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Friends in alcohol | ft. Louve

Anonymous

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Friends in alcohol
— with Louve.

Carrément plié en deux, se tenant les couilles à deux mains, en geignant comme un petit enfant, il a l'air terriblement classe comme ça. Même que Louve se retourne presque pour lui hurler son fou rire dans les oreilles. Elle a bien de la chance d'être une fille. D'ailleurs, les Quincy sont pas tellement réputés pour se venger, mais rien que pour elle, il fera exception à la règle. Il aura une belle marque rouge sur le zizi le lendemain, quelle veine ! Des couilles enflées comme des ballons. Ce sera chic à voir dans le pantalon, une énorme bosse, comme s'il était en érection. Charmant, n'est-ce pas ? « Louve, je vais te tuer. » Elle allait payer cher sa petite mise en scène, qui lui a voulu son appareil génital. Il a cru devenir stérile, tellement elle a une poigne de fer celle-là. En faisant appel à toute sa détermination et sa volonté, il se relève, une main toujours plaquée sur son entre-jambe. Il voit sa meilleure-amie trottiner entre les tables, lui lançant ainsi un défi clair. Les gens semblent s'amuser de son malheur tout en trouvant ça bizarre. Et bah. Qu'importe. Il s'élance comme un con vers l'avant, presque clopin-clopant et il tombe comme une merde. Décidément, le sol semble bien l'aimer. Ouais. « PUTAIN LOUVE ! REVIENS ICI ! » Résultat : nez qui pisse le sang, oreilles qui sifflent et zozio enflé. Ouais, cool. Il l'aurait bien attrapé en deux temps trois mouvement, s'il n'était pas handicapé de la couille.


© LOYALS.


@Louve V. Perol
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hakuna mavodka

lancelot & louve
Nos meilleurs amis sont ceux qui nous rattachent à la vie, qui veulent multiplier nos points d'appui, élargir notre cercle d'affection et d'activité, qui tentent de peupler et non de dépeupler notre âme.

Et je ris, sans pouvoir m’arrêter ; dans ma course, je profite de mon avance pour me retourner et observer le zigoto qui se plaint plus qu’un enfant qui aurait fait tomber sa classe tout juste obtenue. La main sur la bouche, c’est limite si je vais pas finir par avoir des crampes au ventre tellement la situation est ridicule. Et qu’importe qu’il m’appelle, qu’importe qu’il crie mon nom, qu’il se ramasse de tout son long ou jette tout le monde parterre pour me rattraper ; rien ne me fera m’arrêter. Je sais que si j’ai le malheur d’être trop lente, le malheur qu’il me tombe dessus, je vais souffrir plus que jamais. Et c’est juste hors de question. « MEUUUUUUURS ! » que je braille. Parce que plutôt mourir que de me faire attraper. Et qu’il y a que dans ses rêves qu’il réussira ; trop rapide pour lui, trop de souplesse qui me permet de me faufiler ci et là malgré les bousculades. Sauf que là, c’est le drame : j’entends un bruit, et son cri. Je me retourne dans ma course et je me retrouve moi aussi étalée au sol pour avoir frappé de plein fouet une chaise occupée. Mais impossible pour moi de m’arrêter : mon fou rire repart de plus belle. Et comme si je sentais rien, je me relève et file à l’anglaise. « ADIEU LANCELOT, CE FUT UN PLAISIR ! » A la prochaine, M’sieur.
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