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NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey

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Natalia
Giovanni-Pears
feat Caitlin Stasey
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Nom ; Giovanni-Pears, un nom qui fait écho à mes doubles origines. Le premier est celui de ma famille maternelle, typiquement italien, tandis que l'autre me vient d'un père anglais. Mes parents ont fait le choix de me léguer leurs deux patronymes, malgré le fait que cela soit plutôt mal vu dans la région traditionnelle et conservatrice d'où je viens. Qu'à cela ne tienne, je suis fière de mon héritage et je le porterais avec honneur. Prénom ; Natalia, qui vient du latin "natalis" et fait directement référence à la naissance du Christ. Plutôt ironique pour une agnostique comme moi. âge ; 21 ans, quasiment 22 orientation sexuelle ; apparemment hétérosexuelle parce que j'ai eu le malheur de m'intéresser à un représentant de la gent masculine un jour. statut social ; je suis issue de la classe moyenne et je travaille dur pour améliorer cela. date et lieu de naissance ; le 22 juillet 1995, à Catane (Sicile). nationalité ; italienne (mon père était anglais à l'origine, mais il a acquis la nationalité italienne) études majeures ; Histoire groupe #1 ; Dunster groupe #2 ; Students crédits ; Ecstatic Ruby


DUNSTER HOUSE.
J'ai toujours eu l'étoffe d'une Dunster. Mon intelligence n'est plus à prouver et mon ambition est à la hauteur de cette illustre maison. Je veux devenir une historienne réputée de tous et pourquoi pas une source d'inspiration pour les générations futures, je dois pour cela ne m'entourer que des meilleurs et avoir d'excellentes références. Je ferais tout pour y parvenir, même s'il me faut sacrifier les relations humaines et écraser la concurrence. Participer à l'organisation d'événements n'est pas trop mon genre, mais je suis néanmoins prête à faire quelques concessions pour la renommée de ma confrérie.

  STUDENT.
Les Dunsters sont la seule confrérie qui a de la valeur à mes yeux, et je refuse d'en intégrer une autre. J'ai bien pensé à la Quincy House pour sa bonne réputation, mais on ne peux pas dire que mon côté relationnel soit très développé... De même pour la Cabot House, qui est en plus peuplée de filles frivoles dont les études ne sont pas la priorité première. Si je ne marche pas avec les Dunsters, alors je préfère faire mon chemin vers la gloire seule que mal entourée. Et puis honnêtement, vous me verriez chez les Mathers ou les Eliots? Restons sérieux.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Une histoire révoltante. Qu’une bande de petits vauriens frustrés par leur propre médiocrité se permettent de tenter ainsi d’ébranler l’une des plus illustres institutions du monde ! Les journaux avaient dit qu’ils étaient désœuvrés et désespérés ? La bonne excuse ! Quand la vie vous entraîne plus bas que terre, réveillez-vous, bougez-vous, et reprenez le contrôle ! Ces quatre misérables n’avaient qu’à s’élever au-dessus de tous par la voie intellectuelle, s’ils voulaient qu’on les reconnaisse et qu’on les comprenne. C’est trop facile de se dédouaner de son incompétence en prétendant que tout le monde nous rejette. Pour ma part, je pense qu’ils ont eu ce qu’ils méritaient à la fin de cette histoire. Je n'ai pas été agressée ni connu quelqu'un qui l'a été, je n'étais pas non plus sur les lieux d'une prise d'otage.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
La peur de ma vie. Et croyez-moi, je n’ai pas peur de grand-chose. Contrairement aux autres débauchés de l’université, j’avais participé au Spring Break pour faire du tourisme, ayant rarement eu l’occasion de visiter des pays étrangers jusqu’à présent. Le tremblement de terre nous a tous pris par surprise, c’était la panique générale, les gens se ruaient vers la ville en essayant d’éviter les éboulements, et tout le monde craignait une réplique. J’ai pu compter sur la générosité et le professionnalisme des secouristes locaux, même si je suis ressortie de cette aventure avec une entorse et une épaule déplacée dans les mouvements de foule. Cela ne m’a aucunement empêché de continuer mes études, et j’étais de retour sur les bancs de la fac dès mon retour à Cambridge.
TON ADMISSION A HARVARD
Qui aurait pu douter de mon admission à Harvard avec un dossier en béton comme le mien ? Le terme « première de la classe » m’a accompagné de mon entrée à l’école élémentaire jusqu’à la fin du secondaire, sans discontinuer. Je suis même parvenue à décrocher une bourse de mérite pour suivre un cursus universitaire. J’ai postulé pour la meilleure université de toutes, et j’y ait été acceptée grâce à un dossier irréprochable, des excellents résultats, des recommandations élogieuses de la part de mes professeurs (sauf un, évidemment), et un essai dans lequel j’ai clairement exposé mes ambitions de révolutionner le monde de la recherche historique.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lunadea et j'ai presque un quart de siècle, rendez vous compte. Je suis corsoise et j'ai connu le forum parce que qui ne connait pas ILHLe RP me manquait et ILH c'est quand même un forum super actif et accueillant pour faire évoluer un personnage j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Caitlin Cutie Stasey  Vic comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Ecstatic Ruby. Je fais environ entre 300 et 800 mots par RP et mon personnage est un personnage recyclé inventé

