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Luckiam ►La parole est-elle d'argent ou d'or ?

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Quelques semaines s'étaient écoulées depuis la dernière fois que Lucky et moi nous nous étions vu. Et notre dernière conversation avait été... Eh bien ça n'avait pas vraiment été une conversation dans le sens où j'avais choisi de ne pas répondre à certaines questions qui m'avaient été posées. J'ignorais encore si les choses seraient différentes aujourd'hui, seulement, j'avais ouï dire certaines choses que je ne pouvais pas prendre en considération. Comme le fait que la maintenir loin de moi ne lui permettrait pas de demeurer en sécurité pour autant.
Et voilà qu'alors que j'avais mis plus que de la distance entre elle et moi. Malgré moi d'ailleurs... Mais c'était une tout autre histoire.
Pour l'heure, j'arrivais à la porte de l'appartement de Lucky, qui avait à me parler. Et comme tout homme qui se respectait, je savais qu'il n'y avait rien de bon dans cela... Je serais en tout cas assez surpris qu'elle n'exige pas à nouveau des réponses à ses questions. Je toquais à sa porte pas plus sûr que la fois d'avant de pouvoir lui apporter ses réponses. "C'est William." préférais-je m'annoncer peu après avoir toqué supposant qu'elle s'était approché de la porte pour regarder à travers le juda.
Lorsqu'elle ouvrit la porte, mon regard se posa délicieusement sur son corps que je pris le temps de savourer. "Je peux rentrer ?..."



@Lucky E. Burberry
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Quelques sms échangés avec William, me voilà à faire les cent pas dans mon salon. Réfléchissant à si je n'aurais peut-être pas dû accepter qu'il vienne ici, à une heure aussi tardive, quand je commençais à virer au parano en me disant que j'étais surveillée de partout. Par ce tireur et même par les espions de CS. Seriously ? J'en étais arrivée à ça aujourd'hui ? S'en était démoralisant. Comme si cela ne suffisait pas, lorsque Cole avait été porté disparu, j'avais laissé mes sentiments prendre le dessus en lui écrivant par mail, tout ce que je ressentais au fond de moi. Tout ce que je ressentais à son égard encore aujourd'hui. Rien qu'en me rappelant de chaque mot, je posais mes mains sur mon visage à la fois rouge de honte et désespérée de mon cas. Je me sentais idiote d'avoir tout balancé comme ça, consciente que je n'aurais pas dû le faire. Consciente que ça allait peut-être installée un gros gêne à l'avenir. Ça ne serait pas étonnant qu'il m'évite now. Anyway, c'est en entendant frapper à la porte que je sors de mes songes, surprise par la rapidité de William et voulant me précipiter, je me prends une cheville contre le pied du fauteuil perdant ainsi l'équilibre et m'écrasant au sol. Rien de casser, juste un petit bobo sur le front. Ce coup allait laisser une petite marque rouge, mais de toute façon ce n'est pas une si petite douleur qui allait m'arrêter quand on sait tout ce que j'ai encaissé jusqu'à aujourd'hui. Entendant la voix du professeur, j'ouvre rapidement la porte en me massant le front surmonté d'une petite grimace de douleur. « Hey... Évidemment. » Question qui me fait légèrement rire parce que bon, on allait quand même pas discuter sur le pas de la porte si ? D'ailleurs, la parano en moi le laisse entrer avant de me pencher dans le couloir pour voir s'il n'avait pas été suivi. Tout simplement parce que j'ai la sensation que William sait quelque chose sur ce tireur et mon intuition ne me mens presque jamais. « Prends tes aises... Je te serre quelque chose à boire ? » Que je lâche en l'invitant à prendre place sur l'un des fauteuils, passant une mèche rebelle de mes cheveux derrière mon oreille. Mine de rien, je ne savais plus comment agir avec lui, des semaines se sont écoulées et une distance s'est installée. On dirait réellement un prof et son étudiante pour le coup.

