used to have this feelings (willa)

got this feelings

Eliot ignorait ce qu'il foutait dans ces environs de l'université - enfin, si, il le savait mais il ne savait pas ce qui lui passait par la tête de venir directement chez les Eliots pour parler à Ludmila. Mais quoi qu'il en soit, il était là, devant les portes de la confrérie, hésitant, complètement penaud et idiot à rester planté sur le porche de la maison. Il voulait vraiment lui parler, à Lud pourtant, mais quelque chose en son fort intérieur lui clamait que c'était une connerie et c'était ce qui le faisait hésiter. Et ce doute a sûrement attiré des regards des habitants de la confrérie parce qu'il n'avait toujours pas frappé que la porte se déroba sous ses yeux et une figure féminine apparut devant ses yeux. Sans y jeter un regard, le regard baissé, sa première réaction à Eliot fut de s'excuser et il s'apprêtait d'ailleurs à ouvrir la bouche jusqu'à ce qu'il daigne enfin lever les yeux et tomber sur.. Willa. Son ex. « Willa ? Qu'est-ce que tu fais là ? » Quémanda-t-il sans réfléchir et penser qu'elle était une Eliot, contrairement à lui, et donc que la question aurait eu plus de sens dans la bouche de la jeune femme que la sienne. « Enfin, non, rien, c'est plutôt moi l'intrus sur le territoire étranger ici. » Enchaîna-t-il, un sourire gêné en coin tout en se frottant l'arrière de la tête pour accentuer plus son gêne. Il ignorait comment agir devant Willa à vrai dire car leur relation a été d'une grande importance pour Eliot, et qu'il a sans aucun doute tout foutu en l'air, et lorsqu'il la voyait, il ressentait sans cesse des regrets, à foison. Et il était gêné, mal à l'aise. Ne savait pas d'autant plus ce qu'elle ressentait à son égard, de son côté, ce qui le mettait encore plus mal à l'aise. Yeap, la matinée était bien partie.

✻✻✻

CODES © LITTLE WOLF.

(Invité)

10/08/2012

Dans la vie, certaines rencontres vous effleurent, d'autres vous renversent.✻ J'étais revenue du voyage eliot et je défaisais ma valise, un peu à la bourre. Quand je rentre de vacances, je laisse au moins traîner mes bagages fermés pendant quelques jours. Là, il était temps. C'est peut-être parce que d'un côté, j'avais pas envie de revenir. La Thaïlande me plaisait beaucoup trop bien. Je prenais mon linge sale et je descendais jusqu'à la cave pour faire tourner une machine à laver. Quand je remonte au rez-de-chaussé, quelques eliots regardent vers la porte d'entrée, chuchotent entre eux, mais ne l'ouvrent pas. Je fronçais un sourcil, me demandant ce qu'il se passait et j'arrivais devant la porte pour l'ouvrir. Tout simplement. En fait, ce n'était pas si simple, pas du tout. Mon teint vira au rouge et je chassai automatiquement son regard. J'allais répondre à mon ex-petit ami mais il enchaîna directement pour s'excuser. Je levais un sourcil, je croisais les bras et je m'appuyais contre la porte. Sympa de voir qu'il ne savait pas ce que je faisais de ma vie. Il m'a vite nexté, s'est vite désintéressé de la Willa trop naïve. « Je suis Eliot. Enfin je veux dire, je fais partie de cette confrérie depuis quelques années déjà. » je me pinçais les lèvres. Il est clair que je parle de la maison bleue et pas de lui, je peux pas être lui haha. Inutile que je fasse de l'humour. On sait tous que les blagues sont pourries. « Je peux t'aider ? » demandais-je presque à contre coeur car il y a de grandes chances qu'il vienne pour une fille et je sais que ce n'est pas moi.

