Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityil y a des liens imbrisables... (Wildinford)
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il y a des liens imbrisables... (Wildinford)

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Mieux vaut ton absence que ton indifférence. Qui avait dit cela ? Celui qui avait écrit ces mots devait nous connaître surement. Depuis fin juin, depuis ce fameux soir, chez elle, où elle m’avait intimé l’ordre de sortir de sa vie, j’étais resté muet. Silence radio. Fantôme. M’effaçant donc, comme elle me l’avait demandé. Plus d’appels. Plus de sms. Plus de visite. Ca m’avait bouffé. J’aurais eu besoin d’elle. Ayma voulait m’éviter. Abé avait un nouveau BFF. Et puis y’avait Dim… Son accident, son coma… Presque deux semaines sans savoir si il s’en sortirait. Oui j’aurais eu besoin d’elle. Mais mon égo, ma fierté, me poussait à me murer toujours un peu plus dans le silence. Puisqu’elle voulait que je m’en aille, que je la laisse, j’allais m’y plier. Nous voilà donc sur le yacht, pour cette croisière qu’on avait prévu ensemble, cet été parfait qu’on s’était promis, à finalement jouer les inconnus. C’était pire que tout. Devenir des étrangers l’un pour l’autre. Quand on avait été habitué à se comprendre sans se parler, à deviner les pensées de l’autre en un regard. C’était insupportable. Alors je me plongeais toujours un peu plus dans mes plans pour oublier ce vide qu’elle laissait. Pour oublier ce que je perdais. Des plans. Des magouilles. Un faux BFF. Remettre Dimi sur pied. Eloigner Kaya et Nicho… Des plans, des manigances, et clairement, ça n’avait pas la même saveur sans mon acolyte de toujours. Et puis ce soir, ne trouvant le sommeil, j’errai sur le pont et je la repérai. On avait plutôt bien réussi à s’éviter jusqu’ici et là elle était là, dos à moi, appuyée à la rambarde, observant l’étendue d’eaux turquoises devant elle. Je devrais m’approcher. Je devrais lui dire que je l’aime et qu’elle me manque. Je devrais lui dire que je ne suis rien sans elle. Je devrais lui dire, lui supplier de revenir, mais je restais là. Cloué sur place. A la dévorer des yeux avec un espèce de sourire nostalgique aux lèvres…
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Première journée sur le yacht, première fois que je revoyais Cole depuis de longs jours silencieux. Pas l'ombre d'un message, d'un appel, rien, le néant et malgré l'indifférence que je reflétais.. Son absence était en train de me ronger. De ne pas aller vers lui, de ne pas le prendre dans mes bras cette après-midi, m'avait demander un effort hors norme. Je m'étais accroché la rancune, aux dernières paroles, au claquement de la porte d'entrée qui avait tout fait voler en éclat. Qui avait laissé mon coeur en ruine. Je ne pouvais plus bouger, j'aurais tellement aimé le rattraper, le retenir, lui crier à quel point je peux l'aimer. Mais la porte était resté fermée. Me laissant planter là, seule, dans un vide immense, dans un monde où il ne faisait plus partie. Accoudée à la rambarde, la scène en tête avec la même douleur dans la poitrine comme si j'étais encore en train de la vivre. Le regard vide, les vagues caressant la coque du bateau, et mes peines pesant sur mes épaules. Un verre de whisky à la main, un verre qui ne se décolle plus à force et le liquide brûlant glisse le long de ma gorge. Le sommeil m'a abandonné, je commence à avoir froid et je me retourne pour regagner ma cabine. Mes yeux s'arrêtent sur cette silhouette, sa silhouette et ce sourire au coin des lèvres. Mon palpitant se braque, j'avale difficilement ma salive et je regarde autour de moi. Rien ne peut me sauver de l'emprise qu'il a sur moi. - Je m'en vais, t'inquiète pas. Je souffle en levant les yeux au ciel. Un soupir, et mes talons claquent sur le sol jusqu'à arriver à sa hauteur. - Bonne nuit. J'abandonne mon verre à moitié vide contre son torse. Comment on avait pu en arriver là ? Ne même plus réussir à se parler, à se faire du bien..


