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agaling ✻ even though it's broken, I love you anyway

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C'était pire qu'en colère que la blonde avait envoyé son téléphone valser dans la chambre fissurant l'écrant par la même occasion. Disons que par moment, Agathe pouvait se montrer nerveuse quand elle n'avait pas ce qu'elle voulait. Sûrement qu'elle était trop habituée à avoir ce qu'elle voulait plutôt facilement en fait mais ça ne changeait rien. Aisling l'avait mise en colère et y avait rien pour la faire redescendre. Alors ouais, elle ne répondait pas à son message et s'il osait se pointer chez elle, elle n'irait même pas ouvrir la porte. Attrapant son paquet de clope sur la coiffeuse, la blonde venait ouvrir la fenêtre s'asseyant sur le rebord avant d'allumer sa cigarette. Et même après que celle-ci se soit totalement consumée, elle restait assise-là sans bouger regardant juste l'horizon. Fallait dire que le penthouse qu'elle avait choisit était plutôt bien située donnant directement vu sur l'océan. Alors même la sonnerie de la porte d'entrée ne la faisait pas réagir. De toute manière, il était hors de question qu'elle aille lui ouvrir. Il pourrait rester devant la porte pendant une éternité qu'elle ne bouge.. Fuck. Effectivement, il avait le double qu'elle lui avait filé quelques jours plus tôt. Levant les yeux au ciel, elle ramenait ses genoux contre elle alors que la porte de sa chambre finissait par s'ouvrir. Bien-sûr qu'il était là sauf qu'elle préférait ne pas lui accorder le moindre regard bien trop énervée pour avoir la moindre conversation. Preuve étant que toujours dans le plus grand des silences, elle venait rallumer une cigarette perturbée seulement par la sonnerie de son téléphone toujours sur le sol. C'était seulement à ce moment qu'elle tournait le regard vers lui recrachant la fumée dans sa chambre sans le moindre problème. "T'as pas autre chose à faire qu'être ici ?" qu'elle lâchait finalement d'un ton sec. Ouais, quand elle était énervée, c'était pas à moitié.

@Aisling Cunningham
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Il n’en croyait pas ses yeux. Agathe pouvait réellement le mettre en rogne en quelques secondes. Quelques minutes avant, il y avait des arc en ciel et des petits coeurs partout. Et maintenant, elle était en colère. Et quand elle était en colère, Agathe devenait une furie, littéralement. Il le savait bien, il avait déjà assisté à la transformation Agathe rainbow en Agathe furie. C’était aussi impressionnant que la naissance d’une otarie. Prenant ses clés, son paquet de clopes et le jeu de clé qu’Agathe lui avait donné il y a quelques jours. Il était à environ vingt minutes de chez elle, à moto, environ dix. Il roula comme un malade sur la route, aussi énervé par son comportement que par la situation. C’était débile, juste ridicule, mais il ne voulait pas qu’ils restent sur une dispute alors qu’ils étaient ensemble depuis moins d’une semaine. Et officiellement depuis même pas deux jours. Alors ouais, ça lui faisait royalement chié d’être dans cette situation actuellement. Surtout quand des engagements comme des fiançailles ont été pris. Arrivant au pied de son appartement, il monta les étages jusqu’au penthouse, sonna à la porte et attendit à peu près deux minutes avant de sortir les clés de l’appartement et entrer. Il s’en fiche au point où ils en sont. Il regarda un peu partout avant d’entrer dans la chambre. L’odeur de la cigarette le frappa en entrant dans la pièce. Elle le regardait à peine. Voir pas du tout. Ses longs cheveux redevenus blonds flottaient dans le vent venant de la fenêtre où elle était. Son téléphone vibrait et c’est à ce moment là qu’elle dirigea son regard vers son fiancé, recrachant la fumée de la cigarette à l’intérieur. « Non, désolé. Ma fiancé a décidé de me faire la tête pour rien. » dit-il en se dirigeant vers elle. La fenêtre était assez grande pour les avoir tous les deux. Laissant sa veste sur le sol, il prit son paquet de cigarette et sortit la sienne. L’allumant, il prit une bouffée pour essayer de se calmer un peu. Sans succès. « Faudrait vraiment que tu m’expliques ce qui se passe. Je peux comprendre que tu veuilles me garder pour toi, mais j’ai des amis Agathe. Des amis qui étaient là quand j’étais seul. » Quand tu n’étais pas là.
