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silonidas ; On the other side of the mirror

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On the other side of the mirror
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feat. Silonidas

« Je commencerais par lui demandé pourquoi ils s'acharnent à nous mettre sur la même route, et je le secouerais en disant qu'il choisisse une fois pour toute de nous séparer ou nous laissé ensemble parce que l'effet yoyo je peux plus.  » Tu le pensais, combien de fois tu avais voulu le tuer parce que tu souffrais de votre relation malsaine, tu te demandais si lui même n'étais pas perdue entre vous deux. C'était étrange, vous vous parliez avec le cœur pour une fois et non avec la tête, vous n'aviez plus peur de vous exprimer pleinement, de dire les choses sans filtre et ça vous rapprochait encore un peu plus. Tu pouvais le voir comme il était réellement, tu pouvais que tomber d'avantage.. amoureuse..  Alors est ce que ça ressemblait à ça l'amour ? Tu étais entrain de tomber amoureuse de lui, sans que tu ne l'ai vu venir. Bon sang, toi la cadette des Woodstock, tu étais amoureuse, ce que tes parents avaient souhaiter depuis des années. Tu te mordais la lèvre parce que tu prenais conscience de la douleur que tu allais avoir. Jamais il n'accepterait que tu tombe amoureuse de lui, c'était évident. Puis, tu le regardes fixement alors tu apprends que tu es responsable de son changement, comme si doucement tu l'avais ramener du bon côté en étant simplement toi même. « Je comprends vraiment pourquoi tu me détestes autant. Je suis contente si j'ai pu te faire revenir dans notre réalité. Je veux juste le meilleur pour toi. Je me suis pas rendue compte pendant toute ses années combien tu avais pu me manquer.. » Soufflas tu contre ses lèvres avant de lui donner un nouveau baiser.

Tu l'écoutais et tu te sentais vraiment mal pour lui parce qu'il semblait sincère et de nouveau ça accentuait ta colère envers son grand père. Il l'avait punit de bonheur, de tendresse et d'amour. Comment pouvait il être autant sans cœur. « Si tu me faisais confiance et tu me donnais la chance de te faire sentir heureux au moins ce soir, oubliant tout le reste. » C'est ce que tu voulais lui proposer, un bonheur de courte durée mais si c'est tout ce que tu avais tu le prenais parce que c'était comme ça. Tu souriais en le regardant parce que tu ne voulais pas qu'il sache que toi aussi ça te faisait mal de savoir que lorsqu'il redeviendrait lui même tout ça semblera tellement loin, qu'il cherchera à se protéger. « Je sais que tu le feras, mais c'est pas grave, n'y pensons pas ce soir. »  

C'était véritablement un Léo différent ce soir, parce qu'il avouait que le petit nom que toi tu lui donnait lui avait manqué. Finissant par relâcher ses lèvres à contre cœur, tu le regardais ce redresser et te faire face. « D'accord si j'ai ton autorisation, autant que j'en profite. » Tu souriais alors que tu te levais pour évite qu'il ne te serve alors qu'il avait l'air vraiment mal avec les médicaments. « Je vais aller nous servir quelques chose, tu veux boire quoi dis moi ? » Tu allais avançais dans ce superbe appartement avant de te tourner à sa dernière question. « Je ne vais nul part, puis tu as besoin de moi non ? » Dis tu avec malice alors que tu ne voulais être nul part ailleurs qu'avec lui.


