Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLaisse moi être celle qui partage ta vie • Denleigh - Page 2
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Laisse moi être celle qui partage ta vie • Denleigh

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Qu'est ce que ça faisait que tu sois imprudente ? Après tout il avait l'air de s'en moquer de ton envie de partir du loft, de ta souffrance concernant son mariage, Louve, vous deux. C'était ça le pire, de voir que vous vous détruisez avec cette histoire. Qu'il doutait de toi, qu'il remettait en compte tes sentiments, se basant sur le passé, sur ta coucherie du spring break, celle avec Dimitri... Ça te faisait de la peine qu'il pense ça alors qu'il savait que c'était pas comparable tes histoires avec eux et avec lui. Eux, ils étaient de passage, le temps d'une nuit, de quelques minutes. Lui, il était tout l'opposé. Il était bien plus à tes yeux. Il était déjà ton meilleur ami alors il les battait, mais il avait aussi ton coeur. Ça il le savait car la chanson il l'avait entendu tu le savais. Les lettres t'avais pas la certitude qu'il les avait lu mais la chanson oui Ivy t'en avait fait part. Ouais, ouais que tu disais de colère e' réponse à sa demande de faire attention à ta santé. Tu comptais rien faire, t'es pas inconsciente a ce point, juste t'étais vexée, blessée, fâchée. Du coup, tu t'emportes, usqu'à qu'il te stoppe dans tes mouvements quand tu emballais tes habits. Sa main qui glisse sur ton bras, ta main, qui t'attire à lui... T'es faible, quand ça le concerne. T'as beau être crispée au départ, tu succombes bien vite a l'encercler de tes bras et profiter de lui, de son étreinte, de son odeur, de son contact... Mais cette question te démange, quitte a ce qu'elle soit mauvaise, porteuse d'une nouvelle pas bonne, tu veux savoir. T'as besoin que ce soit clair, qu'il confirme si oui ou non il ressent encore des choses pour elle... Tant pis si ça fera mal, tu veux pas passer par quatre chemins, alors tu veux la réponse, qu'importe ce qu'elle sera. Il répond juste que tu le saoules, et là, ton coeur il s'emballe. Parce que ça aussi c'est VOTRE truc. Quand l'un dit ça, ça se suit d'un baiser. Alors ton coeur il capte tout de suite et il fait bien. Ses mains finissent sur tes joues et en un rien de temps vos lèvres sont scellées. Malgré tout, tes lèvres suivent les siennes, dans ce baiser, apaisant. Ne fait plus ça, arrête de me cacher des choses que tu lui demandes, le suppliant même. Le tatouage, là le mariage. Tu voulais avant tout que vous puissiez tout vous dire. C'est ça des meilleurs amis non ? Et sans même savoir ce que tu fais, tes lèvres reviennent sur les siennes, une de tes mains sur sa joue, pour approfondir. Les yeux fermés, tu profites du goût de ses lèvres, de lui. Y a que toi... que tu souffles à ton tour. Quand est ce qu'il comprendra que les autres ils lui arrivent pas à la cheville ? Que lui seul peut te mettre dans cet état. Lui seul peut faire battre ton coeur aussi vite qu'en ce moment. Lui seul peut te faire vriller comme ça avec une telle annonce. Lui seul. Personne d'autre.

