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Cleveland { Madi' [HOT]

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« TU aurais dormi par terre, c'est ma chambre hein » riais-je en continuant de l'enlacer jusqu'à tomber avec elle sur mon lit. Je l'a regardais tendrement avec de venir m'emparer de ses lèvres. Oui, je ne réfléchissais pas sur le coup à ce que je faisais, mais j'en avais de passer X et Y afin d'analyser tous mes faits et gestes. J'agissais, point. J'avais envie de l'embrasser donc je le faisais, si elle ne voulait pas, elle n'avait qu'à me repousser, car je ne lui obligerais à rien. Je savais que nous n'étions plus censé faire ça, c'était ce que l'on s'était dit lors de ma dernière visite à l'hôpital, mais je crois bien que c'était plus fort que nous et après cet ascenseur émotionnel, nous avions besoin de nous retrouver, comme avant, dans ma chambre qui regorgeait de millier de souvenir passer à se chamailler, parler de tous et surtout de rien et rigoler. Nous avions bien grandi et dieu seul sait que ce que l'avenir nous réserve. Je voulais rendre fier ma mère et lui montrer que je pouvais me montrer mature et arrêter d'être le petit con Da Silva. Ma plus grande peur ? Devenir comme mon père.
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Moi ? Dormir par terre ? Jamais de la vie, voyons. Je riais doucement à sa remarque alors que je me laissais entraîner sur le lit pour être confortablement installé. Il n'y avait pas à dire, j'aimais bien être uniquement avec lui et cela ne changerait probablement jamais. Il y avait cette connexion entre nous qui me plaisait et me rassurait. Comme si je pourrais toujours compter sur lui et que cela ne changerait jamais. Je cherchais quoi dire mais mes pensées furent totalement grillées en sentant une douce chaleur se développer dans tout mon corps. La raison ? Ses lèvres délicatement posées sur les miennes. Malgré l'étonnement, mes yeux se fermèrent progressivement. J'aurais cru qu'il ne continuerait pas son baiser plus que cela, mais apparemment.. il comptait le faire perdurer. J'y répondais timidement, me souvenant que la dernière fois que nous avions été si proche, je m'étais clairement promis que c'était la dernière fois. Comme la dernière fois avec Andrew. Dans le cas avec le Prince, c'était plus facile de me dire que c'était la fin. Point barre. Il allait se marier d'ici peu de temps et je n'avais pas à rester tel un parasite dans sa relation. Je n'avais pas franchement envie que sa future femme me fasse la peau.