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Elle se détestait quand elle était dans ce genre d'état mais ne pouvait pas le contrôler. Quand elle montait en pression de la sorte, quand elle pétait un câble, il n'y avait rien pour la retenir. Et probablement qu'il devait s'estimer heureux qu'elle ne soit pas en train d'hurler des insultes à tout vas parce que clairement, elle était à deux doigt de le faire. A deux doigt de totalement vriller et de tout envoyer bouler autour d'elle. "Pour rien." Elle rigole nerveusement laissant tomber sa cigarette dans le vide. "Sérieusement Aisling ? C'est ça ton attaque ?" Elle passe une main dans ses cheveux avant de quitter le rebord de la fenêtre pour retourner à l'intérieur. "Excuse-moi, j'avais oublié que t'avais sympathisé avec toutes les personnes ne pouvant pas me blairer." Elle ramasse son téléphone le jetant sur le lit. "C'était sympa au moins de passer vos journées à répéter que j'étais une salope. Tu te sentais mieux dans ces moments là ?" C'était peut-être pas fair-play de sa part mais là, elle pétait littéralement les plombs en fait. "Sans compter que tu n'es qu'une roue de secours, c'est pas ça qu'elle dit Ashleigh ?" Et ouais, du coup, elle avouait par la même occasion qu'elle avait peut-être regardé dans son téléphone pour avoir cette information mais au final, peu importait. "Mais ta raison Aisling, passe donc ton temps avec eux." Et bordel ce que ça la mettait en rogne. Elle pourrait presque tout casser en fait. Parce que ouais, ça la mettait totalement hors d'elle ajoutant à ça le fait qu'elle était terriblement jalouse. Ouais, elle devenait dingue avec toutes ces conneries en fait. "Tu devrais probablement penser à rester seul vu que je suis de toute évidence pas d'assez bonne compagnie."
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Ouuuh, elle l’énerve. Il adore son côté colérique et possessive, mais là, elle abusait. Et c’était ce qui faisait qu’Aisling comprenait à quel point ça la blessait. Parce que si elle s’en fichait, elle n’aurait pas réagit à l’extrême comme ça. Elle tient à lui plus qu’avant, elle a sans doute encore le traumatise de leur séparation, l’envie de l’avoir pour toujours alors que lui est tellement convaincu qu’ils passeront leur vie ensemble qu’il n’a aucuns soucis à ne pas être avec elle le temps de quelques heures. « Je ne parle pas de ça. Je n’attaque personne ici. » Il la regarda quitter le bord de la fenêtre, s’éloigner de lui. Hors de question. Même si sa cigarette était loin d’être finie, il la laissa tomber par la fenêtre pour la suite dans la chambre. « Je n’ai pas fait exprès d’être ami avec des gens que t’aime pas Agathe. Et jamais je ne les aurais laissé dire ce genre de chose sur toi. Ashleigh est une des personnes qui ont tout fait pour qu’on se remette ensemble d’ailleurs. » Il défendait la Mather parce qu’elle ne méritait pas. Mais il ne pouvait pas s’empêcher de voir aussi qu’Agathe s’en voulait encore d’avoir tout fait foiré sans le vouloir. Il ne la blâmait pas d’avoir fauté, mais elle ne pouvait pas faire comme si les derniers mois n’avaient pas existé. Ce n’était pas possible. D’autant plus que ses amis ne cherchaient qu’à protéger Aisling, rien d’autre. « C’était Cole, la roue de secours. Pas moi. » Parce que clairement, elle n’avait pas ça. Cette possessivité maladive, cette jalousie sans aucuns sens avec Cole. Il n’en voulait même pas à sa blonde de fiancée d’avoir regardé son téléphone sans le lui dire. Ça lui passait au dessus de la tête parce qu’il n’avait absolument rien à cacher. « Ok, tu vas trop loin. » Il traversa la pièce, pris le visage d’Agathe entre ses mains et la regarda droit dans les yeux. « Tu es la seule personne avec qui je veux être, tout le temps. A n’importe quel moment. Mais là, il s’agit d’un ami qui a passé plus de deux mois en prison et qui va voir les personnes qui sont les plus proches de lui réunis pour l’acceuillir. Je t’aurais emmené, vraiment. Mais tout comme tu ne voulais pas m’emmener à Zanzibar pour retrouver Cole et que je ne sois pas blessée, je veux la même chose pour toi. » Il posa un baiser sur son front, puis son menton sur le haut de sa tête. « Il n’y a rien que je ne pourrais te dire qui te rassurera à part que je t’aime. Mais vraiment, je ne veux pas qu’on se dispute pour un truc aussi stupide. J’ai l’impression que tu doutes de l’amour que j’ai pour toi pour le coup. »
