Nom ; Malcolm, ou du moins c'est ce qu'elle pense depuis 21 ans, puisqu'en réalité elle a été adoptée. Prénom(s) ; Hecate, un prénom qui reflète bien sa personnalité. Saga est son second prénom mais peu de personnes le savent. âge ; 21 ans. orientation sexuelle ; hétérosexuelle, même s'il lui est déjà arrivé d'avoir quelques histoires avec des filles. Elles se font tout de même rares et au fond elle n'est réellement attirée que par les hommes. statut social ; célibataire, elle n'a pas de place pour un autre homme dans sa vie. date et lieu de naissance ; 10 janvier, à Los Angeles. nationalité ; américaine. job ; donne actuellement des cours de soutien en français à des jeunes étudiants et va bientôt débuter un travail dans une boutique de vêtements, pour mettre un peu d'argent de côté. depuis combien de temps ? ; arrivée à Boston il y a une vingtaine de jours et elle débute son travail dans moins d'un mois. choix de groupe ; citizens. crédits ; eriam.
AVEZ-VOUS ETUDIE A HARVARD ? Je n'ai jamais étudié à Harvard, mais je ferai bientôt partie de leurs étudiants à compter de septembre 2017. Maintenant que ma vie s'est stabilisée, j'ai confiance quant au fait de pouvoir me consacrer à mes études. J'avais à peine réussi à passer les SATs, mais la dissertation que j'avais glissé dans mon dossier d'inscription m'avait sauvée. J'avais réussi à me démarquer, sans trop en faire non plus.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES. Evidemment c'était quelque chose dont j'ai entendu parler puisque ça avait été un événement ayant choqué beaucoup de gens. Pour ma part je n'étais pas à Cambridge, à vrai dire j'allais de ville en ville aux côtés de mon frère, qui n'arrivait pas à tenir en place quelque part bien longtemps. C'était tout de même quelque chose qui m'avait touchée et inquiétée par rapport à mon autre frère, Hendrix. Il comptait énormément pour moi et j'avais très peur qu'il lui soit arrivé quelque chose. Ce n'avait pas été le cas. Pas cette fois-ci.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI. De même que pour les agressions, même si c'était récent je n'étais pas présente. Sans même prendre en compte le fait que je n'habitais pas à Boston, car tout simplement je ne faisais pas partie des étudiants d'Harvard ayant eu la chance de partir au Chili. Ou la malchance plutôt, vu comment les choses ont tournées.
L'ESSENTIEL À SAVOIR Hecate, elle est passionnée dans tout ce qu'elle fait. Elle est née comme ça et l'a toujours été. Elle n'a aucune limite dans son amour pour les choses qui lui tiennent à cœur, comme son frère. Il est son âme-soeur, sa raison de vivre - Sa passion et la seconde chose qu'elle aime le plus est la danse. Elle en fait depuis son plus jeune âge. D'abord dans un club lorsqu'elle était jeune, et elle a fini par se débrouiller toute seule lorsqu'elle a décidé de suivre son frère. Sa passion ne l'a jamais quittée, même à travers les différentes villes des Etats-Unis - Les tatouages underboobs, vous connaissez ? Et bien elle en a un, une magnifique fleur entre ses seins, qui est d'une taille correcte. C'est le seul et unique tatouage qu'elle a et personne n'est au courant, même pas son frère.. c'est logique quoi, elle va pas lui montrer ses seins, si ? - Elle a un caractère bien à elle, chose que n'importe qui peut voir si on l'analyse un peu. Elle a un côté mystérieux chez elle et a appris à ne plus faire confiance à n'importe qui. Elle est toujours un peu méfiante au premier abord. Mais une fois qu'on gagne son amitié, elle donne tout. Elle est chiante, arrogante, grande gueule voir même un peu bagarreuse si on la cherche, mais elle a un grand cœur et elle ferait tout pour ceux qu'elle aime – Lenny est la seule personne de sa famille de qui elle est proche. Il est la seule personne qui a toute sa confiance, qu'elle écoute toujours et dont son avis l'intéresse. Il est le seul qui peut la mettre dans tous ses états, que ce soit du bonheur à la grande tristesse.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sarah et j'ai un certain âge . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un partenariat probablement, j'sais plus. Le forum est vraiment magnifique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kaya Scodelario comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 500 et mon personnage est un scénario crée par Lenny bae Malcolm.
