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colïa ; the story of the rich and the poor

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Panique ce matin, la brune elle s'est pas réveillé alors qu'elle à une réunion très importante pour l'association, qu'elle va encore devoir ce battre pour tout ces adolescents qui compte sur elle. Alors elle a les nerfs à peine réveillé Gaïa, parce que l'association c'est tout ce qu'elle a, tout ce qui compte si il y a une chose qu'elle veut finir avant que la mort ne finisse par la rattraper c'est être sure que tout les enfants comme elle ne subiront plus jamais de discrimination. Depuis qu'elle est sortie de prison, Gaïa la seule chose qu'elle ait fait de bien c'est créer l'association pour les gens qui ont choisi de ne pas être comme les autres. Ironique dans la mesure où Gaïa, elle n'avait pas eu le choix, elle était l'enfant que deux couples homosexuels avaient choisi d'avoir, alors elle avait fait avec, elle n'avait jamais compris pourquoi les gens s'était acharné sur sa famille. Finalement, habillé la brune descend de l'appartement et elle se met à courir dans la rue tout en cherchant un taxi du regard. Elle est super pressée Gaïa, parce que ce qui se joue ce matin c'est super important pour elle avec la maladie qui gagne du terrain elle n'a plus le choix il faut qu'elle obtienne le soutient de personnes importante. Son regard s'arrête sur un taxi qui se trouve à quelques mètres, alors elle court la brune bien que ce soit pas du tout conseillé dans son état mais là elle s'en fiche bien Elle ne fait pas du tout attention à la personne pour qui ce taxi s'est arrêté, elle grimpe à l'intérieur, alors qu'elle fait face à un homme. « Je réquisitionne votre taxi c'est une urgence ! » La brune avance sa tête pour dire l'adresse au chauffeur de taxi, qui lui du moment qu'il est payé pour sa course se fiche de la situation. Il démarre et la brune pose son regard sur le brun à sa gauche. « On dirait que le prince a fini par retrouver sa Cendrillon. » Gaïa, elle planta son regard sur lui, elle se souvenait de leur rencontre le samedi précédent lors du bal, la brune y était allé seule et elle avait vu cet homme entrer. Il y avait eu quelques chose chez lui qui l'avait attiré si bien qu'elle s'était approché de lui et l'avait embrassé spontanément parce qu'elle en avait eu envie, sur le moment elle n'avait pas compris son geste alors elle avait quitté le bal ensuite le plantant là. Alors le retrouver ici, ça la troubla quelques instant.
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Une nouvelle année universitaire qui touchait à sa fin. Comme toujours le bal de fin d’année avait eut un goût de feu d’artifice pour Colin dont les pensées se voyaient désormais focalisées sur la saison à venir. L’été lui-même semblait déjà avoir enseveli la ville, donnant aux contours familiers de Boston un nouvel éclairage. De la même façon qu’il n’aspirait qu’à rejoindre les stations de ski une fois l’hiver arrivé, la période estivale réveillait chez lui l’envie furieuse de prendre racine sur une belle plage de sable fin, afin de parfaire son bronzage,  muni d’une bonne protection solaire et d’une boisson rafraichissante. Pour l’instant cependant, il se trouvait encore à Boston, l’heure n’étant pas encore aux vacances bien méritées. Ayant passé la soirée de la veille à une fête privée censée célébrer l’arrivée des beaux jours (une excuse pour sortir, rien de moins), Colin quitta l’appartement de l’un de ses meilleurs amis tôt le matin, frais comme un lardon. Bien que n’ayant pas beaucoup bu la veille en bon controlfreak de première, il se sentait malgré tout fatigué et n’aspirait qu’à se poser un peu. Le regard alerte, il attrapa le premier taxi qui se présenta à lui et s’engouffra à l’intérieur de ce dernier en témoignant un intérêt cordial au chauffeur. Une fois sa destination indiquée, il se mura dans le silence, se calant sur la banquette arrière, calant son bras contre la vitre, étudiant sans grand intérêt le paysage familier en attendant que le taxi démarre. Alors que le chauffeur s’apprêtait à repartir, la portière s’ouvrit à la volée. Colin fronça les sourcils avant de darder un regard irrité sur la fille qui venait déjà s’installer à côté de lui. Bien qu’ayant croisé pas mal de monde dans sa