[Hendrix] You almost feel ashamed that someone could be that important. PV

Dans les toilettes du Tercentenary Theatre, je me regardais dans le miroir pour me remaquiller. La journée m'avait fait coulé mon mascara, et je n'avais plus de khol. C'est en prenant le crayon noir que je me rendis compte que j'avais encore cette chaine à mon coup. Je glissais mes doigts sur le métal froid, souriant à l'idée que je lui avais piqué et jamais rendu. J'espérais qu'il avait une importance, ce n'était qu'un collier pourri de seconde main, mais si ça pouvait bien l'embêter, ça m'arrangeait encore plus. J'allais le savoir très bientôt. Je venais de terminer mon petit tour et en sortant des toilettes, mon regard se posa sur les étudiants de psychologie qui sortaient de leur salle.

Comment je savais que c'était eux ? Je voyais le Mather en question sortir de la salle. Ça tombait bien, j'avais envie de m'amuser un peu. J'attrapais une feuille de brouillon dans mon sac à main que je chiffonnais et envoyais en plein dans la tête de celui-ci. Entre deux doigts, je glissais la chaine lorsque j'avais capté son attention. Je me mis à rire avant de me cacher devant l'entrée des toilettes. Je riais bien trop vite. Il avait réussi à coucher avec moi dès le premier soir, c'était tellement rare. Il était une exception, et je ne me rendais pas compte qu'il était totalement l'exception de tous les hommes. Une véritable kryptonite.

Putain! Les cours avaient déchirés aujourd'hui! Moi qui ramait pour resté concentré en classe, fallait avouer que ce cours était mortel, on avait parlé des maladies mentale c'était énorme. J'me sentais moins ouf d'un coup mais bon, la fête était fini, direction dehors pour fumer un coup parce là franchement j'en pouvais plus, j'allais devenir dingue. Sortant de la salle, à peine le temps de sortir mon paquet que j'me prenait une boulette de papier derrière la tête. "Waza c'est qui le fou qui a envie de mourir là?", me retournant sec, j'aperçut Diamond la sorcière... Tss, qu'est ce qu'elle me voulait encore celle là? La regardant d'un haussement de sourcils, je la vis rire tandis qu'elle me montrait le pendentif qu'elle avait autour du cou... LA SALOPE! C'était ma chaine! Celle que ma mère m'avait offert pour mes 16 piges et c'est elle qui me l'avait piqué. Alors là.... Elle allait moins se marrer d'ici 1 minute c'est moi qui vous le dis. Me pinçant la lèvre, je la voyais détaler comme un lapin direction les chiottes. Tss elle croyait quoi celle là? On me vole pas comme ça et encore moins un objet aussi précieux que celui là.

Courant moi aussi vers les WC, je ne tardais pas à la rejoindre, la vilaine, elle aimait donc ça me faire chier hein, mais ça ne prouvait qu'une chose, qu'encore une fois elle ne pouvait plus se passer de moi. Ne m'énervant pas, j'approchais le sourire aux lèvres pour d'ailleurs lui faire part de ma pensée "Alors comme ça t'es tellement devenu accro' à moi que tu me pique mes bijoux? C'est que ça d'vient obsessionnel dis moi! La prochaine fois ce sera quoi? Un de mes boxer? Histoire que tu le renifle quand tu te sentira trop seule malgré tes doigts?", ouais je sais, la subtilité et moi ça faisait deux mais après tout, pourquoi me gêner? Ça faisait des jours que je la cherchais cette chaine et puis fallait dire ce qu'il est... Cette fille ne pouvait pas me résister! Dés le premier soir j'avais fini entre ses cuisses et pourtant avec celle là fallait y aller. Fait pété les jaloux que j'ai fait mais le pire c'est qu'elle a adoré ça et je l'avoue moi aussi. Une vraie tigresse. M'approchant plus près, je calais mon bras contre le mur, approchant mon visage encore plus près du sien "Tu m'le rend? Maintenant que t'as bien fait mumuse."..