Je souhaite ▲ adhérer un flood d'intégration (?) je veux être parrainé
“ CHAPTER ONE. we were all born with a certain degree of power. The key to success is discovering this innate power and using it daily to deal with whatever challenges come our way. ”
J'étais vraiment mal partie dans la vie, moi qui avais vécu dans un ghetto de Los Angeles depuis ma naissance, le dix janvier. Mes parents m'avaient prénommée Hecate, un prénom plutôt bizarre et rare mais je m'en plaignais pas, ça me différenciait pas mal des autres et j'aimais ça. Mon second prénom, c'était Saga, un autre prénom assez chelou mais que j'aimais aussi. J'avais été conçue dans l'amour mais d'aussi loin que je me souvienne, mes parents se disputaient. J'avais des parents peu présentes, ma mère se crevant à la tâche pour nous. Elle était pas présente mais c'était pas de sa faute, parce qu'elle travaillait le plus possible pour nous apporter de quoi vivre convenablement. Mon père lui, passait ses journées à vagabonder et rentrait toujours bourré, alors on pouvait jamais compter sur lui. Ca ne m'avait pas dérangé car j'avais vécu toute mon enfance comme ça, mais c'est en allant chez certains de mes camarades que je me rendais compte que ma situation n'était pas si normale que ça finalement. Je n'avais pas non plus à me plaindre car j'étais pas maltraitée, mais je manquais clairement d'amour. Un trou béant dans mon cœur qui avait été comblé par Lenny, mon frère. D'aussi loin que je m'en souvienne, j'avais été proche de lui. J'étais petite alors je m'appuyais sur lui par rapport à tout et il était toujours là pour s'occuper de moi. Il avait contribué une grande partie à rendre mon enfance joyeuse. J'avais un autre frère, Hendrix, le jumeau de Len. Ils étaient exactement pareils tous les deux, peut-être seulement ce dernier qui était un peu plus caractériel que l'autre. Mise à part ça, ils étaient identiques. Ca m'avait longtemps perturbé parce que je comprenais pas pourquoi j'étais extrêmement proche de l'un et assez distante de l'autre. Ca ne venait pas seulement du côté d'Hendrix, mais aussi du mien. Je l'aimais, mais malgré tout je n'arrivais pas à aller vers lui et avoir la même relation que j'avais avec Len. Puis j'avais fini par comprendre pour quoi. Il était un peu passionné, comme moi et toujours attentif envers mes envies et mes besoins. Il était le seul en qui j'avais une confiance aveugle dans cette famille et je lisais en lui comme dans un livre ouvert. En gros, j'avais vécu mes neufs premières années dans un environnement qui m'avait rendue heureuse. J'avais eu une enfance plutôt banale ouais, passant mes journées à l'école et le reste du temps avec mon frère aîné. Jusqu'à ce que tout soit chamboulé.
“ CHAPTER TWO. life seems sometimes like nothing more than a series of losses, from beginning to end. How you respond to those losses, what you make of what's left, that's the part you have to make up as you go. ”
La vie était une série d'épreuve et tout pouvait changer du jour au lendemain. Tout pouvait basculer, pour le meilleur et parfois pour le pire. C'était sans doute l'une des plus grandes leçons que l'on apprenait au fil du temps et je l'avais appris bien assez tôt. J'étais encore très jeune lorsque ma mère est décédée et à vrai dire à l'heure actuelle je n'avais plus énormément de souvenirs de moments passés à deux. Le fait qu'elle n'ait pas été très présente n'avait pas aidé à créer des souvenirs marquants, mais je l'aimais. Ce qui était normal, elle était ma mère. J'aimais aussi mon père, bien qu'il ait été peu présent aussi. Il avait suffi qu'on s'absente quelques heures avec Lenny pour faire des courses, pour que tout bascule. On était rentrés à la maison pile au moment où nous avions assisté à cette scène qui m'avait traumatisée. Ma mère était étendue sur le sol, près du radiateur sur lequel sa tête avait tapé. Mon regard avait d'abord été fixé sur les quelques gouttes de sang qui coulaient du radiateur jusqu'au sol. Et en suivant ces gouttes qui tombaient, mon regard se portait sur le sol, où ma mère était étendue. Mon père était debout, lui-même choqué de la scène. Il n'avait pas fait exprès, certes, mais il l'avait tuée et c'était quelque chose que je ne lui avais jamais pardonné. Hendrix ne s'était pas interposé lorsqu'ils s'étaient disputés avant notre arrivée. Il n'avait rien fait. Pas même lorsqu'il avait vu mon père devenir assez violent avec elle. C'était aussi quelque chose qui m'était resté en travers de la gorge. Malgré mon jeune âge, j'avais déjà un esprit bien développé et des choses que je comprenais.
