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(ELYAS&LOUVE) only you can give me that feeling

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elyas & louve
Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.

Une envie pressante et, surtout, un truc qui passe pas. Depuis une vingtaine de minutes au moins, j’ai un truc sur l’estomac, l’impression d’avoir des remontées acides qui vont se finir par une bien belle gerbe. Alors, je me hâte vers le lieu où je pourrai soulager mes maux : les toilettes. Sans prévenir personne, j’ai quitté la table en sixième vitesse, passant entre mille et une personnes sans faire attention à rien. J’ai d’ailleurs senti quelques épaules claquer contre la mienne, des hanches qui ont valsées dans ma course, et un verre qui a fini son histoire au sol. Pas très charmant, mais pas le temps de niaiser ; si j’ai pas envie de me vider l’estomac sur une belle robe ou sur un soyeux costume, pas le choix que de filer à la vitesse de la lumière. Une fois à la portée de mon trône, je me suis retrouvée à genoux au sol, la tête dans la cuvette ; pas très glamour tout ça. Je me pose mille et une question en essuyant ma bouche avec le dernier bout de papier toilette, sur le pourquoi et le comment de la chose. Ca m’est arrivé tellement rarement de vomir pour avoir bu si peu – sept verres tout au plus – que je me souviens même plus de la dernière fois que ça s’est passé. Je finis par ressortir et, pendant trois minutes au moins, je prends de l’eau dans ma bouche pour la recracher ; je tente tant bien que mal de faire disparaître l’haleine nauséabonde, mais c’est sans doute peine perdu. Je réajuste ma robe, j’attrape ma pochette et, finalement, je sors des toilettes, la main sur le ventre. Damn.
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@elyas m. hudson (ELYAS&LOUVE) only you can give me that feeling 73120010
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    J'était au bal, après ma danse avec Erin, je m'étais installer sur une chaise qui traîner la à regarder les couples qu'il s'engueulent, les autres qui se draguent, les autres encore qui se prennent la tête. On à l'impression que c'est le bon endroit pour réglé ses comptes, le bal. Il y avais pourtant certains couples qui était beaux à voir, genre vous savez comme les films, la peste et le beau garçons qui veulent être le roi et la reine de la soirée. De loin ils forment tout des couplent magnifique mais une fois prêt sa part en couille. Bon clairement je vais loin dans mes pensées-là, mais avouez que c'est drôle. Tout à coups alors que je secoue la tête comme pour me dire que je suis bête de me perdre dans mes pensées comme ça je vois Louve passé en furie entre tout les gens présent. Ni une ni deux je me lève et je me presse à sa recherche il me semble qu'elle va vers les toilettes. Je respecte quand même son intimité et n'ose pas entré mais alors qu'elle sors en se tenant le ventre 5 minutes plus tard, je lui agrippe le bras doucement pour qu'elle remarque ma présence.

    « Louve, tu va bien ? Je t'ai vu passer en furie jusqu'ici, tu es malade ? »

    J'espère sincèrement qu'elle n'a pas trop bu et qu'elle n'est pas ivre au point de rendre ses tripes dans les toilettes. Il ne me semble pas. En regardant ses yeux ils ne semble pas que sa viens de la. Je pose ma main sur son front me demandant si elle ne fais pas de fièvre. Dans ces moments-là malheureusement, mon cursus de médecine fais son retour et tout gestes est analyser comme si elle était très malade. Je devrais attendre qu'elle m'explique ce qui se passe, je dois m'inquiéter pour rien.
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Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.