Progressivement, mes bras s'enroulèrent autour de sa nuque alors je les avais enlevé dans notre chute sur le lit. Je prolongeais tendrement ce baiser qu'il m'avait offert, ne sachant pas trop ce que cela voulait dire entre nous. Étais-ce un baiser pour le réconforter ou.. étais-le le prolongement de ce qu'il avait dit durant son discours ? J'étais un peu perdue et même si je savais qu'il ne fallait pas trop que je me pose de questions, ni que je me prenne la tête, j'étais un peu chamboulée de tout ça. Terminant le contact à bout de souffle, mon regard vint se noyer dans le sien. Je venais caresser doucement sa joue sans le quitter du regard. J'avais envie de dire quelque chose, mais je ne trouvais même pas les mots. C'était probablement plus le moment de laisser parler les actes que des paroles qui ne voudraient pas forcément dire réellement quelque chose. Tout en douceur, je revenais près de lui pour débuter un second baiser, tout aussi réservée, mais bel et bien réel.
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J'étais à semi surpris qu'elle ne me repousse, mais j'étais entièrement content qu'elle ne le fasse pas. Ce baiser était probablement autant indescriptible que bizarre, mais ce n'était pas pour autant que nous arrêtions notre échange. Ce n'est qu'à bout de souffle que nous nous décalions afin de pouvoir reprendre noter respiration et se regarder. Il n'y avait rien à dire et je sentais qu'une parole serait la parole de trop. Il valait mieux ne rien dire pour éviter de gâcher ce moment. Je souriais contre les lèvres de Madisson en l'a sentant reprendre timidement, comme si elle n'était pas sûre que je veuille à second baiser de sa part. Mais au lieu de l'a repousser, je me coller davantage à elle, prenant fermement sa taille entre mes mains tout en venant jouer avec sa langue. Oui, je commençais sérieusement à avoir envie d'elle et je ne penses pas que ça soit un crime. Je venais doucement remonter mes mains pour venir les glisser sur son ventre et sa poitrine, sans pour autant lâcher ses lèvres humide qui s’associaient parfaitement aux miennes. Notre histoire ou le remake des feux de l'amour je crois, moi même si je n'y comprenais plus rien, mais en tout cas, je n'échangerais ma place pour rien au monde à cet instant précis.
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Le fait qu'elle ne me disait rien signalait le feu vert pour moi. Mon cœur faisait des trucs chelou du genre il battait plus que la normale. J'espérais ne pas être en train de faire un arrêt cardiaque, se serait con comme mort vu la situation actuelle. Je mordillais légèrement sa lèvre, me sentant clairement en train de bander contre elle. Je ne perdais pas de temps à enlever ses vêtements en sentant ses cuisses s'écarter pour me laisser la place afin que je puisse lui procurer le plaisir dont j'avais envie. Ce costard bien trop serré à mon goût venait très vite rejoindre le sol même si j'avais batailler plus de cinq minutes à comprendre comment se machin se détacher, aidé par Madisson, alors que nous étions un peu tous les deux en train de rire, mais c'est ça qui est bien quand on est amoureux, on peut rire même dans ce genre de situation sans pour autant que cela en devienne gênant. Je me sentais bien plus libre une fois en boxer, venant embrasser la poitrine de Madisson, descendant jusque son intimité. Je n'étais pas vraiment pro préliminaire, mais j'avais envie de prendre mon temps pour une fois afin de bien l'a faire mouiller avant de venir en elle. D'ailleurs ce n'était pas bien dur, d'autant plus que je connaissais son corps par cœur ainsi que son point G. Je remontais vers elle après avoir explorer à l'aide de ma langue, ce qui se trouvait un peu plus en bas, remontant en caressant toujours aussi délicatement son sexe. Ma langue se perdait doucement sans cou, son oreille, juste avant de revenir m'emparer passionnément de ses lèvres tout en m'insérant en elle dans un gémissement de plaisir. Mes bras musclés venait l'encerclé afin d'être sûr qu'elle ne s'échappe et un peu comme un coquille de protection tout en commençant de rapide vas et viens.
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C'était toujours un spectacle ravissant que de l'a voir prendre son pied et l'entendre gémir mon prénom. Elle beau avoir eu d'autres gars dans sa vie, je savais que personne ne m'arrivait au petit orteil et cela sans vouloir me vanter. Rien ni personne ne peut se mettre en travers de l'amour, la preuve étant que malgré tous ce que je lui avais fait, elle ne jurait encore que par moi et parfois je me dis que c'est effrayant d'être la seule personne qui peut l'a détruire en un claquement de doigt. Malgré ma connerie d'adolescence, j'avais toujours essayé de prendre soin de ma meilleure amie du mieux que je pouvais. Du moins la protéger des autres, alors qu'au final, la seule personne à laquelle je dois la protéger, c'est moi-même.

Mes mouvements se faisaient de plus en plus rapide, ralentissant de temps à autres afin de me réintroduire en elle bien comme il faut, claquant violemment nos bassins afin de ne former qu'une seule et même personne. Mes mains glissaient sur son corps tant que je me trouvais transpirant, mêlant mes gémissements au sien, tandis que je sentais bientôt la fin arriver. Un dernier cri à l'unisson et je venais éjaculer en elle dans un soupir de soulagement. J'aurais pu me retirer directement pour aller m'en griller une, mais la vérité était que je me sentais vachement bien là. Je lui souriais en dégageant ses mèches qui cachaient son si joli visage. Je déposais un dernier baiser sur ses lèvres avant de cette fois-ci, me retirer d'elle afin de mieux reprendre mes esprits.