Mon père était parti en prison et de ce que j'avais cru comprendre, je n'allais pas revoir avant bien des années. J'étais partie vivre chez mon oncle avec mes deux frères. Je grandissais, les choses se passaient mieux avec Hendrix mais nous n'étions pas très proches. On ne l'avait jamais été d'ailleurs. C'était mon frère alors bien sûr, je l'aimais, mais nous n'étions pas vraiment démonstratif l'un avec l'autre et en grandissant les choses ne s'étaient pas arrangées. A mes treize ans, j'avais subi un nouveau chamboulement dans ma vie. Lenny venait d'avoir dix-huit ans et maintenant qu'il avait sa liberté, il avait décider de se casser de Boston pour vivre sa propre vie, loin de tous ces mauvais souvenirs. Il avait bien raison. Je l'avais supplié de m'emmener car une vie sans lui, c'était impossible. Il était le seul à s'occuper vraiment de moi et le seul qui pouvait m'arracher un vrai sourire. J'allais devenir folle si je restais là, seulement avec mon oncle et sa famille et Hendrix. Je n'avais pas du tout la même relation que j'avais avec Len, alors à mes yeux c'était logique de partir avec lui. Il avait accepté et c'était comme ça que nous avions décidé d'aller de ville en ville dans un road trip qui n'avait pas de fin. Pendant qu'il travaillait de droite à gauche, moi je me contentais de le suivre et d'étudier. Soit avec mon frère quand il se la jouait prof particulier, soit seule. Comme je m'ennuyais souvent, j'avais décidé d'apprendre le français, chose que j'aurais fait si j'avais continué mes études dans une école. Sauf que je m'étais débrouillée toute seule, avec mes livres. C'était une façon bizarre de vivre sa vie mais j'étais bien, tant qu'il était avec moi. Puis à nouveau, notre vie avait été chamboulée lorsqu'on avait apprit la mort d'Hendrix. Ses problèmes de cœur avaient eu raison de lui. Je pouvais pas expliquer la tristesse que j'avais ressenti à ce moment-là. Puis j'avais fini par être en colère, contre lui pour nous avoir lâché et contre moi pour ne pas avoir assez profité de lui. Les choses avaient fini par s'arranger entre nous et même si je ne le voyais pas, j'appréciais toujours de l'avoir au téléphone et d'entendre sa voix. Après tout, c'était mon frère. Mais j'étais surtout en colère parce qu'il avait foutu Len dans cet état. Il était détruit. Il avait perdu son jumeau, une partie de lui et ça l'avait rongé de l'intérieur. Alors évidemment, ma tristesse n'était pas comparable à cette que ressentait mon frère, donc j'avais pris soin de lui durant ce laps de temps. Lui qui d'habitude était toujours aussi protecteur avec moi, toujours à se soucier de mon bien avant du sien, cette fois-ci les rôles s'étaient échangés. Je pouvais ressentir qu'il avait besoin de moi plus que jamais auparavant alors c'était ce que j'avais fait. J'avais fini par ne même plus me soucier de ce que je pouvais ressentir, parce que les émotions de Lenny passaient clairement avant les miens. Putain, quelle vie de merde. J'avais perdu toute ma famille. Ils m'avaient tous abandonnée, sauf Lenny. Lui ne m'abandonnait pas. Il était toujours là, à mes côtés, pour toujours et à jamais.
