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Dragomir
Astankov
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feat Sam Claflin
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STUDENT
Trop souvent contrôlé, trop souvent mené par le bout du nez. Tu as trop longtemps été considéré comme un tel ou encore un autre. Etiquette qui te collait aux fesses, t’as fini par en avoir marre. Alors oui, en venant ici, tu t’es juré que tu ne rentrerais plus dans une catégorie ou dans une autre. La guerre des confréries, la guerre des étudiants. Tu n’en veux pas, tu veux rester éloigné de ça. Toi, tu préfères de loin te mélanger à la population, te faire des amis de tous horizons. Tu ne veux pas te freiner, tu ne veux pas être regardé juste parce que tu appartiens à un groupe ou un autre. Non, tu en as fini avec de telles choses. Tu veux juste évoluer comme toi tu le sens, sans suivre une ligne de conduite bien précise. Tu veux être élégant et parfois, pouvoir sortir en simple foutu training. Tu veux pouvoir jurer, et le lendemain, être le plus charmeur des gentlemans. Non, tu ne seras pas un mouton. Alors oui, en arrivant à Harvard, t’as décidé d’être un simple étudiant. C’est mieux comme ça, ça ne fait pas de toi un homme meilleur pour autant.
Trop souvent contrôlé, trop souvent mené par le bout du nez. Tu as trop longtemps été considéré comme un tel ou encore un autre. Etiquette qui te collait aux fesses, t’as fini par en avoir marre. Alors oui, en venant ici, tu t’es juré que tu ne rentrerais plus dans une catégorie ou dans une autre. La guerre des confréries, la guerre des étudiants. Tu n’en veux pas, tu veux rester éloigné de ça. Toi, tu préfères de loin te mélanger à la population, te faire des amis de tous horizons. Tu ne veux pas te freiner, tu ne veux pas être regardé juste parce que tu appartiens à un groupe ou un autre. Non, tu en as fini avec de telles choses. Tu veux juste évoluer comme toi tu le sens, sans suivre une ligne de conduite bien précise. Tu veux être élégant et parfois, pouvoir sortir en simple foutu training. Tu veux pouvoir jurer, et le lendemain, être le plus charmeur des gentlemans. Non, tu ne seras pas un mouton. Alors oui, en arrivant à Harvard, t’as décidé d’être un simple étudiant. C’est mieux comme ça, ça ne fait pas de toi un homme meilleur pour autant.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Comment te sentais-tu à cette période ? Comme certain, tu étais sur tes gardes. La vie est une perpétuelle ligne instable, tu le sais que trop bien. Sauf que toi, oui, tu ne le montrais pas forcément. Tu as juste fait en sorte de cacher tes émotions, te montrer fort et calme. Tu faisais en sorte de rester proche des tiens, de te focaliser sur le présent. Les agressions, tu ne les as pas vues venir. Tu n’étais pas sur le Campus à ce moment-là, bien trop occupé à faire tes conneries dans la ville. Alors ouai, quand tu l’as su, t’as eu peur pour les gens que t’aimais. Ton cœur c’est accéléré, ta gorge c’est serré. Si tu avais pu, tu serais rentré sur les lieux et t’aurais abattu les agresseurs sur le champ, mais tu ne l’as pas fait, t’es pas stupide, même si t’aurais été largement enclin à appuyer sur la gâchette. Dire que tu n’avais pas la rage au ventre serait mentir, clairement. T’en as voulu au monde entier durant quelques temps. Comment avaient-ils pu laisser aller les choses aussi loin ? Toi, tu rêvais de t’éloigner de toutes ses conneries en quittant la Russie, au final, tu as juste plongé dans un nouvel univers.
Comment te sentais-tu à cette période ? Comme certain, tu étais sur tes gardes. La vie est une perpétuelle ligne instable, tu le sais que trop bien. Sauf que toi, oui, tu ne le montrais pas forcément. Tu as juste fait en sorte de cacher tes émotions, te montrer fort et calme. Tu faisais en sorte de rester proche des tiens, de te focaliser sur le présent. Les agressions, tu ne les as pas vues venir. Tu n’étais pas sur le Campus à ce moment-là, bien trop occupé à faire tes conneries dans la ville. Alors ouai, quand tu l’as su, t’as eu peur pour les gens que t’aimais. Ton cœur c’est accéléré, ta gorge c’est serré. Si tu avais pu, tu serais rentré sur les lieux et t’aurais abattu les agresseurs sur le champ, mais tu ne l’as pas fait, t’es pas stupide, même si t’aurais été largement enclin à appuyer sur la gâchette. Dire que tu n’avais pas la rage au ventre serait mentir, clairement. T’en as voulu au monde entier durant quelques temps. Comment avaient-ils pu laisser aller les choses aussi loin ? Toi, tu rêvais de t’éloigner de toutes ses conneries en quittant la Russie, au final, tu as juste plongé dans un nouvel univers.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Ce jour-là, tu étais en montagne avec quelques amis. Un moment de détente, tu as toujours aimé le sport, aimer l’escalade. Alors oui, en ce jour, tu n’aurais jamais cru que ton moment de calme finirait en Enfer. Tu te souviens de cette terre qui tremble, de tes mains s’agrippant aux rochers alors que vos cris se mêlent. Tu as tenté de gardé ton sang-froid et ce, jusqu’à ce que votre guide finisse par s’écrouler dans le vide. Tu n’as rien pu faire, eux non plus. Il est juste tombé, comme ça pour s’écraser bien plus bas. Les rochers tombent, les rochers s’écroulent et tu as finis par être prisonnier. Du moins, ta jambe fut bien blessée. Fracture ouverte, plusieurs blessures mineures. Vous en êtes sortis vivants, toi comme eux, mais pas lui. Cette vision, elle te hante encore aujourd’hui et, souvent, cette douleur fantôme te prend et te réveille en sueur. Un trop plein, une expérience que tu aimerais oublier, mais qui au final a à jamais marqué ta chair mais également ton esprit.