Le jeu du chat et de la souris nous représentait bien. Moi je pensais être le chat. Mais une fois qu'il était proche de moi, je comprenais que c'était moi la petite souris coincé entre le mur et le chat. Alors comme ça t'es tellement devenu accro' à moi que tu me pique mes bijoux? C'est que ça d'vient obsessionnel dis moi! La prochaine fois ce sera quoi? Un de mes boxer? Histoire que tu le renifle quand tu te sentira trop seule malgré tes doigts? C'était d'un charme, il venait de dépasser mes espérances. Je pouffais de rire en l'écoutant dire ses bêtises, posant mes « fameux » doigts sur le bord de mes lèvres, je le regardais attentivement. J'avais envie de lui sauter dessus, de prendre son visage près du mien et lui montrer à nouveau le paradis, là il pouvait pas dire que je me contentais de fantasmer sur lui. Je restais prostré dans mon silence. Tu m'le rend? Maintenant que t'as bien fait mumuse. Ces mots, sa proximité, ça me démangeait. Je me contenais, je résistais à cette envie qui me torturait pas mal au fond, surtout qu'il était tellement proche de moi.

Je passais ma main sur la chaine, je m'apprêtais vraiment à lui rendre, au dernier moment, je m'arrêtais et remit mon bras contre mon ventre. Non... Ce murmure se fit doux bien qu'un peu sec. Je n'avais strictement pas envie de lui redonner, d'où l'intérêt que j'avais eu à lui prendre. Je réduisais la distance de nos visages, captant le souffle d'Hendrix entre mes lèvres. ça serait bien trop facile si tu le demandais non ? j'aurais pu l'embrasser, mais je n'en fis rien. Je passais ma main dans sa chevelure avant de me glisser à l'intérieur des toilettes. Il faudra te montrer plus convaincant si tu tiens vraiment à ta quincaillerie. Je lui lançais un regard de défi, aurait-il peur d'entrer « chez les filles » ? Je ne cherchais pas à nous avoir plus d'intimité, les cours étaient à présent terminé, les couloirs se videraient d'eux-même. J'avais envie de continuer à jouer au chat et à la souris, et vu que j'étais l’appât...

Quand je lui parlais elle riait, comme toujours, elle adorait ça se marrer! Pour ensuite poser ses doigts sur mes lèvres tout en me fixant autant que je le faisais mais en silence, ne prenant même pas la peine de me répondre, elle allait pour me rendre ma chaine juste avant de finalement refuser Non... , juste avant d'approcher au plus près son visage du miens Ça serait bien trop facile si tu le demandais non ? , et elle s'enfuie dans les toilettes après une main sensuel passé dans mes cheveux Il faudra te montrer plus convaincant si tu tiens vraiment à ta quincaillerie. , un long soupir les yeux levé je soufflait "Eeeet merde...", avant de la suivre sans l'ombre d'une gêne. Ouvrant même grand la porte, j'entrais normal tel une star en me pinçant la lèvre tout en m'approchant d'elle "Très bien, tu veux quoi? Que je te redonne la fessé?", oh oui elle savait très bien à quoi je faisais allusion, après tout entre nous ce n'était plus un secret. "Tu sais, si tu voulais une seconde valse fallait simplement le demander, ça aurait éviter que je t'en veuille de m'avoir volé ça.", dis-je en pointant le collier du doigt tout en m'approchant encore et encore, soutenant intensément son regard de mon air provocateur. J'approchais encore mon visage du sien, laissant mes yeux glisser un instant sur mon collier avant de les replonger dans son regard de tigresse en chasse. Après tout une partie de sexe dans les toilettes après les cours c'était sans doute pas si mal pour remettre en forme.