@Eliot Llewellyn

got this feelings

FEAT @WILLA M. CAVENDISH

Il ne s'attendait clairement pas à tomber sur son ex. Plutôt ironique quand il venait directement sur le territoire des Eliots, et qu'elle en était une, elle-même. Mais sur tous les Eliots qui auraient pu lui ouvrir, ça devait être Willa. Non pas que ça le dérangeait de tomber sur elle, après tout, il la croisait souvent sur le campus depuis leur séparation, mais justement, avant, il la croisait simplement, il ne lui avait jamais réellement parlé. Il se contentait d'éviter son regard au cas où elle aurait encore des envies de meurtre envers lui - ce qu'il comprend, toutes les nanas semblent vouloir le voir pendu quelque part. Souvent, non, tout le temps, il regrette ses agissements, son erreur, il regrette Willa. Mais c'était un détail qu'il se gardait bien de mentionner, à quiconque. Surtout pas à elle, et il ne savait pas comment agir face à elle, là. « Je sais bien que t'es une Eliot Willa, tu m'as pris pour un petit ami indigne pour ne pas savoir un minimum ça sur toi ? J'voulais dire, j'pensais que t'étais au voyage Eliot. » Renchérit-il sur un ton gêné, mais un sourire en coin après qu'elle ait glissé une petite vanne sur Eliot et les Eliots. Bon, elle paraissait pas vouloir le descendre comme au moment de leur rupture, good point. Elle demandait même si elle pouvait l'aider. « Hm, je cherche.. » Commença-t-il puis s'arrêta soudain, gêné : est-ce que c'était correct de lui demander d'aller chercher une autre fille pour lui ? Clairement pas, non. « Non laisse tomber, je.. tu vas bien sinon ? » Oui, voilà, change de conversation Eliot, fais comme si de rien n'était.

✻✻✻

CODES © LITTLE WOLF.

(Invité)

10/08/2012

Dans la vie, certaines rencontres vous effleurent, d'autres vous renversent.✻ Quand je vois Eliot, ça me fait tout bizarre. Enfin il posait ses yeux sur moi de plus de deux secondes. J'avais un pincement au coeur dès qu'il chassait mon regard quand je le posais maladroitement sur lui. Depuis, j'ai appris à vivre en l'ignorant. Mais là, inutile de faire semblant, je ne vais pas lui reclaquer la porte au nez en le prenant pour du vent. Je remettais mes cheveux en arrière à l'aide de ma main puis je faisais une petite mimique suite à ses paroles. Petit ami indigne, non mais pourquoi tu me lâches ça ? Ca te fait rire de me rappeler à quel point t'as été un enfoiré avec moi ? J'haussais les sourcils et je me mordis la joue. D'ailleurs, il pensait que j'étais partie ? Il me stalke ou quoi. « Je viens de rentrer, j'étais en train de défaire ma valise. » soufflai-je. J'arrivais pas à garder mon regard dans le sien, alors je venais me bouffer les doigts par anxiété. Ce que je fais trop souvent, pauvres ongles. Pas très féminin tout ça. Je me demandais bien ce qu'il cherchait, mais trop bizarre qu'il change de sujet de conversation. « Eliot, tu peux me dire que tu vois une fille, franchement... » je m'en tape, j'avais envie de dire ça ; je m'en tape, je m'en tape, je m'en tape ! Mais ça serait trop de mensonges d'un coup dans ma bouche. « Tu fais ce que tu veux. » soupirai-je en laissant tomber mes bras le long de mon corps. Je me poussais de la porte pour l'inviter à entrer et je regardais toujours mes pieds.