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   Siloë & Leonidas

   On the other side of the mirror

   

    « Il te dirait que c’est ça de fréquenter un Vasilis » lâche-t-il pince sans rire car aussi loin que remontait sa mémoire, il n’avait jamais vu une femme heureuse auprès d’un Vasilis. Sa mère s’était tirée quand il avait huit ans, avec un amant d’après ce qu’il avait compris. Une mère abandonnant son fils, une femme abandonnant son mari… pourquoi ? pour qui ? Il n’avait jamais eu la réponse à cette question. Leonidas ne doutait pas un seul instant que toute cette histoire avait été décidé par son grand-père, qui, déjà, manipulait le plus jeune sans en avoir l’air. Cet abandon avait été que le premier pas vers la souffrance et un besoin de se protéger, de tout, de tous. Siloë, elle, n’avait pas conscience de combien, elle lui avait fait du bien mais également beaucoup de mal en venant s’immiscer dans sa vie, une nouvelle fois. En représentant cette menace, cette faiblesse, elle avait mis à mal tout un maillon de la chaîne. « Tu es masochiste trésor mais je ne vais pas m’en plaindre » dit-il contre ses lèvres, avec un léger sourire. Elle était heureuse de le ramener un peu dans cette réalité, lui, il craignait de se consumer sous le poids écrasant de sa culpabilité. Il avait commis tellement d’actes ignobles tant son grand-père n’avait pas hésité un seul instant à vendre son petit-fils au plus offrant quand il était plus jeune. Sans contrôle, la folie ne menacerait-il pas de l’emprisonner ? Cette question, il se la posait souvent. Qu’adviendrait-il de lui s’il renonçait à ses objectifs du jour au lendemain ? « Tu m’as manqué aussi… la logique aurait voulu que je choisisse une personne neutre pour vivre à mes côtés il y a deux ans mais faut croire que je suis tout autant masochiste que toi » répondit-il finalement en l’embrassant à nouveau.

Elle voulait le rendre heureux au moins pour une soirée. L’idée était tentante… « Rien qu’une soirée ? C’est dans mes cordes… Montre-moi ce que ça fait d’être heureux trésor » souffla-t-il en prenant le risque de se consumer entièrement pour cette femme. Leonidas savait qu’il prenait le risque de la blesser, de les blesser que davantage avec le retour à la réalité mais ce soir, il était trop groggy pour réfléchir sereinement. Il ne voulait pas réfléchir mais ressentir pour une fois dans sa chienne de vie. Bien pour cela qu’il se montrait beaucoup plus accessible, qu’il osait s’ouvrir davantage. En temps normal, jamais il ne se serait épanché sur son grand-père de cette façon. « Vaut mieux que j’évite l’alcool en ce moment donc… je veux bien un coca. Il y a tout ce qu’il faut dans le frigo et si tu veux de l’alcool, c’est dans le meuble là » pointait-il avec le sourire d’un homme qui vit les choses avec calme et délectation. « Ouais… et puis j’ai pas encore baptisé cet appartement » plaisantait-il -à moitié. Après tout, il avait beau être shooté, elle restait une femme très attirante.
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Et tes parents qu'est ce qui t'en dirait eux ? C'est vrai dans le fond tu ne leur avais jamais présenter personne, c'est sûrement pour ça que tu avais peur de leur dire que tu t'étais marié. Ils s'étaient connus lorsqu'ils étaient à Harvard et ne s'étaient jamais quitté. Ils s'aimaient comme au premier jour, ils étaient tout le temps l'un avec l'autre dès qu'ils avaient du temps libre. Puis ils avaient fait six beaux enfants, pour eux c'était leur meilleur réussite, c'était ce qu'ils construit par amour. Toi, tu n'y avais jamais cru pensant que ça n'arrivait qu'une fois, qu'ils avaient eu de la chance puisque tes frères et sœurs eux divorçaient ou se séparaient les uns après les autres. Ou peut être simplement tu avais juste attendu de trouver le bon, celui pour qui tu serais prête à passer ce cap qui te faisait peur, être en couple. Tu le regardais et tu riais ; maso oui ça tu l'étais. « Tu sais pas à quel point. » Dis tu en pensant que tu étais amoureuse, enfin que tu pensais être amoureuse de lui. Ahhhh c'était tellement confus. Pourtant, tu avais pour but de le faire revenir du bon côté, tu ne voulais plus le voir se faire manipuler par son grand père, même si tu avais des chances d'être en danger tu avais bien trop envie de le protéger lui. « Tu sais, je ne changerais absolument rien. Parce que je ne me suis jamais sentie aussi proche de toi avant ça. » Souriant contre ses lèvres, tu glissais ta main sur sa joue en lui rendant ce nouveau baiser.

