you are amazing, remember that. (carter)

Avant que ne s'échappe la jolie Carter, tu avais réussi à décrocher un moment en sa compagnie, espérant te mettre à jour sur ces histoires malheureusement pas toujours très joyeuses. La jolie brune n'avait pas eu beaucoup de chance dans la vie ces derniers temps, en tout cas d'après ce que racontait les quelques bruits de couloir que tu avais pu percevoir. Cependant, tu préférais largement entendre Carter  en parler plutôt que tous les ragots qui pouvaient circuler à Harvard. Ainsi, tu rejoignis le spa du Golden Sun Hotel, vêtue d'un long kimono fleuri camouflant ton débardeur et ton mini short. Arrivée à destination, tu te pointas au comptoir, attrapant un flyer avec toutes les offres proposées par l'endroit si... zen. Il y avait des millions de services dont tu ignorais vraiment la nature. Massage, pédicure-manucure, gommage, épilation. Tu fronças les sourcils et te retournas vers l'entrée, priant pour que Carter apparaisse et vienne te sauver de ce dialecte si particulier. Après quelques minutes d'attente à échanger des regards gênés avec une demoiselle à l'accueil, Carter ouvrit la porte, te libérant de cette ambiance pesante. " Carter Reed. Tu es venue. " lanças-tu en te dirigeant en sa direction pour l'enlacer amicalement et embrasser grossièrement sa joue comme une gosse. " J'ai failli croire que tu étais déjà dans ton avion. Bon, va falloir m'expliquer comment fonctionne ce type d'endroit, je n'y ai jamais mis les pieds " confias-tu en attrapant le pendentif de la belle pour le décrypter.

Avoir un message de Louison, ça lui faisait toujours plaisir et encore plus aujourd’hui sachant qu’elle prenait l’avion dans quelques heures pour retourner pendant un temps à Boston. Elle avait plusieurs choses à faire puis elle serait bien là-bas, elle n’en doutait pas une seule seconde. Mais pour le moment elle voulait voir la belle Louison, cette boule d’énergie qui la rendait toujours heureuse, qui la faisait toujours rire depuis un moment maintenant. C’était juste une personne qu’elle ne voulait pas perdre dans sa vie, ce genre de personne dont elle avait besoin surtout en ce moment alors enfilant une robe par-dessus son maillot de bain, elle descendit rapidement au spa, légèrement beaucoup en retard mais, elle avait du finir sa valise au moins elle n’aurait pas ça en tête, pas ça à faire en rentrant et pouvait passer plus de temps avec la jolie blonde. Passant sa langue sur ses lèvres, elle finit par pousser la porte et un sourire apparue rapidement sur ses lèvres en voyant la jeune femme devant elle, presque perdu dans ce monde chose qu’elle pouvait absolument comprendre. Elle la prit dans ses bras à son tour avant de poser par la suite sa bouche sur sa joue, toujours avec ce sourire stupide, ce sourire qui n’était pas faux, ce sourire sincère qu’elle avait toujours en sa présence. « J’allais pas te laisser seule ici. » Puis elle ne donnait jamais rendez-vous pour rien, un petit rire finit par sortir de sa bouche incapable de faire autrement face à la remarque de la jeune femme qui était déjà en train de regarder ce qu’elle avait autour du cou. « Non, j’ai encore quelques heures avant d’être dedans je te rassure. Et on va se faire un massage ça te va ? Après on fera ce que tu voudras. » Un message c’était simple et efficace, elle devrait montrer son corps mais, elle assumait dès à présent ses coups, elle n’avait plus honte de faire de son corps même si c’était horrible.