Ma course est stoppée nette par cette main qui se pose sur moi. D’un geste du bras, je tente de me délivrer de son emprise, bien trop pressée pour attraper un verre et étouffer l’haleine nauséabonde qui émane de ma bouche. Mais visiblement, la personne qui me tient semble décidée à ne pas me lâcher ; et c’est à ce moment seulement que je daigne me retourner, la bouche à demi ouverte et les sourcils froncés, prête à beugler pour retrouver ma liberté. Et là, soudainement, lorsque mon regard se pose sur lui, il s’adoucit ; un sourire prend place sur mes lèvres alors que ma bouche se ferme lentement. Si j’avais su que j’allais le croiser, j’aurais tâché de me rendre un peu plus présentable, de me remaquiller un minimum pour cacher ce teint pâle dû aux nausées. Je fais un pas en arrière, histoire d’éviter de lui cracher mon haleine en plein nez malgré les vingt centimètres qui nous séparent – merci aux talons pour rendre notre écart de taille moins important. « Je sais pas ce qui m’arrive… » J’inspire un grand coup avant de faire une moue douloureuse. « Ca m’a prise d’un coup, ça allait bien jusque là. J’ai soudainement eu envie de vomir et mon ventre me lance, c’est atroce. » Je secoue machinalement la tête de gauche à droite alors que je me décale du passage dans lequel je me tiens depuis qu’il m’a attrapée. « Le pire c’est que je suis sûre que ça vient pas de l’alcool, ce serait bien la première fois qu’en ayant bu si peu je me sente si mal. Y a un truc qui doit pas passer je suppose… Comme si c’était le moment. » Je lève les yeux au ciel, exaspérée par ce qui m’arrive ; parce qu’évidemment, le bal est le meilleur moment pour être malade. Comme si ça avait pas pu attendre un jour. « Mais ça passera. Enfin j’espère que ça passera. » Je lui adresse un petit sourire, comme pour me convaincre que ça ira mieux rapidement. « Tu passes une bonne soirée de ton côté ? T’es venu avec qui, d’ailleurs ? » On oublie évidemment pas le plus important : qui l’accompagne. J’aurais sans doute préféré qu’il m’invite moi, et pas une autre. Bien qu’avec Lancelot, malgré son retard en début de soirée, c’est boulette sur boulette.
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    Quand je voit qu'elle essaie de se défaire de mon emprise je resserre machinalement plus fort pour qu'elle réalise que c'est moi. Finalement, elle se tourne me regarde et ce détend, pourtant elle met de la distance entre nous et je me demande si elle va bien. J'aurais pensée qu'elle aurais eu comme reflex de venir dans mes bras mais non, elle recule. Je souris cependant sans rien laisser paraître de se dont je pense.

    « Je penses que tu devrais t'installer à une table, boire un grand verre d'eau et surtout te détendre Louve. On ne sait jamais ce que ça peut être et tu n'aurais rien à gagné à tomber dans les pommes devant tout ces gens qui n'aurons que de cesse de parler de ton désastre ce soir. Allons nous asseoir tu veux ? »

    Pour accompagné mes mots je lui tends ma main pur qu'elle puisse s'en saisir mais bien sûr c'était sans compter sur ça force à changer de sujet comme de chaussettes. Je sais qu'elle est comme ça mais je n'en démord pas et je garde ma main à sa porter pour que peut-être elle change d'avis et pour qu'on aille s'asseoir tranquillement pour un temps, je sais bien qu'elle devra rejoindre son cavalier.

    « Oh, je suis venu avec Blueberry, tu sais mon amie ? Et toi, où est passer ton cavalier ? »

    J'espère clairement, qu'il prends soin de Louve, parce que sinon il entendra parler du pays comme on dis.
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Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.