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Elle allait trop loin dans ses paroles, clairement, mais c'était du Agathe tout craché. Et en aucun cas elle n'allait retenir ses mots parce que ouais, elle ne supportait pas le fait qu'il puisse aller passer une soirée avec des filles qui ne pouvaient même pas la voir en peinture, qui l'avait volontairement affichée aux yeux de toute l'université et dieu sait quoi d'autre. "Oh ouais, elle veut tellement qu'on se remette ensemble qu'elle n'hésite pas à dire que je te prends potentiellement pour un con." Il était aveugle où il le faisait exprès ? C'était lui en fait qui cherchait à voir le bien chez tout le monde même quand il n'y en avait pas. "Tu traînes avec la fille qui a balancé à tout le monde une photo de Cole et moi et tu t'attends à ce que je l'accepte ?" Parce que non, ça n'allait clairement pas arriver. Ni maintenant, ni jamais. Il était hors de question qu'elle le fasse en fait et le fait qu'il puisse tenter de lui trouver des excuses la mettait encore plus en rogne. "Non, j'vais pas trop loin, c'est toi qui comprends pas !" Alors même quand il venait entourer son visage de ses mains, elle détournait le regard refusant de se faire avoir par la beauté de ses traits. Quoi qu'elle lâchait prise deux secondes après, plongeant ses yeux glacés dans ceux vairons d'Aisling. Elle inspire profondément tentant de calmer les battements de son coeur bien trop accélérés pour le coup. "C'est pas stupide ok. T'aimerais que je continue à fréquenter Cole ? Que j'aille à des soirées en sa compagnie ?" Non, clairement pas. Et le duo lucky/ash c'était du même level parce que c'était limite une guerre qui existait entre elles et Agathe. Alors non, c'était tout sauf stupide et elle refusait tout simplement qu'il puisse les fréquenter comme s'il n'y avait aucun problème. "Et ouais, peut-être bien que je doute de ton amour. Qui me dis que tu vas pas me laisser tomber comme tous les autres ? Qui m'dis que tu vas pas partir ?" Elle était presque hystérique pour le coup et princesse se dégageait de son emprise.
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« Elles font avec ce qu’elles ont comme connaissance de la situation. » Agathe devenait littéralement hystérique, hors de contrôle. Il pensait l’avoir déjà vu en mode furie, mais non, elle arrivait à augmenter le level encore plus. Et il ne savait pas comment faire pour la gérer pour le coup. Il a beau l’aimer de tout son coeur, il ne sait pas gérer ses crises de jalousie. Surtout après deux jours de fiançailles. « Et elle s’est excusée. Mais avoue le Agathe, ce n’est pas ça qui t’énerve. » C’est autre chose. Ça ne pouvait pas être que ça. C’était plus profond. Parce qu’Aisling refusait de croire que la jeune femme piquerait une crise juste pour ça. Elle l’aurait fait depuis bien avant sachant qu’il est ami avec Ashleigh depuis leur rupture. Elle lui aurait fait une crise en Suisse sinon. Mais non. Alors … il ne comprenait pas. « Mais dit moi. Parce que je ne comprend vraiment pas. » Il essaya de la calmer, de l’embrasser, la prendre dans ses bras. Elle refusait son regard mais fini par plonger son regard océan dans les yeux bicolores d’Aisling. Il sent le coeur de la blonde battre dans sa poitrine, fort. Trop fort. On aurait dit qu’il allait exploser. « Non. Clairement non. Mais la situation n’est pas la même. Cole t’a blessé, m’a foutu en l’air et a faillis nous détruire tous les deux. Ash a toujours voulu que je revienne avec toi malgré tout. » Il essayait vraiment de plaider la cause des filles mais leur