@Eliot Llewellyn

got this feelings

FEAT @WILLA M. CAVENDISH

Tu m'as pris pour un petit ami indigne ? Ce n'était que quelques secondes plus tard qu'il percuta ses propres paroles et l'impact qu'elles pouvaient avoir. Evidemment qu'elle te prend pour un petit ami indigne, idiot, rappelle-nous comment s'est terminée votre relation ? Yeap. Il s'en mordait les doigts, souvent, tout le temps. C'était censé être une sorte de piqûre de rappel pour Willa pour lui rappeler qu'il existait, mais comme à son habitude, ses idées pour récupérer les filles étaient toujours médiocres. La preuve. « Oh, ok.. Ton voyage s'est bien.. déroulé ? » Voilà où ses conneries les menaient : à subir une conversation banale et forcée, comme si de rien n'était, comme si aucun des deux n'avait été affecté. Ce qui était faux. Il n'oubliait pas, il n'avait pas oublié. Elle évitait de le regarder, elle se mordillait même les doigts, ce qu'Eliot identifia comme signe d'anxiété de sa part - dans le temps, et encore aujourd'hui il trouvait cette manie assez adorable. Malgré oui, il sourit tendrement devant elle. Jusqu'à ce qu'elle lui demanda ce qu'il voulait, qu'il esquiva la question avec une dextérité sans pareille - ironie - et qu'elle le crama sans aucun étonnement. « Non, je.. enfin oui, mais c'est pas pour moi, c'est pour un ami. J'étais venue voir sa.. cavalière. » Se sentit-il obliger de préciser lorsqu'elle se décala pour le laisser entrer, un air dépité sur le visage. Eliot aurait bien aimé la prendre dans ses bras et la réconforter s'il pouvait. Mais il ne pouvait pas et il soupira, frustré, restant devant elle, ne rentrant pas. C'était ridicule, la situation était ridicule, ils étaient tous les deux maladroits et ridicules. « Willa, c'est ridicule.. Est-ce qu'on sera obligé de jouer ce jeu à chaque fois qu'on tombera l'un sur l'autre ? »

✻✻✻

CODES © LITTLE WOLF.

(Invité)

10/08/2012

Dans la vie, certaines rencontres vous effleurent, d'autres vous renversent.✻ C'est plus fort que moi. Je craque je vous dis. Devant Eliot c'est toujours comme ça. Je sais pas si vous vous imaginez mais c'était mon tout premier et ça restera sans doute le dernier vu que ma vie sentimentale se mélangeait au néant depuis des lustres. Et je ne cherche personne. J'ai pas envie de chercher de tomber sur un homme que je ne peux pas combler. Quand je repense à nos moments, à nos baisers et caresse, ça me donne la nausée tellement j'ai mal au coeur. J'ai juste envie qu'il s'envole de là avec le vent pour me laisser tranquille dans mon linge sale à la machine à laver. « Oui. » je souriais. Je sais pas quoi dire d'autres. C'est pas mon pote, je vais pas lui expliquer tout de a à z. Non frère, j'essaye de t'esquiver si tu comprends pas. « Oh, d'accord. Viens entre. » insistai-je mais il resta sur le pas de la porte. Toujours à me regarder. J'ai quelque chose sur le nez ? Je fronçais un sourcil et je me sentais presque vexée. « Quel jeu ? » pensai-je tout haut, faisant mine de ne pas comprendre de quoi il parle. Mais là, ce fut à lui de me cramer. J'haussais les épaules et je regardais les autres eliots qui nous regardaient. Fine ! Je rejoignis Eliot à l'exétieur et je fermais la porte derrière nous. « Je suis désolée Eliot. Je... je peux pas te regarder comme si tout allait bien. Tu me demandes beaucoup d'efforts là. Alors s'il te plaît, va chercher la cavalière de ta copine raah je sais plus et fais comme si tu ne m'avais pas vue. » soupirai-je d'un air désespéré en fuyant toujours son regard. Le bout de mes doigts sur mes lèvres, la main presque tremblante et le coeur en transe.

