Je savais quand ce moment, on recommençait à passer du bon temps. C'était bien, sans engagement fixe et surtout parce que c'était ce qui nous convenait le mieux. D'accord, on avait passé une nuit dans les bras de l'autre, je refusais de voir sa comme une erreur de parcours, je me disais seulement que ce qui était supposer arriver, arriva c'est tout. Je devais arrêter de baver à voir la villa qu'elle avait, juste la piscine, je me demandais comemnt sa j'avais pas été au courant qu'une beauté ainsi se trouvait sur le marché. Je riais à sa remarque: ''Bah quoi, c'est pas interdit de rêver bella.''. C'était bon de pouvoir se parler ainsi, de pas se prendre la tête pour des conneries ou parce qu'on supportait pas de voir l'autre accompagné, des moments comme sa j'en prendrais à tous les jours, c'était pas compliqué, c'était juste parfait. J'aurais pu l'embrasser sur les lèvres, tellement que je me sentais soulagé qu'elle aille pris son courage à deux mains et m'avait raconté la vérité sur le pourquoi elle avait tout plaqué pour quitter Boston aussi vite que l'éclair. Enfin, je n'étais plus dans l'ignorance, je pourrais dire à Lisbeth qu'elle cesse de fouiller sur Willow. Pensant avec mon esprit de stagiaire dans un bureau d'avocats les plus réputés de la ville, je lui demandais, inquiet pour elle: ''Théoriquement, tu n'es pas autant dans la merde qu'Adriel, tu es un témoin clé c'est tout. Je peux me renseigner auprès du bureau d'avocats auquel je bosse si tu veux, sans mentionner ton nom et me renseigner sur ce qu'il faut faire...''. J'étais prêt à tout pour éviter qu'elle se retrouve en taule même si pendant 30 secondes, je me disais qu'elle serait plutôt sexy dans la tenue de détenue. Bref, une chose de moins auquel je devais penser, ma conscience était déjà plus légère. Vu qu'elle semblat prête à être honnête avec moi, je n'avais pas hésiter à lui demander ce qui s'était passé avec la grossesse. En Italie, j'avais quand même appris que j'allais être père mais aujourd'hui, j'étais pas stupide, je voyais bien qu'elle avait retrouvé sa taille svelte à faire baver tous les mecs de la planète. Derrière le bar, je la regardais et hochait la tête. Wouah le perdre cela n'avait pas dû être facile...Je sentais même que mes yeux pouvaient s'embuer à tout moment. Je regardais sur le côté un instant, pour contenir mes émotions. Au moins, je le savais sa aussi....c'était moins dur à encaisser par contre que si elle m'aurait avoué qu'elle s'était fait avorté...je la regardais et lui souriait tendrement: ''Comprenable, désolé que tu ailles dû à surmonter cet épreuve seule, tu sais que j'aurais voulu être là pour chasser ta douleur.''. Un coup nostalgique s'emparait de moi à cette nouvelle mais je refusais de lui montrer. Je sentais que je devais changer l'atmosphère, je buvais une gorgée de whiskey comme si de rien était et lui souriait de plus belle: ''Bon! Tu me montres l'intérieur de ton palace pour que je puisse t'aider,
ta peau d'ours est sur le point d'arriver....''.