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Tensions au summum, même mes avertissements concernant sa santé, elle semblait les prendre par dessus la jambe, comme si elle cherchait à me provoquer, à m’agacer davantage, comme si l’énervement de nos échanges par textos n’avait pas suffi.  Fallait aussi qu’on s’engueule de vive voix désormais. Son ‘ouais ouais’ de provoc’ ne suffit pas à me faire quitter la pièce. Non je m’étais retourné et la voir partir en vrille, s’agitant sur ses affaires, ça fut le premier signal qui m’alarma sur son état. Plus que nos éclats de voix, c’était ça. Cette agitation, ses mouvements désordonnés. C’est comme ça que je finis par m’approcher d’elle, la stoppant, emprisonnant ses mains d’abord avant de l’attirer contre moi, pour la prendre dans mes bras. Et cette question qu’elle laissait échapper contre mon torse, c’était l’occasion de lui resservir la réponse que je lui avais déjà offert une fois, quand à l’époque c’était de mon absence de sentiments pour Gab dont elle doutait. Là elle recommençait avec Louve alors oui, elle eut le droit à un ‘tu me saoules’ suivi d’un baiser, un baiser peut être encore plus chargé en émotion que celui du SB, parce que depuis on s’était encore plus liés, plus rapprochés, et j’étais surement encore plus amoureux d’elle maintenant. Oui, même énervé, même après cette dispute. Y’avait qu’elle. C’était ce que je lui assurai à nouveau lorsque le baiser toucha à sa fin. Elle me souffla alors de ne plus faire ça, de ne plus rien lui cacher. « C’est pas que j’ai voulu te ca… » Et devant son regard, je me tus. Pas de place à la discussion. Et puis merde, elle avait répondu à mon baiser, alors je me sentais juste incroyablement plus léger, alors je repris : « Ok, je te cacherais plus rien. » Et sa main se perdait sur ma joue, ses lèvres revenaient se poser sur les miennes et mes paupières se fermèrent pour savourer ce délicieux contact.  Mon front resta contre le sien, après ce nouveau baiser, après ses mots, un sourire ourlant inconsciemment mes lèvres en l’entendant aussi sûre d’elle alors qu’elle me soufflait qu’il n’y avait que moi. « Reste dormir à l'appart ce soir… Pars pas. »

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Y avait que lui, y avait qu'un Denys Zacharias pour faire ça, pour te rendre si désagréable, si mauvaise, si haineuse, et la minute suivante, te redonner le sourire, te faire succomber et faiblir. Y avait que lui qui avait ce pouvoir sur toi. Lui seul était capable de changer ton humeur en un rien de temps, parce que lui seul savait utiliser les bons mots. Lui seul avait ce regard qui te faisait fondre, et lui seul te rendait si vulnérable. Tu le détestais pour avoir cette emprise sur toi, pour ne pas être aussi forte, aussi buté, que tu pouvais l'être avec d'autres personnes. D'un autre, ça te rassurait, qu'il arrive à t'apaiser, à te tempérer. Il avait ce pouvoir sur toi que tu ne comprenais pas. Cette facilité à te calmer, à te redonner le sourire, à te faire retrouver ta bonne humeur. A te rassurer aussi. C'est ce qu'il faisait à l'instant, avec ce baiser qu'il te volait en quelque sorte et dont t'étais incapable de le repousser. Tout ton corps le voulait. Tes lèvres avaient envie de goûter aux siennes. Tes mains de sentir sa peau, les muscles de ses abdos. Tes yeux se plongeaient dans les siens, si bleus, si profonds, si beaux. Tes lèvres de goûter encore aux siennes et ta langue de retrouver sa compagne. Tout ton être le réclamait alors t'avais beau vouloir lutter, ne pas lui céder, t'y arrivais pas. Il dégageait ce tu ne sais quoi qui faisait que c'était lui, Denys Zacharias, qui avait contrôle sur toi. Lui qui gagnait la partie. Qui te gagnait,complètement. Il te possédait, de la tête aux pieds, et ça, il en était sûrement pas conscient. Tu voulais