vie, il la replaça immédiatement. Il avait beau ne pas connaître son nom et réciproquement, elle ne lui était plus étrangère depuis qu'elle lui avait fourré de force sa langue dans la bouche une semaine plus tôt. Heureusement qu’il n’avait de petite amie en ce moment, ça aurait pu être gênant. « Je réquisitionne votre taxi c'est une urgence ! » Colin dut se retenir de placer un commentaire acerbe alors que l’effrontée communiquait son adresse. Une fois que ce fut chose faite, elle dirigea à nouveau son attention sur Colin qui s’était réfugié entre temps derrière un masque d’impassibilité. « On dirait que le prince a fini par retrouver sa princesse. » Amusant. Heureusement qu’elle était jolie, fait qu'il s'abstenu bien de souligner. De toute façon, les filles de ce genre n'ont pas besoin de s'entendre dire ça. Elles le savent. « En voilà une jolie façon de présenter les choses. » Commenta-t’il d’une voix plate, gorgée d’assurance. « C’est donc ça ta technique de drague ? C’est assez élaboré. Embrasser à pleine bouche des inconnus pour commencer puis t’inviter de force dans leurs taxis. Je pense qu'il faudrait que tu retravailles ça, c’est pas terrible, ça te donnes l’air un peu désespérée. » Il ne pouvait pas la chasser du taxi, mais il n’avait pas l’intention de rentrer dans son petit jeu. Le caractère effronté de cette fille le déstabilisait malgré lui, même s’il aurait préféré se couper la main plutôt que de le reconnaitre et il ne tenait pas plus que ça à lui faire la conversation.
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La blonde détestait la fin de l'année, parce qu'elle ne pouvait songé à la question existentielle dans laquelle elle était baignée depuis cinq ans : Sera telle la dernière ? Apprendre que l'on va mourir dans les années à venir avait rendue la vie de Gaïa fragile et en même temps plus attractive, car la blonde elle ne se privait plus de rien, elle se contentait de dire ce qui lui venait par la tête et de faire les choses à l’intenté. La blonde, elle voulait vivre, jouer à faire la course avec le rival le plus difficile que la vie lui ait donné d'affronté, la mort. Pourtant, elle le savait un jour ou l'autre, elle devrait dire au revoir, faire ces adieux à ses parents, ceux qui auraient dû mourir avant elle mais parfois la vie était injuste. Souvent la blonde pensait que les dieux avaient un dé dans la main et qu'il le lançait pour décidé du chemin de chacun, comme si tout était écrit par avance. Gaïa, elle trouvait ça triste parce que le bonheur dans la vie c'était les choses que l'on prévoyait pas, c'était la joie d'une rencontre imprévue, ou bien c'était trouver un billet de cent dollar dans la rue. Dans cette rue, la blonde elle pensait à l'association, à toutes ses personnes qui comptait sur elle pour un avenir meilleure, si elle n'en avait pas, elle voulait au moins embellir ceux des autres. Une fois dans le taxi, elle n'y pensa plus quelques instant, lorsqu'elle se retrouva face à cet inconnu qu'elle avait embrassé au bal, face à cet homme qui l'avait troublé sans qu'elle ne comprenne pourquoi et qui l'a déstabilisait une fois de plus. Avec cet homme la blonde avait voulu vivre le moment présent et faire une chose folle l'embrassant, un baiser comme on en offre peu mais qui reste dans les esprits. Elle le regardait, alors qu'il semblait se montrer impassible face à sa présence, pourtant Gaïa elle se mit à rire dans ce taxi parce qu'elle n'avait rien prémédité, elle n'avait jamais eu l'intention de le revoir une fois de plus, elle avait laissé le destin en décidé pour elle. « Oh mon dieu me voilà mise à nue par un inconnu. Je vais être dans l'obligation de te kidnapper et de t'enfermer maintenant. Je suis sûre que tu n'y vois pas d’inconvénient.  » Un fin sourire sur les lèvres, la blonde elle s'installa confortablement dans le taxi, alors qu'elle ne le quittait pas des yeux tandis qu'elle le trouvait vraiment différent des autres hommes depuis qu'elle avait posé ses yeux sur lui. « Il me semble que ce baiser, tu me l'as rendue non ? Comme quoi, ma technique n'est pas si mauvaise après tout. » La blonde n'aurait sans doute pas prit la fuite si elle n'avait pas été surprise par sa réceptivité sur le moment, bien entendue elle se doutait que maintenant il devait sacrément la trouvé sans gêne.