J'étais chez moi, je n'aimais pas les fringues, alors autant dire que rester entièrement nu dans ma chambre m'allait amplement. Je sortais un joint afin de fumer à me fenêtre, regardant Madisson allongé sur la lit, complètement nue, alors que je souriais bêtement. Oui, pour le coup on aurait vraiment dit un couple marié limite, mais je m'en foutais à présent de ce genre d'étiquette. Ça me passait au dessus de la tête. « Tient » Je jetais une bouteille d'eau sur le lit en faisant attention que ça n’atterrisse pas sur sa tête. Je regardais les murs de ma chambre et je me rendais compte que je n'avais jamais songé à changé la déco de ma chambre et ma mère n'y avait pas touché, comme si ça lui faisait du bien de se rappeler l'époque où j'étais encore un ado lycéen. Je n'étais pas très poster dans ma chambre, mais plus photos histoire de me rappeler des meilleurs souvenirs. Des photos avec Madisson il ne m'en restait qu'une seule dans un cadre photo, car après avoir appris son départ sans même m'avoir prévenu, j'avais un peu foutu ma chambre en l'air et enlever tout ce qui pouvait me rappeler la petite blonde. Cette dite photo se trouvait sur mon semblant de bureau qui était étouffé par tous les mégots, les sachets de allez savoir quoi et j'en passe. C'était après une belle journée ensoleillée, où je l'avais emmené un peu partout et nous avions fini par aller au dessus d'un squat, sur un toit afin de regarder Cleveland de plus haut -oui, vraiment mauvaise fréquentation- Nous avions l'air légèrement beaucoup défoncés, mais heureux, car oui, à cette époque où Madisson était encore vierge, soit dit en passant, nous sortions encore ensemble. Vous savez, avant que je fasse le malin un peu trop fier et très connard sur les bords.

Je finissais tranquillement mon joint avant de venir l'écraser sur le rebord de ma fenêtre et de rejoindre mademoiselle. « Est-ce que t'as faim ? Car on a tout un resto rien que pour nous en bas » lui rappelais-je. J'avais eu l'occasion d'aider ma mère l'été dernier afin de me faire un peu de sous, alors oui, j'avais pu apprendre à cuisiner très largement. J'ai bien dit très légèrement, ne me demander pas de vous faire un plat de malade.
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La place qu'Austin avait dans mon cœur me surprenait toujours autant. Nous étions passés par tellement de phases de très hauts comme très bas que n'importe qui ne comprenait pas pourquoi nous sommes toujours aussi proches. Peut-être que nous même ne comprenions pas tout cela, mais à essayer d'être loin, on en devenait encore plus proche. J'étais partie sans rien dire après nos études ici, à Cleveland, pour m'éloigner de lui, penser à autre chose et réaliser quelque chose de concret en compagnie de ma mère. Cela m'avait fait énormément de bien, comme de mal. Je n'en avais jamais parlé réellement avec mon meilleur ami, mais cela avait été l'année la plus longue de ma vie. Parce que nous n'avions jamais parlé de la manière dont cela s'était terminé et que j'avais souffert de rester sans réponse concrète. Alors j'avais tout mis sur sa fierté et son côté absolument connard d'adolescent. C'était plus simple comme cela. En se retrouvant à Harvard, j'avais cru à un mauvais coup du sort et j'aurais préféré – à ce moment-là – ne plus rien avoir affaire à lui. Pourtant, tels deux aimants, nous nous étions retrouvés tout naturellement. Certes, chaotiquement, mais cela nous définit bien.

Pourtant, en ce moment présent, j'avais l'impression que ce n'était pas comme avant. Oui, je me fais sûrement des films, mais.. Rien qu'en l'ayant senti ne faire qu'un avec moi, il y avait eu un truc différent. On ne s'aime pas de la dernière pluie, mais.. C'était encore plus fort que d'habitude et je ne me retenais pas de lui prouver qu'être unis me faisait le plus grand des biens, dans tout mon corps. Mes mains se baladaient sur son corps, en profitant cette fois-ci – étrangement – pas comme si c'était la dernière fois. Pourquoi ? Je ne le savais pas. Je n'avais pas envie d'y penser. Dans un dernier coup de rein, j'accueillais un doux orgasme comme seul lui arrivait à me les faire ressentir. Il n'y avait que lui, depuis le début. J'avais juste essayer de me faire croire qu'il ne comptait pas autant car cela m'avait fait du mal. Trop de mal, mais ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Et sans le vouloir, il m'avait fait grandir et mûrir pour devenir plus forte encore.