tout de même qu'il arrête, de cacher des choses. Aussi minime soient-elles ou très importantes. Tu voulais tout savoir. T'approuverais pas toujours, tu t'emporterais sûrement encore plusieurs fois à venir, oui, mais si tu savais à l'avance, par lui, ça ferait déjà beaucoup moins de choses à mettre dans la balance. T'étais quand même le genre de fille qui préfère pas passer par quatre chemins. Le genre qui préfère une mauvaise nouvelle, mais vraie, à un mensonge rassurant. Savoir, juste ça, que ce soit positif ou négatif. Il acceptait donc, de ne plus rien te cacher. Tu promets ? que tu demandes, histoire de confirmer, de sceller un accord entre vous. Plus de secrets, plus de cachotteries. Dire les choses, avec tacte certes, mais les dire quand même. Et instinctivement, comme si tes lèvres sont appelées aux siennes, tu l'embrasses encore. Plus passionné, plus envieux, plus affamé. Un baiser qui en dit long. Comment ne peut-il pas voir ce que tu ressens pour lui juste via tes baisers ? T'as jamais embrassé les autres comme tu l'embrasses lui. Jamais. Et en accord avec ses paroles, tu avoues, qu'il n'y a que lui. Chose qu'il est censé savoir, mais qu'il ne peut plus faire comme s'il savait pas. De vive voix, ouvertement, tu lui dis. Front contre front, il manifeste une requête, à laquelle tu as déjà la réponse. Uniquement si je peux dormir avec toi..., sinon autant aller chez Darren, ou à l'hôtel. Aucun intérêt de rester pour dormir dans ta chambre, seule. Je... Tu... T'es le seul... Ils ont jamais... compté que tu tentes de lui dire, de lui assurer que n'importe que tu avais couché avec Royce au spring break, ou Dimitri pendant son incarcération, ils avaient tous été de passage, mais pas lui. Jamais. Lui il était bien là, dans ton cœur, ta chair, ton sang. Il était encré dans chaque parcelle de ta peau. Dans chacune de tes pensées. Quand Nate est arrivé ici, il m'a dit savoir que faire des pâtes, et c'est à toi que j'ai pensé, à tes débuts à la coloc, que tu nous avait fait que des pâtes, à toutes les sauces, mais que des pâtes. Quand Ivy m'a dit qu'elle aimait les douches à deux, j'ai pensé tout de suite à la notre, chez Lucky, à mon retour, à ce moment... Au bal Willow m'avait demandé un verre et je lui ai fait croire être la meilleure niveau cocktails, tout ce que j'ai pensé c'était cette soirée, pour l'anniversaire de Louve, où tu m'as fait tes cocktails et qu'on a fini la soirée sur la plage... Quand j'ai demandé à Nate de faire un after en rentrant ensemble à la fin du bal, j'ai pensé à celui de la soirée pour Wade, que je me suis souvenue qu'au spring break. Ou quand j'ai croisé cette fille au bar du bateau pendant le voyage en Egypte, qui a offert des shooters de tequila, et toi qui m'a ramené cette bouteille du Mexique... Tu marques une pause, courte. T'as jamais quitté mes pensées Denys, jamais...

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 J’avais pas tenu. J’avais pas tenu et au final j’étais bien content d’avoir craqué. De l’avoir attiré dans mes bras, qu’elle ait posé une fois encore la question sur Louve et moi, pour que je lui réponde une fois pour toute. Et avec notre ‘tu me saoules’ et le baiser qui l’accompagnait, y’avait pas de place au doute. Elle savait, et si elle savait pas encore, je le lui disais juste après, là, contre ses lèvres, qu’il n’y avait qu’elle. « Promis. » assurai-je quant aux petites cachotteries, ou grosse d’ailleurs, qu’elle refusait que je lui fasse à nouveau. Et si déjà mon cœur il battait la chamade parce qu’elle m’avait pas repoussé, malgré sa colère, malgré son énervement contre moi, ce mariage, ma bêtise, elle m’avait pas repoussé et elle avait même répondu au baiser, alors quand je l’entendis me répondre que pour elle aussi, y’avait que moi, mon cœur s’emballa encore plus. Ses lèvres qui