Le voir accepter de baisser les armes ce soir, essayant de toucher le bonheur du bout des doigts, tu souriais grandement comme une petite fille. « Je vais faire de mon mieux, chéri. Depuis la mort d'Eliott c'est compliqué. » Confiais tu, tu n'avais jamais vraiment parlé de ça avec Leo, parce que tu savais qu'il devrait t'écouter et t'aider et ça l'impliquerait que d'avantage émotionnellement. Ce soir, vous décidiez de vous comporter normalement, passer une soirée normal c'était comme une rendez vous finalement, votre premier rendez vous. Tu souriais à cette pensée alors que vos gestes étaient naturelle, vous vous comportiez comme un couple et tu tachais de profiter de chaque instant avant que la réalité ne vous rattrape une fois de plus. Tu avais finalement choisi de t'occuper de lui, allant chercher deux cocas. Tu n'avais pas envie d'alcool, tu attrapais deux verres et vous servait le coca. Tu lui apportais avant de lui sourire, lui volant un baiser au passage. « Je suis la première que tu as embrassée ici et je compte bien être la dernière avec qui tu feras l'amour » Tu lui fais un clin d'oeil et retourne vers le plan de travail pour lui préparer quelques chose à dîner avec le peu de chose qu'il à dans le frigo. « J'espère que tu aimes les crêpes parce que ton frigo me laisse peu de choix. » Tu te mettais à chercher de quoi faire des crêpes dans les placard.


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   Siloë & Leonidas

   On the other side of the mirror

   

   En effet, il ignorait à quel point cette femme était masochiste et dans le fond, il préférait ne pas le savoir car connaitre cette limite signifierait qu’il l’aurait dépassé et serait donc arrivé au point de non-retour avec sa blonde. Cela ne devrait pourtant pas l’effrayer mais c’était le cas et qu’il le veuille ou non, au fond de lui, Leonidas Vasilis refusait de tirer un trait définitif sur Siloë, qu’elle soit une Perol ou une Woodstock voire les deux en même temps. Ce soir était spécial et il le reconnaissait bien volontiers malgré le brouillard qui entourait son esprit et l’empêchait de penser aux conséquences de ses actes. Peut-être était-ce cela son problème : toujours en train d’analyser ses actes, à peser la moindre de ses paroles pour éviter les scandales, pour éviter de décevoir son grand-père. Là, il n’arrivait plus à brancher le filtre et s’exprimait comme le commun des mortels. Une chose qu’elle semblait apprécier. « Interdiction de me shooter aux antidouleurs pour me rendre aussi docile qu’un petit agneau » rétorqua-t-il alors qu’elle lui caressait une nouvelle fois la joue et l’embrassait. C’était une erreur, une folie même aurait-il songé en temps normal. Siloë ne gagnerait rien à être proche de lui et certainement beaucoup de monde s’empresserait de le lui signaler.