Respirant sans trop y arriver correctement, mon corps tout entier se relâchait alors que je m'attendais à ce qu'il s'écarte de moi. Pas qu'il ne m'aime pas, mais je savais que les câlins.. Ce n'était pas sa tasse de thé. Pourtant, j'étais ravie de le sentir rester contre moi, retirant les mèches de cheveux qui me collaient au visage alors que nous nous regardions sans parler. Mon dieu, que je l'aime. J'étais contente de m'être coupé les cheveux, car concrètement.. C'était horrible quand ils étaient trop longs. Question pratique. Un dernier baiser qui me faisait sourire comme une idiote alors que je le laissais se relever. Le fait que l'on reste tous les deux nus ne me gênaient en rien. Nous avions passé ce cap là depuis un moment et je crois bien que cela était déjà le cas lorsque nous étions amis. Enfin, nous le sommes toujours, mais.. Ouais, des amis ne couchent pas ensemble, c'est certain.

Allongée tranquillement, je laissais la bouteille s'écraser à mes côtés, sachant que je ne la rattraperais pas et que je préférais éviter de me la prendre dans la tête. « Merci » murmurais-je doucement en buvant tranquillement. Il est vrai qu'il faut bien s'hydrater après le sport (a) Sans rire, cela faisait du bien et je reprenais enfin une respiration correcte. Je voyais Austin pensif alors que je me permettais de regarder un peu partout dans sa chambre. Mes souvenirs d'ici étaient assez flous et je souriais en voyant des photos un peu partout. De tout et de rien.. jusqu'à tomber sur une unique photo de nous deux sur son bureau. Je me rappelais bien de cette journée et.. ça me rendait nostalgique de notre enfance ici. Pas que je souhaiterais vivre là plus tard – ce serait un peu triste – mais simplement que je me rendais compte que l'on ne revenait pas si souvent que cela ici. Ensemble.

Voyant mon meilleur ami revenir vers moi, je lui souriais de plus belle en lui tendant la bouteille pour savoir s'il souhaitait boire à son tour. « C'est trop tentant pour refuser » souriais-je encore alors que je me rappelais un peu de la graaaaande cuisine – qui me paraissait immense plus jeune, de plus. Attachant mes cheveux encore mouillés, je me rhabillais un peu, sachant que la cuisine était l'étage d'en dessous et que des gens pouvaient un peu regarder dedans. Autant dire très clairement que je ne souhaitais pas que quique ce soit me voit nue. Sauf Austin, mais il avait choisi d'avoir tous les droits sur moi depuis un loooong moment, je crois.
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Je souriais en m'emparant à mon tour de la bouteille d'eau, car je commençais très sérieusement à me désaltérer. Je l'a remerciais du regard avant de décider de bouger de ma chambre. J'avais toujours laissé deux, trois vêtements dans ma chambre afin de voyager léger lorsque je retournais à Cleveland. Comme quoi, je savais être intelligent. Par conséquent, au lieu de renfiler ce smoking ultra pas confortable, je m'enfilais un chemise et un slim jean. Bref, mes vêtements de bases, car autant que le style pingouin ne me ressemblait pas du tout. J'aimais pouvoir me sentir à l'aise dans ce que je portais. Après les avoir senti, j'avais très vite deviner que ma mère les avait tous laver avec soin après mon départ afin que ma chambre soit parfaitement clean pour ma prochaine venue. « ça sent la lavande » souriais-je après senti ma chemise comme un idiot. « Merci pour la lessive » disais-je en regardant le ciel, imaginant qu'elle devait se trouver là haut en train de reposer en paix à présent.

Je descendais les marches quatre à quatre, me dirigeant vers le compteur électrique pour rallumer le restaurant. « Quiche du chef ? » Demandais-je en souriant, alors que je sortais tous les ingrédients qu'il me fallait pour pouvoir lui préparer tout ça tel un vrai petit cuistot. Jambon, crème, gruyère, champignons frais. Je m'exécutais comme Mark le cuisinier en chef me l'avait correctement apprit. J'apprenais aussi vite que la lumière, soit il ne m'avait pas fallu plus d'une après-midi pour savoir l'a refaire à la perfection ce qui d'ailleurs, en fit la fierté de ma mère. Je n'avais pas gagné ma bourse en claquant des doigts pour rien (a) Je suis né avec des facilités qui peuvent en faire jalouser plus d'un.

