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REAMO ✰ Pour un seul regard de toi

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L’ambiance entre nous est lourde, ce silence est pesant, il ne parle pas, moi non plus, je regarde mon café, lui aussi, j’avoue ne pas me sentir à l’aise, j’ai envie de pleurer, de lui sauter au cou pour l’embrasser, sentir de nouveau ses bras me serrant fort. Je suis au bord du précipice émotionel, au bord de l’implosion, mon cœur est si serré, si douloureux, je garde le silence jusqu’à que Read le brise en faisant la réflexion que je n’avais pas oublié ce qu’il préférait. Je le regarde et naturellement je lui souris, pour moi c’est normal de me souvenir de ca, de ces petits détails qui font tout dans l’amitié…dans l’amour…

« C’est normal je trouve de savoir ce qu’aime…mon meilleur ami…sinon je serai un piètre ami… »
Je lui souris doucement, avec sincérité, avec douceur, avec cœur, a mes yeux c’est important de savoir ca sur lui, car c’est tout un tas de petites attentions que je peux avoir envers lui, afin d’allumer cette petite flamme dans son cœur de glace… Plongé dans mes pensées, a repenser a ses quelques instants où tout était si heureux, ou on riait ensemble, ou tout était encore normal entre nous. Je me sens coupable de l’aimer mais a la fois, je ne regrette pas de l’avoir dans ma vie.
Il me propose d’un coup d’aller ailleurs, je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche pou reprendre que la réponse est déjà toute choisi car on entend gronder. C’est fou comme le temps peut changer en quelques minutes.

« Vu le ciel, je crois que ton appart ne sera pas de refus… »
J’échappe un petit rire avant qu’il ne se mette a pleuvoir a plein temps, nous mouillant en l’espace de quelques minutes.
Nous arrivons devant la porte de son appartement, mouiller jusqu’à l’os, mon maquillage ayant coulé en mode dégueulasse, enfin mon eye liner, mes vêtements me collent a la peau, dessinant mes muscles de danseur, mes courbes. Autant avouer que Read est dans un état similaire, Autant dire que cette course pour vite se mettre a l’abri m’a changé les idées, quand on se regarde, un éclat de rire ne peux que sortir, comme au temps de notre adolescence. Je me glisse dans l »appartement quand il ouvre la porte avant de dire avec un sourire.

« Et bien, tu n’as pas changé, tu es toujours aussi bordéliquement ordonné…c’est mignon…Hum…dis tu n’aurais pas une serviette et deux bricoles sèches… ? Le temps que mes vêtements sèchent… ? »
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Read rougit face à l'affirmation de son ami. Et oui, les amis connaissaient toujours les goûts de ceux qu'ils aimaient. Poussant un large soupir, il avala encore quelques gorgées de son café.
"Un café en soirée, ça excite, je ne sais pas comment je vais dormir cette nuit, ça me réveille trop." déclara-t-il sincèrement, tout en terminant cependant sa boisson.

Il fut heureux d'entendre son ami accepter son invitation. Certes, son acceptation était en partie due par l'apparition de nuages menaçant, mais c'était tout de même une acceptation. Il rit simplement, la tension semblait devenir de plus en plus respirable entre les deux hommes. Read commençait à déverrouillait ses anciennes habitudes, à se comporter comme il l'avait toujours fait. Mais comment pouvait-il jouer à ce jeu, faire mine qu'il ne s'était jamais rien produit de grave?

Les deux amis débutèrent la marche et la pluie les rattrapa. Ils se mirent à courir, d'un pas plus que pressé, tandis que les flots les imprégnaient sans crier gare. Et lorsqu'enfin, ils eurent pénétré l'appartement de ce cher secouriste, ils explosèrent de rire, se regardant comme des enfants qui venaient de faire une bêtise et qui avait échappé à la colère de leurs parents. Cela leur était arrivé de nombreuses fois, lorsqu'ils étaient deux enfants qui commettaient des bêtises, comme tous les gamins de ce monde.

