LOUAMBI (+) crazy times, hilarious stories, and sisters at heart

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Bambi + Louison
musique ♪
Mise en page par dark dreams. pour ILH

Cela faisait à peine deux jours que tu avais débarqué au Laos, apprenant que tu allais devoir te coltiner Ezio comme colocataire. Tu savais déjà qu'il serait plus souvent absent qu'autre chose étant donné le nombre de nanas en bikini qu'il y avait dans le coin. Pour l'heure, le soleil brillait de mille feux, te rappelant les beaux jours que tu passais plus jeune au bord de la Méditerranée. Ainsi, pour profiter de ces vacances amplement méritées, tu avais tout de suite pensé à la magnifique sicilienne, j'ai nommé Bambi Corleonesi. Tu avais donc invité la Cabot à un bain de soleil sur une des innombrables plages paradisiaques du pays, vous y rendant bras dessus bras dessous, piaillant comme les gonzesses que vous étiez. Après avoir papoté plusieurs minutes, allongées sur la plage de sable fin, vous vous étiez endormies l'une contre l'autre, le soleil brûlant tapant sur vos peaux malgré le parasol qui tentait de filtrer les rayons sur vos têtes. Tout à coup, le rêve paisible que tu faisais prenait des allures cauchemardesques, tu te noyais dans un océan infini, avalant des gorgées d'eau à la chaîne. Avec une volonté démesurée, tu réussies à t'extirper de ton songe, rouvrant les yeux pour retrouver le monde réel. Tu avais bavé, et alors que tu souhaitais justement essuyé ce filet peu ragoutant à la commissure de tes lèvres, tu soulevas le bras de ton amie somnolente en même temps. Putain, tu étais encore dans un cauchemar ou quoi ? Tu fronças les sourcils en faisant gigoter lourdement vos deux poignets liés par une paire de menottes.
— " Fais chier. " soufflas-tu en essayant de te redresser pour trouver quel était l'enfoiré qui vous avez ligoté.
— " Bamboo, réveille toi, tu ne vas pas être contente du tout... " murmuras-tu en t'approchant de la brune qui émergeait doucement.

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Louison + Bambi
musique ♪
Mise en page par dark dreams. pour ILH

Un début de Summer Camp sur les chapeaux de roue pour la sicilienne, qui accompagnait aujourd'hui sa Louison adorée pour une journée à se dorer la pilule. Un vaste programme auquel elle avait adhéré en moins de dix secondes, montre en main. Il fallait dire que rien que pour se remettre du décalage horaire, auquel elle n'était plus du tout habituée, ce programme demeurait idéal. Les deux demoiselles se dirigeaient donc vers la berge, bras dessus et bras dessous à bavarder en bonnes gonzesses qu'elles étaient jusqu'à ce, sous leur parasol bien aimé filtrant les rayons néfastes du soleil, elles ne finissent par s'endormir de concert. Bambi elle-même n'avait eu aucun mal à sombrer dans les bras de Morphée, trop bien installée pour ne pas en profiter. N'était-ce pas là une formidable après-midi en perspective ? Du moins, sur le papier. A aucun moment la brunette ne put se douter du cauchemar se profilant à l'horizon, si ce n'était lorsqu'elle sentit Louison secouer légèrement son bras, l'extirpant ainsi de son sommeil réparateur. Qu'est-ce qui se passe Loulou ? demanda-t-elle, la voix encore ensommeillée. L'italienne se redressa et ce fut à ce moment précis que ses yeux captèrent la situation. Leurs deux poignets. Des menottes. C'est quoi ce bordel ?!

Alors que tu étais désormais pleinement consciente, tu constatas la situation avec désarroi. Vous étiez liées par des menottes qui avaient d'ailleurs tendance à couper la peau de ton poignet. Tu ne tardas pas alors à réveiller ton amie pour qu'elle sache dans quoi elle était dorénavant mêlée. Rapidement, la jolie sicilienne compris votre problème, ce qui sur le moment te fit sourire. " Un gros débile a dû nous mater entrain de dormir puis il a dû trouver ça marrant de nous boucler ensemble " proposas-tu comme explication en essayant d'attraper une bouteille d'eau dans ton sac de plage. Mais en te retournant brutalement, tu emportas ton amie sur le côté, sentant encore la menotte tiraillant ton poignet. " Pardon, va falloir que je m'y habitue. À part si tu as une tenaille dans ton sac à main, ce qui serait tout à fait logique tu vois " lanças-tu ironiquement en parvenant à déboucher ta bouteille pour boire quelques gorgées. Tu la tendis ensuite à Bambi pour qu'elle s'hydrate et ne crève pas au bout de ton avant-bras. " Bois, je veux pas traîner un cadavre toute la journée, même si ton boule est sacrément agréable. Alors, on fait comment, on rassemble nos affaires et on essaie de trouver un moyen de se défaire de ce machin ? " demandas-tu à la brune en secouant vos bras attachés.  