La quiche au four, je préparais quelques boissons en mettant aussi la table comme il fallait et en trente mine top chrono, tout était prêt, sortant mon repas du four. « Et voilà pour mademoiselle » disais-je en lui coupant une part bien cuite. « Je nous ai pris le meilleur vin » souriais-je en l'a servant. De toute façon, je ne comptais pas reprendre le flambeau. Même si ça me faisait mal au cœur de laisser le restaurant qui était toute la vie de ma mère, je ne savais pas quoi en faire. « Tu ferais quoi à ma place ? » Quoi de mieux que de demander l'avis de ma meilleure amie. Je m'installais en face d'elle pour commencer à manger. « Pour le restaurant. » précisais-je au cas où elle ne suivrait pas là où j'essaierais de veni.
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Les questions et le trouble se pressaient dans mon esprit alors que je regardais paisiblement Austin boire de l'eau. Je savais qu'il n'y avait rien à lui demander. Nous avions simplement couché ensemble, comme avant et.. ça s'arrêterait là. Croire à la naissance d'un couple me ferait bien trop de mal et je préférais oublier très rapidement cette idée. Après tout.. N'était-il pas déjà en couple avec la fille avec qui il allait au bal ? Sûrement. Enfin, je n'en savais que trop rien et tout était confus dans ma tête. Néanmoins, je me rhabillais tranquillement alors que je le regardais chercher des affaires à lui. La lavande. Une senteur si particulière que sa mère avait toujours apprécié et que j'avais toujours aimé respirer lorsque je me tenais près de mon meilleur ami. Son petit moment de mémoire à sa mère me prenait au cœur mais il était préférable que j'arrête de pleurer sinon j'allais gâcher notre soirée à tous les deux. Je devais avouer être curieuse de savoir ce qui allait se dérouler dans la cuisine. Sans pensées tordues, je n'avais – à ma connaissance – jamais vu Austin cuisiner et.. Pour être totalement honnête, c'était une espèce de fantasme de le voir se mettre un tablier. Nu en dessous serait parfait mais.. Je me contenterais de sa chemise sensuellement ouverte et de son slim qui lui fait de belles fesses (a)

Sa proposition me convenait tout à fait alors que je hochais la tête positivement, ayant hâte de voir ce qu'il comptait mettre dedans et quel goût cela aura. Je ne doutais absolument pas de ses capacités à faire à manger, comme tout le reste dans la vie. Alors que lui absorbait des informations aisément, moi je devais bosser encore et encore pour être au même niveau. Je pourrais être dépitée, mais cela fait son charme et puis, c'est comme ça. Je ne peux pas lui tenir rigueur de ses facilités, comme l'on ne peut pas ignorer ce que l'on ressent l'un pour l'autre. C'est ainsi et c'est tout. La fatalité ou le hasard, peu importe. Je le regardais faire, curieuse et ayant de plus en plus faim. Je n'avais pas spécialement besoin de parler car il faisait assez de bruit durant sa confection de la quiche pour ne pas avoir besoin d'en rajouter. C'était apaisant et je me plaisais à juste le regarder faire.

Enfournant la quiche, je le regardais ensuite s'activer à tout préparer. Ce n'était pas pour rien qu'il était hyperactif, il allait tellement vite que je n'eus le temps de lui demander de l'aide qu'il était déjà l'heure de passer à table. M'asseyant en face de lui, je souriais en le laissant me servir. « Merci, Chef Da Silva » le taquinais-je alors que ma part me donnait déjà l'eau à la bouche. Ça avait l'air si délicieux ! « Merci » me répétais-je alors qu'il me servait mon verre. Heureusement qu'il n'y avait pas de bougies entre nous.. sinon le cliché serait parfait. Bien que l'on couche avec son partenaire après le dîner en guise de dessert, pas en apéritif, je suppose. Sa question me laissait en suspens alors que j'avais déjà commencé à manger un petit bout de quiche. C'était si bon ! Na sachant pas trop de quoi il me parlait, je préférais le laisser rajouter quelque chose. Un peu plus et j'aurais répondu à côté de la plaque. « Et bien, tu as toujours le rêve d'être un grand PDG, pas vrai ? » souriais-je doucement en buvant un peu de mon verre. « Tu devrais mettre un gérant dans le restaurant. Tu resterais propriétaire, tu pourrais te faire une expérience et.. surtout tu peux continuer de faire travailler les salariés qui aimaient ta mère et qui continueront, j'en suis certaine, à travailler comme elle le faisait » soufflais-je un peu plus bas, un peu émue de repenser à sa maman dans cette cuisine.
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