"Bordéliquement ordonné?" répéta Read en se rinçant l'oeil, observant le corps de son meilleur ami sous les vêtements trempés qu'il portait. Il comprenait pourquoi il avait voulu céder... Le trentenaire devait avouer que Remo était quelqu'un d'attirant à son oeil. Il sourit naturellement et sincèrement. "Je prends ça pour un compliment." Il s'avança en direction d'une des chambres du fond. "Aller suis-moi, enlève tes fringues, je vais te prêter un truc..."
Et alors qu'il formulait ses mots, sans aucune pudeur, notre jeune homme était presque entièrement nu, n'ayant gardé que ses sous-vêtements, sans se soucier que le fait qu'il se déshabille en sa présence puisse titiller son ami d'une quelconque façon. Sans oser lancer d'autres regards à Remo, il se dirigea vers l'une des commodes et en sortit t-shirts et jogging usés, mais pas non plus à jeter. Notre père de famille portait cela lorsqu'il trainait chez lui: c'était confortable.
"Désolé, t'auras le style clochard." dit-il en riant, observant le visage de Remo.

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Rapidement, nous nous retrouvons devant son appartement, complètement trempé après cette course poursuite contre la pluie. Cela me rappelait nos jeux quand nou étions adolescents, on se courrait après, ou on passait de la maison de l’un à la maison de l’autre, en riant, c’était une époque si heureuse. Il ouvre sa porte, j’entre et j’observe son intérieur, ne me retenant pas pour donner un commentaire digne de moi. Il prend ce que je dis pour un compliment.

« Haha, tu sais…avant tu étais pire, là je sens une amélioration, c’est toujours autant le bordel mais c’est un bordel ordonné ! »
Je lui adresse un immense sourire jusqu’à qu’il me demande de le suivre en me dévêtant pour qu’il puisse me prêter deux bricoles. Mais il n’hésite pas a se foutre a moitié à poil. Autant dire, qu’il m’a suffit d’un coup d’œil pour avoir un réaction instantanée de mon corps, désavantage pour moi c’est que la nature m’a gâtée donc la moindre réaction est flagrante, je le suis jusqu’à sa chambre, et pendant qu’il cherche de quoi nous changer, je retire à mon tour mes vêtements, en essayant de ne pas le regarder avec insistance mais dur de contenir mes emotions, mes sentiments, mes réactions, je ne suis qu’un homme faible, je le sais…
Je fini par m’approcher de lui, je suis un peu plus grand que lui, je le regarde commencer a sortir destruc en me disant que j’aurai un style clochard, je ris avant de voir un t shirt que je reconnais et je voulu l’attraper sauf que….ben entre moi et la commode il y avait Read, mon corps se colla au sien, mon bras entièrement tatoué passant au dessus de son épaule, je sens l’humidité de sa peau, la chaleur, et surtout son parfum. Le t-shirt en main, je ne bouge pas la position

« Hey…Mais…ce t-shirt…il est à moi…. »

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Le secouriste ne put s'empêcher de rire lorsque l'autre continua à l'enfoncer à propos de son bordel. C'était vrai que l'appartement n'était pas niquel, mais Read n'avait pas tant de temps à accorder aux tâches ménagères que cela.

"Si t'avais trois enfants, tu verrais que c'est pas facile ! En plus, là, les jouets ne sont pas par terre!" Oui, d'habitude, c'était le champ de bataille par terre, après que les bambins aient fini de jouer, mais, pour cette fois, Remo avait de la chance, il avait le droit à un lieu de vie convenable, une belle vitrine de l'existence de Read. Ce dernier n'hésita pas longtemps avant de se déshabiller, afin de changer de vêtements. Ils pourraient ensuite passer la soirée tranquille... Peut-être à rattraper ces deux années perdues, à regarder des films, comme lors de leur adolescence, à bavarder de tout et de rien. Par exemple, des rencontres qu'ils avaient chacun pu faire lors de ces deux dernières années. Read sourit à cette pensée, mais c'était sans compter sur la brusquerie de son meilleur ami.

D'un coup, celui-ci approcha, afin d'attraper un t-shirt qu'il connaissait. Il était vrai que le secouriste avait pu garder certaines de ses affaires par erreur, et avec le temps, oublier que celles-ci lui appartenaient. Il se sentit soudain plaqué contre la commode et devînt tout rouge, partageant sa chaleur avec son interlocuteur. Plus bas, contre son entrejambe, il pouvait clairement sentir l'excitation de son interlocuteur, c'était une évidence, et l'autre n'avait aucun moyen de la calmer. Il baissa les yeux un instant pour vérifier qu'il ne se faisait pas des idées et devînt aussitôt rouge comme un pivoine car il sentait qu'à ce contact, des envies s'éveillaient également à lui. Il se décala légèrement, ce qui provoqua un frottement, un frôlement qui le fit frémir.