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Je l’observais là. Même son dos avait quelque chose de renversant. D’inégalable. D’intimidant. Elle était parfaite cette fille. Jusque dans la chute de ses reins. Elle avait été le centre de mon monde et ces dernières semaines plus rien. Alors oui, à la dérobée, alors qu’elle avait ses yeux perdus dans l’immensité des eaux marines autour de nous, j’en profitais pour la bouffer des yeux, pour rassasier mes rétines de cette vision sublime d’elle, parce que je savais que c’était éphémère, que ça ne durerait pas, que lorsqu’elle aurait fait volte face et qu’elle m’aurait remarqué, notre petit jeu des inconnus allait reprendre. Et lentement, c’est plus ou moins ce qui se produisit. Elle se retournait, son regard se posait sur moi… Durant quelques secondes, je l’imaginais, ce sourire chaleureux, ce petit air moqueur qu’elle aurait arboré, ce ton taquin qu’elle aurait pris en s’approchant de moi et en se moquant de ma cravate de travers ou de ma chemise mal reboutonnée… Ouais, l’espace d’un instant j’imaginais ça, comme si la normalité de notre relation pouvait revenir en un quart de secondes. Mais l’instant suivant, la réalité me rattrapait. ‘Je m'en vais, t'inquiète pas.’ Elle s’approchait, me souhaitait bonne nuit et sa main venait poser contre mon torse son verre à moitié vide. « Reste. » Malgré moi, mes doigts emprisonnaient son poignet, non pas pour m’emparer du verre mais bien pour la retenir elle. « Reste avec moi Hippo… » J’en pouvais simplement pu, du jeu de l’indifférence. Alors peut être qu’elle avait gagné, peut être qu’elle allait savourer cette victoire, mais voilà, je finis par avouer : « Tu me manques… »
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Le voir là, en face de moi, j'étais heureuse et à la fois tellement triste. J'étais restreinte à quelques mots, un bref regard alors que mes yeux meurs d'envie de le dévisager encore et encore. Absolument tout en moi était en manque de lui, en manque de nous. Mes journées tellement ennuyeuses depuis qu'il n'en faisait plus parti. Je le contourne, son parfum venant chatouiller mes narines, j'aimerais y plonger mon cou et la douleur intense de devoir me restreindre me brûle intérieurement. Prête à regagner ma chambre, sa main se pose sur la mienne, m'empêche de faire un pas de plus. Mon coeur s'allège, j'avais prié pour qu'il me retienne. Qu'il m'empêche de faire à nouveau semblant, j'en saignais. J'en saigne encore de te voir face à moi, maintenant, et ne plus savoir comment faire. Comment t'aimer. Comment te toucher. Mes yeux tombent sur son geste, et je défais rapidement ma main de son étreinte pour venir croiser les bras contre ma poitrine. - Pourquoi ? Que je demande en prenant une inspiration, regardant sur le côté plutôt que ses prunelles. - Pourquoi Cole ? Tu as pourtant parfaitement réussi à vivre sans moi pendant des jours non ?.. Que je souligne amèrement. Grinçant des dents, je prenais mon courage à deux mains pour affronter son regard. - Et.. Prête à cracher de nouveau mon venin, son dernier aveu me coupant net. "Tu me manques.." Qu'il dit. Je le regarde, sans pouvoir répondre, je ne savais pas si je pouvais m'autoriser à déballer un semblant de sentiment. - Toi aussi. J'assume finalement. Je baissais les armes à demies.


