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S. Kurt Schäfer & Mark Hergel

© Kaiji

Journée de merde.

Déjà, je me suis levé en retard, après m'être effondré la veille sans manger ni mettre de réveil. Et comme je n'avais pas pris de petit-déjeuner, et que je n'avais pas le temps de manger le mardi midi, ce qui devait arriver arriva - vers quatorze heures, j'ai fait un malaise. On m'a emmené à l'infirmerie, j'ai pris une collation, et ça va un peu mieux, là. Mais comme les cours sont terminés et que je ne me sens quand même pas capable de monter les escaliers pour aller à ma chambre, j'ai décidé de me réfugier dans le foyer de chaque étudiant en galère, peu importe laquelle, et ce depuis le collège : les toilettes.

Tous mes amis sont en cours en ce moment, alors j'ai juste à attendre tout seul que ça aille mieux. J'ai quelques barres chocolatées dans ma poche au cas où je me sens faible de nouveau, et de l'eau à volonté pour me rafraîchir. J'ai négligemment jeté mon sac dans un coin, et je me suis assis par terre le temps de souffler. J'enverrai peut-être un message à Jona à dix-huit heures quand il sortira, si jamais je ne peux vraiment pas me lever.

Ce qui m'inquiète plus, c'est la note que je me suis ramassé en histoire de l'art. Je ne maîtrise vraiment pas la peinture espagnole classique, certes, mais cinq, ça fait mal. D'autant que d'habitude, je suis dans les plutôt bons. Enfin, il ne faut pas trop que je me focalise là-dessus - ça a sans doute à voir avec mon état de fatigue actuel. Je suis crevé. Et je ne me souviens plus de mon dernier vrai repas. Ce n'est pas très inquiétant, je peux tenir jusqu'au prochain break mais ... Aaah, j'ai vraiment un corps de lâche.

C'est à ce moment que j'ai cru voir quelqu'un à la porte des toilettes. Mais la personne a aussitôt disparu, donc j'imagine que c'était mon imagination, ou que cette personne voulait juste être tranquille. Après tout, je n'ai pas d'ennemis dans cet établissement. Enfin, si, peut-être un, mais Harvard est tellement immense que je ne vois pas comment je pourrais le croiser ...
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Le hasard fait bien les choses. Ou pas. J'aurais jamais cru le revoir ici. A croire qu'il a tout fait pour me suivre. J'en sais rien. Je pensais pas le revoir avant un bail ce mec... Qui c'est ? Mon ex. Oui, oui, vous avez bien entendu, il est mon ex. Mais non, rien de sérieux. Je suis sortit avec lui uniquement pour me foutre de sa gueule, sauf qu'il était réellement in love de moi. Vous voyez le truc ? J'savais même pas que c'était possible qu'un mec tombe amoureux de moi, mais lui, il me l'a bien prouvé ! En plus de ça, même si je me foutais ouvertement de sa gueule, il rompait pas. J'ai dû le quitter moi même. Genre vous imaginer le truc ? Il est maso, c'est le seul truc que j'ai retenu de lui au final, de notre pseudo relation d'amour. J'l'aimais pas et j'l'ai jamais aimé faut pas rire. Dans tout les cas, j'pensais pas qu'il ferait le voyage jusqu'à Harvard, j'l'imaginais plus faire ses études dans une petit fac d'Allemagne. Mais non, au lieu de ça, il est là. Là, dans les toilettes où je viens de faire un aller-retour exprès. Genre le seul mec que j'ai pas spécialement envie de voir quand je dois aller pisser parce qu'il risque de m'reluquer la b*te, bah il est là. Bon, ok, il y a aussi d'autre gay, mais eux ont jamais, en théorie, été intéressé par moi. Mais dans tout les cas, faut quand même que j'pisse moi ! Je soupire, fouillant alors dans mon sac après une connerie ou l'autre avec quoi je pourrais l'occuper le temps que j'pisse pour pas avoir son putain de regard sur moi. C'est là, que j'mets la main sur le paquet de paillette. N'allez pas croire que j'me promène toujours avec ça dans mon sac, c'est juste les filles de ma coloc qui m'ont envoyé faire les courses parce qu'elles en avaient besoin... Sauf que là, bah j'en ai possiblement besoin aussi ! Sortant le paquet de mon sac, sac que je remets sur mon dos, je l'ouvre alors et rentre dans les toilettes. "Maaaaark !" Criais-je alors comme si j'étais fou de joie de le voir avant de m'amuser à lui vider le paquet sur la tête sans mettre la main dedans ! Vas-y occupe des paillette, et moi, j'vais aller pisser. Are you ok ?