“ CHAPTER THREE. there's no pleasure greater than holding you in my arms. I realized today that I could never live without you. In this life and the next, you’re my only hope of happiness. ”
La vie était réellement imprévisible parfois et c'était le cas de la mienne. Vous voyez le genre de vie que l'on voit que dans les films ? C'était ma vie. Une mère décédée, tuée par mon père qui était enfermé dans une cellule depuis des années, l'un des jumeaux qui était mort car son problème cardiaque avait eu raison de lui. Une fille qui se retrouve à peine à neuf ans sans parents et part faire un road trip à durée indéterminée avec son grand frère à treize ans, seulement accompagnée d'un sac avec des vêtements et des livres de cours pour ne pas perdre le fil. Au début je me contentais seulement de suivre Lenny là où il allait, de lui obéir, puis en grandissant j'avais fini par m'affirmer un peu plus, à donner mon avis et à participer aux prises de décision même si au final, je ne pouvais pas le contredire bien longtemps, il restait le chef de notre famille qui ne composait plus que nous deux. Parce que ouais, Lenny était ma seule famille. Je n'avais plus de parents, plus de deuxième frère. Evidemment mon oncle et sa famille comptaient pour moi, mais ce serait mentir de dire qu'ils représentaient pour moi ne serait-ce que la moitié de ce que je ressens pour Len. Nous avions toujours eu lui et moi une relation très forte, spéciale, que personne ne pouvait comprendre. Moi-même je n'arrivais pas à poser de mots là-dessus. La seule chose dont j'étais sûre, c'était qu'il n'y avait qu'en lui que j'arrivais à faire confiance et notre lien n'avait fait que s'intensifier au fil des années. Je grandissais, je devenais une jeune femme et lui, il était toujours aussi beau, voir même encore plus chaque jour. Et ce n'était pas seulement subjectif parce que j'avais beau être silencieuse, je voyais tout. Je voyais les regards qu'il recevait lorsque nous allions à un endroit où quelques femmes étaient présentes. Il ne passait pas inaperçu et je ne pouvais pas les blâmer après tout. Même s'il n'y prêtait pas beaucoup attention lorsque j'étais avec lui, j'étais tout de même folle de jalousie. Parce que Lenny, il était à moi. Rien qu'à moi. J'étais pas bête, je savais que durant notre -long- road trip il avait eu certains besoins qu'il ne s'était pas gêné pour assouvir, mais je ne voulais rien savoir. Parce que rien qu'à l'imaginer, j'avais mal. Tellement mal. Alors je restais le plus loin possible de tout ça et je me concentrais sur nous deux, sur notre lien. Parce qu'il était unique et je savais qu'il ne pourrait jamais me laisser de côté pour n'importe quelle autre fille sur cette terre. Aorsque j'étais triste, lorsque je voyais à certains moments des filles regarder Len, c'était cette pensée qui réussissait à me rendre mieux et à apaiser cette douleur qui apparaissait progressivement dans mon cœur, jusqu'à se faire forte. C'était lui et moi contre le monde entier, et c'était bien le cas de le dire. Personne n'essayait de comprendre ma relation avec mon frère. Moi-même en grandissant, j'avais eu certaines pulsions et la plupart du temps, c'était quand j'étais bourrée ou défoncée, parce que ça m'arrivait de l'être parfois. Du coup j'avais eu quelques expériences sans lendemain, impossible pour moi de m'attacher à un quelqu'un plus qu'amicalement. Puis pour tout vous avouer, à vrai dire ça m'arrivait quand j'étais contrariée par rapport à certains échos que je pouvais entendre au sujet de mon frère et d'autres femmes, ou juste certains regards que j'avais intercepté. C'était dans ces moments-là où j'avais besoin de sortir et d'oublier ça le temps d'une soirée, avant que ça me rende folle définitivement.
Nous étions passés par de nombreuses villes aux Etats-Unis et même au Mexique, puis nous avions fini par nous poser plus longtemps que d'habitude à certains endroits, lorsqu'il s'agissait de mes études. Len se trouvait un petit boulot pour subvenir à nos besoins et moi j'étudiais. J'avais certaines capacités qui faisaient que je n'avais pas besoin de beaucoup bosser pour m'en sortir et heureusement d'ailleurs, parce que j'aurais été dans la merde plus d'une fois. Forcément, j'avais fait des rencontres, parce que c'était important de se faire des amis. Puis venait le moment où l'on me posait des questions sur ma vie et j'étais qu'une adolescente. Alors je disais la vérité, sans trop en dévoiler non plus. Et toutes les personnes à qui je m'étais confiée m'avait jugée. Ils trouvaient ma relation avec mon frère trop malsaine, le fait de ne pas me décrocher de lui et de le suivre dans cette vie folle qui ne nous garantissait jamais un endroit stable. Ils ne faisaient que me juger et ils pensaient