Leurs souffles se touchaient et les deux hommes se regardaient à présent.
"Tu peux le récupérer alors.... Mais je dois l'avoir abîmé avec le temps, je l'utilisais pour dormir." dit-il sans quitter Remo des yeux afin d'éviter à avoir à discuter de ce qui se passait avec les parties basses de leur corps. Il se mordit ensuite la lèvre. "T'as envie d'un truc particulier à faire ce soir?" Une toute petite lueur de malice apparut dans son regard. Ce n'était pas vraiment une situation à laquelle il s'attendait, vu leur passé commun.
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Il m’explique qu’avec trois enfant, cela n’est pas facile surtout qu’il n’y avait pas de jouer par terre, je ne peux que rire, mais en rien une moquerie, au contraire, un rire presque attendri, bien que le rappel de l’existence de ses bambins est un poids douloureux pour moi car il me rappelle le cocufiage et ses années de malheurs, mais passons.
Je le suis das la chambre et pris d’une réaction spontanée et surtout non réfléchit, je cherche a rattraper un maillot que je reconnais, je croyais l’avoir perdu mais non…depuis toutes ses années il est là. Ce n’est qu’en sentant Read mal a l’aise que je me rends compte que j’étais collé à lui, avec comme seul vêtement nos caleçon encore un peu humide de la pluie. Je me rends compte que ma chose frotte les fesses de Read, et que cane déampli pas…merde le con… Je vois Read tout rouge me disant que je pouvais le récupérer, qu’il s’en servait pour dormir…après une once d’hésitation, je le remets dans le placard avec un sourire, me dépéchant de prendre ce qu’il m’avait prevu, en profitant pour cacher de mes mains ma partie intime gonflé alors qu’il me demande si j’ai envie d’un truc particulier ce soir.
La malice dans ses yeux me fit me sentir encore à nos 15ans, quand on squattait le home cinema du salon pour se regarder des films. Je me mords la lèvre.

« On pourrait se regarder un film comme quand on était jeune…Je peux même cuisiner quelque chose a manger devant… »
Plus je parlais, plus mes yeux se perdait dans les courbes de son corps, ce n’est pas un bodybuilder, moi non plus mais il a un corps a croquer, il est parfait, a la foi fort mais doux, a la fois tendre mais ferme. Ce corps qui me fait tant fantasmé. Bordel faut que j’arrête sinon je vais lui sauter dessus, je lutte en me mordant la lèvre.
Read peut voir dans cette tenue peu couvrante ce qui a changer chez moi, je suis beaucup moins dodu qu’à l’époque, j’ai perdu du muscle que je retrouve petit a petit, quand on s’est séparé, je n’avais en tatouage que deux petits sur le poignet, aujourd’hui j’ai l’intégralité des bras, des épaules, des poignets et un peu mes mains et mon torse de tatoué. Mon dos contient une cicatrice encore bien rose prouvant qu’elle date de maximum un an. Oui beaucoup de chose ont changer en tant de temps…
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Visiblement, Remo aimait l'idée que son meilleur ami ne se serve de son t-shirt comme de pyjama, car il le rangea dans le placard, après une courte hésitation. Read sentait toujours la partie intime de son meilleur ami contre lui. C'était bizarre.... Et cela avait quelque chose de très excitant. Il gardait un bon souvenir de leurs parties de jambes en l'air passées, mais il ne voulait pas risquer de remettre cela. Il avait déjà brisé le coeur de Remo une fois... Et il avait peur que celui-ci ne veuille toujours bien plus de lui que du crac-crac effréné.