hj : j'espère que ça te va.
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Putain, j'aurais dû me douter que cette journée serait pourrie jusqu'au bout. Pourquoi tomber sur un étudiant random quand on peut tomber sur son ex qui est responsable de son placard ? Dès que je reconnais sa sale face de rat, je me lève et je me prépare au pire. Bon, pas à ce qu'il ait l'air content, et sur le coup, en deux secondes, je me dis que peut-être, il a changé, qu'il est gentil, qu'il a compris ses erreurs et qu'il est réellement heureux de me voir. Je n'ai pas le temps de développer cette idée, d'en mesurer les points étayants et les points qui contredisent cette théorie que je me prends une pluie de paillettes dans la gueule. Version développée : dans les yeux, dans le nez, et SURTOUT, dans la bouche.

- PUTAIN !

Je cours au lavabo le plus proche et me rue sous un filet dos pour nettoyer tout ça. Ah, et au passage, puisqu'il est germanophone comme moi et que notre langue commune regorge de monts et merveilles, je l'insulte copieusement, lui et sa maman qui pratique avec respectabilité le plus vieux métier du monde avec des appareils génitaux d'animaux divers et variés. Toujours à moitié aveuglé, je me tourne rageusement vers l'autre qui pisse, m'approche et lui décoche et coup de pied dans le creux du genou. Je ne tiens pas à lui péter une jambe, ni à lui éclater le crâne contre l'urinoir, juste qu'il s'urine un peu sur les pieds, ce sale chien. C'est tout ce qu'il mérite, et il pue déjà de base de toutes façons.

Et bien sûr, je me recule, je suis pas fou non plus. Déjà qu'il riposterait, je tiens à avoir le plus de marge possible pour répliquer / fuir / appeler à l'aide. En attendant, j'espère au moins lui avoir fait perdre l'équilibre. Je passe la main dans mes cheveux, un tas de paillettes reste coincé entre mes doigts. Elles collent, ces conneries. Et j'en ai encore partout sur le visage.
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La réaction est immédiate et surtout celle que je voulais. M'approchant d'un urinoir alors qu'il m'insulte de tout les noms, je ne réponds rien, ignorant ses calomnies parce que bon, si je devais réagir à chaque insulte qu'on peut bien m'dire, je serais clairement pas sortit de l'auberge. Puis si ça l'amuse de traiter ma mère de vendeuse de tabouret, que ça lui fasse plaisir, parce que même si je suis un fils de pute comme il dit, faut pas qu'il oublie que ce connard comme il le dit si bien, il l'a aimé et pas qu'un peu. Que si je m'étais pas lassé de le faire tourner en bourrique, on aurait pu encore être en couple aujourd'hui parce qu'il est trop crédule, trop naïf. Mais dans tout les cas, j'm'attends pas du tout à la suite. A son coup à l'arrière de mon genoux alors que je pisse. Qui me fait jurer alors que des gouttes d'urine atterrissent sur mes baskets. Je serre les dents et terminent rapidement de pisser. Enfin, aussi rapidement que possible, j'peux pas genre aller plus vite comme ça d'un claquement de doigts... Rangeant ensuite mon engin, je me tourne vers le petit Lowel, proche de l'évier qui continue encore de se battre avec les paillettes que j'lui ai balancé dessus. Me lavant rapidement les mains, je me retourne à nouveau vers lui, faisant preuve d'un calme mensonger. "T'es content ?" Le questionnais-je alors, montrant dans ma voix un certain agacement vis à vis de lui. "J'devrais te les faire lêcher tu vois, mais j'ai pas envie de me retrouver à être plein de paillettes comme toi." Me décollant alors de l'évier, je passe à côté de lui. "Mais au moins, on peut dire que ça te va à ravir d'être ainsi pailletés. T'es moins moche comme ça." Une nouvelle petite pics, encore assez gentille dans un sens, mais elle devrait quand même faire mouche vu qu'au fond, je ne suis pas n'importe qui pour lui.

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Prudent, je reste à bonne distance quand il finit son affaire et part se laver les mains. Il est trop sournois pour me frapper directement, mais quand même - je ne peux pas dire que je le connais si bien que ça. Tout ce que je sais, c'est que les taches jaunes sur ses stan smith me remplissent de bonheur.

- Essaye un peu de me les faire lécher, qu'on rigole. De toutes façons, tu pues déjà de base alors ça change pas grand-chose.