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 Si près et pourtant si loin... La proximité physique entre nous, ma main qui accrochait son poignet pour l'empêcher de s'en aller, contrastait avec les kilomètres qui semblaient nous éloigner aux vues du numéro d'indifférence dans lequel on se murait depuis ce fameux soir de juin, depuis sa demande pour que je sorte de sa vie... Alors pourquoi la retenir? Pourquoi lui demander de rester ? Son ton était sec, sans appel, glacial. Ses prunelles évitaient soigneusement les miennes... Alors dans cette ambiance polaire, j'allais peut être passer pour un con, pour l'idiot qui s'accroche, mais qu'importe. Pour une fois je baissais le masque et je consentis à avouer ce 'tu me manques' qui de toute façon se lisait sur chacun de mes traits. Ça eut le mérite de faire changer un peu son regard qu'elle avait finalement posé sur moi. Y'avait quelque chose de moins cinglant dans l'éclat de ses yeux d'un coup. Elle lâchait à son tour un peu de leste avec son 'toi aussi', aveu tour aussi chargé d'émotion et de symbolique que le mien. Parce que quand on nous connaissait un tant soit peu, on savait que Hippolyte comme moi, nous n'étions pas du genre à nous lancer dans de telles confidences. "Et si on jouait un autre jeu ce soir ?" Pas d'évitement. Pas d'anciens meilleurs amis brisés. "Puisqu'on excelle dans l'exercice d'être de parfaits étrangers... poussons le jeu jusqu'au bout." La seule solution qui me venait à l'esprit pour grappiller un peu de temps avec ma BF. Mes doigts vinrent s'emparer des siens et amenant ses derniers à mes lèvres en me penchant, j'embrassai avec douceur le dos de sa main en annonçant : "Cole Smythe Wildingham, enchanté de faire votre connaissance mademoiselle." Me presentai-je avec ce révérencieux baise main. Rejouons notre première rencontre. Puisque des inconnus nous étions devenus. Reprenons à zéro ce soir, le temps d'une nuit. Le temps d'arrêter de se manquer...
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Je perds pieds à ressentir ce malaise entre nous. Cette chose qui n'a jamais existé auparavant car nous sommes tout simplement les mêmes, mon double, mon âme sœur.. Et de le voir face à moi, me peine, son visage me renvoi le nombre incalculable de souvenirs qu'on a pu avoir ensemble. J'en avais presque oublié à quel point tu étais beau, et même sans moi tu continues encore de l'être. J'évite de croiser mon reflet dans tes pupilles, elles me tétanisent, elles sont une arme contre moi, contre ma haine que j'essaye d'apprivoiser. Les mots presque magiques, il se dévoile un peu, je fais de même et c'est le drame. Ton regard m'a eu, à peine l'ai-je croiser, c'était comme si tout s'était envolé. Comme si je venais de tout oublier, perdre la raison de mon acharnement. Je fronce les sourcils, ne comprenant pas tout de suite à quoi voulait-il jouer. Je pouffe un rire contrôlé, même si au fond, je savais d'avance qu'il m'avait eu. Comme toujours, comme à chaque fois. - D'accord.. Sourire aux lèvres, j'accepte en mordant à peine l'intérieur de ma lèvre inférieure. Ça me va, je veux rejouer ce coup de foudre, je veux que tu te rappelle pourquoi c'est moi, et pourquoi ça le sera toujours. Que tu arrêtes d'oublier que tu m'aime. - Enchanté, Hippolyte Dunford. Et je dégageais légèrement ma main avec dégoût. - Si on pouvait éviter que la bave du crapaud n'atteigne la blanche colombe, ce serait encore mieux Cole Smythe Wildingham. Sourire au coin des lèvres. Même avec toi j'ai été la petite garce prétentieuse, ça ne t'as pas empêché de creuser. Jamais. C'est pour ça que pour moi, ce sera toi.. Et toujours toi. Je recule de quelques pas, les mains derrière le dos, sourire malicieux qui décrispe mon visage.