venaient de nouveau se poser sur les miennes finir de faire exploser un feu d’artifices en moi. C’était un rêve. Surement. J’avais du m’endormir sur le capot de la chevrolet que j’étais en train de retaper au garage, trop de sommeil en retard. Et mon boss allait me réveiller, j’allais avoir du cambouis plein la figure, et j’allais réaliser que j’avais juste halluciné…  Mais non, le baiser se prolongeait, la magie continuait d’opérer, je me sentais incroyablement léger et bien si bien que lorsque nos bouches se détachaient, je ne parvins pas à m’écarter, gardant mon front là, tout contre le sien. Me sentant même pousser des ailes, je demandais ce qui m’aurait paru impossible quelques heures plus tôt, ou même au début de cette discussion… Qu’elle reste à l’appart, qu’elle ne s’en aille pas dormir ailleurs…  Sa réponse me soutira un sourire. « De toute façon, ton lit il est défait… Regarde t’as froissé tout les draps là. Tu dormiras mieux dans le mien… » répliquai-je alors avec un sourire malicieux, ponctuant mes mots d’un nouveau baiser sur ses lèvres, plus bref, juste pour m’assurer que c’était vrai, que c’était pas un de mes délires. Mais ça l’était. Ca avait l’air de l’être. Et Ashleigh reprenait ensuite, réaffirmant que j’étais le seul, parlant des autres, avec son ‘ils’ en assurant qu’ils n’avaient pas compté. « Ash, j’sais… J’aurais pas du te re balancer ça… Je sais pas ce qu’il m’a pris j’étais énervé. » Je m’en voulais maintenant, d’avoir rouvert ses vieux dossiers parce que je la sentais hésitante, en train d’essayer de se justifier de trucs pour lesquels elle n’avait pas à se justifier. « On n’était pas ensemble tu sais. T’as pas à t’en vouloir… » C’était juste que moi, à l’époque, j’étais déjà bien accro et ça m’avait touché… Mais elle semblait déterminée à me prouver ses mots, son attachement, et elle se lança alors dans une énumération. A mesure qu’elle parlait, mon sourire s’élargissait, mon regard s’allumait un peu plus, parfois même un petit rire s’échappait, en repensant à certains de nos souvenirs, de nos moments, tout ce qui m’avait fait l’aimer un peu plus jour après jour… Et alors qu’elle reprenait, concluant ce que ce listing était censé me démontrer, à savoir qu’elle m’avait toujours gardé dans ses pensées, je reprenais son visage en coupe carressant ses joues, en la dévorant du regard, touché, ému, avec une furieuse envie de l’embrasser encore et encore : « T’es toujours dans mes pensées aussi Ashleigh. T’es même sur mon torse tu sais. » que j’ajoutai, avec un petit rire, histoire de ponctuer ça d’une note d’humour. «Je… Je suis désolé. Pour Louve. Pour le mariage… Je suis désolé mais je veux pas te perdre pour ça, vraiment. Parce que ça veut rien dire pour moi. »

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Tu voulais plus qu'il te cache des choses. Petites comme grosses. Que ce soit un autre tatouage te concernant, ou autre. Vous aviez toujours pu tout dire à l'autre, sans être jugé, juste conseillé, soutenu, et tu ne voulais absolument pas perdre ça. C'était ton meilleur ami, avant d'être ce gars pour qui tu craquais complètement. Tu voulais continuer à lui parler de tout. De certains gars qui pourraient être trop insistant, qui pourraient chercher à vouloir te mettre dans leur lit, ou plus. Ou de tes disputes avec Ivy, Ilhan, Marin, ou Pierre Paul et Jacques. T'avais envie de pouvoir lui parler de ton père, qu'il allait mal et qu'il soit là, juste là, à te serrer dans ses bras pour te soutenir. Lui parler de ta relation étrange avec ta sœur ces dernières semaines. Ou que lui, il te parle de ses frères, de ses parents, de si ça s'améliorait depuis qu'ils savaient. Qu'il te réclame comme quand Priape l'avait su et qu'il t'avait dit ne pas aller bien et avoir besoin de toi. Tout ce que tu voulais, c'était ça, cette