Je me sens mal, mon estomac me relance à chaque mot qui sort de ma bouche. Je préfère évidemment garder mes distances avec  Elyas, ce qui peut sans doute lui sembler bizarre suite à notre dernière petite soirée où n’existait absolument aucune distance. Mais je n’ai pas le choix, à moins que je ne veuille qu’il fasse un malaise ou me vomisse dessus comme je pourrais le faire d’un moment à l’autre – et pourvu que ça n’arrive pas, sinon on est mal barrés tous les deux. Certains ne manqueront pas d’immortaliser la scène et de la rappeler à tout va. « Je préfèrerais rester loin des autres Elyas. Vraiment. J’ai besoin d’air. On pourrait sortir ? » Besoin d’air. J’ai l’impression d’avoir des bouffées de chaleur et pourtant Dieu sait à quel point je suis pâle. Puis, quelque part, si mon corps décide de régurgiter tout ce qu’il a ingurgité, ce serait plus prudent de nous tenir à distance. Je pourrai genre me vider dans les buissons, à la Mather. Pour autant je n’oublie pas le principe du bal : des cavaliers. Au fond de moi, je me demande pour qui son esprit a flanché ce soir. Et quand j’entends son nom, je grince des dents. Je fais mine de rien et pourtant, j’ai envie de l’engueuler. De lui dire à quel point ça me met en rogne qu’il n’ait pas daigné penser à moi. Mais là, j’y peux rien. Je fais mine de sourire ; un sourire forcé et hypocrite. Je suppose que ça se remarque, j’ai pas mes capacités habituelles de comédienne, c’est certain. « Soit il se bourre la gueule, soit il essaye de trouver la femme de ses rêves. » Ah, ce Lancelot. Gros boulet qu’il est, il est sans doute en train de marcher sur les pattes d’une étudiante aux talons aiguilles de quinze centimètres. Mais si je pouvais voir ça, sans doute que je rigolerais bien. Je suis rapidement sortie de mes pensées alors qu’un renvoi acide prend ma gorge en otage. Ma main se porte automatiquement devant ma bouche, que je maintiens fermée pour ne pas déverser le liquide sur les pompes cirées du Winthrop. Par réflex, je le ravale d’ailleurs ; de quoi en dégoûter plus d’un. « Désolée, pas très glam… » Pas du tout même.
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    Je vois bien qu'elle est mal, l'endroit n'est pas le mieux choisit non plus pour parler et je ne le comprends que très bien quand elle me dis qu'elle voudrais qu'on s'éloigne pour aller prendre l'air par exemple. Je m'avance vers elle contre tout les mouvements de reculs qu'elle peut avoir et je pose ma main sur sa hanche en lui souriant de manière bienveillante. Elle ne devrais pas avoir peu je croises des personnes qui ont moins bonne hygiène à l'hôpital, son haleine, par oui j'ai bien remarquer pourquoi elle recule, n'est rien à côté. Je presse sa hanche pour la guidé vers la sortie du bâtiments. J'ai bien remarquer les regards posés sur nous, ils doivent pensée que j'ai ma chance ce soir, et que je vais la mettre dans mon lit. S'ils savaient que c'est déjà fait et qu'en plus c'était cool, puis qu'ils n'aurons pas leurs chances avec louve. Moi, Jaloux ? JAMAIS... Enfin, la n'est pas la question.  Je me poses des tonnes de question et je me mordille ma lèvres quand une idée de mal que pourrais avoir Louve me viens en tête. C'est en marchant que je lui expose mon idée et je m'en sent déjà mal rien qu'à l'idée de la lui dire.

    « Louve, je penses que si demain ton mal être n'est pas passé tu devrais peut-être ne pas éloigné l'idée de faire un teste de grossesses. »

    Voilà c'est dis et je sens que soit je me prends une gifle de plus ce soir, soit elle me prends au sérieux, soit elle m'en veux à mort et me plante la elle aussi.

    « Ma Louve, je ne te dis pas ça pour que tu prenne peur, ou que tu m'en veuille loin de là. C'est juste que mon radar de futur médecin m'a signalé que tu avais actuellement les mêmes symptômes et que tu devrais juste faire attention. Je ne vais pas te poser la question, celle qu'on pose toujours dans ces cas là, juste penses-y. »

    Une fois dehors, je la tourne face à moi et je la serre contre moi un moment comme pour la rassuré suite à mes mots précédents et surtout j'espère qu'elle ne va pas me planté là en me traitant de gros con.
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Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.