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J'avais attendu que Lucky m'autorise à la rejoindre avant de quiter le bas côté de la route et me diriger vers son appartement. Pourquoi ? Parce que je n'étais pas certains qu'elle accepte de venir jusque chez moi. Parce que je préférais qu'elle ait en quelque sorte la sensation d'avoir du contrôle sur une situation qui pourrait surement la dépasser totalement. Et que pour se faire, il était mieux qu'elle soit en un terrain connu et conquit. A savoir : le sien !
J'avais réfléchis à tout ceci comme s'il était déjà décidé de que je mette à plat chacun des mystères qui planait autour de ma personne. Alors que... Bon sang ! J'avais passé ses dix dernières années à les cacher à la terre entière.
Mon sens accrue de l'observation ne manqua pas deux choses évidentes. La première : Pourquoi diable avait-elle regarder derrière moi comme si elle redoutait que ses voisins ne m'ait vu rentrer chez elle. Peut-être d'ailleurs était-ce parce qu'elle redoutait que ses voisins ne m'ait vu justement ! Et la seconde : D'où provenait cette rougeur qu'elle avait au front ? Elle se massait d'ailleurs... Je fronçais légèrement les sourcils alors qu'elle me laissait entrer. Elle m'invitait d'ailleurs à faire comme chez moi, sous d'autres termes, mais je le comprenais ainsi.
Je baisse les yeus sur le fauteuil qu'elle m'indique. En d'autres circonstances, je me serais assis etl'aurais surement invité à faire de même. sans vraiment l'y inviter d'ailleurs, je l'aurais simplement tirer par le bras, pour l'entraîner à ma suite, et juste la saluer comme je me devais de le faire. Ce soit, je m'étais contenté de me tourner vers elle pour lui répondre d'un ton neutre « Ce que tu as de plus fort... Il faut qu'on parle à ce qu'il parait. » Ce n'était d'ailleurs pas seulement A ce qu'il parait. Il fallait que je lui parle. Même si quelque part j'attendais que la missive vienne d'elle. Et pourquoi d'ailleurs ? N'avait-elle pas demandé encore et encore explications et réponses que que j'avais pas été en mesure de lui donner. Je la suivais alors, oubliant la place assise qu'elle m'avait proposé alors qu'elle me servait. « Tu t'es blessée ? » demandais-je cédant à ma curiosité.


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William & Lucky

Je fronçais les sourcils en sentant William me suivre dans la cuisine au lieu de prendre place sur un fauteuil. Après tout, je lui avais demandé de prendre ses aises alors je haussais les épaules en le laissant me suivre, lorsqu'il releva le point important du pourquoi j'ai accepté qu'il vienne. Je secoue positivement de la tête pour appuyer ses dires. Il fallait qu'on parle effectivement. Ouvrant mon frigo, je fais sortir une simple bière, parce que c'est ce que j'ai de plus fort pour l'instant. Je n'ai pas eu le temps de faire les courses alors j'espère que ça lui ira. « J'ai été la cible d'une balle... Et si Lisbeth n'avait pas été là, je serai peut-être passée. » Avouais-je cash en posant la bouteille de bière sur le comptoir afin de l'ouvrir. Je suis presque certaine qu'il le sait déjà, qu'il a même une petite idée de tout ce soudain, bordel. Néanmoins, je garde les yeux posés sur la bouteille que je lui tends. À lui de voir si je venais indirectement de lui demander une explication ou, si je disais juste ça comme ça. William est un homme intelligent, je suis certaine qu'il sait pertinemment où je veux en venir. « Non non, c'est rien qu'un petit coup que je me suis mangée au sol, t'inquiète. » Que j'affirmais en posant quelques doigts sur mon front pour masser la toute petite bosse encore invisible. Je restais cependant derrière le comptoir plongeant mes prunelles dans les siennes. Attendant impatiemment la réaction du professeur.