relation fusionnelle, complice, que vous aviez créé depuis le premier jour à la soirée mather en septembre. Tu le faisais donc promette et il le fit. Ca s'enchaînait ainsi avec un baiser, venant de lui, auquel tu répondais et tu ne le repoussais absolument pas. Denys annonçait qu'il n'y avait que toi, qu'il t'aimait même et qu'il voulait que tu restes, au moins pour la nuit. Comment tu pouvais dire non ? T'en mourais d'envie, de te blottir contre lui, de finir dans ses bras, à nouveau, comme si les deux derniers jours n'avaient jamais existé. Ta condition c'était cependant que tu puisses dormir avec lui, sinon pas question. Et tu te doutais bien qu'il avait fait cette demande, pas pour te savoir dans ta chambre et lui dans la sienne. Son excuse, elle était toute trouvée en plus. Un léger sourire se forma sur tes lèvres, s'agrandissant quand il déposa un nouveau, bref, baiser. Tu approuvais donc, de dormir dans sa chambre, avec lui. Même sur le sol tu aurais accepté, même dans les escaliers de votre immeuble, tant que c'était avec lui. Mais avant, tu voulais quand même éclairait un point, crucial à tes yeux. Y avait que lui, il le savait, mais tu voulais insistais sur le fait que les autres, aussi nombreux et impossible d'en déterminer le nombre, ils avaient jamais compté. C'était peut être 'triste' d'en parler ainsi mais c'était vrai. Le seul qui était passé dans ton lit et qui comptait, c'était lui, ce grec, cet apollon devant toi, qui t'avait volé déjà deux baisers, et ton cœur. Il était énervé, et il s'en voulait de t'avoir balancé ça. Toi même tu n'avais rien à te reprocher de base, t'étais pas avec lui alors t'avait le droit à l'époque de faire ce que tu veux, y avait eut aucun engagement entre vous et c'était beaucoup moins sérieux que maintenant. Mais tu ne voulais pas qu'il croit, qu'il se compare à eux. Il était bien d'accord sur le fait que tu devais pas t'en vouloir. Ce fut surtout la phrase précédente qui t'interpella. 'On n'était pas' ? Ca veut dire que... l'on l'est maintenant ? Ensemble ? Et puis pour terminer ton discours précédent, pour appuyer tes mots, lui prouver que c'était pas juste du blabla, tu détaillais plusieurs moments quand il avait été en prison où tu avais tout de suite pensé à lui. Il avait eut beau ne pas être là, il t'avait pas lâché un instant. Pas un. Très sérieuse, tu constatais tout de même le sourire qui s'agrandissait sur son visage, ses yeux qui brillaient de t'entendre lui raconter ces petites histoires. Ou bien son rire, qui résonnait comme une douce mélodie à tes oreilles. Il concluait que toi aussi tu étais dans ses pensées, toujours, et même sur son torse à présent. Tes doigts se posèrent, dans la foulée, sur son pectoral gauche, au niveau du tatouage. Recouvert du t shirt, tu ne le voyais pas, mais tu savais qu'il était là, alors tu le touchais du bout des doigts. Et il finit par s'excuser, de tout. T'en a assez parlé, assez débattu, alors tu boucles tout ça en posant encore tes lèvres contre les siennes, le coupant dans sa dernière phrase. Une façon de le faire taire. Une excuse pour l'embrasser encore. Je veux pas te perdre tout court. Pas juste pour ça. Plutôt jamais, ni pour ça, ni pour autre chose. Tu unissais encore vos lèvres, ta bouche s'entre ouvrant, ta langue à la recherche de la sienne. Une douce caresse, du bout de celle ci, se cherchant, se titillant. Puis se liant, pour faire qu'une et se lancer dans une danse effrénée. Ta main toujours sur son pectoral gauche, l'autre glissait dans ses cheveux, tes doigts s'entremêlant dans le brun des ses mèches. Ne pense plus que je veux te fuir, ou te repousser. Pas après maintenant. Car t'étais là, contre son corps, ta bouche sur la sienne, à baisser les armes, les bras. T'avais cédé. T'avais abandonné ta colère, ta rage. Pour lui, pour vous.