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Louison + Bambi
musique ♪
Mise en page par dark dreams. pour ILH

Pour être conscience désormais, Bambi l'était ! Mais elle tentait simplement de laisser la panique aux vestiaires pour se concentrer sur l'essentiel, à savoir comment les sortir l'une comme l'autre de ce pétrin. Je suppose qu'il faut presque que l'on s'estime heureuses de ne pas avoir été égorgées et que l'on ne retrouve de nous ici qu'une vulgaire flaque de sang... je divague, m'écoute pas ! secoua-t-elle négativement la tête alors que l'italienne essayait bien évidemment d'ôter son poignet menotté mais à part se faire un mal de chien, elle ne parvint à rien. Même si son pouce avait été déboité, il n'était pas certain qu'elle y serait parvenue... Pas de tenaille dans mon sac... si j'avais su ! Je dois avoir des épingles à chignon mais elles vont se plier direct dans la serrure je ne suis pas sûre que ça nous serve... soupira-t-elle avant d'accepter volontiers la bouteille tendue par Louison, car mine de rien, le soleil tapait pas mal et il commençait à faire sérieusement soif. Une chance que sa pote adorée ait pensé à prendre de l'eau ! T'inquiètes, je ne suis pas si fragile... on rassemble nos affaires et on va essayer de trouver un mécano qui peut avoir du matos ou un truc du genre, pas moyen qu'on reste clouées ici !

Une certaine panique commençait à naître, être dépendante de quelqu'un ne t'était jamais arrivé, c'était assez déroutant sur le coup. Les propos de Bambi sur votre éventuel meurtre n'arrangeaient rien. Vous étiez probablement en train de devenir dingues, partageant un délire macabre. Luttant contre les divagations de ton esprit, tu avais rapidement demandé à ton acolyte si elle ne détenait pas une solution magique dans son sac, et comme tu l'avais déjà imaginé, rien de bien utile contre cette paire de menotte ne se trouvait dans les affaires de la jolie italienne. " Ouais ça à l'air bien costaud comme mécanisme, faut qu'on scie ce machin " répondis-tu en examinant les menottes avant d'attraper une bouteille d'eau pour t'hydrater. Tu sentais ta tête légèrement tournée et ta bouche était considérablement sèche, il fallait y remédier. Ainsi, après t'être ressourcée, tu en proposas de même à Bambi avant que vous ne ramassiez vos affaires pour trouver une solution. Seulement vous étiez au beau milieu de nulle part, particulièrement isolées au bord du fleuve. Avant de retrouver la civilisation, il allait falloir marcher un bout de chemin. Cela vous apprendra à vous la jouer aventurière en quête de tranquillité. Après avoir réussi à vous relever, chacune votre sac accroché à votre bras de libre, vous rebroussèrent chemin côte à côte. " Sinon Bambi, ça se passe bien dans ta vie actuellement ? La famille, les amours toussa " l'interrogeas-tu la moue froncée, subissant la chaleur écrasante avec difficulté, basculant de temps à autre un peu trop du côté de la jeune femme à cause de vertiges.  

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Louison + Bambi
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Mise en page par dark dreams. pour ILH