Retrouver Carter allait te faire un bien fou. Elle était un de tes guides dans ce monde civilisé sans réellement le savoir. Tu ne lui avais jamais vraiment raconté d'où tu venais et comment tu avais grandi jusqu'à ta majorité. De ce fait, ce type d'endroit, tu n'y avais jamais mis les pieds, c'était tout nouveau. Alors que tu commençais à ne plus savoir où te mettre, Carter débarqua avec sa grace légendaire. Tu accourus à elle, l'embrassant amicalement pour scruter son look décontracté mais chic. Puis, tu lui fis part de tes incompréhensions sur ce lieu, ce à quoi la brune mit fin rapidement en te dévoilant la nature de votre première activité. " Un massage ? Ça signifie qu'on va tripoter mon corps... ils massent genre tout le corps ? les fesses et tout ? " demandas-tu en te penchant près de son oreille pour ne pas que l'on entende ton inexpérience en la matière.
Puis, vous vous étiez présentées face à la demoiselle impatiente de vous accueillir et probablement de vous faire payer par la suite ces services. Elle vous envoya alors vers des cabines pour vous déshabiller et vous enrouler dans des serviettes de bain. Tu suivis Carter de près et la quitta pour pénétrer dans ta cabine. Toujours aussi casse-cou et bruyante tu haussas la voix pour que ton amie t'entende à travers la fine cloison qui vous séparait " Sérieux, on doit enfiler ce string horrible ? J'aime pas avoir une ficelle dans les fesses " déclaras-tu à moitié morte de rire.
Après avoir râlé toute seule en revêtant cette culotte invisible, tu avais noué ta serviette autour de ta poitrine nue pour retrouver rapidement le couloir. Carter sortit par la suite, toujours aussi ravissante. En effet, lorsque tu l'avais rencontré, tu n'avais pu t'empêcher de la déguster du regard, ne sachant pas si les filles étaient aussi sa came. Car si cela avait été limpide, peut être qu'à l'époque tu aurais tenté quelque chose. Néanmoins, depuis ces prémisses, de l'eau avait coulé sous les ponts, tu t'étais faite une amie en or et les histoires rocambolesques de Carter t'avaient éloigné de toute tentative.    

Un grand sourire illumina ton visage quand tu retrouvais Louison à l’institut, tu étais heureuse de la retrouver parce qu’elle était sûrement une de tes plus belles rencontres ici, avec elle, les choses étaient simples et tu avais toujours un vrai sourire sur tes lèvres étant donner qu’elle te le faisait toujours naître. Un nouveau rire sortit de ta bouche ne pouvant pas faire autrement quand elle te disait une telle chose, elle ne connaissait réellement donc pas ce que c’était d’être ici. Tu n’étais pas non plus une adepte de ce genre d’endroit mais, honnêtement parfois ça faisait du bien surtout aujourd’hui, avant que tu prennes l’avion pour rejoindre Boston pour quelques jours. « Oui ça signifie qu’on va te tripoter le corps, on t’as jamais fais ça ? Même pas un de tes copains ? Et t’es pas obligé, si tu ne veux pas tu peux lui dire que tu préfères pas qu’elle te masse les fesses. » Tu haussas simplement les épaules tout en ayant un sourire sur tes lèvres, tu l’aimais pour ça Louison parce que c’était tellement plus simple avec elle, c’était juste de la spontanéité tout ce que tu avais besoin depuis ton arrivée au Laos, tu avais juste besoin de rire, de t’amuser sans qu’on te rappelle sans cesse ce que tu avais pu vivre, tu étais debout et pour toi c’était le plus important. Tu finis dans un vestiaire pour te changer rapidement, tu grimaças en voyant le sous-vêtement qu’il fallait mettre mais, bon pas le choix. « Moi aussi je te rassure mais, dis-toi que quand tu feras masser t’y pensera plus. » Tu finis par rire un peu avant d’entourer une serviette autour de ton corps, tu étais assez heureuse parce que doucement mais, sûrement les coups ne se voyaient plus. Les bleus devenaient jaunes ce qui voulait clairement dire que ça serais bientôt la fin de tout ça. Tu souris à la belle blonde parce que c’était le cas, elle était clairement plus belle que toi mais, bon à tes yeux c’était facile d’être plus belle que toi. Tu finis par lui tirer la langue comme une gamine avant de prendre la direction d’une salle dans laquelle se trouvait deux tables pour les deux femmes.