Je me laisse guider par Elyas, visiblement guidé par son instinct protecteur ou son instinct de médecine, voire peut-être même les deux, j’en sais trop rien. On se retrouve rapidement à l’extérieur où je profite de pouvoir prendre une grande bouchée d’air frais ; je suppose que c’est ce dont j’avais le plus besoin à l’instant T. Je sens que si j’avale ne serait-ce qu’un verre d’eau, ça ne m’apaisera en rien et, pire encore, ça rendrait les choses plus compliquées. Je suis certaine que ça ne m’aiderait qu’à mieux régurgiter ce que j’ai pu manger ou boire au cours de la soirée. Qu’importe. Je me pose tout un tas de questions, sauf celle qu’Elyas semble se poser. Je réalise mal ce qu’il vient de me dire et il me faut une dizaine de secondes au moins pour tilter la chose. Delà, sans pouvoir m’en empêcher, je fais les gros yeux, que je plante directement dans le regard du Winthrop. Je plisse les yeux, faisant mine de réfléchir trois secondes seulement, avant de finir par lui répondre : « Non. » Non, parce que c’est pas possible. Dans ma tête en tout cas. Mais naturellement, c’est tout le contraire. Je suppose que ces derniers mois, j’ai tout eu en faveur de ce malheur. J’ose même pas imaginer ce que ça pourrait faire si c’était le cas. A moi, mais aussi à ma famille. La réaction de mon père, je la vois déjà. Et ça me dit rien qui vaille. « C’est pas possible. Je t’assure, c’est pas ça. Impossible. » Je radote, pas le choix. Ma tête se secoue de droite à gauche machinalement pour soutenir mes dires. J’essaye de me convaincre mais, maintenant qu’il m’y fait penser, j’aurais pu avoir des doutes plus tôt. Rien que ce retard dans mon planning rouge, ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille. C’est certes peu, mais ça reste inhabituel. Ma tête se pose contre son le haut de son torse alors qu’il me prend dans ses bras ; j’ai aucune idée de comment réagir. Je doute, et pourtant au fond de moi, je tente de me rassurer. En vain. S’il n’avait rien dit, sans doute que je n’aurais eu des doutes que plus tard. Mes bras le long de mon corps, j’ai l’impression que je vais mourir. J’en ai pas envie, j’ai rien demandé. « T’es juste un mauvais médecin. » Ou pas. Mais si c’était le cas, ça m’arrangerait. Ca ferait qu’il dirait n’importe quoi et qu’il y aurait aucun risque que ce soit ça.
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    « T’es juste un mauvais médecin. » Alors qu'elle me dis cette toute petite phrase je me met à sourire. Mon idée est montée jusqu'à son cerveau et je sais pertinemment qu'en rentrant chez elle, elle réfléchira à mon idée et peut-être qu'elle fera davantage attention à elle. Mais, en fait une idée fais le tour de mon cerveau en ce moment même. Et si elle était vraiment enceinte ? Je deviendrais quoi moi ? Enfin, je sais bien que pour le moment, je ne suis que son ami et que j'ai pas eu le courage de lui parler de mes sentiments mais au vu de la situation, si vraiment elle étais enceinte et qu'elle prenais la décision de le garder ce petit bout de choux.. Je serait le copain friend-zoné sans même avoir pu lui déclaré ma flamme. Mieux encore, je serais sans doute plus inutile de tous. Je perds peu à peu mon sourire et je mord ma lèvre en regardant dans le vague la gardant contre moi, je préférerais qu'elle ne le garde pas ce bébé si jamais s'en ai vraiment un. Pour le moment, nous en savons rien.. Je suis perdu dans mes pensée en caressant ces cheveux lentement en pensant à toutes les solution possible pour elle et moi, en tout cas si un jour j'ai les couilles de lui parler de ce qu'elle à provoquer en moi. Vous imaginez la choses, je suis le type chez qui elle viens se réfugié quand ça va pas et au final si elle décide de le garder elle pourrais avoir l'idée de retourné avec le père de celui-ci. STOP Elyas calme-toi tout de suite. Je me fou une baffe mentale et je reprends mon sérieux nous en savons absolument rien et ça ne sert à rien d'y pensé maintenant. Je me reculer et je lui souris tendrement.

    « Louve, ne pensons à rien pour le moment, nous sommes au bal tout les deux pour le moment et tu n'est peut-être pas très bien mais ça te dirais qu'on marche un peu ? Histoire de prendre l'air avant que, si tu veux, je te raccompagne ? »

    J’espérais au moins, pouvoir lui changer les idées, et les miennes aussi. en marchant, on pourrais profité de ce moment tranquillement. Ensemble.
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Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.

