Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBut your heart beat is fast just like mine - Naël - Page 3
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But your heart beat is fast just like mine - Naël

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Tout n'avait plus d'importance autours de nous, tant que j'oubliais l'eau qui coulait sur ma peau et la pièce qui m'entourait. Je ne pouvais point quitter son regard il me soutenait sans aucun moyen de sortie , perdu dans sa profondeur pour l'éternité jusqu'au moment où il décidera de le détacher. Ma main sur son torse à mon tour , je le sentais qu'il vibrait à la même cadence et alors mon cœur accélérait encore plus. Il était sur le point d'exploser je le sentais . Lors de sa désintégration il viendrait coller la tendresse et la profondeur des sentiments que j'éprouve pour lui sur sa chaire pour le marquer à jamais. Il voulait me dire quelque chose , mais tout ne sortait pas. Son silence parlait toute fois et je comprenais ce qu'il voulait me transmettre comme si nos pensées étaient reliées. Un soulagement retombait sur mes épaules lorsqu'il me dit ce qu'il ressentait. Sa tête contre mon épaule je caressais sa nuque du bout de doigt le berçant un peu. Tout ça m'envahissait d'un étrange bonheur qui allait me rendre maladif. Aucun geste à présent ne pouvait me permettre de lui montrer à quel point je tenais à lui alors je me laissais guider. «Je..je..t'aime..» par la suite le souffle me coupa et la seule chose que je trouvais à faire pour oublier ce que je venais de dire c'était de l'embrasser langoureusement.
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« Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. » ► RIMBAUD

«Je... Je t'aime » Ses mots furent comme des poignards... je ne comprenais pas cette réaction de ma part, cela faisait deux ans que j'attendais qu'il me dise ses trois mots magique aux oreilles de tous, mais la cela me donnais envie de vomir, je me colla a lui posant ma tête sur son épaule laissant couler les larmes, elles se dissimulèrent avec l'eau de la douche, je le serra contre lui j'avais tellement peur de le perdre que de comprendre ses sentiments à mon égard me troublais au plus haut point, j'aurais tellement aimé lui dire aussi que je l'aimais, mais ce fut trop difficile. Le temps devenait long, je sentais qu'il attendais une réponse je l'embrassa une dernière fois en lui disant: « Nous devrions... Sortir on vas finir tout fripper... » cela faisait au moins un éternité qu'on était à l'interieur, je commençais a avoir froid et j'avais une envie de dormir dans ses bras. Nous quittions la douche et je lui tendis une serviette en lui disant:« Tiens ! » Je prit une autre serviette et me secha, dés que nous ayont finit je lui pris sa mains je ne voulais pas parler , parler ne servirait carrement à rien et j'alla dans la chambre ou je jeta la couette recouvert de cholocat sur le coté je la laverais demain, je pris une couette qui trainer dans mon armoire et je me glissa à l'intérieur emmenant Hoël avec moi sur le lit. « Viens te réchauffer... » lui dis-je avant de l'embrasser tendrement posant ma main sur son torse je le regardais dans les yeux, glissant ma main dans les cheveux je me pinca les lèvres comme si cela voulait sortir, mais ca bloquait... Je glissa ma tête au creux de sa nuque lui disant doucement : « Je... suis désolé... Je n'arrive pas ».


Hoël Fitzmartin & Naël Firestone

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L'avais-je dis trop vite ? L'avais-je brusquer même si je sentais qu'il avait besoin que je le dise. Dans ses yeux je pouvais le lire que les sentiments s'y dessinaient à l'intérieur de lui aussi. Il ne répondait rien sauf qu'il n'oubliait pas les gestes démonstrateur pour me montrer qu'il n'était pas indifférent avant de me demander de sortir de la douche. Tout venait d'être mis à vif. Je me mordais l'intérieur de la lèvre pensant qu'une bêtise avait été sortie. Je venais de me mettre à nu , faible entre ses doigts. Un acte dangereux qui pourrait s'avérer à devenir une fuite ou à un éclatement total. Je hochais donc la tête sans plus prenant la serviette qu'il me tendait. J'avais envie que le plancher s'ouvre sous mes pieds et que je m'enfonce dans le vide. Sa main dans la mienne me donnait un brin d'espoir tout quand il me proposa de venir le rejoindre et un sourire revint à mes lèvres par l'occasion. «Avec plaisir !» Son baiser sa main sur mon organe battant , j'en devenais fous . Sa phrase me laissait sur deux positions. Je ne savais plus si je devais me coller à lui davantage ou tout simplement m'en aller découvrant que j'allais trop vite pour lui. Je baissais les yeux en poussant de longs soupirs.«Ce n'est pas grave...» Je l'embrassais encore un long moment le serrant contre moi , mais je finis par me retourner dans l’inquiétude mortelle. Bordel.
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« Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. » ► RIMBAUD
J'étais perdu tellement perdu, a peine nous sortions de la douche que j'avais ses trois stupide mots qui résonnait dans ma tête, je ne restait pas sur mes grand chevaux loin de là cette idée, car enfaite j'étais follement amoureux de cet homme, je n'aurais pas cru il y a deux ans en arrivé là. Tout ceci c'est passer il y a trois ans bientot... Le 23 Decembre 2010, je finissais la saison de ma pièce de théâtre il était 17h00 j'attendais dehors, quand je l'ai vu attendre quelque chose regardant le ciel en sifflant l'air d'une chanson qui m'a pas quitter l'esprit pendant une semaine, il avait neiger enormement se jour là a ce moment la ce fut l'acalmie, J'attendais ma chauffeuse qui devait m'emmener a une soirée très spéciale pour moi. le jeune homme me demanda l'heure, je lui donnais volontier mais sa voix m'avais tourmenter pendant pas mal de seconde, j'étais comme paralysé par la voix suave de Hoël, Cela ne m'était jamais arrivé que se soit avec une femme, voir même un homme. homme qui d'ailleurs je n'éprouvais pas encore de sentiment pour le même sexe. Nous discutions un peu de tout et de rien du temps qui passe... Soudain il se présenta son prénom me fit fremir la peau. C'était un prénom des plus original que j'ai pu entendre, soudain une de mes collègues sortit en trombe pour courir vers moi faisant attention a ne pas glisser m'offrant une boite de chocolat et me souhaitant un très bon anniversaire. Je métais mis a rougir, ne pensant pas dévoiler ceci au jeune inconnu a mes cotés. Hoël s'approcha de moi quand ma collegue s'en alla, posa sa main chaude sur ma joue, j'étais déjà frigorifiée par le temps merdique qu'il faisait a New York. et il m'embrassa il m'avais voler mon premier baiser envers un homme. Je lui en ai voulu et il s'en alla... L'histoire de mes dix neuf ans resta a jamais graver dans ma mémoire...