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  Ashleigh se sentait obligée de revenir sur la série de reproches que je lui avais renvoyé à la figure, quand, sur la défensive, ne comprenant pas sa réaction, j’avais voulu lui prouver qu’elle n’était pas si parfaite dans l’histoire. Et au final, c’était stupide de ma part, de renfoncer le couteau, de vouloir encore insister et mettre la lumière sur le mal qu’elle m’avait fait en terminant dans les bras de ces gars. Parce que c’était à un autre moment, que si moi, déjà à l’époque, j’étais sur de mes sentiments pour elle, elle de son côté, elle ne me devait rien, n’avait aucun compte à me rendre. On était alors que deux meilleurs potes, avec notre coucherie, notre ambiguïté mais on n’était pas ensemble. Et le choix du passé que j’employais pour m’exprimer l’interpella. Sa question me prit un peu de court. « Bah euh… C’est pas ce que je voulais dire… Tu sais… » Ma main passa nerveusement dans mes cheveux avant de me reprendre : « C’est pas à moi de décider, sinon tu te doutes déjà quelle sera ma réponse. » Et j’avais été d’accord pour attendre qu’elle soit prête, et je me doutais bien que ce n’était pas forcément le cas à cet instant. Pas après nos explications houleuses. Pas après mon mariage bidon. Pas après le fait que j’aie pu la faire souffrir ainsi… Ou alors peut être que si ? Peut être que de voir que j’étais capable de merder aussi, que j’étais loin d’être parfait, que de me faire descendre un peu de mon piédestal, elle se rendait compte qu’il n’y avait pas de raison de flipper, qu’on avait le droit à l’erreur, elle comme moi ? Les cartes n’étaient pas entre mes mains en tout cas, elles ne l’avaient jamais été. Sinon, on aurait été ensemble dès le spring break, peut être même avant. Bref, Ash avait rien à me prouver, pas de justification à donner quant à cette aventure au printemps, ou sa coucherie avec Dimitri, et pourtant, elle insistait. Elle y tenait, à me prouver ma place à moi, particulière, importante, au dessus des autres, et à l’occupation permanente de ses pensées. Et ça me touchait. J’en souriais d’aise, riant, les yeux pétillants, des souvenirs plein la tête… Et je lui retournais la chose : elle aussi, elle était toujours dans mes pensées. J’évoquais même mon tatouage, mon torse qu’elle occupait également donc et ses doigts se posaient alors sur mon T shirt. Nouvelles excuses. Pour ça. Pour tout. Je ne voulais pas la perdre. Je ne pouvais pas la perdre.  Et c’était la même pour elle. Nos lèvres se cherchaient à nouveau, baiser libérateur, qui s’approfondit, nos langues se trouvant, s’emmêlant. Mes mains sur sa taille remontèrent lentement sous son T shirt alors qu’en reprenant nos souffles, elle en profitait pour m’interdire de penser à nouveau qu’elle fuyait. « Ne le fais pas… Me repousse pas Ash. Je ne veux que toi… Tu me rends dingues. » Et je ponctuais cet aveu d’un nouvel assaut sur ses lèvres, tirant sur le tissu de son haut en la poussant lentement vers le lit… Le cœur tambourinant et une envie irrépressible de sceller nos retrouvailles d’une manière encore plus intime.

