit. Un Monopoly ? Pourquoi tu veux jouer au Monopoly alors que aisément, je peux m'acheter toutes les rues de la paix quand je veux ? Tu n'as jamais aimé ce jeu en fait, parce que tu n'as jamais eu de découvert. En fait, tu n'as jamais dépensé ta fortune jusqu'à ce point là, même pire. Avec l'argent que te donner ton père, c'était des millions en deux secondes alors bon. Voilà qu'elle repart, encore dans son monologue, alors que tu hoches la tête doucement, tu souffles finalement Gaspilles pas ton énergie à me contredire je changerai pas d'avis Tessy, cherche pas ! dis-tu avant de sourire doucement alors que tu passes ta main dans tes cheveux. Tu en profites pour rire , parce que ça fait du bien à la santé mais aussi, parce que cette remarque est dégueulasse. Qui a dit que je changais les règles ? Qui a dit que le changement n'est pas bon ? demandes-tu avant de lui toucher la joue légèrement avec ton pouce, tu fis descendre ce dernier pour enlever l'emprise de ses dents sur sa lèvre.. J'adore quand tu me parle comme ça, avec ta petite voix sensuelle qui un jour, criera mon prénom ajoutes-tu avant de te mordre la lèvre inférieure comme elle venait de le faire.

Rire que tu n'arrivais pas à contenir à sa remarque sur le Monopoly, son côté prétentieux qu'il ajoutait sur le tas, comme s'il pouvait tout se permettre grâce à son héritage familiale, héritage qui ne t'impressionnait en rien ayant toi même grandit sans aucun soucis financier. « C'est con de pouvoir s'acheter toutes les rues de la paix quand on est pas foutu de mettre la meuf qu'on veut depuis deux ans dans son lit, tu trouves pas ? » Rire que tu ne pouvais contrôler à la suite de tes propos, rire beaucoup plus moqueur qu'auparavant, triste réalité que tu lui balançais à la figure et pourtant tu n'étais pas prête à céder face à lui, surtout pas aux vues de la tournure que le jeu prenait ces temps-ci. « Je cherche pas à te faire changer d'avis, borné comme t'es c'est perdu d'avance. » Tu le cherchais, tu le cherchais constamment à vrai dire, toujours cette envie de le provoquer, de le voir réagir, sachant d'avance que tu avais devant toi un adversaire de taille, qu'il avait sûrement beaucoup plus de répondant que tu ne pouvais en avoir. Questionnements auxquels tu aurais voulu répondre, ou du moins auxquels tu allais répondre jusqu'à ce que tu sentes son doigt frôler ta joue, léger frisson qui s'emparait de ton corps à cet instant précis, tacticité que vous n'aviez jamais eu, genre de rapprochement dont tu ne lui avais jamais laissé l'occasion. Lèvre qu'il venait détacher de l'emprise de ta dentition, regard que tu baissais en direction de sa main un court instant, regard que tu redéposais finalement dans le sien, sourire empli de malice qui venait accompagner ses propos. « Ce jour là tu découvriras encore d'autre facette de moi qui t’obséderont beaucoup plus. » Ton qui se voulait aussi sensuelle que possible, sourire que tu n'arrivais pas à effacer de ton visage alors que tes mains venaient se déposer sur son torse, ton regard qui n'arrivait pas à se concentrer sur le sien, bien trop occupé à admirer la façon dont il torturait sa lèvre inférieure. Pointe des pieds sur laquelle tu te mettais, approchant dangereusement tes lèvres des siennes, lèvres que tu stoppais non loin des siennes, assez proche pour pouvoir sentir son souffle caresser ta peau. « En attendant je compte crier le nom d'un tas d'autres mecs. » Rire que tu ne pouvais contenir alors que tu le poussais doucement pour te frayer un chemin, moment que tu avais cassé sans aucune gêne, lui laissant au final pas mal d'espoirs pour la suite.