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Je la voyais hausser les épaules alors que je la suivais puis hocher la tête tandis que je la suivais sans plus dire un mot. Le sujet dont elle tenait à ce que l’on discute. Je me demandais si je ne préférais pas qu’elle me parle d’autre chose. De cette conversation que nous n’avons pas terminée par exemple. Mon regard se fixait sur elle, intérieurement alarmé par ce qu’elle venait de m’annoncer. Alors qu’elle attrapait un décapsuleur, je posais ma main sur la bière qu’elle avait posée et frôlais sa main tout à la fois. Un contact que je ne m’excusais pas d’avoir provoquer.
Il y avait tout à tas d’autres choses pour lesquelles je devais m’excuser. Pour commencer le fait de l’avoir même involontairement mise en danger. Elle me rassurait tout de même en m’expliquant que la rougeur qu’elle avait au front n’avait aucun rapport avec ce qui s’était produit plus tôt avec Lisbeth. « Je suis désolé. » m’excusais-je comme il m’arrivait rarement de le faire. J’aurais aimé lui dire que je l’avais prévenu. Mais j’étais certain ne pas être obligé de le lui rappeler. Je retenais surtout qu’il me faudrait joindre Wasp pour savoir ce qu’elle avait recueillir comme informations sur ce qui s’était passé. J’aurais aimé entendre de Lisbeth que ce n’était pas Lucky qui avait été visé. Mais maintenant que je savais qui était la suédoise qui en avait après Lisbeth, je venais à me demander si je ne devais pas simplement joindre Camilla, et lui exiger une explication. « Lucky… Je… C’est tout ce que je voulais t’éviter. » lui assurais-je en contournant le comptoir pour lui faire face.

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William & Lucky

Pendant un instant je laisse mes yeux se perdre sur sa main qui frôle la mienne et ce contact qu'il provoquait. Je la retire rapidement en me mordant discrètement la lèvre inférieure et revenant au sujet principal. Il était désolé ? Peut-être n'était-ce pas suffisant ? Comprenait-il vraiment que j'avais failli y laisser ma peau ? Avait-il connaissance du vrai danger ? Un désolé suffira-t-il à me garder loin de ses ennemis ou celui de la jeune Lisbeth ? Je laisse pourtant un soupir m'échapper. Comprenant que j'aurais droit à un discours de sourd, again. « Mouais... » Que je n'avais pu m'empêcher de sortir. Là pour le coup, je commençais à perdre patience. Surtout lorsqu'il contourne le comptoir pour se retrouver face à moi. Et enfin, qu'il me sorte que c'est ce qu'il aurait voulu m'éviter n'arrangera en rien, la situation. Je recule d'un pas afin d'instaurer une petite distance tout de même, lui faire comprendre quelque part qu'on ne pouvait plus jouer à ça, que la réalité avait fini par nous rattraper, mais surtout, que je ne me contenterai pas de ses discours de sourd. « Ce n'est pas en gardant le silence sur ce que tu me caches qui va m'éviter tout ça... » Il faut que je sache contre qui je dois me protéger et pourquoi. Mais je suppose qu'il va encore préférer se taire, me servir encore et encore des excuses. Ils le font tous au final et ça commence à me gaver. Et si avant tous les derniers événements en date de ma vie, je lui aurais demandé de me retirer mes vêtements pour me faire l'amour, là ce n'était plus le cas. Il fallait dorénavant plus que ce genre de chose n'arrive. Et d'ailleurs, ce ne serait plus possible étant donné que les sentiments que j'éprouve pour mon ex sont en train de me rattraper. « J'pense retourner en Angleterre quelques temps. » Et même si j'avais dit à ma meilleure amie que j'allais m'offrir un studio histoire de m'y cacher incognito pour pouvoir rester, l'envie de partir était toujours présente. Peut-être que je m'en irai sans prévenir personne en fait, histoire qu'on ne me retienne pas.