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  Y’avait pas de Cole Wildingham sans Hippolyte Dunford. Je le pensais, je le savais, j’avais essayé d’en faire abstraction, de passer ces dernières semaines à respecter l’ordre intimé par la demoiselle : sortir de chez elle, sortir de sa vie. Jouer les fantômes, jouer les inconnus, se voir sans se regarder, se croiser sans se parler, tout ça c’était un peu me demander de vivre sans respirer… Impossible. J’avais tenu jusqu’ici mais ce soir je flanchais. J’avouais le manque, elle fit de même et même si ça ne changerait rien, me voilà qui lançais cette suggestion : un nouveau jeu. Puisque le rôle de parfaits étrangers l’un pour l’autre, on l’avait joué durant ces derniers jours, autant pousser le vice. Rejouons donc la première rencontre. Sa main je l’attrapais, en embrassant le dos en me penchant, en me présentant, baise main charmeur, charmant, peut être un peu du genre que je lui avais réellement offert lors de notre toute première rencontre. Ses doigts s’échappaient alors des miens, et ce petit ton, ce petit air… Oui, ça devait être à peu près ainsi que ça c’était joué, notre première fois. J’avais un sourire au coin des lèvres, malgré moi. « Révise un peu tes classiques ma chère Hippolyte… » Je m’avançais alors vers elle, ma main glissait dans le bas de son dos, l’attirant à moi pour réduire ainsi au maximum la distance entre nous et lui murmurer dans un souffle provoquant la suite de ma phrase au creux de l’oreille : « …les crapauds qu’on embrasse se change en prince. » Ha oui, Hippo qui lutte, qui résiste, Cole qui teste, qui provoque, qui cherche… Ca avait toujours été ainsi nous deux. Ma main descendit un peu plus dans la cambrure de ses reins alors que je continuais : « Tu sais ce qu’il te reste à faire… »  
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On s'était perdus, égarés, je n'arrivais plus à retrouver notre lien du début. À retrouver l'évidence de notre relation intense, tumultueuse, incohérente mais à la fois si logique. Toi sans moi, moi sans toi c'est du jamais vu, de l'impossible. J'avais ouvert les hostilités en m'éloignant après le bal, après ce qui avait pu se passer ce soir là. Le pourquoi de mon comportement reste encore flou, je n'en savais trop rien et probablement que je n'avais pas envie de me poser toutes ces questions. Il est là maintenant, face à moi et on venait de s'avouer une mince parcelle de ce que l'absence de l'autre nous fais subir. On a jamais fait dans les grands discours, dans le drama parce que c'est tellement pas notre truc ! On se prouve qu'on s'aime dans la provocation, dans les mots durs. Il veut rejouer cette première rencontre ? Jouons. Je fais quelques pas en arrière, un sourire malicieux sur les lèvres alors qu'il me rattrape bien rapidement. Sa main se posant contre le creux de mes reins, me ramenant à lui d'une brève pression. J'arque un sourcil, buvant ses paroles comme le plus délicieux des breuvages. J'écoute et je suis accroché à ses lèvres, je me rends compte qu'il est mon addiction. Que je ne pourrais définitivement jamais m'en passer. Son souffle qui caresse ma peau, ma joue touchant à peine la sienne. Il me susurre la marche à suivre, mon sourire s'étire un peu plus et je ramène mon visage en face du sien. - Il y a un hic là-dedans Wildingham.. Je laisse planer le suspens quelques longues secondes, mes yeux s'amusant des siens. Regard provoquant, même dans mes pupilles les sous entendus s'y lisent. Je m'approche encore, réduisant presque la distance à néant. Ma bouche frôle la sienne, ma main sur son avant bras le presse. - Je n'ai pas besoin d'un prince, je suis déjà une reine. Tu veux être mon roi ? Régner avec moi encore et encore. Te tenir à mes côtés jours après jours.