Je ne sais pas pourquoi je le provoque. Il y a un quart d'heure, j'aurais flippé rien qu'à l'idée de me confronter à lui - mais là, au point où j'en suis, je m'en fous. J'en viendrai aux mains s'il le faut, mais je refuse de le laisser s'en tirer comme ça, de le laisser m'insulter et me mépriser sans rien dire. D'un coup, j'ai la douce vision de moi en train de lui éclater le visage contre le rebord du lavabo en lui baignant la tête de sang comme il a baigné la mienne de paillette. Ce n'est qu'un fantasme, bien sûr. Mais c'est plaisant de s'y laisser aller quelques secondes. Sa pique est assez gentille et innocente, je veux dire, il aurait pu faire pire. Je vais relever le niveau.

- Moi je suis sûr que t'es magnifique, nu à quatre pattes en levrette.

Et je me penche un peu vers lui.

- Parce que du coup, je viens de voir et de confirmer mes doutes : si j'avais couché avec toi, j'aurais rien senti. Donc navré, tu vas prendre la place qui reste.

Bien sûr que j'ai aucune intention de le violer, je veux juste lui faire peur et arroser l'arroseur. Parce que franchement il l'a bien mérité. Mais quitte à commencer, autant y aller à fond. Je me penche encore, passe la main dans ses cheveux, les agrippe pour pas qu'il bouge et lui lèche l'oreille.

C'est en le faisant que je me suis rendu compte que c'était pas la meilleure idée que j'ai eue.

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J'penche la tête en l'regardant. Il a réellement décidé de mettre de mauvais poils lui non ? J'venais pisser de base, donc j'pensais être en paix. Mais à croire que c'est trop demander ça. J'le fixe, écoutant son blabla plus que puérile et soupire alors qu'il me lance limite le défi de l'faire. Il a oublié comment j'étais ou quoi ? Faut jamais m'donner de défi, parce que j'fais toujours en sorte qu'ils soient réalisés. J'le fixe donc, quand il m'insulte encore, me traitant limite de donzelle, non en fait, il m'insulte réellement. Je serre un peu le poing, avant de relâcher la pression de mes doigts. Je vais pas le frapper si vite. J'dois rester calme, j'veux pas d'emmerde. Surtout à cause d'un p'tit con comme lui. Pourtant, quand il s'approche de moi, j'devrais bouger, mais non, j'cherche à rester calme et quand il m'attrape par les cheveux et me touche avec sa langue, là... J'explose. Mes mains se posent sur son torse avec violence pour le repousser avec force. "Tu veux jouer ? On va jouer. Sauf que ça va pas t'plaire. " J'le repousse alors jusqu'au mur, le coinçant entre celui-ci et mon bras, reposant maintenant sur sa gorge. "J'pourrais t'frapper, tu sais, r'faire ta face de rat, mais j'tiens pas à m'salir plus. Donc j'vais éviter te faire saigner. Mon chaton."Un surnom faussement tendre, je me moque de lui, parce que c'est bien comme ça que je l'appelais non? En fait, je sais plus du tout comment j'l'appelais, mais devant mes potes, c'était souvent l'truc, l'machin, le gay trop con. Bref aucun surnom bien glorieux pour lui.

Mon regard rivé dans le sien, je le fixe sans aucun sourire, les traits tirés par l'agacement en réalité. "Et donc, tu veux jouer avec ta langue hein ?" Le questionnais-je alors en faisant référence à ce qu'il venait de me faire, mais aussi à ma menace juste avant. J'vais lui faire bouffer mes pompes en vrai. Dans tout les cas, là, il va pas avoir d'autre choix que d'faire ce que je veux s'il veut pas être amoché pour ses prochains cours... Enfin, pas sûr qu'il soit réellement en état d'y aller en réalité.
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C'était vraiment pas une bonne idée. L'air que j'avais dans les poumons s'échappe brusquement quand il me plaque contre le mur, et il ne revient pas à cause de son bras sur ma gorge. Il n'est plus calme là, je l'ai mis en colère. Je devrais avoir peur et baisser les yeux, mais je ne sais pas, aujourd'hui, j'ai des couilles. Enfin, plutôt, j'ai réalisé que j'en avais. Quand on était au lycée, je n'avais pas traversé grand-chose. Mais maintenant, je suis plus grand. Plus fort. Il ne m'impressionne plus autant. En fait, voir sa tête aussi bougonne me fait rire, presque malgré moi. Je glousse, et ce n'est pas nerveux ou gêné - c'est sincère. Il me fait rire, avec sa casquette ! Regardez-moi, je suis un gangster, je fais du skate ... Il se prend pour un rebelle alors que c'est un p'tit bourge de merde ! J'ai vraiment du mal à arrêter de rire. Je sais que je vais me faire défoncer.