Non, à vrai dire, on ne t'avait jamais massé volontairement pour te détendre. Ce type d'endroit t'étaient complètement étranger. Tu les découvrais peu à peu, depuis que tu avais quitté tes tanières de France pour rejoindre les États-Unis. Mais Carter avait-elle vraiment besoin de connaître ton ignorance sur la vie moderne ? " Si si je connais un peu mais c'pas dans mes habitudes " répondis-tu timidement en rejoignant par la suite les vestiaires où tu avais joué un sacré numéro pour enfiler ta petite culotte. Enfin à l'extérieur, uniquement vêtue d'un mince bout de ficelle et d'une serviette, vous vous étiez rendus dans la salle de massage où deux longs bancs vous attendaient. L'ambiance était tamisée et zen, une petite musique douce occupait également les lieux. Dévisageant Carter car ne sachant pas vraiment s'il fallait que tu t'allonges sur le dos ou le ventre, tu attendis qu'elle prenne place pour l'imiter. C'était donc sur le ventre. La tête enfoncée dans le trou du siège pour respirer, tu ne voyais désormais plus que le sol. " C'est quand même stressant cette position, on pourrait me poignarder là " lanças-tu à ton amie tandis que la porte de la pièce avait grincé. Tu avais ainsi sursauté, t'appuyant sur tes mains pour apercevoir une jolie jeune femme vêtue aux couleurs de l'institut, des serviettes à la main. Regagnant ta position allongée, une seconde femme entra, vous alliez être simplement chouchouté Louison, relax. " Sans être indiscrète Carter, tu rentres à Boston pour des ennuis ou au contraire pour des retrouvailles ? " demandas-tu alors que des mains huileuses étaient venues empoignées tes trapèzes en béton. C'était pas mal étrange de papoter avec deux inconnues dans la pièce, mais tu ne te sentais pas de rester muette tout le long, c'était même impossible.

Tu souris à la jeune femme tu allais lui faire découvrir un peu ça alors, bon tu ne rentrerais pas dans les détails, tu ne lui demanderais pas de passer toute une après-midi ici parce que tu ne pourrais pas, tu n’étais pas le genre de personne à prendre soin de toi ou des conneries dans le genre, tu étais simple comme fille de ce côté-là, ton caractère c’était un autre souci. Une fois en dehors de vestiaire avec ta serviette autour de ton corps qui cachait un peu les coups que tu avais eu, tu savais que la masseuse allait les voir mais, tu faisais avec depuis quelques temps, tu assumais parfaitement ton corps comme ça même si peut-être que tu ne devrais pas, tu ne savais pas trop pour tout dire mais, bon. Tu passas ta langue sur tes lèvres avant d’enlever tout ça pour te placer sur la table, tu attendais avant de mettre ta tête dans le trou qui était fait pour ça, tu croisais tes bras pour mettre ta tête dessus, tu ris un peu avant de tendre une de tes mains incitant la blonde à la prendre, rapidement vos deux mains finissaient ensemble et tu la serrais doucement. « Si on te poignarde je tuerais la personne de mes propres mains, je t’en fais la promesse. » Tu souris en coin tout en faisant une pression dans sa main pour lui montrer que tu étais là, tu te plaças correctement quand tu entendis la porte s’ouvrir toujours cette main dans la tienne, tant pis si ça dérangeais elles feront avec. Tu n’avais pas envie de la lâcher, c’était comme lui montrer que tu étais présente non ? Ouais, tu étais présente pour elle, pour qu’elle se sente juste à l’aise, juste pour lui dire que bon elle n’était pas toute seule dans cette épreuve, que toi aussi tu n’étais pas totalement à l’aise dans cet endroit, en sentant des mains se baladaient sur ta peau. « Je rentre parce que Dimitri est sorti du coma donc je dois le voir avant qu’il parte en croisière avec son cousin, on a pas mal de choses à se dire… » Cette épreuve allait sûrement être la pire surtout dans votre couple mais, il fallait le faire, il fallait passer par cette étape là quoi qu’il puisse se passer, il fallait le faire même si ça te faisais peur, même si ça serais une discussion plus que compliquée.