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J'avais bien entendu remarqué ce regard qui s'était posé sur nos mains. J'avais aussi remarqué l'immédiate réaction physique que ce contact avait provoqué chez elle. Ce geste pourtant innocent qui avait pourtant le dont de me rappeler à quel point j'aimais embrasser ses lèvres. Tout s'envolait aussi rapidement qu'une poussière qu'on aurait fait fuir d'un revers de la main avec son soupire doublé de ce qu'on pourrait appelé une onomatopée. Mouais... avait-elle dit. Je ne pouvais pas le lui reprocher. Lucky avait toute les raisons du monde de m'en vouloir. Et même si je n'étais pas certain que lui dire la vérité changerait ça. Eh bien dans un sens je me disais que ça ne pouvait de toute façon pas être pire que l'état dans lequel les choses étaient aujourd'hui. « Non tu as raison. » affirmais-je alors qu'elle s'éloignait une fois encore de moi. Je fronçais imperceptiblement les sourcils et buvait quelques gorgées de bière que je redéposais aussitôt sur le comptoir. La belle brune déclarait à présent quitter le continent. J'espérais que cela suffirait pour l'éloigner du potentiel danger que je représentais. Mais à dire vrai tant qui j'ignorais après qui Camilla en avait, j'ignorais bien si elle pouvait toujours l'être ou non... Même à huit mille kilomètres de moi... Je hochais lentement la tête tout en me pinçant les lèvres songeurs. « Tu as porté plainte ? » l'interrogeais-je ensuite subitement. « Pff ! Quelle question tu as failli te faire tirer dessus, bien sur que tu as porté plainte. » avais-je ajouté en sachant très bien que Lisbeth ne l'aurait jamais laissé faire une chose pareil. Que s'était-il dit d'ailleurs ? Il me faudrait appeler la hackeuse pour en savoir d'avantage. Je m'en chargerais dès que Lucky me virerait de son appartement. Ce qui risquait de ne pas trop tarder. Je fronçais les sourcils en insistant encore. « Pas vrai ? »


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William & Lucky

Ce n'est pas parce que j'avais décidé de mettre une certaine distance entre nous que je n'avais pas un quelconque attachement pour William. Même si on ne finissait pas dans le même drap comme au tout départ, cela ne voulait pas dire que je voulais cesser de lui parler. Je me suis attachée à lui, pas suffisamment pour oublier mon ex, mais je me suis quand même un petit peu prise d'affection. Alors porter plainte ? Non, j'ai pris peur parce que j'ai toute suite fait la liaison entre ce tireur et les mots qu'il m'avait balancé le soir où je suis partie de chez lui. Pour moi, il savait quelque chose sur toute cette histoire et je ne voulais pas risquer d'alerter la police et qu'il se retrouve coincé avec des problèmes. « Non je n'ai pas porté plainte Will ! » Répondis-je en posant mes fesses sur le plan de travail, prenant ainsi place et cessant de le fuir comme la peste. Je baisse la tête sur mes doigts qui s'entremêlent nerveusement et je ne sais pas comment lui dire que je le sens lié à tout ça. « Parce que je me suis dit que ça t'apportera peut-être des problèmes... Lorsque j'ai failli prendre cette balle, j'ai immédiatement pensé à ce que tu m'avais dit à propos de ma sécurité... Je me suis dit que tu en savais sûrement quelque chose, que tu étais peut-être lié d'une quelconque manière à tout ça et... » Je marque une courte pause en soufflant. Je n'avais pas envie qu'il le prenne mal. Qu'il pense que je pense mal de lui ou quoi que ce soit qui pourrait le facher. « Je voulais éviter que la police découvre un truc sur toi, sur tes cachoteries... C'est bête, mais j'ai la sensation que tu caches quelque chose de lourd et qui pourrait justement te faire avoir de graves ennuis... » Respire ma grande. Respire. En tout cas, c'était dit maintenant. J'avais enfin osé lui faire part de mes doutes et de mes craintes.