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La fille, dont il ignorait toujours totalement le nom,  se mit à rire, trouvant visiblement à la situation un gros potentiel comique. Colin ne partageait pas franchement cet humour aux antipodes du sien. S'il y avait bien une personne qui ne se laisserait jamais aller à embrasser quelqu'un (ou à faire quoi que ce soit d'autre), sans y réfléchir auparavant. A moins qu'elle ne l'ai prémédité. Non. Ce n'était pas le cas. Colin, qui avait renoncé depuis l'enfance a toute forme de spontanéïté, lui préférant un contrôle permanent, ne pu s'empêcher de se sentir profondément irrité tout en s'obstinant à vouloir le cacher. Il resta donc stoïque, dardant sur la fille un regard froid. « Oh mon dieu me voilà mise à nue par un inconnu. Je vais être dans l'obligation de te kidnapper et de t'enfermer maintenant ? Je suis sûre que tu n'y vois pas d’inconvénient. » Et bien. Aussi subtile qu'un boulet de démolition. « Il me semble que ce baiser, tu me l'as rendue non ? Comme quoi, ma technique n'est pas si mauvaise après tout. » Effectivement, il ne l'avait pas repoussé, mais c'était honnêtement plus dû à la surprise qu'à une réelle envie de lui rendre son baiser. Ca ne lui ressemblait pas de se laisser ainsi faire, lui qui tenait toujours à avoir la situation parfaitement en main. C'était d'ailleurs pour ça qu'il était si irrité par le comportement de cette fille : alors même qu'il ne savait rien d'elle et vice versa, elle l'avait privé pour quelques instants de sa capacité de contrôle et ça le rongeait. Le bal était derrière lui cependant et il ne comptait plus se laisser à nouveau surprendre. Il demeura donc blotti derrière sa carapace d'assurance, l'air ennuyé comme il l'aurait été en sentant un petit caillou dans sa chaussure. « Je ne t'ai pas repoussée pour t'éviter une humiliation cuisante » c'est vrai que c'était tout lui, autant d'altruisme, un brave petit samaritain. « Ca ne t'autorises pas à me suivre la trace. » Il exagérait, bien sûr, mais il lui fallait marquer le point.
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Gaïa était totalement déconcerté par cet homme qui se trouvait à ses côtés, elle n'avait jamais vu quelqu'un aussi stoïque, aussi marqué par le visage par des années de contrôle. Il avait les traits du visage bien trop marqué, marquant sans doute le nombre de fois où il avait du prendre sûr lui pour ne pas perdre son sang froid. Puis, il y avait sa posture, tout en lui n'était que contrôle de soit et de sa vie et la blonde elle comprenait alors pourquoi il se montrait si froid envers elle. Il était sa glace, alors qu'elle était le feu sans aucune hésitation, bien qu'elle puisse être vraiment glacial quand cela s'imposait, Gaïa c'était un ouragan, elle dévalait les pentes de ski comme elle dévalait la vie. Elle passait une main dans ces cheveux alors qu'elle se sentit soudain plus perturbé par cette rencontre qu'elle ne l'aurait imaginé. Cet homme était tout ce qu'elle ne sera jamais, elle avait n'avait pas de temps à perdre à réfléchir constamment avec elle c'était maintenant. Elle posa son regard sur lui et elle se demandait ce qu'il penserait d'elle si il savait qui elle était, si elle lui disait ce qu'elle avait fait. Dans sa réflexion, la jeune femme finit par reporter son attention sur ces paroles et elle pencha légèrement la tête comme pour le déchiffrer. « Une humiliation ? Je me fiche de ce que l'on peut pensé de moi, puis une personne aussi droite que toi, à pourtant baissé sa garde non ?  » La blonde n'était pas du genre à se laisser dominer, en toute circonstance elle restait fidèle à elle même et en regardant son bel inconnu elle se disait que les choses allaient sans doute être interessante. « Argument intéressant. Si nous remettions les choses dans leur contexte, tu te trouvais juste devant moi lorsque j'allais quitté la soirée puis là tu te trouves dans mon taxi alors il est possible que ce soit toi qui t'évertue à te trouver sur ma route. »  Son regard venait trouvé le sien, comme pour le défier, comme pour s'assurer que ce qu'elle voyait en lui existait bel et bien.