Ce jour-là, tu étais en montagne avec quelques amis. Un moment de détente, tu as toujours aimé le sport, aimer l’escalade. Alors oui, en ce jour, tu n’aurais jamais cru que ton moment de calme finirait en Enfer. Tu te souviens de cette terre qui tremble, de tes mains s’agrippant aux rochers alors que vos cris se mêlent. Tu as tenté de gardé ton sang-froid et ce, jusqu’à ce que votre guide finisse par s’écrouler dans le vide. Tu n’as rien pu faire, eux non plus. Il est juste tombé, comme ça pour s’écraser bien plus bas. Les rochers tombent, les rochers s’écroulent et tu as finis par être prisonnier. Du moins, ta jambe fut bien blessée. Fracture ouverte, plusieurs blessures mineures. Vous en êtes sortis vivants, toi comme eux, mais pas lui. Cette vision, elle te hante encore aujourd’hui et, souvent, cette douleur fantôme te prend et te réveille en sueur. Un trop plein, une expérience que tu aimerais oublier, mais qui au final a à jamais marqué ta chair mais également ton esprit.
TON ADMISSION A HARVARD
Comme tous les étudiants, tu as dû passer par l’admission de base. Le fait de porter ton nom de famille ne te donne pas le droit à un traitement de faveur, du moins, c’est ce que tu espérais. Ouai, toi tu voulais faire les choses bien, les choses seul. Alors, tu as demandé des lettres de recommandations à tes professeurs Russes. Bon élève avec de bonnes notes, tu n’as pas eu du mal. Bien sûr, tu as eu une lettre de l’associé de ton père, qui avec lui, tiens la firme pharmaceutique. Ayant obtenu une moyenne de 2381,75 aux SATs, tu n’eu pas de grandes difficultés à ce niveau-là. Le Student Essay’s fut sûrement le plus compliqué pour toi. Que dire ? Quoi écrire ? Sur quel thème ? Tu as fini par diriger tes écris sur tes projets, sur tes rêves, ton avenir que tu aimerais être à la hauteur de tes attentes, de leurs attentes. Tu as également parlé de ce que tu désirais vraiment, vivre loin de l’ombre de ton père, simplement. L’entretient, lui, se passa relativement bien. Charme enfantin, tu as toujours eu une facilité déconcertante à amadouer les autres, à te montrer charmant. Alors, t’es entré à Harvard il y a de cela quatre années. Dire que ce fut les doigts dans le nez serait mentir, mais t’y est parvenu tout seul, sans l’aide du portefeuille de papa et ça, ça c’est ta victoire !
Comme tous les étudiants, tu as dû passer par l’admission de base. Le fait de porter ton nom de famille ne te donne pas le droit à un traitement de faveur, du moins, c’est ce que tu espérais. Ouai, toi tu voulais faire les choses bien, les choses seul. Alors, tu as demandé des lettres de recommandations à tes professeurs Russes. Bon élève avec de bonnes notes, tu n’as pas eu du mal. Bien sûr, tu as eu une lettre de l’associé de ton père, qui avec lui, tiens la firme pharmaceutique. Ayant obtenu une moyenne de 2381,75 aux SATs, tu n’eu pas de grandes difficultés à ce niveau-là. Le Student Essay’s fut sûrement le plus compliqué pour toi. Que dire ? Quoi écrire ? Sur quel thème ? Tu as fini par diriger tes écris sur tes projets, sur tes rêves, ton avenir que tu aimerais être à la hauteur de tes attentes, de leurs attentes. Tu as également parlé de ce que tu désirais vraiment, vivre loin de l’ombre de ton père, simplement. L’entretient, lui, se passa relativement bien. Charme enfantin, tu as toujours eu une facilité déconcertante à amadouer les autres, à te montrer charmant. Alors, t’es entré à Harvard il y a de cela quatre années. Dire que ce fut les doigts dans le nez serait mentir, mais t’y est parvenu tout seul, sans l’aide du portefeuille de papa et ça, ça c’est ta victoire !
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