guerre à elle rendait la chose mille fois plus compliqué. Il essayait réellement de faire en sorte qu’il puisse aller voir Denys avant de partir en Suisse sans avoir Agathe en mode furie durant toute la semaine. Mais personne n’aidait son cas. Pas Agathe en en voulant à Lucky et Ash. Et pas Ash en disant qu’Agathe le prenait pour un con. Mais quand le blonde lui dit qu’elle doutait de lui, de son amour pour elle, il sentit un coup dans son coeur. Il s’éloigna d’elle, lentement. Elle qui était censée comprendre ne comprenait pas au final. « J’en reviens pas. » Il lui donna son dos, pris une cigarette et alla se réinstaller au bord de la fenêtre. « Après tout ce que j’ai pu faire, tout ce que j’ai essayé de te prouver, tu me sors ça. » Allumant le petit bâton de cancer entre ses lèvres, inspirant la fumée toxique à plein poumons. « Je me suis battu avec Cole, je suis passé en dépression, j’ai pris un putain d’avion avec de l’argent que je n’ai pas pour la Suisse sur le même vol que toi, je t’ai demandé en mariage putain. » Il haussa le ton au dernier mot. Son coeur battait la chamade. Sa respiration s’accélérait. « Comment tu peux douter de mon amour quand je t’ai demandé en mariage ? Tu sais que je n’y crois plus depuis le divorce de mes parents. Comment tu peux .. » Il ne finit pas sa phrase et regarda l’horizon, sa clope à la bouche, son coeur battant tellement vite qu’il pensait mourir.
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"MAIS ARRETE DE LES DEEFENDRE !" Et cette fois elle hurlait sortant littéralement de ses gonds. Elle était incapable de se contenir plus longtemps, incapable de faire comme si c'était pas important alors qu'elle le prenait terriblement à coeur en fait. "J'en ai rien à foutre de ses excuses, j'en ai strictement rien à foutre." Elle pouvait bien demander pardon des milliers de fois que ça ne changerait rien. Et elle avait la rancune tenace la blonde. Assez pour parler de cette histoire pendant des années. "Vas y, plaide sa cause encore une fois. Elle est tellement parfaite. Peut-être que tu devrais songer à l'épouser même." Et ouais, probablement que ses mots dépassaient sa pensée mais elle n'était clairement pas apte à contrôler ce qui pouvait sortir de sa bouche à cet instant précis. Elle était jalouse, possessive. Une jalousie maladive qui la rongeait aussi bien elle que ceux qui devait la subir et c'était typiquement le genre de chose qu'ele ne contrôlait pas. "J'ai le droit d'en douter depuis que tu t'es tapée ma meilleure amie. J'ai le droit d'en douter depuis que t'as dis que j'étais une trainée." Et elle pouvait lui donner encore une centaine de raison pour expliquer ses doutes. Mais est-ce qu'il y avait vraiment un but dans tout ça à part celui de se déchirer une nouvelle fois ? Probablment pas. "J'ai le droit de douter de ce que je veux, j'ai le droit d'avoir la trouille que tu t'en ailles." Croisant les bras sur sa poitrine, elle tentait de retenir les larmes qui faisaient dangereusement briller ses yeux. "Mais toi, t'as pas le droit de minimiser les choses que je ressens sous prétexte que tu trouves ça stupide." Elle a l'impression de suffoquer, de perdre  pieds, de complètement s'écrouler sous la violence de l'altercation. "Mais vas y à ta putain de soirée, vas y ! Qu'est-ce que tu veux que je te dise de plus ?" Il voulait pas comprendre son point de vue, à quoi bon se battre dans le vide ? Y avait aucune utilité dans tout ça et il n'aurait pas dû venir. Les choses ne faisaient qu'empirer puisque trop têtu pour comprendre qu'elle ne voulait pas le voir. "De toute façon, j'ai jamais été assez bien, j'ai jamais rien compris, j'suis juste complètement névrosée." Et elle fondait en larme attrapant un sac où elle commençait à entasser des affaires sans faire le moindre tri. Elle pouvait pas rester ici, elle était complètement en train de s'écrouler et prendre la fuite c'était toujours ce qu'elle avait fait de mieux de toute façon. Fuir tout et tout le monde, comme à chaque fois.