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L'expression qu'il arborait actuellement, cette carapace glacée, il l'avait perfectionnée durant des années. Il était petit quand il l'avait revêtue pour la toute première fois et au fur et à mesure, elle avait finit par devenir comme une seconde peau. Une armure rutilante dont il se paraît sans arrêt, une façade de contrôle qu'il chérissait plus que tout et qui s'était brièvement fissurée quand elle avait surgit devant lui pour venir plaquer sans un mot ses lèvres contre les siennes, le laissant brièvement et pour la première fois depuis longtemps foncièrement désorienté. Cela ne lui ressemblait pas et il s'était senti empli de colère quand elle s'était esquivée sans plus d'explications. Vite, il s'était à nouveau caché sous un masque d'indifférence, mais encore aujourd'hui, il fulminait sous cape. Elle l'observait avec une curiosité presque scientifique, attendant une réaction, un signe, même minime, à interpréter. Il ne comptait pas lui donner quoi que ce soit de ce genre. « Une humiliation ? Je me fiche de ce que l'on peut pensé de moi, puis une personne aussi droite que toi, à pourtant baissé sa garde non ? » Colin se mordit la lèvre, blessé dans son égo. Voilà qu'elle remuait le couteau dans la plaie. « Argument intéressant. Si nous remettions les choses dans leur contexte, tu te trouvais juste devant moi lorsque j'allais quitté la soirée puis là tu te trouves dans mon taxi alors il est possible que ce soit toi qui t'évertue à te trouver sur ma route. » Pour toute réaction, il ne pu retenir un rire moqueur, hautain. Comme toujours, il arborait un air supérieur devenu lui aussi une véritable extension de sa personne. « Tu devrais écrire un livre, tu as de toute évidence une sacrée imagination. » Il ne l'avait pas repoussé et n'allait pas s'embêter à défendre l'indéfendable, mais il refusait de devenir complice dans cette histoire alors qu'il n'avait rien voulu de tel.
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Cette apparence froide qu'elle avait devant elle, la jeune femme ne la connaissait que trop bien, le mauvais reflet du miroir. Elle avait été comme lui de nombreuses années, lorsqu'elle en avait eu marre d'être martyrisé en permanence, lorsqu'elle en avait eu marre, Gaïa, de se cacher dans les toilettes. Il y avait ce jour de trop, ce jour où en pleine nuit des cailloux avaient été jeté dans sa maison, avec des insultes autours d'eux. Gaïa avait changé ce jour là, elle était devenue imperméable à toutes émotions, ne pensant qu'à se venger de ce qu'on lui avait fait à elle et à sa famille. Pourtant depuis qu'elle avait apprit pour sa maladie en prison, la blonde elle avait décidé de vivre simplement alors le voir comme ça, elle n'aimait pas Gaïa les sentiments même les plus sombre étaient fait pour être exprimé non enfouis. L'inconnu devait sûrement être une bombe à retardement. Elle le trouvait pourtant différent, elle cherchait plus loin que l'image qu'il reflétait au monde, lorsqu'ils s'étaient embrassé elle avait aperçut la brèche et elle n'arrivait plus à se le sortir de la tête. La blonde, elle refusait de lui donné l'importance qu'il cherchait à avoir et elle le voyait dans son regard qu'il en était fou le gentleman. Le regard ne ment jamais. Il riait, de cette manière que les gens comme lui ont de se moquer et de prendre de hauts les gens comme elle. Elle n'en porta pas plus d'attention parce qu'elle le savait déjà, il était un prince et elle était une Cendrillon, une fille pauvre qui aspirait à mieux qu'une mort qui la cherchait. « J'y songerais, sans doute que ce n'est pas une si mauvaise idée dans le fond. » Écrire un livre, écrire une vie pleine de rebondissement, pleins d’événements malheureux mais où elle pourrait sans doute ouvrir son âme et mettre sur papier ce que tant de personnes avait du mal à voir en elle. Elle regarda la route quelques instants, jusqu'à ce qu'elle se remette à lui parlé, c'était un moment étrange qui se déroulait dans ce taxi. « Elle doit être belle ta vie, je suis sûre que tu n'as jamais manqué de rien, tu es exactement là où tu voulais être, ayant fait ce que tu avais à faire et pourtant... » Elle planta son regard dans le sien une nouvelle fois. « Ce baiser, il te perturbe, il te chagrine parce que tu ne m'avais pas prévue dans ta vie parfaite. »