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7499]►[/url] ► <span class="pris">CAITLIN STASEY</span> ♦️ “ Natalia Giovanni-Pears ”[/size]


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Natalia contre le reste du monde
L'histoire d'une fille qui se prend pas pour de la fiente


J’ai toujours été la meilleure. Depuis toute petite. Dans tous les domaines. Ce n’est pas de la prétention de ma part (ou si peu), rien que l’exacte vérité, et tant pis si cela irrite la médiocrité de certains. Il faut dire que j’avais déjà de bons antécédents, étant la fille unique et chérie de deux professeurs d’université connus et reconnus dans ma région. Je suis née par une magnifique journée estivale au sein de ce qui est à mon sens l’un des joyaux de la Méditerranée et sans doute même du monde, la Sicile. Fière de mes origines, moi ? Assurément. J’ai beau avoir traversé un océan pour réaliser mes rêves, je reste profondément attaché à ma terre et à ma mer natale. J’ai vécu une enfance ordinaire et paisible dans les environs de Catane, et, si mes parents n’avaient pas de salaire à dix chiffres, j’estime n’avoir manqué de rien pendant ma jeunesse.

Très tôt, j’ai développé une intelligence hors du commun. J’ai rapidement su lire et écrire, et je me suis vite passionnée pour la lecture. Je dévorais tout ce qui me tombait sous la main, que ce soit des manuels scolaires, des romans d’aventures, des journaux, des polars, des essais, des histoires à l’eau de rose, des articles scientifiques… Tout ce qui contenait du texte était susceptible de m’intéresser ! Grâce à mes nombreuses lectures, qui n’étaient d’ailleurs pas toujours adaptées à mon jeune âge, j’ai rapidement acquis beaucoup de connaissances dans des domaines variés. J’ai également commencé à apprendre l’anglais dès ma première année d’école élémentaire, ce qui m’a permis d’être complètement bilingue aujourd’hui. J’aurais facilement pu sauter des classes, mais je ne l’ai pas voulu. J’estimais que ne pas suivre l’enseignement adapté à mon âge pourrait me pénaliser plus tard.

Je brillais à l’école par mes capacités hors normes et mon comportement exemplaire, mais je remarquais toutefois que mes petits camarades évitaient de s’approcher de moi. A l’époque, je ne comprenais pas pourquoi : j’étais l’élève modèle, celle avec qui tout le monde rêve d’être ami, celle qui avait toujours un sourire pour les professeurs et la bonne réponse avant tout le monde. Avec le temps, j’ai fini par comprendre qu’ils étaient simplement jaloux de mon intelligence supérieure et ne désirait que nuire à ma réussite. Cela fait que j’ai vécu plutôt isolée pendant mon enfance, ma famille représentant mes principales relations. Mais mes livres étaient là pour me tenir compagnie, et je ne souffrais pas de cette solitude.

A partir du secondaire, les choses ont changées. Premièrement : le changement l’environnement. J’avais toujours vécu dans un petit village peu peuplé, entourée de ma famille, et mon école ne comptait pas plus d’une trentaine d’enfants. L’école secondaire de Catane, elle, dépassait le millier d’étudiants. Un changement angoissant qui m’a poussé à me renfermer sur moi-même. Je dois l’avouer : les autres élèves m’effrayaient, la situation de l’école primaire était inversée. Alors j’ai fait ce que je savais faire le mieux, c’est-à-dire me plonger dans les études. Il faut dire que le système secondaire italien est particulièrement sélectif et j’avais tout intérêt à démontrer mes capacités le plus tôt possible. Je n’hésitais plus à mépriser publiquement mes camarades de classe quand ils avaient de moins bons résultats que moi, et leur mettre discrètement des bâtons dans les roues quand je sentais qu’ils pouvaient devenir une menace. J’étais tout de même un peu déçue de ne pas avoir mon cercle d’amis comme les autres, mais je ne trouvais personne ici digne de mon intérêt. Après une licenzia media brillement obtenue, je me suis orientée vers un lycée classique axé sur les langues et la littérature, une aubaine pour moi d’apprendre de nouveaux dialectes. Ainsi aujourd’hui j’ai de solides notions de français et d’espagnol.

Du côté des relations sociales, ce n’était toujours pas mieux. La différence est que j’étais plus proche de mes professeurs qu’auparavant, ceux-ci ayant plus de temps à me consacrer. Au début nous nous contentions de relations de professeurs à élèves, ils m’invitaient parfois pendant les pauses à venir discuter des cours et des devoirs avec eux. Puis, à force de conversations de plus en plus variés, certains sont devenus… des mentors, je suppose. Je ne peux pas décemment les qualifier d’amis mais j’avais avec eux une relation beaucoup plus profonde et développée qu’avec les gens de mon âge. Il faut dire aussi que je considérais presque mes camarades comme inférieurs à moi. J’avais acquis une grande maturité pour mon âge, peut-être trop grande à cette époque, et eux étaient restés des enfants qui ne s’intéressaient qu’aux sorties, à la séduction et l’abrutissement. Avec mes professeurs je pouvais avoir de vraies discussions, et peu m’importait si nous n’organisions par de soirées pyjama entre nous.