« Il te manque n’est-ce pas ? J’ai vu que tu faisais des conneries qui ne te ressemblaient pas. J’avais beau ne rien dire, je le voyais… Une raison de plus pour laquelle je préférais me tenir éloigné de toi » avoua-t-il. Leonidas n’interférait jamais dans la vie d’autrui, il partait du principe : chacun sa merde. Pourtant, cela ne l’avait pas empêché d’être un spectateur attentif auprès de Siloë, déclenchant des disputes quand il sentait qu’elle manquait de combativité ou alors en se faisant plus malléable quand il sentait qu’elle approchait du point de rupture. En somme, il avait à sa manière, veillé sur elle mais pour quel résultat ? Il lui avait certainement fait plus de mal que de bien. La demoiselle le quitta pour aller leur servir deux verres de coca et lui, s’installa un peu mieux dans le coin du canapé. « Il te manque plus que la tenue de soubrette pour me faire plaisir » s’amusa-t-il à dire tandis qu’elle s’affairait dans la cuisine. « La dernière ? Deux possibilités : je ne ramène personne d’autre et couche en dehors de cet appartement ou tu as intérêt à passer fréquemment ici pour que j’ai ma dose de sexe » lâcha-t-il sur un ton trainant alors qu’elle lui tendait son coca et lui volait un baiser. « Je pense que j’ai ça… j’ai pas eu le temps de faire les courses depuis l’emménagement et le rappel à l’ordre du papy taré » s’excusa-t-il à sa façon en se redressant, tanguant légèrement à cause d’un vertige pour mieux se diriger vers un siège près du plan de travail. « Tu as besoin d’un coup de main ? » demande-t-il tout en lui indiquant où se trouvait la farine et le reste des ustensiles dont elle aurait besoin.

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Tu ne savais pas dans quoi tu t'engageais avec Leonidas, tu prenais sans doute le plus gros risque de ta vie mais ça en vallait la peine d'après toi. Il aurait été difficile de faire autrement parce que tu te sentais vraiment bien, vous aviez une vrai discussion, vous passiez un bon moment. Même si lorsque tu avais quitté votre appartement trois semaines plus tôt, tu avais décidé de tirer un trait sur lui, tu n'avais pas pu t'y résoudre. Tu avais alors choisi de suivre les conseils d'Ael, attendre que la bête se calme. Toute cette dispute n'avait été basé que sur des conneries, des mots dit dans un seul et unique but atteindre l'autre en plein cœur. A présent, tout c'était calmé et tu riais à sa remarque. « Dommage, j'aime assez ce côté de ta personnalité, tu ne devrais pas autant l'enfouir en toi. » Tu échangeais un sourire complice avec lui, que c'était plaisant de pouvoir parlé sans craindre qu'il ne se ferme comme une huitre.

« Il n'y pas un jour sans que je ne pense à lui. Si j'ai autant cherché à me détruire c'est parce que je me sens responsable de sa mort. » Tu levais les yeux vers lui. « Je me trouvais à l'endroit ou la bombe à exploser, seulement par un réflexe humains lorsque l'on a entendu le plafond s’effondré, Eliott m'a jeté au sol et.. il est mort à ma place. Il était mon frère jumeau, la meilleure partie de moi, il était le modèle, le préféré de mes parents. Il avait tellement à construire, par ma faute, il ne trouvera jamais l'amour, il n'aura jamais d'avenir alors j'ai voulu me punir en me l'interdisant. » C'est la première fois que tu parlais de ton frère ainsi, mais il avait été honnête en te parlant de sa famille il était venu le temps pour toi d'en faire de même. Tu avais les larmes aux yeux mais tu baissais la tête pour cacher cette douleur qui ne partirait jamais. Te mettant au travail pour préparer des crêpes, tu lui souriais lorsqu'il te rejoignait. « Si j'ai le choix, je choisi celle ou je viens toute les nuits faire l'amour avec toi. » L'informais tu toujours active, alors qu'il voulait t'aider. L'idée de faire ça ensemble te plaisait alors tu hochais la tête et tu venais mettre le récipient devant lui prenant sa main valide et commençant à mélanger ensemble. Pendant ce temps, tu venais glisser des baisers dans sa nuque, caressant son oreille de tes lèvres. La cuisine à deux ça pouvait vraiment être agréable.