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Ce n'était pas sa réponse qui m'avait surprise. C'était le timbre sur lequel elle l'avait prononcé. Comme outrée que je puisse penser une telle chose. Et la suite continua de me surprendre en plus de me contredire. Non ce n'était pas Lisbeth qui lui avait demandé de garder le silence sur ce qui leur était arrivé. Elle avait gardé le secret... Pour moi. Bon sang elle s'était fait tiré dessus ! Elle n'était pas venue pour me le reprocher. Elle avait gardé son sang froid en dépit des des circonstances ! Que me fallait-il de plus pour lui faire confiance ? Et même ! En oubliant cette notion de confiance ne méritait-elle pas de savoir pourquoi elle avait failli être blessée ou pire ! Perdre la vie ?
Mon regard se posait sur elle, plus perçant que jamais. Pourquoi ? voilà ce que je lui aurais demandé si elle n'avait pas poursuivit d'elle même. S'installant sur son plan de travail, elle s'expliquait, se justifiait. Faisait ce qu'elle attendait de moi depuis qu'elle m'avait trouvé dans ma cuisine mon arme à la main. Bien sur qu'elle avait fait le lien ! Elle n'était pas stupide ! Je baissais moi aussi mes yeux sur ses mains qu'elle faisait s'entrechoquer visiblement gênée. J'aurais aimé les serrer contre mes paumes, je restai immobile pourtant. Encore trop craintif qu'elle ne s'éloigne un peu plus. Je l'écoutais toujours. Par où commencer Lucky... Que pouvais-je et comment pouvais-je te le dire ?... songeais-je. « Ce n'est pas... Bête. » avais-je dit tout bas en répétant ses termes. « Je ne t'ai rien dit parce que je ne voulais pas que tu y sois mêlée de quelque manière que ce soit. » commençais-je alors en relevant les yeux vers elle. « De toute évidence c'est trop tard pour ça. » poursuivais-je plus bas. Je ne pouvais d'ailleurs ne le reprocher qu'à moi même. « Et si je ne t'ai rien dit c'est parce que je ne voulais pas que tu me vois différemment. » Ou que tu me détestes... Ou que tu ne veuilles plus jamais me revoir. Et Damn it ! Là encore il était peut-être déjà trop tard pour ça... J'inspirais profondément, comme dans un long soupire, j'attrapais la bière qu'elle m'avait servie et m'accoudais au comptoir en me penchant légèrement en avant. « Vu ce qui s'est passé j'estime que je te dois au moins certaines réponses. Seulement... » m'interrompais-je en prenant de poser chacun des mots suivants : « Je ne sais pas ce que tu imagines mais c'est pire. Alors... Il faut que tu sois sûr de vouloir savoir parce que tu ne pourras jamais en parler à personne. » terminais-je en tournant la tête vers elle pour plonger mes yeux bleus dans les siens.

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William & Lucky

Ce n'est pas bête ? Alors au fond, tout ce que je pensais pourrait s'avérer exact ? Il pourrait être lié à tout ça, comme pourrait l'être aussi Lisbeth ? D'ailleurs, je trouve que c'est une femme très habile pour une simple citoyenne qui a eu le courage de sauter sur moi comme elle l'a fait pour me sauver la vie. J'ignore vraiment si je pourrais supporter d'entendre la vérité, mais je voulais quand même l'entendre et j'étais prête à l'entendre avec la chance que j'ai eu de ne pas finir avec une balle dans la tête. Il s'en ait fallu de peu pour qu'aujourd'hui, je sois enterrée sous terre ou peut-être à nouveau entre la vie et la mort. Je dois cette fière chandelle à la jeune Lisbeth et puisque cette dernière est liée à William, c'est comme si je lui devais aussi. « De tout évidence, c'est trop tard en effet. » Maintenant, je me retrouvais ciblé par des ennemis que je ne connaissais même pas, par des gens qui n'hésiteront pas à m'ôter la vie pour atteindre leur but, aka William et Lisbeth. J'étais un dommage collatéral peut-être. Un appât même, qu'en sais-je au final ? « Même si tu me gardais dans l'ignorance, ça ne changera pas le fait qu'avec ce qui m'est arrivé, je reste méfiante. » Aussi bien envers lui, que les récents évènements, alors le voir différemment ou pas, c'est déjà fait de toute façon. Pourtant, j'ai accepté qu'il vienne, tout comme je m'attends au pire. « J'suis prête William. Je veux entendre tout ce que tu as à me dire, cette vérité que tu veux absolument cacher. Je veux tout entendre qu'importe la lourde responsabilité qui m'attends, qu'importe si je dois me taire à jamais ou le choc que cette vérité aura sur moi. Je suis prête. » M'interrompis-je en détachant mes prunelles de mes doigts pour les poser dans les siennes, plus que jamais désireuse de connaître toute l'histoire et le lourd fardeau d'un secret que je vais devoir porter à vie. Suis-je réellement prête ? Oui, prête du moins à encaisser l'inévitable, vu que maintenant, j'étais mêlée à toute cette histoire, aussi folle et dangereuse soit-elle.

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