Il me troublait et me rendait tellement faible. Lorsqu'il parlait, j'avais comme l'impression que je devais lui obéir et que je devais chercher à lui plaire. Heureusement pour moi, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me remettait d'aplomb, qui m'aidait à m'en sortir. Il entrait et là, j'espérais que ça se termine bien tout en gardant le collier d'Hendrix. C'était mon assurance qu'il me restait un minimum de contrôle sur lui. Très bien, tu veux quoi? Que je te redonne la fessé? Je me mis à rire, il croyait que je l'avouerais ? Je suis pas si facile que ça. Je me contentais d'ignorer sa question. Tu sais, si tu voulais une seconde valse fallait simplement le demander, ça aurait éviter que je t'en veuille de m'avoir volé ça. reprit-il alors que son approche ne me rassurait pas du tout. L'envie de le prendre était revenue et devenait de pire en pire. Je me prenais au jeu, approchant à mon tour mon visage du sien. La question du jour était : Combien de temps je tiendrais avant de me jeter sur lui ? La question n'était pas évidente, c'était la première fois que je le revoyais depuis notre nuit. Tu m'en veux vraiment ? Je cherchais son regard. Je le sais très bien que je n'ai pas besoin de cette chaine pour coucher avec toi. Je suppose que ce n'est pas un exploit pour réussir à coucher avec toi. Je faisais vraiment ma difficile avec Hendrix. Il suffisait que je lui rendes, et je ne subirais plus ce trouble. Mais c'était beaucoup trop fort, j'en avais pas envie. Tu serais prêt à aller jusqu'où pour la reprendre ? Mes yeux se perdaient dans les siens, je posais ma main sur son torse en remontant jusqu'à sa nuque. Le souvenir de notre nuit refaisait surface et je sentais mes cuisses frémir sous cette pensée, mon souffle se saccada durant quelques secondes. Je m'arrêtais à quelques centimètres. Coucher avec lui serait admettre que je n'attendais que ça. Je me reculais soudainement, je posais mon postérieur sur le plan jusqu'au miroir.

Elle riait encore la saleté, de ce rire qui m'énervait autant que m'attirait vers elle. Ouais c'était une peste, une vampire à la soif gourmande mais c'est ça que j'aimais chez elle, elle était enivrante et j'aimais jouer avec elle, encore et toujours... Elle approchait d'ailleurs son visage du miens, m'imitant dans le geste Tu m'en veux vraiment ? , je me contentais de secouer doucement la tête de haut en bas en me pinçant la lèvre sans démorde de son regard Je le sais très bien que je n'ai pas besoin de cette chaine pour coucher avec toi. Je suppose que ce n'est pas un exploit pour réussir à coucher avec toi. , oh mais elle cherchait la bagarre là, je souriais d'ailleurs à son petit pic avant d'y répondre "N'y crois pas trop ma belle, car contrairement à certaines, je ne suis pas un mec facile...", et PAF! C'est ce qu'on appel renvoyer la balle en mode "perfect". Mais le fait est là, même de savoir qu'elle avait le feu dans le sang ne pouvait pas me retenir d'avoir constamment envie de lui sauter dessus. Tu serais prêt à aller jusqu'où pour la reprendre ? , ouh mais c'est qu'elle voulait encore une fois jouer avec le feu la coquine. Elle vint poser sa main sur mon torse, remontant jusqu'à ma nuque alors que mon visage effleurait maintenant le sien mais soudain, elle recula, s'asseyant sur le plan dos collé aux miroirs. Mon regard sombre était plongé dans le sien, c'est là que la porte s'ouvrit mais je ne laissais pas le temps aux deux mijaurée qui voulaient entrer de passer la porte car je gueula bien fort et froidement "Dégagez! C'est occupé!", elles ne demandèrent pas leur reste et repartirent cash, quand à moi, c'était trop tard je n'en pouvais plus, elle m'avait trop cherché. Je m'approchais d'elle, me plaçant entre ses cuisses pour la tirer vers moi et prendre sa nuque pour l'embrasser à pleine bouche. C'était ça l'effet Diamond sur moi... Une vrai drogue!