Point pour elle, égalité, balle au centre. Elle venait littéralement de te briser alors que tu souris en coin pour lui répondre. Parce que la personne que j'essaye d'avoir n'est pas à acheter, et encore à vendre, elle serait d'un prix que je ne pourrais m'offrir. Allez encore une réponse de batard que tu lui lances, elle va finir par tomber un moment où un autre bordel. Mais ça t'amusait encore de savoir que les charmes étaient encore là, tu ne pouvais pas t'empêcher de sourire et de rire à ses paroles malgré tout, comme si c'était normal entre vous. Mais elle a raison. Tu es borné, tu es con quand tu t'y mets et quand tu as une idée en tête, impossible pour toi de l'effacer de ton crâne, ça s'est sur. Et finalement, là voilà la fille dont tu veux. Celle qui joue, celle qui torture, celle qui arrive à faire des trucs rien qu'à sa voix. Et c'est avec un sourire que tu apprécies ses paroles. Ce jour-là, crois moi, je serais le seul à connaitre tes traits par coeur Parce que c'est encore un défi, c'est encore une invitation à essayer, c'est encore l'envie qui parle. Elle s'approche de toi, dangereusement, tu ne la quittes pas des yeux, tes yeux qui ne peuvent pas quitter les siens et la voilà aux portes de tes lèvres, juste à quelques centimètres d'elles. Mais bien sur, cela se termine alors que tu t'arrêtes grâce au plan de travail. Tu la regardes faire pour sourire en coin. Et d'autres crieront mon nom toute la nuit tu t'approches du bol pour prendre un autre fruit alors que tu marches en sa direction, direction de la sortie. Tu l'observes, la regarde marcher, observant ses jambes, matant son cul, sans aucune gêne, tu hésites pas à sourire avant de te mordre la lèvre inférieure discrètement. On se revoit quand alors ? demandes-tu bien que tu l'observes encore avant d'ajouter Tu viens même pas me dire au revoir ? Je te pensais plus polie que ça Magyar ! lâches-tu finalement

Rire qui venait accompagner ses propos, phrase que tu aurais du prendre pour un pique mais qui au final reflétais la réalité des choses, cette réalité qui faisait que depuis près de deux ans il essayait de te mettre dans son lit et ça depuis le soir même où vous vous étiez rencontrés, deux ans à lutter au final contre toi même d'un côté parce que même si tu ne le montrais pas forcément et malgré le fait qu'il t'insupportais comme personne d'autres ne pouvait le faire, ce gars là avait un charme particulier. Ce charme que peu, ou presque aucun n'avait, ce truc en plus, ce truc qui te faisait avoir ces idées malsaines, qui t'obsédait au final. Ressenti que tu comptais bien garder pour toi et uniquement toi. « Tu m'as l'air si sûr de toi. » Sourire amusée qui venait illuminer ton visage alors que le ton de voix restait toujours autant sensuelle. Corps que tu approchais un peu plus, lèvres que tu plaçais à quelques centimètres des siennes sans lâcher pour autant lâcher son regard, distance certes presque inexistante, mais distante suffisante pour ne pas dépasser cette limite que tu avais mis tant de mal à fixer. Nouveau rire qui s'échappait de tes lèvres alors que tu te détachais de son emprise, soirée que tu aurais aimé faire durer mais cette peur de déraper à tout moment, faiblesse qui apparaissait en toi, faiblesse que tu ne te reconnaissais pas. Pas que tu entamais en direction de la sortie, sa présence que tu sentais tout de même derrière toi, présence qui t'amusait plus qu'autre chose. « Surprends moi Noah. » Lèvre que tu ne pouvais t'empêcher de mordre à la suite de tes propos alors que tes yeux refléter toute la malice que dégageait tes mots, prochaine fois que tu espérais dans les jours à venir. Bouton de l'ascenseur sur lequel tu venais appuyer avant de te retourner en sa direction, main que tu venais porter à tes lèvres, embrassant cette dernière, baiser que tu lui envoyais par la suite. « C'est tout ce que t'auras de moi ce soir. »