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    « C’est plus simple d’être l’homme que je suis en restant un connard égoïste et froid pour les autres. Au moins, on évite de m’emmerder car on sait que le retour du bâton sera d’autant plus méchant » hausse-t-il les épaules. Leonidas ne cherchait jamais les emmerdes mais ces derniers le trouvaient quoiqu’il arrive. En même temps, il ne prenait jamais de gants pour dire à quelqu’un quand il en avait rien à foutre de sa vie ou plus simplement : quand il se fichait bien qu’une femme soit déjà prise pour coucher avec. Dans le fond, il s’était fait une carapace pour se protéger, pour convenir au diktat de son grand-père. Par le passé, le grec avait toujours été un enfant hyperactif, turbulant et joueur mais à présent, il n’en restait rien. Joueur, il l’était encore un peu mais il avait canalisé son énergie au maximum. En parlant de carapace, Siloë avait fait la même chose après la mort de son frère jumeau car il l’avait connu beaucoup plus rayonnante. « Tu n’es pas responsable de la mort de ton frère… Aucun de vous n’était censé mourir ce jour-là. Les principaux fautifs sont les terroristes qui ont posé ces bombes » tenta-t-il de lui ôter cette culpabilité. « C’est parce que tu voulais souffrir que tu t’es entichée de moi ? Parce que tu savais que je ferais de ta vie un enfer et que tu méritais que ça ? » demande-t-il avec presque de la douceur dans la voix tant il sentait que le sujet de son frère était sensible. En temps normal, il aurait balayé tout cela d’un revers de la main mais là, il n’était justement pas dans un état normal. Leonidas était heureux au fond de lui qu’elle n’ait pas été blessé et c’était bien la première fois qu’il prenait conscience de ce fait. Sans le sacrifice d’Eliot, il n’y aurait plus de Siloë. « Quand Parker est mort, j’en voulais à la terre entière… Cet homme était un ange ! Quand je vois tous les connards qui passent au travers de la maladie et que lui, était condamné dès sa naissance, ça m’énerve » avoua-t-il en parlant avec elle, pour la première fois de son ombre, celui qui l’avait toujours suivi et aimé. Parker avait été atteint de mucoviscidose et Leonidas l’avait assisté jusqu’à son dernier souffle. « J’aurais tout donné pour prendre sa place mais c’était impossible. La seule chose que tu puisses faire c’est de vivre trésor et faire en sorte que ton frère ne soit pas mort en vain » dit-il en s’approchant du plan de travail d’un pas hésitant car sa tête lui tournait quelque peu.

L’ambiance redevint assez légère et Leonidas leva les yeux au plafond. « Je ne sais pas pourquoi, je me doutais que tu allais me répondre ça » s’amusa-t-il à répondre avant qu’elle ne vienne lui mettre le récipient entre les mains. « Trésor, si tu continues comme ça, je crains fort que les crêpes attendent avant d’être prête » se moqua-t-il en la faisant passer devant lui pour l’adosser à son torse. « Sois sage car moi je ne le serais jamais » murmura-t-il à son oreille tandis que son bras plâtré s’enroulait autour de sa taille.