Carter avait réussi à t'apaiser en attrapant ta main et en te faisant rire. Que Carter tue quelqu'un était à peine croyable, tout comme toi d'ailleurs. Pourtant, tu cachais une facette bien plus sombre, pourquoi cela ne pourrait pas être le cas de Carter ? Alors que des mains massaient à présent vos corps allongés, tu écoutais attentivement ton amie t'expliquant les raisons de son départ imminent. La tête nichée dans l'espèce de cuvette de ton banc, tu lui répondis peu de temps après " Donc, t'es amoureuse de lui ? Il lui est arrivé quoi pour tomber dans le coma, c'est chaud " demandas-tu toujours aussi curieuse. Tu grimaças plusieurs fois lorsque la masseuse s'était montrée bien trop insistante sur certaine zone de ton dos. Mais finalement, c'était un bien pour un mal, cela dénouerait toutes les tensions accumulées depuis... depuis ta naissance. " J'espère que mes questions ne sont pas trop indiscrètes, je parle trop franchement je m'en rends pas compte " complétas-tu avec plus d'empathie, une qualité que tu appréhendais petit à petit. Voilà ce que cela faisait de vivre reclus toute sa jeunesse, on devenait sauvage et maladroit avec les autres.

Spoiler:

Tu étais bien là pour le coup, tu étais tranquille en train de parler avec une amie qui te faisait facilement sourire. Tu ne perdrais jamais ce sourire en sa présence, Louison était un vrai rayon de soleil dans ta vie, elle était juste une jeune femme incroyable et tu n’avais clairement pas envie de la perdre. Puis là vous étiez en train de parler de Dimitri, de cette histoire de coma et tout le reste, c’était un truc dont tu avais peu l’habitude en ce moment puisque parler de Dimitri te faisait mal, parce que tu avais choisis de faire une pause entre vous et tu vas devoir cette fois-ci lui dire en face. « Ouais, je suis définitivement amoureuse de lui mais, je préfère qu’on prenne un pause pour les deux mois de vacances là. Depuis la fin du bal il a commencé à se droguer.. » Depuis la mort de son père mais, bon elle n’avait sûrement pas besoin de le savoir ça. « Et il en a pris, sûrement beaucoup trop comme il était tout seul et comme un idiot, il a prit la voiture. Il a eu un accident et voilà… » Tu lui en voulais parce qu’il t’avait promis de ne pas faire le con et qu’il l’avait fait, le con. Tu n’étais pas pressé de le voir mais, bon tu n’avais pas le choix, il fallait faire une telle chose avant que chacun prenne la direction de leurs lieux de vacances, des vacances loin de l’autre. Tu souris en entendant la remarque de la blonde, tu ne lui en voulais clairement pas, ça te dérangeais pas. « T’en fais pas, ça me dérange absolument pas puis c’est pas comme ci c’était quelque chose que j’étais la seule à savoir. Beaucoup de monde est au courant pour son coma. » Tu haussas les épaules une nouvelle fois en profitant un peu de ce massage qui te mettait dans le fond très mal à l’aise. « Tu veux pas qu’on aille autre part ? J’ai pas d’idée précise là mais, j’en ai marre de ce massage. » Ou tu te sentais clairement plus à l’aise dans cette pièce.