Il sourit lorsque son ami lui indique qu'ils pourraient tous les deux regarder un film, dans le salon. Ils avaient l'habitude de le faire à l'époque, alors qu'ils n'étaient encore que des enfants. Il poussa un petit soupire et regarda le corps de son interlocuteur, se mordant la lèvre. Il était sexy mais changé. Il avait maigri, il y avait des marques sur son corps... Des traces d'un passé douloureux. Un peu comme celles que Read avait eu après son agression. Il poussa un soupir, puis posa sa main contre le torse de Remo. Il commença à caresser son corps, suivant les lignes de tatouages.

"Ils veulent dire quoi?" demanda-t-il simplement. Si son ami avait voulu se faire tant de tatouages, ils avaient forcément une signification, n'est-ce pas? Remo n'était pas obligé de lui répondre, mais ce serait chouette.
La main de Read vint ensuite caresser le dos sur la cicatrice qu'il avait aperçue plus tôt. Elle était fraîche. Quelqu'un lui avait-il fait du mal? Non, il ne pouvait se l'imaginer, il ne pouvait non plus imaginer avoir été absent alors que son ami aurait eu besoin de lui. "Tu as eu un accident?" demanda-t-il en souriant, de façon gênée. Et sur ses mots, sa main frôla de nouveau le torse de Remo et descendit un peu trop bas, touchant la partie intime et très sensible de son interlocuteur. Il ne l'avait pas fait exprès, ça n'avait pas été le but, mais, à présent, il ne pouvait nier son envie. Et cette caresse inopinée avait eu l'air d'avoir fait son effet, vu le visage de son interlocuteur.
Remo ne pouvait plus cacher son petit "problème", Read l'avait bien vu et bien senti...

"Tu... T'as vraiment envie de regarder un film?"
Ouais la question était un peu tourniquotée, mais on comprenait ce qu'il voulait dire. Au fond, si Remo voulait une partie de jambes en l'air, il ne serait pas compte, du moment qu'il n'en attendait pas plus pour cette fois. C'était bizarre, mais en même temps... C'était... naturel, ce genre de besoin. Y avait pas à en rougir. Notre corps nous trahissait parfois...
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Le maillot remit en place dans l’armoire, je dis à mon ami qu’on pourrait se regarder un film comme au bon vieux temps, ce temps où tout était si simple entre nous, ou tout était si facile, car j’étais juste amoureux et qu’il ne m’avait pas montrer le moindre signe de réciprocité, en même temps, je ne lui avais encore jamais parlé de mes sentiments pour lui et tout était bien plus simple a ce moment là…
Je lutte pour ne pas lui sauter dessus, oui je lutte d’où ma proposition qui peut paraitre bête et enfantine, voir ridicule, mais je me dis que si on est concentré sur un film, habillé, cette envie irrésistible de lui retirer son caleçon et je lui faire l’amour au point qu’il s’en souvienne à vie, aurait pu s’atténuer…mais Read commence a caresser mon torse, enfin mes tatouages…Non Read…pas ca…non pitié… Je le regarde faire alors que mon souffle commence légèrement a s’accélérer sous ce contact absolument divin. Il me demande ce que veux dire mes tatouages. Je ne peux que retenir un petit rire, mi nerveux, mi attendri. Je prends le temps de lui expliquer les principaux comme par exemple la clé, l’infini, l’œil d’Horus, le visage de divinité sur mon épaule, la phrase en latin, les formes, la phrase sur mon torse. Chacun dévoile un instant de ma vie.

« Chacun a un sens précis dans une étape de ma vie, je sais que certains peuvent sembler bizarre mais j’ai eu besoin de l’exprimer par un tatouage… »
En même temps, chose que je ne lui dis pas c’est que certains tatouages masquent des cicatrices de mon ex, des marques indélébiles que j’ai voulu masquer pour ne plus avoir a les maquiller quotidiennement. Mais chose à laquelle je ne m’attendais pas, il s’intéresse à ma cicatrice…enfin l’une de mes cicatrices, a vrai dire c’est une des cicatrices des tentatives chirurgicales du médecin pour sauver mon dos, avec peu de succès a cause de cet abruti que je pensais aimé pour oublier l’homme qui touche cette cicatrice. Un frisson parcourt tout mon corps, je sens les muscles de mon dos se tendre car c’est encore sensible. Il me demande si j’ai eu un accident…Comment lui dire…Non j’ai trop honte…