@Eliot Llewellyn

got this feelings

FEAT @WILLA M. CAVENDISH

« Oui. » Réponse claire, nette, concise et pleine de sous-entendus : j'ai pas envie de te parler, va-t-en. Well, c'était compréhensible. D'un côté, le jeune homme fut soulagé de sa réponse parce qu'il n'avait pas besoin de continuer à jouer de la conversation de banalités mais d'un autre côté, il sentait une partie de lui se briser. Parce que Willa ne voulait plus parler avec lui, alors qu'il fut un temps où il était la première personne vers qui elle venait pour lui raconter sa journée. Jusqu'à un certain temps où elle s'était un peu éloignée, et qu'Eliot avait voulu attirer son attention dans la manière la plus idiote qu'il soit. C'était ça, son problème au Winthrop, il regorgeait d'idées toutes aussi saugrenues les unes que les autres en matière de filles. « Oki doki. » Qu'il répondit tout aussi stupidement. C'était gênant toute cette altercation. Encore plus gênant quand elle le crama la raison de sa visite chez les Eliots et encore plus et plus gênant quand, épuisé, il confronta la jeune femme sur l'absurdité de leur 'jeu'. Absurdité qu'elle fit mine d'ignorer mais Eliot n'était pas dupe, à son petit 'Quel jeu ?', il se contenta de lever le sourcil droit, incrédule et lança un regard aux Eliots qui les observaient sans aucune gêne, eux par contre. Willa les remarqua également et sans doute agacée par eux, par lui, le rejoint sur le devant de la porte. Eliot oublia d'un coup Ludmila, et ne concentra son regard et son attention que sur son ex qui avoua son désarroi. « Je ne te demande pas de faire comme si tout allait bien.. Je.. » Tu, quoi ? Oui, qu'est-ce que tu voulais Eliot ? Et puis une réalité le percuta soudainement dans les paroles de la jeune femme. « Tu m'en veux encore énormément, hein ? » Soupira-t-il, en se passant la main dans les cheveux. C'était une question, parce que même s'il connaissait la réponse, il voulait l'entendre.

✻✻✻

CODES © LITTLE WOLF.

(Invité)

10/08/2012

Dans la vie, certaines rencontres vous effleurent, d'autres vous renversent.✻ Je ne sais pas, lui il a peut-être la conscience tranquille d'aller voir ailleurs mais moi j'y arrive pas. C'est tout bonnement impossible Même maintenant, si je veux un homme dans ma vie je sais que le seul que je veux c'est Eliot mais ça ne se fera sans doute jamais car il m'a trahi. J'ai peut-être pas été une petite amie très présente mais moi, j'ai su garder ma petite culotte que pour lui. Pourquoi il voulait qu'on parle de ça maintenant ? Sans doute parce que par texto j'aurais surement rien répondu. Je peux pas fuir éternellement. J'ai qu'à lui dire ce qu'il a envie d'entendre et puis voilà. « Je t'en veux chaque jour, chaque minute. » soufflai-je en marmonnant ça presque à moi-même, mais assez pour qu'il entende. Je me trouvais bête de lui parler encore. « A cause de toi, j'arrive pas à m'intéresser à un autre garçon. J'ai ce putain de blocage qui me dit que tous les mecs sont des enfoirés. » lâchai-je d'un petit rictus. Regarde comment tu m'as rendu, faible, fragile et à la fois vulnérable. J'ai sans doute laissé passer quelques chances qui en valaient la peine lorsque des mecs m'ont approché mais je les ai tous remballé. « Et je crois que je t'ai toujours dans la tête malgré moi et je t'en veux que tu ne veuilles pas partir. » partir de mon esprit, de mon coeur, de tout mon être. Je déglutissais et je croisais les bras. Je pensais pas lui parler aussi franchement mais c'était fait, je peux rien perdre de plus vu que j'ai déjà tout perdu.