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« Mais tu racontes des bêtises ma parole. » Il ne retenait plus rien à présent. Elle ne retenait rien, il allait en faire de même. Ils pouvaient être deux dans cet état d’incompréhension constante. « Je n’ai jamais dit que tu étais une traînée et je me suis tapée Hippo parce que j’étais putain de malade et que tu m’avais trompé avec Cole bon sang. COLE MERDE. » Il s’y mettait aussi parce qu’il avait beau avoir pardonné l’acte, ça restait toujours ancré dans son cerveau. Il ne pouvait pas s’empêcher de pense que l’Eliot avait tout manigancé depuis le début, manipulateur comme il l’était. « Je ne suis jamais partit putain. J’ai tout fait pour rester dans ta vie même quand ça n’allait pas. » Elle ne pouvait pas lui dire ça alors qu’il a littéralement tout fait pour être dans la vie d’Agathe, même quand il était au fond du trou à boire comme un malade dans les bars, à fumer sur les toits et pleurer en rentrant. « Je ne minimise rien du tout. Je … » Finir sa phrase devenait impossible. Il ne répondit même plus, la laissant cracher son venir, mais quand elle se mit à douter de l’amour qu’il avait pour elle, il cru se revoir quand elle lui avait annoncé qu’elle avait couché avec Cole. Il cru ressentir la même chose. S’éloignant, laissant un espace conséquent entre eux, il avait allumé une deuxième clope. Elle se fustigeait par la suite, parce qu’Agathe est aussi fragile qu’un sucre, aussi fragile qu’une feuille en plein automne. Elle fondait en larme et Aisling sentit son coeur se fendre en deux. Jamais il n’aurait cru qu’ils en arriveraient là. Quelques messages, c’est tout ce qu’il a fallu. Elle prit un sac et commença à le remplir. Il prit un instant pour comprendre mais sauta sur ses deux pieds pour prendre le sac des mains de la jeune femme. « Non. » Il se plongea dans ses yeux de glace. « Tu n’es rien de tout ça. Et je comprend que tu détestes que je sois ami avec Ash et Lucky. Je comprends et rien que pour toi, je serais prêt à ne plus les voir, parce que tu comptes plus que tout. » Il se détestait en cet instant parce qu’il brisait toutes ses promesses de faire les choses bien, mais il ne voulait tellement plus la perdre qu’il préférait ça à l’oubli total. « Je t’aime plus que tu ne peux le comprendre. Je suis aussi névrosé que toi, si ce n’est pas plus. Je hais le fait que ton colocataire soit aussi sexy, ou que ta meilleure amie soit la meilleure amie de Cole, ou encore que tu ai encore des contacts avec Aaron. Je déteste ça. Mais, je déteste encore plus que tu puisses penser que je ne t’aime pas. » Les larmes coulaient sur les joues d’Aisling. Il les essuya d’un geste rageur, complètement à la ramasse. « Je n’ai jamais été assez bien pour toi. »
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"Mais assume au lieu de te trouver des excuses putain !" C'était chaque fois la même rengaine. Il avait couché avec elle parce qu'il était malade, parce qu'elle avait fait la même avec Cole. Y avait toujours une nouvelle justification qui venait s'ajouter mais jamais au grand jamais il n'avait juste assumé d'avoir merdé et de ne pouvoir s'en prendre qu'à lui, c'était forcément la faute des autres. "Je suis désolée ok ? Je suis désolée d'avoir couché avec Cole, de m'être mise avec lui et de pas avoir eu la foutu force de me battre pour toi. JE SUIS DESOLEE AISLING." Combien de fois faudrait-il qu'elle lui présente ses excuses d'ailleurs ? Parce qu'elle avait l'impression que ce n'était jamais assez bien. L'impression que dans la finalité, même s'il disait lui pardonner, il ne le faisait jamais vraiment. "Si tu minimises. Tu crois que ça m'amuse moi de me mettre dans ce genre d'état ?" Est-ce qu'il avait l'impression que c'était un jeu et qu'elle prenait plaisir à