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La colère, les reproches, la haine, la rage, tout ça avaient fini par s'évaporer. A la place, c'était des confidences qui prenaient par. Des excuses aussi. T'avais tenu à lui faire comprendre qu'il était le seul et l'unique qui te faisait mettre dans cet état. Le seul à te donner envie que de lui, de ne plus vouloir ailleurs etc. Mais Den', il s'en voulait, d'avoir remit sur le tapis tes coucheries précédentes. Appartenant au passé, dans un passé où vous étiez moins proches, moins tourné juste vers l'autre, du moins pour toi, t'avais pas à t'expliquer mais tu voulais qu'il arrête, de croire qu'il était au même niveau que les autres. C'était pas juste physique, ni que sexuel entre vous. Y avait plus, bien plus. Cette amitié profonde, ce lien fort qui vous a unit dès les premières secondes et qui avait prit une plus grande ampleur au fur et à mesure. Puis, y avait vos nombreuses coucheries, vos nuits ensemble dans les bras l'un de l'autre. Les baisers que tu lui avais volé, certes en privé, mais dont tu avais fait le pas toi même sans qu'il demande, sans qu'il ait commencé. Il regrette et donc avoue qu'à l'époque vous n'étiez pas ensemble alors t'avais pas de compte à lui rendre. Cette phrase, elle pouvait avoir plusieurs sens, celui qu'à l'époque vous étiez pas ensemble donc rien à dire, ou celui que vous n'étiez pas ensemble à l'époque mais sous entendre que maintenant oui. Et toi, tu te basais plus sur cette dernière option. C'est comme ça que ça t'étais venue, ou que t'avais eut envie que ça te vienne... Directe, tu cherchais à savoir, et il semblait gêné, cherchant ses mots, avec sa main qui passait dans ses cheveux, preuve qu'il savait pas trop quoi dire. Ca lui donnait encore plus du charme de le voir mal à l'aise comme ça, bien qu'il était bien plus sûr de lui pour admettre que cette décision te revenait. C'est quoi ta réponse ? que tu demandes super sérieuse avant de reprendre : je veux savoir si ça sera la même que la mienne... et un petit sourire, fin, discret, se dessine sur tes lèvres. Tandis que tu continues à lui prouver qu'il est le seul, qui a ce pouvoir sur toi, qui te rend folle, qui peut te faire sortir de tes gonds avec un mariage aussi stupide. Tu énumérais les différents cas, ceux qui avaient pas cessé de te rappeler Denys à longueur de temps. De vous rappeler vos souvenirs. Il semblait apprécier ton discours, de son regard, son rire, ais tu préférais clôturer tout ça en lui assurant que tu ne voulais pas le fuir ou le repousser. Parce que ça aussi il te l'avait reproché. Selon lui c'était pour ça que tu prenais mal le mariage, juste pour t'échapper de lui et ne pas avoir à 't'engager', hors, tu ne voulais pas le fuir. T'avais besoin de lui bordel. Il semblait toujours pas le comprendre, te suppliant de pas le faire, ne pas le repousser. Cet aveu que tu le rendais dingue alors qu'il soulevait ton haut, te faisant reculer vers ton lit. Si je voulais te repousser, tu crois je te laisserais faire ça ? dis tu en cognant contre le lit, te posant sur celui ci, attirant Den' dans ta chute. Ou tu crois que je ferai ça... Tes mains allaient à son haut, le soulevant, tes doigts effleurant bien sa peau. C'était comme si tu l'avais pas touché depuis trop longtemps. Ce simple geste te faisait un bien fou. Tu virais ainsi son haut, le laissant torse nu. Et tu fis basculer les choses afin qu'il soit allongé sur le matelas et que toi tu puisses venir déposer des baisers dans son cou, descendant vers ses pectoraux. Tes lèvres sur celui de gauche, pile à l'emplacement de son tatouage marqué de ton prénom. C'est la preuve que t'es à moi... que tu dis en reposant quelques baisers sur son corps, pour remonter à ses lèvres, les capturant, laissant tes mains s'agiter vers son bas ventre pour lui virer son bas.