@Eliot Llewellyn

got this feelings

FEAT @WILLA M. CAVENDISH

Il aurait sans doute écouter Willa et sagement rentrer chercher Ludmila, sans histoire, sans insister, mais il était abruti, comme toujours et avait tout sauf fait ceci. D'où sa présence, devant la confrérie, devant Willa, à reparler de leur relation, d'une relation qu'ils avaient partagé l'année dernière, sans doute la meilleure et plus longue relation qu'il ait eu jusque là. Il le trouvait bêtement devant la confrérie, à lui demander si elle lui en voulait encore. Et dès qu'elle lui répondit, il regretta sa question, parce qu'il sentit son cœur s'oppresser, son souffle se couper et une tristesse plus que jamais grande l'envahir. Ce n'était plus de la culpabilité qui le rongeait - bien que ce soit toujours une grande partie, mais une énorme tristesse, celle d'avoir brisée Willa, leur couple, leur relation. La tristesse de se rendre compte que, sans doute, plus jamais elle n'allait être sienne, et qu'il allait sans aucun doute s'en mordre les doigts, un jour. Maintenant. « Je.. J'ai pas envie de partir. » Murmura-t-il tout simplement à la fin de tous les coups qu'il s'était pris. Il ignorait réellement ce qu'elle voulait dire par 'partir' mais dans tous les cas, il ne voulait pas partir, pas d'ici, pas de sa tête. « Pourquoi tu n'as jamais été aussi honnête pour tes sentiments quand on était ensemble ? » Reprit-il, désolé mais à la fois jaune, pour cette raison qu'il venait de soulever : elle n'avait jamais été aussi honnête avec lui. « Je t'aimais Willa, et j'en suis persuadé, une partie de moi t'aime encore. Mais toi, je n'ai jamais su ce que tu ressentais pour moi, tu me l'as jamais montré, j'étais dans le flou total et j'étais persuadé qu'à chaque instant, tu allais finir par rompre avec moi parce que.. parce que tu ne m'avais jamais dit, tout ça ! Pourquoi ? » Maintenant c'était lui qui demandait des explications, c'était le monde à l'envers.

✻✻✻

(Invité)

10/08/2012

Dans la vie, certaines rencontres vous effleurent, d'autres vous renversent.✻ Mais tu dois partir Eliot, tu dois quitter mon esprit sinon je ne serai jamais une fille pleinement heureuse. Tu étais mon bonheur et voilà que maintenant, je n'y ai plus accès. Cela ne fait pas de moi une fille malheureuse. Pleins d'autres choses me remplissent de joie. Mais aimer une personne et être aimée en retour, ça, rien ne pourra remplacer ça. Rien ni personne ne pourra te remplacer. Je pensais tout ça mais j'avais du mal à le dire. J'ai l'impression que mon passé me refait surface en pleine face. Je peux pas y échapper. Le moment crucial des révélations est arrivé. Je sens mon coeur se retourner quand j'entends me dire qu'il m'aimait, et sans doute encore un peu actuellement. Là j'ai juste envie de fondre en larmes. Je reniflais comme pour retenir les goûtes de tomber le long de mes joues. « Je... je ne sais pas. J'avais peur, peur de l'abandon. Peur de trop te donner pour au final tout perdre. » je ne t'ai pas assez donné d'amour, j'aurais sans doute dû, mais peut-être pas, car ça ne t'a pas empêché de me faire du mal. Mon dieu j'ai l'impression de parler chinois mais il faut bien que j'ose enfin tout lui dire. Quand je l'ai quitté, j'ai jamais voulu entendre quoi que ce soit de sa part. « On m'a jamais appris à aimer. » lançai-je d'une voix tremblante en fixant un point fixe face à moi, comme pétrifiée. Car forcément, ça me refait penser au passé. Peu d'amour dans ma famille, presque pas. « Je te demande pardon si tu éprouvais ça. J'ai l'impression que c'est moi le monstre. C'est ma faute si j'ai tout détruit entre nous. » je me grattais le crâne nerveusement et je soupirais encore une fois. Une brise me fit frissonner. J'étais trop froide, même à l'intérieur. Repenser à tout ça venait de me plomber le moral. « J'aurais aimé faire les choses autrement. » je chassais les cheveux bruns de mon visage pour les mettre derrière mon oreille. C'est vrai, je le pense. C'est ce que tout le monde pense non lors d'une rupture ? Que les choses se soient passées autrement. Donne-moi une baguette magique et je t'empêcherai de partir.

@Eliot Llewellyn

(Contenu sponsorisé)