hurler de la sorte ? Parce que ce n'était pas du tout le cas, loin de là. Et la réaction extrême ne tardait pas à arriver. Elle entassait ses affaires, prête à prendre la fuite une nouvelle fois comme elle l'avait toujours fait. Disparaître pour un temps indéfini sans avoir de compte à rendre à quiconque. Mais presque aussitôt il était à ses côtés arrachant le sac, l'empêchant de continuer. Et princesse elle se brisait en mille morceaux quand elle voyait les larmes couler le long de son visage. C'était trop pour elle, bien trop que ce qu'elle pouvait supporter. Le voir dans cet état, c'était sûrement la pire chose au monde et il était clair qu'elle ne méritait aucune de ses larmes. Encerclant son visage de ses mains, elle essuyait ses larmes, le coeur battant. "Ne redis plus jamais ça Aisling ! T'as toujours été parfait, t'es exactement ce que j'ai toujours désiré et je t'interdis de croire que tu n'es pas à la hauteur." Parce que ce n'était pas la vérité. N'importe qui donnerait n'importe quoi pour pouvoir l'avoir dans sa vie. "Je suis terrifiée à l'idée que tu t'en ailles et j'peux pas m'empêcher d'y penser ok ? Je peux pas m'empêcher de me dire qu'un jour tu seras plus là parce que t'auras fini par comprendre que je suis nocive. Et tu peux dire ce que tu veux Ais, tu sais que je suis nocive pour toi. Regarde ce que je t'ai fais, regarde ce que je te fais encore et ose me dire que j'suis pas complètement malsaine pour toi !" Il pouvait pas sortir un mensonge pareil, elle le détruisait un peu plus à chaque fois même si elle ne le voulait pas. C'était juste comme ça, c'était juste elle. "Tu vois, moi j'suis convaincue que t'aimes la personne que j'étais avant et que t'as espoir de la retrouver un jour mais j'suis pas comme avant Aisling. Je ne suis pas comme avant !" Et c'était juste comme ça alors peut-être était-il juste amoureux des souvenirs qu'il avait d'elle, quand elle était insouciante et prête à aimer le monde. "J'donnerais tout pour toi. J'ferais n'importe quelle concession. Arrêter de parler aux personnes que t'aimes pas, quitter la Eliot House si ça pouvait te rassurer, ne plus avoir de contact avec les gens que tu considères malsains. J'déplacerais des montagnes s'il le fallait mais tu peux pas changer le fait que j'suis complètement niquée. Tu peux pas me demander de ne pas être terrifiée à l'idée de t'aimer."
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« J’assume ma connerie. J’étais malade mais j’assume d’avoir couché avec Hippolyte. » C’était vrai. Il a beau répéter tout le temps qu’il était malade et blablabla, il assume d’avoir couché avec la meilleure amie d’Agathe. Il assume même d’avoir cherché à le faire. Parce que non, Hippolyte ne voulait pas au début et puis au final, elle l’a laissé faire. Mais il sait très bien aussi que s’il n’était pas si faible mentalement, jamais il ne l’aurait fait. Jamais il ne se serait laissé allé à la faiblesse de la chair. Il sentait son coeur cogner comme un forcené sur sa cage thoracique, ses poumons se remplir d’air et l’étouffer presque. Parce qu’il ne respirait plus à ce stade. Il suffoquait sous la pression. Il suffoquait sous le poids de son coeur qui écrasait ses poumons. Prenant ses cheveux dans ses mains, les arrachant presque. Aisling sent la crise arriver. Il sent ses émotions se disperser partout. Le rendant fou de rage, fou d’amour, impossible à contrôler. « Et tu crois que j’aime te voir douter de ce que je ressent pour toi ? » Parce qu’ils étaient dans une impasse. Une incompréhension totale régnait entre eux, les menant tout droit dans un fossé s’ils n’arrivaient pas à résoudre le problème. S’ils n’arrivaient pas à trouver le moyen de s’accepter comme ils sont. Parce que oui, Aisling pourrait changer du tout au tout juste pour les