- Je connais pas de meilleur moyen pour lubrifier pour ce genre d'acte.

Je fais genre mais je suis puceau et il le sait sans doute. On s'en fiche, c'est pour la frime. Et c'est vrai que j'avais bien fantasmé sur ces trucs quand je sortais avec lui. Ouais, ce gars avait été responsable de beaucoup d'érections gênantes en public ou de rêves mouillés. Bon, plus maintenant. Mais quand même. Je manque me laisser aller à la rêverie. Et puis, je me souviens - en effet, je suis sorti avec lui. Même lui ne peut pas le nier.

- Si tu me cognes, les gens me demanderont pourquoi je suis blessé ... Je devrais raconter que j'entretiens des relations difficiles avec mon ex ... Un certain Kurt Schäfer. Vous savez, celui qui se donne des airs de racaille alors qu'il est né avec une cuiller d'argent dans la bouche ...

Je soutiens son regard et sourit largement. Je ne m'en tirerai peut-être pas indemne, mais lui non plus.

- Tout Harvard saura que tu suces des queues, bébé.

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Malgré mes menaces, il continue de rire et de jouer les forts. Il me défie encore, cherchant réellement à me provoquer, mais comme dit, je tiens pas à salir mes fringues encore plus, alors j'vais quand même y aller mollo. Quand j'cherche à lui faire comprendre que j'vais lui faire lécher mes pompes, il se permet un nouveau commentaire sexuel et je serre les dents, me retenant de faire encore plus pression sur sa gorge sous mon avant bras. J'vais pas le buter, j'risque réellement des emmerdes, mais le mal mené un peu ça j'peux aisément le faire et comme ça, il comprendra qu'il doit fermer sa gueule non ? Et visiblement non, il continue de la ramener, continuant d'me parler, chercher à me faire culpabiliser d'être sortit avec lui et je ris un peu. Parce qu'il m'amuse sur le coup, parce que me rappeler qu'on est sortit ensemble, c'est assez drôle, parce que toutes mes potes peuvent témoigner que j'faisais que m'foutre de sa gueule alors bon... Puis, il continue une nouvelle phrase et j'fais mine de perdre mon sourire, comme si, depuis notre histoire j'avais changé de bord et que j'cherchais à le caché, reculant un peu, j'lâche prise me détournant de lui avant de faire machine à rien et de lui coller une gauche en plein dans l'estomac. "T'as cru quoi ? Que parce que j'suis né avec une cuillère en argent dans la bouche que j'suis faux ? Et puis aussi, t'as cru pouvoir me menacer sans conséquence derrière ?" Le questionnais-je en me reculant un peu. "Tu peux dire c'que tu veux, j'suis pas du genre à me soucier d'ma réputation et mes potes savent que j'suis pas comme ça. Comme toi surtout. j'suis pas un suceur de queue comme t'le dis si bien." J'm'approche alors de lui, l'attrapant par les cheveux pour lui faire relever la tête. Une poigne ferme, qui montre bien que je ne comptes plus rire avec lui et qu'il pas intérêt de tenter quoi que ce soit. Je m'approche alors de son oreille, pour y murmure quelque mot. "C'est pas moi la chiffe molle entre nous, Mark. C'est pas moi qui devrait avoir honte de quoi que ce soit, mais bel et bien toi. Alors oublie pas d'préciser à quel point j'te fais de l'effet." Lui susurrais-je doucement avant de descendre mes lèvres un peu plus bas. Un geste de tendresse ? Non, un acte juste pour l'humilier un peu plus, lui faire comprendre que ça soit avec la force ou non, j'peux lui faire du mal et l'atteindre. Mes lèvres se posent sur sa gorge, doucement y déposer de légers baisers. Souvenir du passé, j'ai jamais été plus loin que ça, mais en même temps, avec lui, ça suffisait non ? Dans tout les cas, j'compte bien lui faire comprendre qu'il est à ma merci, qu'il est et restera mon jouet en quelque sorte.

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Ok, ok, je l'ai eu. Il se détourne, il commence à s'en aller, je me détends. Tout va bien, je vais m'en sortir. Et puis d'un coup-

- AAAOTCH !