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  On était sérieusement passé des éclats de voix à ça ? Ce moment où elle reprenait mes mots, tiquant sur l’imparfait employé, questionnant alors sur ce qu’il en était de la situation présente pour nous ? Waw… Ca me déroutait un peu, j’en perdais un instant mon aisance, troublé, cherchant mes mots, ne sachant pas vraiment si c’était un piège ou pas, choisissant finalement de lui renvoyer la balle pour cette question, parce que si ça ne tenait qu’à moi… Et voilà que ma pitouette pour me sortir de sa question l’amusait, et qu’elle insistait, me demandant cash qu’elle était ma réponse à moi, avec ce petit sourire, justifiant qu’elle voulait savoir pour comparer à la sienne. « Ash… » Petit sourire au coin des lèvres en la voyant ainsi, détendue souriante… « Tu sais que ce que moi je veux c’est qu’on soit ensemble… C’est ce que je voulais, c’est ce que je veux toujours. » Malgré le mariage, malgré tout ça. « Alors et toi ta réponse ? » C’était toujours un gros point d’interrogation ? Peut être que j’aurais mieux fait de pas lui demander d’ailleurs, on venait quand même de se friter assez fort à cause de mes conneries avec Louve, alors c’était surement pas le moment idéal pour lui demander où elle en était de sa ‘réflexion’ sur nous. Mais en même temps, le climat c’était apaisé, et ensuite elle me lisait même toutes une liste d’anecdotes prouvant combien j’occupais ses pensées, et ça, ça finissait d’apaiser complètement l’ambiance entre nous, me rassurant, me détendant, me touchant aussi. Qu’elle ne me repousse pas, voilà ce que je lui soufflais en m’emparant une nouvelle fois de ses lèvres, mes mains s’attaquant à son haut en lui avouant combien elle me rendait dingue… Dans tous les sens du terme apparemment. Aussi douée pour m’énerver que pour m’exciter. En tombant sur le lit, dos au matelas, m’entrainant avec elle, elle soulignait avec justesse qu’elle ne me laisserait pas faire une telle chose si jamais elle avait l’intention de me repousser, ajoutant qu’elle ne ferait pas non plus ce qu’elle était en train de faire, accompagnant ses mots d’un geste de ses mains tout contre ma peau. Attrapant mon T shirt qui vola à son tour, finissant quelque part par terre avec le sien, elle me fit alors basculer, afin que je me retrouve allongé, elle au dessus de moi, ses lèvres se perdant dans mon cou, m’arrachant un frisson et son prénom… « Ash… » Juste ça. Ses lèvres contre ma peau, ses doigts qui m’effleuraient, ça avait le don de m’affoler. Peut être parce qu’avec la tournure qu’avait pris les choses depuis mon fameux ‘mariage’ j’avais imaginé que nous n’aurions plus jamais ce genre de contact. Elle déposa stratégiquement ses baisers sur mon pectoral gauche, là où son prénom était inscrit… « Ca ne te bloque plus du tout en fait à ce que je vois… » Parce que ses bisous à cet endroit, son ton, sa réflexion, ça semblait même plutôt avoir l’effet contraire ce tatoo en fait. Et reprenant sur ses mots, j’appuyais ses dires : « Rien qu’à toi… » Osef du mariage. Du bout de papier délivré par la mairie. Ca ne voulait strictement rien dire. Y’avait qu’Ashleigh. Sur mon torse. Dans mon cœur. Dans ma tête. Dans ma vie. Et nos lèvres se retrouvaient, pour un baiser brûlant que ses doigts virant mon short ne firent qu’enflammer davantage. Mes mains imitèrent les siennes pour s’attaquer à son bas, glissant ensuite contre la dentelle de son dessous, m’y faufilant pour venir la caresser, la stimuler, tout en demandant : « Laisse moi te le prouver… » Qu’il n’y a que toi, que t’es la seule, que tu me rends dingue… Tout ça c’était que des mots, mais qu’elle me laisse lui faire l’amour et elle saurait. Elle aurait la démonstration de cet effet unique qu’elle seule avait sur moi.

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