« Ce..c’est compliqué Read…Et j’ai pas envie d’en parler… »
J’ai surtout honte du con que j’ai été, après tout je le suis encore pour m’accrocher a Read, je le suis encore pour avoir honte d’en parler, je suis un con d’aller a l’encontre l’avis des médecins mais la danse…c’est tout ce qui me reste avec la musique…c’est ma vie.
Je suis sorti de mon acharnement mental contre moi-même par la main de Read sur ma partie intime qui ne met pas longtemps a réagir. Non Remo…résiste, résiste…ne cède pas… Mais Read ose demandé si je vais vraiment regarder un film. Ma dernière lutte acharnée prend fin, Read la mattraquer d’un revers de main avec sa question.
Je le regarde dans les yeux, essayant de lutter encore mais je suis échec et mat, il ne faut pas attendre longtemps avant que j’agisse. En l’espace d’une seconde, Read se retrouve plaquer contre sa commode fermé, les vêtements que je tenais en main éventrer au sol…Read a eu raison de moi…mes lèvres sont scellées aux siennes, mon corps collé au sien, mêlant ma langue a la sienne…Des flash de la nuit que nous avons passé me reviennent. Read m’a fait perdre le contrôle…encore une fois….
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Read écuta attentivement les explications de son meilleur ami en ce qui concernait ses tatouages. C'était intéressant. Lui n'avait jamais été du genre à s'exprimer à travers des tatouages, alors il était bon de tenter de comprendre ce que Remo avait voulu signifier par leur intermédiaire. Le tatouage était un art, mais c'était évidemment bien plus que des dessins encrés sur des corps humains. Il sourit lorsque Remo arriva à a conclusion.

"Y a rien de bizarre, chacun s'exprime comme il le sent..." Oui, comme Read qui avait exprimé son désespoir par un claquage nerveux, qui était parti, tout bonnement, qui avait pris ses enfants et laissé tout le reste en plan avant de se diriger vers sa ville de naissance. Heureusement, une cousine l'avait aidé... Il s'était soigné et était revenu plus fort. Du moins, au premier abord... Puisqu'il avait toujours besoin d'être admiré, de sentir de la tendresse, du désir envers lui et Remo semblait vouloir lui en donner, malgré leur passé.

Read savait qu'il était trop faible pour dire non, pour laisser la raison parler. Lorsqu'il posa une question à propos des cicatrices et marques parcourant le corps de Remo, celui-ci lui indiqua que c'était quelque chose dont il ne voulait guère discuter. Le secouriste sourit tendrement.
"Alors n'en parlons pas..." souffla-t-il. Il voulait parler encore, mais sentit subitement les lèvres de son partenaire venir se coller contre les siennes. Son corps claqua avec violence contre le placard et son ami se rapprocha, si bien que tous leurs membres se frôlaient, se touchaient. Read prolongea le baiser, simplement, comme si c'était naturel, il laissa tomber tout ce qu'il avait en main sur le sol et repoussa simplement Remo l'espace de quelques secondes, le faisant tomber hyper délicatement contre le lit, présent dans la pièce.

Il n'y avait aucune violence dans ses gestes. Au contraire, que de la douceur. Malheureusement, il n'y avait pas d'amour. Non. Du moins, il ne le pensait pas. C'était quelque chose qui venait purement de ses envies, de ses hormones, comme un petit animal. Mais il était un homme, il devrait se contrôler. Le trentenaire embrassa Remo en ligne, sur le torse, dans le cou, avant de reprendre ses lèvres captives dans les siennes. Et puis, il s'écarta un instant et regarda simplement son ami dans les yeux.
Il poussa un soupir. Ce n'était pas raisonnable.

"J'ai pas envie de te refaire du mal. Je ne veux pas que tu penses qu'il y aura quelque chose de plus fort, de plus... euh... enfin tu vois ce que je veux dire, après ça... Alors, peut-être que vaudrait mieux qu'on en reste là?" Oui, sans doute. Ce n'était pas des retrouvailles entre deux meilleurs amis, cela... Mais Read ne pouvait se mentir... Il ne savait pas ses sentiments, il ne savait pas quoi penser, mais il savait très bien ce qu'il voulait. Et ce qu'il voulait, c'était un remake du summercamp 2013, un remake de la passion sur la plage.
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