Je n'ai pas pu retenir mon cri. Il frappe fort ce connard, et pile poil dans le ventre, là où c'est le plus sensible. Je me plie en deux et n'entends pas la moitié de ce qu'il me raconte. Merde, ça fait mal ... Le sang bat dans mes oreilles, et il me faut une éternité pour retrouver mon souffle. Le sol et les murs bougent. Et puis il m'agrippe par les cheveux et je geins encore, malgré moi, encore sonné. Je frémis quand il murmure à mon oreille, tout doucement, comme s'il me disait des mots d'amour - c'est tout le contraire, évidemment. Mais avec la douleur qui me lance, j'aurais presque envie d'y croire. Ce serait plus agréable que la situation actuelle. Voilà ce qui arrive quand on fait soixante kilos et qu'on veut jouer au con. On perd.

Son souffle sur mon oreille me chatouille, mais c'est supportable. Je reviens brusquement à la réalité quand il m'effleure la nuque avec ses lèvres, dans un soupir faussement énamouré. Il n'a pas le droit de me faire ça. Les paillettes, je veux bien, le coup de poing, je l'ai cherché, mais ça c'est déloyal, juste déloyal. Et je ne dis pas ça parce que mon cou, c'est mon point faible, le truc qui me fait chavirer dans tous les sens du terme. Mes jambes qui n'étaient déjà pas bien vaillantes à la base lâchent un peu plus.

Il me faut un moment avant de réussir à essayer de le repousser. Mais ma voix part lamentablement dans les aigus.

- Arrête ça, fils de pute, t'as pas le droit !! Casse-toi, Kurt !

J'ai les joues toutes rouges, je le sens, je le sais. Je n'ose même pas essayer de savoir ce qui se passe dans mon froc. Tout ce dont je me rends compte, c'est qu'il a réussi à m'avoir, que je n'arrive pas à empêcher des larmes de fureur et de douleur de couler de mes yeux, et que vraiment, j'ai été eu. Je rends les armes. La guerre n'est pas finie, mais j'ai perdu cette bataille. J'arrête d'essayer de le virer, de toutes façons je n'y arrive pas, et je ne pourrais partir que s'il le veut bien. J'ai un léger sanglot et me laisse aller contre le mur.

- S'il te plaît, laisse-moi tranquille ...
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Une réaction vive à mon coup de poing, en même temps, je l'ai bien touché. Et je n'ai pas attendu ensuite pour continuer ma provocation, l'attrapant par sa chevelure ébène pour l'empêcher de se courber trop en avant et ainsi lui susurrer de nouveaux mots doux aux oreilles. Violent, voilà comment je suis avec lui, alors que je cherches à lui faire payer ce qu'il vient de me faire en plus de ses menaces. Je quitte son oreille, descendant plus bas... Mon souffle heurte alors la peau tendre de sa gorge, soufflant une première fois pour en retirer les paillettes, parce que j'tiens pas réellement à en bouffer, même si là, j'dois déjà en avoir plein sur moi aussi. La poisse quoi. Dire que j'venais que pisser de bases... Mais soit. Mon souffre sur sa peau, je ne reste pas longtemps sans agir, mes lèvres se posant doucement sur celle-ci, pour un premier baiser. C'est pas le premier que j'impose sur sa peau, je l'ai déjà embrasser par le passé, sinon, je n'aurais aucunement su que c'était son point sensible... Un jeu du hasard en réalité. Bien qu'au début, je m'étais quand même un peu prêté au jeu de notre relation, pour le découvrir, pour savoir qui il était et surtout pouvoir l'atteindre. L'atteindre comme je le fais là, alors qu'il gesticule contre moi pour tenter de me repousser tout en insultant ma mère. Je le laisse faire, continuant de le torturer de cette façon des plus... Surprenante. Jamais je n'avouerais que pour le faire pleurer et s'écraser devant moi, je le fais en déposant des baisers dans son cou ! Je devrais dire que c'est répugnant, mais disons que comme c'est pas la première fois, j'me suis probablement fait à l'idée... Du moment que ça va pas plus loin. Fin vous voyez le truc.

J'lâche alors ma prise sur ses mèches quand je le sens défaillir et m'écarte de lui pour le laisser glisser contre le mur et se retrouver au sol. J'le regarde, lamentable comme il est et j'peux pas m'empêcher de sourire satisfait alors qu'il me supplie de le laisser. J'repousse alors son pied avec le mien. "T'as comprit la leçon ou j'dois continuer ?" J'le fixe, attendant sa réponse, est-ce qu'il a comprit qu'il doit pas me faire chier, ne plus me provoquer ? Et puis même tout simplement éviter de croiser ma route ?
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