beaux yeux d’Agathe. Il pourrait devenir plus froid, moins amical, moins sympathique. Se renfermer dans la bulle qu’il forme avec elle et ne plus en sortir. Il l’aime plus que lui. Beaucoup plus que lui. Elle passe avant tout et parfois, il se demande si elle s’en rend compte. Ou si elle joue avec lui. Ou si même en le sachant, ses doutes dû à son passé font qu’elle ne comprend pas. Il arrache le sac de ses mains, met son âme à nu. La laisse toucher son coeur littéralement, l’eau coulant sur ses joues. Ses yeux verrons pleins de larmes. Il est au bord du précipice parce qu’il ne supporterait pas de la perdre encore. « Mais je ne le suis pas. Sinon tu ne serais pas aussi énervé contre moi. » Parce qu’il doute d’être bien pour elle. Lui. Le pauvre, le dépressif, l’hyperactif, l’anxieux. Le malade mental. Celui qui a le coeur sur la main et l’esprit parsemé de cicatrice. « Jamais je ne partirais. J’en suis incapable. Je ne peux pas te quitter parce que ce serait comme me perdre. Quand tu n’étais plus là, j’étais perdu, à l’ouest, complètement au bord du gouffre. Je faisais n’importe quoi. Quand tu n’est pas là, je ne suis pas là. » Elle n’est pas nocive pour lui, au contraire. « Non. Tu ne l’es pas. Tu es celle qui me retient comme un tout. Qui me rassemble complètement. » Parce que quand elle est loin, il sent son coeur se déchirer, cherchant à tout prix celui d’Agathe. C’est comme si chacun d’eux avait l’autre part du coeur de l’autre. Des âmes soeurs. « Non, non, non. Je t’aime toi. Pas la personne que tu étais, pas la Quincy, ni la Mather. J’ai tout chez toi. Tes bons et mauvais côtés. Je ne suis pas le même non plus Agathe. On a tous les deux changer, ça ne veux pas dire qu’on ne s’aime plus comme avant. » Parce qu’avant, il était naïf, crédule, simple. Il voyait tout le monde comme un ami potentiel. A présent, il est méfiant, colérique, plus réservé bien que toujours souriant. Il a changé parce que le temps passe. « Je pourrais faire la même chose pour toi Agathe. Tu ne comprends pas. On est tous les deux malades. J’ai ma maladie, je pourrais me faire du mal si je me laissais aller. J’ai déjà faillis le faire, bien avant de te rencontrer. J’ai déjà fini à l’hôpital tellement je suis perché. Alors ne dit pas que tu es niqué, parce qu’on l’est tous les deux. Je suis terrifié de te perdre, terrifié de te voir t’éloigner. » Il prend son visage entre ses mains, pose ses lèvres sur les siennes. « Je t’aime tellement que c’est incompréhensible. Je pourrais ne pas aller à cette foutue soirée si ça veut dire que plus jamais je ne te perdrais. Je préfère perdre un ami que la femme que j’aime. Parce que t’es la seule qui vaut le coup. T’es la seule personne chez qui je peux aimer sa manière de rembarrer les gars au resto parce que ton steak n’est pas assez cuit, ou que la fleur sur la table est fanée. La seule que je peux aimer même quand elle regarde de travers les clochards dans la rue qui lui demande des pièces. J’aime ton ancienne toi, mais j’aime encore plus la nouvelle parce qu’elle est forte, plus qu’elle ne le pense. Parce qu’après tout ce qu’on a vécut, elle est toujours aussi amoureuse de moi qu’au premier jour. Parce que je veux que ma vie soit parsemé de petites Agathe qui court dans un jardin de Genève. » Il était sérieux. Elle était tout pour lui. Pas seulement la gentille Agathe, mais la méchante qui n’hésitait pas à dire ce qu’elle pensait, à se protéger. Parce que celle là, elle a souffert et a survécu. Celle là, a réussi à tenir tête à Cole, à lui même. A se démarquer des autres par son caractère de merde mais qui est nécessaire pour survivre. « Je t’aime Agathe. J’aime tout de toi. Même tes crises de jalousie qui me montrent à quel point tu m’aimes. »
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