Paumée. C’est sûrement le mot qui résume le mieux mon état d’esprit actuel. Et s’il avait raison, pour de vrai ? Après tout, il me semble qu’Elyas est plutôt bon dans son domaine et je doute qu’il soit capable d’avancer une théorie pareille s’il n’en est pas presque sûr… Ce serait moche. Vraiment moche de me faire un coup pareil. Parce que ça agit directement sur moi, sur mon esprit, sur mon humeur. Je suis même pas sûre d’avoir la force de mettre un pied encore à l’intérieur. Ca va me bouffer, jusqu’à temps que ça passe. Si ça passe. Et j’espère, du fond de mon âme, que c’est juste l’alcool qui passe pas ce soir. Et si c’était vrai, et si j’avais bu, et si j’avais tout gâché ? Enfin, c’est peut-être déjà le cas. Et si c’était vrai, c’est qui le père ? Parce qu’aux dernières nouvelles, ma dernière relation remonte à Elyas. Et je sais pas. Un truc me dit que non, ça peut pas être lui. J’en sais rien. Je souffle un coup, blottie dans ses bras, paumée dans mes pensées, à me poser mille et une questions en boucle, à me bouffer l’esprit, à me torturer toute seule. Il a eu les mots qu’il fallait pas. Pas ce soir en tout cas. Pas au bal. J’ai envie de chialer mais ce serait con. J’ai pas envie de m’afficher encore plus. Puis je l’écoute, je me retiens, mais j’y arrive pas. Des larmes coulent sur mes joues pâles, mon ventre me lance une nouvelle fois ; j’ai envie de filer à l’anglaise, de disparaître au moins cette nuit sans rien dire à personne. Qu’on me foute la paix. Envie de m’enfouir dans un terrier. Il me lâche, et ça empire les choses. Et si je me retrouvais avec un gamin pour de vrai ? Et seule qui plus est ? J’ai vraiment merdé cette fois. « Je… » je soupire. « Ouais. » Allons marcher. J’ai envie de dire non, mais je sais que si je me retrouve seule, ce sera pire encore. J’inspire un grand coup alors que je me mets en marche, la pochette tenue du bout de mes doigts, les yeux dans le vague. J’ose pas aller vers lui, et pourtant Dieu sait que j’ai envie de me glisser sous son bras, à chercher un peu de réconfort comme il a toujours su m’en donner. Sans compter le fait que j’aurais préféré que ce soit pas lui qui me donne ses idées concernant mon état. N’importe qui, mais pas lui. J’ai l’impression de marcher comme un robot ; je me laisse porter par mes jambes, je ne sais où, sans trop porter d’attention à ce qui m’entoure.
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    J'étais tranquillement en train de marcher prêt d'elle, quand tout à coup, je vrille. Merde ! Quand on a... Quand on a couché ensemble, on n'avait pas mis de préservatif non plus... Oh bordel, je suis sûr que mon père que trancherait la gorge si je venais lui dire « Salut papa, j'ai mis enceinte la nana de mes rêves, c'est cool non ? Non ce n'est pas cool, ah merde alors... » Il se décomposerait et puis merde, je suis vraiment trop jeune pour avoir un gosse maintenant. Et même elle, ce n'est pas de son âge, elle est trop jeune, elle aime faire la fête ce n'est pas son truc les gosses... Oh bordel... Je marche sans vraiment faire attention, mais en fait, une idée ne vient encore une fois en tête. Si jamais elle est enceinte, je préfère lui parler de mes sentiments maintenant histoire qu'elle sache qu'elle sera toujours aimée par moi en tout cas. Ces connards avant moi, ils n'étaient pas dignes d'elle, et peut-être que moi non plus, mais c'est sa décision si elle apprend pour mes sentiments peut-être qu'elle pourrait enfin être avec moi, je veux dire... Officiellement.

    « Écoute, louve... Je dois te parler d'un truc... Je ... »

    Mon regard se perd sur elle, et je soupire un grand coup comme pour me donner de l'assurance, je ne suis pas une fillette, je vais quand même réussir à lui parler de ça non ? Je me fous une claque mentale et je me reprends en l'observant un instant qui pourrait durer trois quarts d'heure, je m'en tape. Je vois qu'elle tremble légèrement encore secouer par ce que je lui ai dit avant, elle a les joues humides de ses larmes passées, elle semble tout aussi perdu et en gros con que je suit, je vais encore plus foutre le bordel dans sa vie. Je soupire encore une autre fois, je la regarde et je m'approche légèrement d'elle en posant une main sur son épaule.

    « Louve, je... Merde, je me lance. Louve, pardonne-moi d'avance pour ce que je vais dire, je vais foutre le bordel dans ta tête, je vais encore tout saccager peut-être comme je l'ai fait avant ça. Je vais sans doute me prendre une belle gifle, la meilleure de tous les temps, celle qui battra les films à l'eau de rose sans doute, mais voilà... Je... »

    Je bloque. Je suis vraiment, un con maintenant que j'ai commencé impossible de revenir en arrière hein ? Bon, aller peut-être qu'un geste lui fera comprendre ce que j'ai tant de mal à lui dire. Je m'approche de son visage et je pose un léger baiser sur ses douces lèvres. Quitte à me prendre la baffe du siècle autant faire les choses bien.

    « Je suis amoureux de toi, Louve. »

    Voilà la bombe est lâchée.
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