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Il sentait le regard de la fille peser sur lui, s'attardant sur son visage, tâchant d'y déceler une faille quelconque. Colin n'en éprouvait pas de malaise particuliers, juste un peu d'irritation : après tout, de par la notoriété de sa famille, il avait l'habitude de sentir les regards se poser sur lui et avait depuis des années appris à parfaire son image de sorte à ne jamais en dévoiler trop aux autres. Avec les années, il avait banni toute forme de spontanéité de son vocabulaire et s'en portait très bien. « J'y songerais, sans doute que ce n'est pas une si mauvaise idée dans le fond. » Il ne formula aucune réponse. « Elle doit être belle ta vie, je suis sûre que tu n'as jamais manqué de rien, tu es exactement là où tu voulais être, ayant fait ce que tu avais à faire et pourtant... Ce baiser, il te perturbe, il te chagrine parce que tu ne m'avais pas prévue dans ta vie parfaite. » Elle commençait sérieusement à lui prendre la tête. Car elle lui avait volé un baiser, le surprenant un instant, elle se figurait qu'elle le connaissait, qu'elle avait entraperçue son âme ou une autre idiotie du genre ? S'il n'était pas stupide, il ne comprenait pas pour autant avec précision les règles du jeu dans lequel elle tentait sans aucune subtilité de l'entrainer. « Ecrivain en l'herbe et psychologue avec ça ? » Non mais franchement, est-ce qu'elle s'entendait parler ? « Je ne saisis pas très bien les raisons de ton obsession vis-à-vis de moi » car comment en parler autrement ? « Mais tu devrais arrêter, tu es en train de te ridiculiser. »
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La blonde, elle ne comprenait pas pourquoi l'homme qu'elle avait face à elle la troublait à ce point, quelques part il représentait tout ceux à quoi elle aurait aspiré dans la vie si les choses n'avaient pas été ce qu'elles sont. Il était de bonne famille, ça se voyait sur lui ainsi qu'à la manière dont il parlait, il était le fils parfait sans doute alors que Gaïa était pauvre et loin d'être parfaite. Elle ne savait pas ce qui l'avait poussé à l'embrassé en dehors du fait que Gaïa avait besoin de changer la donne, que les choses ne soient pas toujours prévue à l'avance. Puis elle l'agaçait vraiment alors elle songea quelques minutes à lui faire ces excuses mais elle n'en avait nullement envie, la blonde elle était elle même et évidemment ce n'était pas ce que lui aurait souhaiter qu'elle soit. « Pourquoi te sens tu obliger d'être aussi désagréable ? » La jeune femme le regardait et c'était une vrai question, elle se demandait ce qu'il gagnait à ce comporter de la sorte, elle avait besoin de chercher des réponses à ses questions alors elle soupira en passant une main dans ces cheveux. « Qu'est ce que j'ai fais qui t'embête à ce point ? J'aimerais comprendre. » Bien sûr, elle se serait attendu à un homme qui veuille des explications mais de là à ce montrer aussi arrogant, froid et distant pour le coup ça la retournait la blonde parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi les riches se sentaient obliger de montrer leur supériorité par le dénigrement et l'ignorance.
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« Pourquoi te sens tu obliger d'être aussi désagréable ? » Lui ? Désagréable ? C'était elle qui enchainait les comportements incohérents et inacceptables, pour lui tout du moins. Faut croire qu'elle avait roulé un patin au mauvais type. En fait, c'était même sûr. Peut-être que cette fille vivait effectivement dans sa bulle, qu'elle se figurait qu'il avait passé tout le reste de la soirée au bal à rêver de la fille qui avait surgit devant lui pour l'embrasser, en se maudissant de ne pas pouvoir retrouver sa trace. Peut-être qu'elle s'attendait à ce qu'il l'embrasse à nouveau avec toute la fougue dont il se savait capable en la voyant s'incruster sur la banquette de son taxi. Elle devait être un peu naïve. Ils n'étaient pas au milieu d'un dessin animé, là et Colin ne se sentait pas d'humeur à assouvir un fantasme de ce genre. « Qu'est ce que j'ai fais qui t'embête à ce point ? J'aimerais comprendre. » Faut croire que son attitude n'était pas suffisamment claire. Colin plissa les yeux, son regard se faisant plus dur, en admettant que cela soit seulement possible. « Je te trouve grossière et envahissante. » Ca, c'était fait. « Ca marche peut-être avec d'autres mecs de les embrasser comme ça, avant de te tirer, mais je ne suis pas comme eux. Je ne te connais pas, je n'aime pas le peu que je sais de toi et je n'aime pas partager mes taxis. » Il n'y allait pas de main morte, mais il n'était pas particulièrement réputé pour sa délicatesse, encore moins quand il se heurtait à un mur d'obstination. « C'est suffisamment clair comme ça ou tu as besoin de plus d'informations ? »
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