Spoiler:

La vie amoureuse de Carter était particulièrement chaotique. Tu avais ainsi appris de sa bouche qu'elle était amoureuse de son petit ami mais que ce dernier avait commencé à se droguer. Son comportement l'avait d'ailleurs conduit à se retrouver dans le coma, tu comprenais dorénavant pourquoi la jolie brunette souhaitait rentrer. T'excusant ensuite de tes questions indiscrètes, Carter ne t'en avait pas tenu rigueur. Tu esquissas alors un sourire rassuré, te laissant détendre par le massage que l'on te procurait. Mais peu de temps après que les mains agiles de la masseuse dénouait tes noeuds dans le dos, ton amie te proposa de mettre fin à ce moment de détente pour poursuivre ailleurs votre entrevue avant son départ. " Oh mais bien sûr, on pourrait aller se balader sur l'allée piétonne, j'aimerais acheter quelque petits souvenirs pour des potos " proposas-tu à la demoiselle en te redressant, remerciant la masseuse pour ses services, la congédiant aussitôt. Tu en avais fait de même pour celle de Carter, te remballant ensuite dans ta serviette comme un burrito pour te remettre debout. " Quand on sera tous rentré à Harvard, on se fera une sortie avec Bambi hein ? " lui adressas-tu en enroulant ton bras au sien pour l'emmener vers vos cabines d'essayage.

[...]

Après avoir retrouvés vos fringues, vous étiez sorties côte à côte du spa, retrouvant un soleil pesant et une température bien élevée. Tu emboitas alors le pas vers les petites boutiques en bas de la rue, ne sachant pas ce que tu pourrais offrir à tes proches disparus du Laos ou resté vers Boston. Passant devant un stand de glace et de boissons, tu t'y arrêtas en barrant la route à Carter avec ton bras. " Je te paie ce que tu veux ma biche, fais toi plaisir, t'as pas maigri toi d'ailleurs ? " lui glissas-tu alors que tu n'étais pas la mieux placée pour parler de poids.  

Tu avais parlé ouvertement à ton amie ne pouvant pas faire autrement, tu n’aimais pas mentir, pas du tout. Tu préférais être honnête, de parler ouvertement même si c’était sur la vie de ton copain ou du moins ton ancien copain en quelque sorte. Tu allais demander une pause pendant cet été, après ton viol tu en avais besoin. Pour le moment, tu avais envie de sortir d’ici, tu avais envie d’enlever ses mains sur ta peau, ne supportant pas plus que ça cette chose. C’était trop récent, trop frais et tu ne pouvais juste pas, pas du tout même. Alors tu proposais à la blonde de partir, d’aller ailleurs, faire autre chose tout simplement et tu souriais grandement en entendant qu’elle était d’accord pour ça, d’accord pour sortir d’ici. « Parfait, on va y aller alors. » Nouveau sourire alors que la masseuse était loin maintenant, loin de ta peau assez meurtrie depuis qu’un homme à décidé de poser tes mains sur ta peau. «Mais avec plaisir, ça risque d’être un très grand moment toutes les trois ensembles. » Un petit rire sortit de ta bouche alors que tu sortais enfin de cette pièce, tu te sentais tout de suite mieux, tu ne pouvais pas le nier. Tu venais littéralement de te libérer.

Une nouvelle fois habillé, une paire de lunette sur ton nez tu profitais de la journée, du soleil et surtout de la femme qui était à tes côtés. Tu étais heureuse d’être avec elle, tu aimais aussi être de sortie, dans cette salle enfermée avec une masseuse qui avait tes mains sur ta peau. Tu passas ta langue sur tes lèvres doucement avant de la voir devant toi, tu t’arrêtais rapidement avant de te regarder face à sa remarque. Tu n’avais pas tellement remarqué, en même temps tu ne faisais plus attention à grand-chose depuis quelques temps, depuis qu’il était dans le coma. Tu relevas ton visage pour le poser sur la jeune femme. « Vraiment, tu penses que j’en ai perdue ? Parce que je t’avoue que j’en sais trop rien mais, je vais prendre une glace au chocolat. » Parce que tu étais une gourmande, tout le monde le savait ça et tu n’allais sûrement pas refuser de manger que ce soit pour son poids ou n’importe quoi d’autres.