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 Alors puisqu’on jouait aux étrangers, ceux qui ne se connaissent plus, autant le faire jusqu’au bout. Après l’aveu qu’elle me manquait, aveu qui m’avait valu d’entendre la réciproque de sa part, je proposais donc ce jeu. Histoire de se retrouver un peu. De nous retrouver. Ca commençait par un baise main, écourté par princesse Hippo, qui, dédaigneuse me comparait à un batracien. Un sourire naquit aussitôt sur mes lèvres. Ca c’était tellement plus nous. Ce jeu. Ces piques. Et fidèle à notre lien éternel, à ma quête obsessionnelle pour la séduire et la faire flancher, me voilà m’approchant pour lui rappeler ce qui se cache derrière les crapauds, quand on prenait le risque de les embrasser. De nouveau face à face, nos visages tous proches, miss Dunford émit alors un bémol. Nos regards accrochés, une lueur joueuse brillait très distinctement dans le mien, attendant donc le fameux ‘hic’ annoncé par la blonde. Elle n’avait pas besoin de prince, puisqu’elle était déjà la reine. « Reine de quoi ? De la Eliot ? Du campus ? De Boston ? » énumérai-je malicieusement, en continuant de la bouffer des yeux. « Non parce que ce qui compte ce n’est pas le titre, mais sur qui et quoi on règne. » Alors qu’avais-je à lui offrir moi ? Mes lèvres s’approchaient dangereusement des siennes, vrillant finalement pour se perdre dans son cou, un baiser. « Sois… » Un nouveau baiser et je continuais : «… la reine de… » Entrecoupant ma demande de baisers savamment semés au creux de son cou. « …ma vie, Hippolyte Dunford. » terminai-je en venant de nouveau plongé mon regard dans le sien.  
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Cette flamme, cette étincelle que je retrouve ce soir entre nous, où était-elle passée ? Comment avait-elle pu nous quitter même l'ombre d'une seconde ? Cette attraction indéniable qui nous unit encore et toujours, l'électricité charnelle qui plane depuis le début, depuis le premier regard. Ce jeu de chat et de la souris dans lequel on pouvait se complaire autrefois, cette envie de me faire tomber à chacun de ses regards, de ses mots. Pourquoi je n'avais plus le droit à tout ça ? Pourquoi j'avais l'impression que ses yeux ne s'enflammaient plus quand il me regardait ? Son esprit occupé probablement par tant d'autres, ce regard il l'offrait à d'autres que moi et j'avais cette touche de jalousie qui me brûle. Il énonce les multiples endroits sur lesquels je pouvais bien régner, je grimace d'insuffisance face à la petitesse de tout ces lieux. Sa bouche qui se rapproche, mon regard ne peut s'en égarer, elles m'attirent tellement maintenant que j'ai pu y goûter. En connaître la sensation. Ma résistance a faiblit depuis nos débuts, elle est presque inexistante même. Et je redouble d'effort pour me contenir, encore plus quand ses lèvres viennent à chercher mon cou. - Le monde. J'abandonne dans un soupir hésitant. Je me pince les lèvres, il m'attire, plus que n'importe qui et je serre son avant-bras encore un peu plus. Je me délecte de ses mots, envoûtée par le moindre son qui sort de sa bouche. Je ferme les yeux un instant, le palpitant qui s'agite et que je tente de calmer quand il revient me faire face. - Je n'ai pas envie de régner sur quelque chose qui menace de s'effondrer chaque jour.. Je souffle dans un sous entendu. Je n'ai pas envie de perdre mon royaume à chaque nouvelle paire de fesses bien galbées. Je viens mordiller son oreille, mes lèvres descendent heurter sa joue que je parsème de baisers jusqu'à la commissure de ses lèvres. - Pas envie de voir mon royaume s'enfuir.. Que je continue à murmurer contre ses lèvres que je caresse, mes doigts venant dénouer le noeud de sa cravate, descendant jusqu'aux boutons de sa chemise que je défais habilement un par un. Lentement. - Je veux la garantie que tu m'appartiendras toute une vie Cole Smythe-Wildingham. Et le dernier bouton défait, laisse exploser la chemise et fait entrevoir son torse nu.


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