D'accord, ce n'était pas franchement le moment d'avoir un quelconque délire macabre ou même d'imaginer le pire mais Bambi ne contrôlait plus vraiment son esprit à la seconde. Difficile de ne pas avoir les pires idées possibles et imaginables alors qu'elle se retrouvait le poignet attaché par des menottes à celui de sa meilleure amie Louison... et le pire, c'est que son sac à main, pourtant bien rempli de tout un tas de trucs féminins au possible, ne contenait même pas le plus petit objet capable de faire sauter la serrure de cet engin de torture. Tu as raison, je pense que la scie est la seule option que nous ayons... soupira-t-elle avant de boire quelques gorgées d'eau ô combien salvatrices, qui allaient lui permettre de tenir le coup. Il ne fallait pas oublier que, sous cette chaleur écrasante, Bambi était enceinte, même si elle ne le savait pas encore... la tête qui tourne, les nausées, tous ses symptômes risquaient de compliquer considérablement leur expédition, même si les deux acolytes venaient de quitter leur petit endroit de tranquillité au bord du fleuve. Je devais aller passer quelques jours en Sicile à la fin de l'été mais je ne suis pas sûre de le faire vu mes récents contacts avec ma mère... sinon je me suis faite larguer avant l'été, mais cela m'a aidé à comprendre que j'aimais mon meilleur ami... je suis compliquée en vrai ! Et toi ma belle ?

Alors que vous vous dirigiez vers la ville, toujours sanglée l'une à l'autre, tu en profitais pour en apprendre plus sur la vie de ta meilleure amie. Transpirante, tu écoutais attentivement la brune qui se livrait. Bambi avait peut être une famille, -ce qui n'était pas ton cas- mais la sienne paraissait épouvantable. Tu grimaças lorsqu'elle te confia s'être faite larguée avant l'été mais tu esquissas un sourire lorsqu'elle mentionna le fait qu'elle s'était rendue compte de son amour pour son meilleure ami. Si seulement tu avais tant d'opportunités... " Eum moi ? Je n'ai plus de famille donc sur ça je peux pas m'étendre et niveau amour, c'est le calme plat, un flirt avec une nana et puis silence radio. Je suis aussi compliquée et un peu sauvage... Faut que tu me donnes des cours de drague. " bavardas-tu en marchant nerveusement, secouant ton bras emprisonné pour écarter une mouche en emportant toujours celui de Bambi. " Non mais toi t'as même pas besoin de draguer je suis conne, t'es trop canon, les mecs viennent lécher tes pieds direct. Du coup, tu sors avec ton meilleur ami actuellement ? " balanças-tu en regardant ton amie, totalement admirative. Puis, avec persévérance, vous aviez passé un énorme portail vous replongeant dans la civilisation. Des tas de personnes s'arrêtaient pour vous dévisager. " Soit on nous prend pour des évadées soit pour des grosses lesbiennes qui se sont piégées à leur propre jeu sexuel " plaisantas-tu en éclatant de rire, fusillant du regard les passants trop insistants à ton goût.

Bambi écoutait les confidences de Louison sans faire de commentaires, car il n'y avait rien à dire après tout. Elle prit un air grave en apprenant pour sa famille, se retenant de dire qu'elle en était désolée, car cela se lisait très aisément sur son visage. L'italienne ne souhaitait pas gêner son interlocutrice alors qu'elles étaient toutes deux attachées par leurs poignets, et rebondit plutôt sur le fait de lui donner des cours de drague, chose qui pourrait être extrêmement fun. Tu es sûre d'en avoir besoin ? Tout dépend si tu vises un mec ou une nana... je peux te briefer pour les deux si tu veux ! proposa-t-elle avec un clin d’œil complice, esquissant un petit rire amusé au passage. Devenir prof en la matière l'amusait d'autant plus qu'elle s'était faite récemment larguer comme un vieux paquet indésirable dans une gare... Et toi alors, t'es pas trop canon peut-être ? Tsss ! T'es parfaite chouchou t'as aucun souci à te faire, faut juste laisser un peu les autres t'approcher, c'est tout... et pour te répondre oui, je sors actuellement avec mon meilleur ami. C'est... explosif et top. Je n'aurais jamais pensé que ça puisse l'être à ce point ! Pudique et romantique à la fois, Bambi n'alla pas jusqu'à avouer à quel point ses sentiments étaient puissants pour lui également. Cela viendrait peut-être plus tard, dans la conversation... surtout que les personnes qu'elles croisaient toutes deux étaient nombreuses et que leurs mots pouvaient donc être épiés, en plus de la présence des menottes à leurs poignets respectifs. Je pencherais pour les lesbiennes... vus leurs regards, on dirait qu'ils ont vus un truc de ouf sans déconner ! éclata-t-elle de rire bruyamment.