tellement fort que j'étais débile, que j'arrivais à l'entendre. C'était le genre d'expérience qui m'était arrivé dans plusieurs villes. Putain. J'en avais marre de passer pour la fille naïve et influençable alors qu'ils ne me connaissaient pas. Je m'étais pas gênée pour en frapper une ou deux qui osaient sous-entendre certaines choses envers mon frère que je pouvais pas accepter. Pas d'insultes, mais le faire passer pour un mec irresponsable qui profitait de moi était trop dur à entendre. Ca me rendait dingue que l'on puisse penser ce genre de choses à propos de lui, alors qu'il faisait son possible pour moi. Au fond, je pouvais pas les blâmer, parce que j'avais l'air d'une tarée vu la façon dont je racontais les choses. Mais c'était plus fort que moi, j'avais pas pu m'en empêcher et j'avais pas peur de me battre. Alors c'était arrivé quelques fois et j'avais pas de problème de réputation me poursuivant puisque je finissais toujours par partir. Les précédentes expériences m'avaient appris à ne pas faire confiance aux gens. J'avais pas refait la même erreur une fois de plus et en disant ça, ça voulait dire que je me gênais pas pour mentir. Je prétextais mes déménagements répétitifs par des mutations. C'était pas très crédible de base, parce que personne était muté tous les mois, mais les seuls moments où j'acceptais de me faire des amis était quand je restais dans un endroit assez longtemps, pour bosser mes cours. Du coup, j'arrivais à rester plusieurs mois et mon histoire de mutation arrivait à être crédible. J'étais pas spécialement une menteuse, mais si c'était la condition pour qu'on me foute la paix et qu'on me juge pas, alors ça en valait la peine. J'avais tout juste réussi mon diplôme à la fin de mes années lycée et nous avions repris notre road trip, le vrai, comme au tout début. Fallait quand même travailler, alors parfois je mettais mes talents en tant que danseuse en action pour donner des cours, participer à quelques concours pour m'apporter de la thune. J'étais heureuse, parce que je vivais la plupart du temps de ma passion, je découvrais des endroits magnifiques et tout ça aux côtés de Lenny. Mon âme-soeur. J'étais devenue une adulte et nous ne nous étions pas éloignés pour autant, c'était même plutôt le contraire. Il était ma seule raison de vivre et j'aurais vraiment pu continuer notre road trip encore longtemps si c'était mon seul moyen de le voir tous les jours, mais il fallait avouer qu'au bout de huit ans, nous avions besoin de stabilité. Cette même envie s'était manifestée chez lui quelques temps plus tard et il avait décidé qu'il était temps pour nous de retrouver notre oncle. Il avait été plutôt sympa, il nous avait accueilli et pour ma part, il m'avait aidé à trouver quelques plans. En revanche, hors de question de vivre chez lui. J'avais passé huit ans de ma vie à ne vivre qu'avec une seule et unique personne. Lenny. Je voulais pas que l'on perturbe notre équilibre à deux, ce qui était plutôt ironique puisque notre vie avait été tout sauf équilibrée. Sauf que je l'avais, il m'avait et c'était tout ce qui m'importait au fond. On avait pris un appartement tous les deux, pas loin du campus puisque j'allais y faire ma rentrée en septembre, tout comme Len. Notre oncle m'avait soutenue quant à mon entrée à Harvard pour accomplir mon rêve et c'était ce que j'allais faire. Je pouvais pas rêver mieux. J'allais pouvoir me consacrer pleinement à la danse et en plus de ça, mon frère et moi avions cette relation indestructible et indescriptible. C'était plus important que tout le reste. Ouais, c'était peut-être ça notre happy ending.
:love2: merci et encore merciiii de tenter également mon scénario. Comme dit par mp, je ne suis pas contre la compèt, je ne réserve jamais mes scénarii et j'estime que tout le monde a le droit à sa chance donc fais toi plaisir et si tu as besoin de quoi que ce soit j'suis là. Bonne chance surtout, que la meilleure fiche gagne
@Agathe A. de Belgique-S merci beaucoup et si j'ai la chance d'obtenir le rôle, garde moi un lien au chaud, Jo est mon amour caché.
Lennymour (bon je penserai à un meilleur surnom plus tard.. ) merci beaucoup, en espérant que je corresponde au mieux possible à la vision que tu te fais d'Hecate.
Hello, je me permet de poster juste pour te signaler de pas te précipiter pour la fiche et la compétition blabla, je te le laisse. J'ai horreur de la compétition, moi-même jamais je n'en fais à une fiche sauf vraiment quand la fich du pré-lien ou scénario est abandonné. N'ayant pas envie de perdre mon énergie à faire donc compétition, je préfère partir.
Bonne poursuite de ta fiche.
(Invité)
Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon :
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.