Je rentrais donc dans ma chambre, avec un leger goût d'amertume dans la bouche m'allongeant sur le lit nu comme un ver... Je pouvait l'entendre dire après m'avoir embrassé... « Ce n'est pas grave... » C'est mots m'ont retourné l'estomac, comme si cela était flagrant que c'était grave, comme si il me mentait, il se retourna sur le coté après m'avoir embrassé comme troublé et apeuré, je le tourna de force sur le dos. Mon sang ne fit qu'un tour je me mit a cheval sur lui le tenant les poignets, je me sentais mal comme une envie de vomir, mais ma gorge stoppa le tout. Je l'embrassa pour me donner du courage, je voulais hurlais, pleurer, rire tout sentiments se confondaient dans ma tête. En me redressant, je lui dit: « Si! Si c'est grave Hoël!» Je me redressa m'asseyant sur son bas ventre relachant ses poignet: « je t'aime bordel! » ces mots furent comme arracher


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Certaine personne sont comme une évidence , elles sont déjà tracé sur notre chemin . On pourrait les fuir , prendre un autre sentier qui nous les dévient , mais elles finissent pas trouver elles aussi le raccourcie. Parfois la séquence de temps peut-être longue et c'est dans mon cas qu'elle a prit deux ans. Deux ans à voyager pour prendre la fuite , deux ans sans le savoir qu'une personne se tapissait au fond de moi.Le drap entre mes mains , dont mes jointures devenaient blanches à force de les serrer. L'attende qui devenait interminable et la réponse qui n'était pas venu me tortillait d'angoisse et d'une peine qui coulait lentement. Il me semble qu'en le regardant je peux encore sentir ses lèvres la première fois que je les ai toucher. La chaleur qu'on a échanger dans ce froid hivernal qui glaçait nos membres. Sa frustration qui était née dans ses yeux par la suite de cette étreinte non attendu. J'étais partis après un signe de main derrière les flocons dansant , alors qu'une partie mon coeur venait d'être tendu. Il me retourna d'un seul coup me bloquant et je restais bête lèvre entrouvertes le regardant dans sa crainte dire ces mots.« je t'aime bordel! ». Une trainée de frissons se frayèrent dans mon dos. Ma tête partait au loin dans les kilomètres du sentiment que j'avais encore du mal à concevoir au fond de moi : l'amour. L'envie de partir n'était plus , car celle de rester au près de lui prenait sa place et me rendait fous. Fous de lui , fous de sa chaire tendre , de son sourire qui vous caresse et vous apaise , fous de son regard enfantin , de ses mains qui ma caresse à la recherche de soupires , fous de chaque parcelle qui le compose. Je déposais une main contre sa joue en l'attirant vers moi pour un baiser en entendant encore son je t'aime tourner en boucle dans ma tête.«Dit le encore...» Surréel , j'avais dû mal à l'imaginer . Ces six lettres devenaient le sons que mes tympans réclamaient le plus d'entendre.«Tes sur le point de me rendre fous...» Un ange il m’illumine d'une lumière en direction du bout du tunnel. Encore un baiser et une étreinte jusqu'à l'éternité.
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Naël P. Firestone a écrit:



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« Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. » ► RIMBAUD
«Dit le encore...» je n'aurais pas cru entendre ses mots, le redire encore, mais je doit dire que l'avoir dit déjà une fois je me sentais comme soulager car effectivement quand on y pense le dire qu'une fois ne fais que mieu réfléchir le soudain remord passer de ne pas pouvoir le dire à l'homme qu'on aime. Je t'aime je t'aime... Je voulais lui dire sur différente langues, mais je n'en connaissais que deux et la deuxieme je la parlais très mal... Je voulais lui ecrire partout sur le corps mais j'avais pas de quoi ecrire... J'aurais aimé lui chanté mais j'avais le souffle bloqué par tant d'émotions. Je ne pouvais que faire que de lui redire mes lèvres se refugia au creux de son oreille... : « Je t'aime... » Et je glissa mes lèvres le long de son torse laissant échapper ses doux mots pour Hoël et je l'entendis me dire: «Tes sur le point de me rendre fous...» J'eus ne cesse un sourire pour cettre phrase qui e donna un leger frisson qui parcouru ma colonne pour lui dire: « Soit fous... Car... » Je remonta nos lèvres n'étaient plus qu'à quelques centimetre l'une de l'autre frottant mon bassin à l'entrejambe de Hoël: « Beaucoup de gens bien intentionné son fou... Hélas je crois que nous deux en faisons largement partit! » Après cet phrase référence a un livre enfantin je repris les hostilité en donnant des baisers sur le torse de Hoël descendant à sa virilité que je prenna en bouche pour bien m'occupé de mon cher et tendre. :P


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