Ereintée par cette journée particulièrement chaude et éprouvante -compte tenu des circonstances-, tu n'avais pas pour autant perdu ta grande curiosité. De ce fait, tu avais appris que Bambi sortait à présent avec son meilleur ami, une vraie tombeuse celle-ci. Tu te demandais quel était son secret pour séduire car pour toi, c'était le calme plat. En même temps, malgré les rumeurs que tu faisais circuler de temps à autre sur ta vie sexuelle épanouie, tu cachais en réalité un désert aride. La raison était toute simple, tu attendais le bon. Cependant, quelques conseils pour justement trouver l'élu(e) n'était pas de refus. Ce qui te surpris, ce fût l'apparente capacité de Bambi de te procurer des tuyaux aussi bien pour draguer un gars qu'une fille.  " Euh, t'es bisexuelle Bambou ? " demandas-tu franchement. " En tout cas, je suis bien contente pour toi que tu aies trouvé un mec qui te rende heureuse, l'autre gars s'est bien foiré " avouas-tu en franchissant le portail du parc tout en déboulant sur une avenue piétonne. Vous plongeant dans cette masse de touristes, vous attiriez des dizaines de regards avec votre paire de menottes vous reliant l'une à l'autre. " Perso, ça me dérange pas de m'afficher en tant que lesbienne à tes côtés, je suis flattée " déclaras-tu à la ravissante Cabot en lui lançant un clin d'oeil complice. Poursuivant au hasard votre chemin dans un rythme bien huilé pour ne pas vous arracher un bras, tu aperçus tout à coup une caserne de pompiers au bout de la rue. Cherchant le regard de l'italienne, tu repris la parole pour lui signaler ta découverte inattendue " Ça te dis de te faire sauver par les pompiers laotiens ? " Ton visage qui était jusque là bien fermé s'illumina face à cette bonne nouvelle, encore fallait-il qu'ils aient le matos pour vous délivrer. Arrivant enfin à hauteur du bâtiment, tu entras dans la cour ouverte en cherchant désespérément une âme égarée. Soudain, un brun bien typé descendit par une colonne à votre droite, le parfait cliché quoi. " On a voulu pimenter notre vie sexuelle et voilà le résultat, on a paumé la clé, vous pensez pouvoir nous aider ? " demandas-tu en battant des cils puis en te tournant vers Bambi avec un sourire malicieux.

Sans même y faire attention, Bambi avait lâché une information plutôt croustillante sur ses préférences sexuelles. Pourquoi diable aurait-elle dû y réfléchir ? Certes, la situation actuelle n'était pas brillante et elle se retrouvait menottée au poignet de Louison mais il s'agissait là d'un sujet tout sauf tabou pour elle... aussi, à la question de sa blonde préférée, un petit sourire taquin pointa bientôt le bout de son nez, tandis qu'elle haussait les épaules. Je ne m'en suis jamais cachée à vrai dire expliqua-t-elle, sérieuse malgré tout. Pas de quoi faire une syncope puisque l'italienne avait testé hommes et femmes, et connu le bonheur dans les deux cas. Différemment, voilà tout. Je t'avoue que je ne pensais pas retrouver quelqu'un de sitôt... je m'estimais un peu maudite étant donné mes derniers échecs... mais avec Maxence, on se connaît depuis tellement longtemps que c'est l'évidence. Je crois aussi que j'ai plus envie d'y croire ! admit-elle avec un rien de nostalgie, laissant le passé au passé concernant ses exs et se concentrant uniquement sur le temps qui aurait pu être bien mieux utilisé par son meilleur ami et elle. Mais maintenant qu'ils s'étaient avoués leurs sentiments... pour sûr, ils ne se lâchaient plus. Hey je suis la première flattée tu sais ! lui rendit-elle son clin d’œil aussitôt, bien trop complice avec Louison pour ne pas la rejoindre sur ce terrain là. Ceci étant... la proposition d'être sauvée par des pompiers laotiens était vraiment trop belle et lui fit vivement hocher la tête positivement de bas en haut. Autant dire qu'elle suivit sa comparse sans la ralentir de la moindre seconde, jusqu'à arriver au bâtiment où un pompier descendit une colonne à leur droite. Plus cliché tu meurs, m'enfin elles avaient besoin de lui... Vous voudriez pas qu'on ait encore plus bobo à nos poigneeeets, si ? Bambi en parfaite petite chose fragile, s'avança doucement pour montrer la maigre rougeur à leurs deux poignets, en faisant la lipe, arguments féminins en avant. Il serait toujours temps de se barrer à grandes enjambées une fois libres.