La tension que je ressentais était palpable. Il m'attirait douloureusement vers lui, j'avais envie de lui sauter dessus, lui faire la meilleure des fêtes. Lui lancer des piques, le provoquer, c'était tout ce dont j'étais capable. Il insinuait que j'étais facile à prendre. J'adorais rire avec lui, surtout lorsqu'il disait des conneries. J'avais compris son sous-entendu. J'étais loin d'être une fille facile, il le savait déjà. Je continuais mon jeu jusqu'à... ce que nous fûmes couper par des petites Cabots. Hendrix les renvoya. Je pouffais de rire tout en leur faisant un petit aurevoir de la main. Mais à peine j'avais reposé mon regard sur Hendrix que je me retrouvais corps à corps avec lui. Mon cœur s'arrêta net à cause de la surprise. Je retrouvais la chaleur de ses lèvres, de sa langue caressant la mienne. Intérieurement, je n'avais pas honte de dire que j'adorais ce qu'il se passait. Faut dire que j'en mourrais d'envie, que mes gestes avaient trahis mon envie. Je répondais à son baiser avec fougue. Je sentais le changement direct de température, et je vous parle pas des petites chaleurs de gamines excitées, je parle d'un coup de chaud, comme ci je fondais littéralement. Pour dire l'effet que me faisait Hendrix rien par un baiser dont j'avais plaisir à répondre. Je franchissais enfin les limites en passant mes mains sous son haut, et je raclais la peau de ses pectoraux tel un félin pour le provoquer puis je descendais ma main pour la mettre entre ses cuisses. Je cherchais encore à le provoquer, je me plaisais bien à ce jeu. Je le poussais un peu pour me mettre debout contre le plan. D'une main, je défaisais les boutons de ma chemise laissant apparaître mon soutien gorge, et surtout ma poitrine qui se bombait au rythme de ma respiration. Respiration qui était rapide, forte à cause de l'excitation. Je lui retirais son tee-shirt, j'admirais son corps. Ce n'était pas celui d'un mec qui faisait de la gonflette mais justement, c'est ce qui me plaisait. C'était naturel. Ça me plaisait. Je voulais son corps maintenant. J'en avais envie. Tu sortiras pas de si tôt de ses toilettes, mon beau. Je pris son visage entre mes mains pour l'embrasser à nouveau, puis d'un petit saut je m'appuyais au plan pour entourer ses hanches avec mes cuisses.

Et voilà comme à chaque fois avec elle c'était le pétage de câble et comme à chaque fois bah je lui sautais dessus. C'était toujours ça entre nous et allez savoir comment expliquer ça, ce lien, cette tension qui finissait toujours par nous scotcher l'un à l'autre comme des aimants, des bêtes sauvages en furie! Perso' je pouvais pas vraiment l'expliquer mais je m'en branlais sec, j'aimais ça! On s'embrassait fougueusement, ses griffes glissant sous mon t-shirt avant de descendre dans mon froc me câliner l'invertébré. Ouais elle ne se gènais pas, JAMAIS! Et c'était pas plus mal d'ailleurs et je ne me gênais pas non plus pour promener mes mains sur sa poitrine, dans le bas de son dos, avant qu'elle ne me pousse pour se mettre debout afin d'enlever sa chemise pour se foutre en soutiff, chopant le bouton de son jean pour le lui défaire alors qu'elle m'ôtait mon t-shirt Tu sortiras pas de si tôt de ses toilettes, mon beau. , elle croyait pas si bien dire! Remontant sur le plan d'un petit bon, elle m'enlaçait de ses cuisses tandis que je passais mes mains sous ses fesses pour la soulever afin de la prendre plus contre moi encore dans un nouveau baiser enflammé avant de la poser afin de lui descendre d'un geste sec son jean pour avoir accès à son joli dessous en dentelle! Passant ma main sur ses fesses à même la chair, je l'embrassais encore et encore avant d'aller dévorer son cou, sa gorge si douce puis de la retourner, la tenant par le cou d'un bras glissé entre ses seins et d'un autre descendant le long de son ventre pour aller la chercher dans son intimité. Ouais j'avais clairement envie d'elle là maintenant tout de suite! Rien à foutre qu'on soit dans les chiotes ou non.