Il y en avait un en particulier que je voyais comme un modèle : mon professeur d’histoire. Il était jeune donc plus proche de moi que les autres professeurs, il valorisait mon travail et m’encourageait à faire toujours mieux, il était gentil, attentionné et drôle. Je l’admirais. Et là vous vous dites que je suis tombée amoureuse de lui, n’est-ce pas ? Non, ce serait trop prévisible… Et pourtant. Moi qui avais toujours planifié ma vie à la seconde près avec la réussite pour seul objectif, l’amour m’est tombé dessus sans crier gare. Mais je ne pouvais pas lui faire part de mes sentiments, il était mon professeur, j’étais trop jeune, c’était interdit… et excitant ! J’étais à la fois honteuse et euphorique. Je me sentais l’âme d’une héroïne de drame romantique, je pouvais vivre une passion défendue. Mais je ne l’ai pas fait. Premièrement parce que j’étais lucide et je savais qu’il ne répondrait pas à mes sentiments. Deuxièmement, et c’est pire que tout, parce qu’il m’a trahie.

Il était beaucoup moins naïf que je ne le pensais, c’est moi qui l’était. A l’époque, il travaillait sur une thèse sur l’époque médiévale en Italie et m’avait donné l’opportunité de l’aider dans ses recherches pour améliorer ma culture historique. Sans être de niveau universitaire, le travail que je fournissais était convenable et semblait le satisfaire. J’étais heureuse de pouvoir participer à l’élaboration d’un tel ouvrage, peut-être qu’il me gratifierait pour ça et quand j’aurais passé la majorité peut-être que lui et moi pourrions… Oh, je n’osais y penser ! Je vivais sur un petit nuage, je pratiquais mes activités favorites aux côtés de l’homme que j’aimais et cela me convenait. Je pensais vraiment qu’il m’appréciait pour ce que j’étais. Ma crédulité ne m’a pas permise de me rendre compte que son objectif était uniquement de se servir de mes capacités intellectuelles. A partir du moment où il a présenté sa thèse, je ne l’ai plus revu. Passée la déception, j’ai entrepris quelques recherches et découvert qu’il avait un colocataire. Celui-ci m’a tout révélé : conscient des sentiments que j’éprouvais pour lui, mon professeur m’a manipulé pour obtenir de moi exactement ce qu’il voulait. Au début il était sincère, il s’intéressait vraiment à moi. Mais quand il s’est rendu compte que j’étais tombé amoureuse de lui, il n’a pas hésité à se servir de mes sentiments pour accomplir ses objectifs. Après avoir lue la fameuse thèse je me suis aperçue que c’est moi qui avais trouvé la plupart des lignes directrices et des références. Ce salaud avait profité de mes sentiments et de ma faiblesse, j’en étais enragée !

Quelques semaines plus tard je recevais ma lettre d’admission à Harvard ainsi que l'attestation de l'obtention d'une bourse de mérite pour y étudier. Je suis la meilleure, je me devais de postuler pour la meilleure des universités et d’y être acceptée. Voir leur fille partir à l’autre bout du monde à beaucoup peiné mes parents mais j’essaie de rentrer les voir aussi souvent que possible.

Aujourd’hui, je suis en quatrième année d’Histoire (il faut dire que j’ai toujours eu des prédispositions dans ce domaine), en phase de passer en Maitrise, et j’ai clairement pour objectif le doctorat. J’évite tout contact social, en particulier avec les hommes. J’ai beaucoup de mal à accorder ma confiance aux autres et mon caractère taciturne y est aussi pour beaucoup. Je n’ai que peu de proches et je me consacre uniquement à mes recherches. Certains pourraient trouver ce mode de vie bien ennuyeux, mais ce n’est qu’un modeste prix à payer pour devenir une historienne respectée. Je veux la reconnaissance de mes pairs et je suis prête à tout pour y parvenir, y compris marcher sur les corps de la concurrence. Je prouverais ma valeur à tous, et je ne laisserais plus jamais qui que ce soit abuser de ma confiance et de mon talent !
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3997999705
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Bienvenuuue et bon courage pour ta fiche NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 2511619667 NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3850463188
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caitlin est tellement belle  NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3026748879 NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3026748879
bienvenue par ici et bon courage pour la suite de ta fiche !! NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3850463188 
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bienvenuuuue NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 2109348208 
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Bienvenue chez toiiiiiiiiiiiiiiii !! NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 1946740601 NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 1230098378 NATALIA GIOVANNI-PEARS ► Caitlin Stasey 3026748879
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