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« Les autres je peux comprendre, mais avec moi ? Juste avec moi, sans me repoussé continuellement. » Tu ne demandais pas qu'il change, ça non parce qu'il semblait important de te souvenir que tu étais tombé amoureuse de lui tel qu'il était, bien sûr ça te soulageait de savoir que l'homme que tu avais imaginé derrière la carapace existait bel et bien. Pourtant, tu aimais ce rapport de force entre vous, tu aimais cette manière de vous dominez l'un l'autre. Finalement, tu ne voulais rien changé juste qu'il soit plus démonstratif dans le sens positif et non dans le négatif en te repoussant et te blessant. Si lui avait pu brisé ta carapace tu devais être capable d'en faire de même pour lui. Tu étais surprise de le voir te déculpabiliser, de le voir essayé de te soulager de cette douleur que tu avais en toi.« Je sais que tu as raison que cette bombe n'aurait jamais dû se trouver là, mais c'était moi qui aurait du mourir ce jour là et j'arrive pas à m'enlever ça de la tête. Il était mon univers, mon centre de gravité. » Puis tu le voyais te poser une question qui devait lui trotter dans l'esprit. Il était doux dans sa voix comme si il voyait ta souffrance. « Pour tout te dire, je crois que je me suis entiché de toi lorsque nous étions des enfants. Seulement, quand j'ai découvert ton changement de comportement et que l'on est devenue plus proche j'ai pensé que tu serais le meilleur moyen pour moi de souffir. Après tout tomber sous le charme d'un homme qui refuse tout attachement ça ne pouvait mener qu'à une fin douloureuse. » Tu haussais les épaules avec fatalité comme une fois encore tu semblais persuader que lorsque vous vous réveillerez de ce moment agréable les choses reprendraient leur cour normal. « Tu semblais vivre dans les enfers, j'ai simplement eu envie d'y vivre avec toi. » Une larme coula sur ta joue face à tant d'honnêteté venant de ta part, exposer sa souffrance ça n'avait jamais été ta spécialité parce que tu te sentais tellement fragile, loin de la femme forte et indépendante que tu avais réussi à être. Puis l'évocation de Parker te fit comprendre que vous veniez de passer un cap important ce soir. Il n'y avait plus de secret, plus de part d'ombre. « Je sais qu'il voudrait que je sois heureuse et que je profite de ce cadeau qu'il m'a fait en me laissant vivre mais je me sens tellement seule sans lui. Si je suis là devant toi, c'est parce qu'il y a eu toi. » Murmuras tu sur la fin de ta phrase, il t'avait sauver sans même sans apercevoir de nombreuses fois te redonnant goût à la vie.

Tu souriais amusé alors qu'il était évident que tu souhaitais resté la seule femme avec cet homme allait couché. Chaque fois que vos corps avaient valser ensemble ça n'avait été que plus intense et plus fort. Tu terminais la préparation en mélangeant avec lui alors que tu venais l'embêter, lui titillant l'oreille sensuellement. « Tu sais que lorsque je te vois moi aussi j'ai juste envie de te croquer. » Soufflas tu à son oreille avant qu'il ne t'attire contre son torse et que tu glisses tes bras autours de son cou, frôlant ses lèvres des tiennes avec douceur. « Tu devrais savoir que j'ai toujours été une vilaine fille, chéri. » Tu le regardais fixement comme pour le défier, deux bêtes sauvages qui se cherchaient, s'observaient en se demandant lequel dominerait l'autre en premier.


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    « C’est ce que tu aimerais, que je cesse de te repousser ? » demanda-t-il tout en sachant quelle réponse elle allait lui apporter. Le jour de leur dispute, Siloë lui avait dit qu’elle avait souhaité lui faire part de ses sentiments mais il avait préféré se moquer d’elle plutôt que de la laisser s’exprimer, de s’engager sur ce terrain-là. Leonidas n’était pas certain d’être prêt à l’entendre malgré les médicaments. Il n’était pas apte à recevoir une déclaration et encore moins à y répondre seulement, peut-être était-il temps qu’il arrête de se voiler la face et qu’il accepte définitivement qu’elle soit proche de lui. Après tout, durant deux années, il l’avait laissé vivre au quotidien à ses côtés, une intimité qu’il n’avait jamais partagée avec quiconque jusque-là. Quoiqu’il arrive, Leonidas ne pourrait pas changer, il avait beau être plus abordable ce soir, il n’en restait pas moins quelqu’un qui appréciait l’ordre et le contrôle. Il avait besoin de garder ses émotions sous clé pour éviter de sombrer dans la folie car s’il se préservait des autres, c’était également un rempart à son ennemi le plus intime à savoir lui. « Tu n’es pas morte ce jour-là et tu dois vivre avec ça. Tu n’as pas forcé ton frère à se sacrifier, il l’a fait parce qu’il te protégeait. Tu en aurais fait tout autant si les situations avaient été inversées et te torturer avec ça ne le ramènera pas à la vie pour autant. Eliot t’a fait un cadeau alors vis pour lui… Mon père a tendance à dire que les défunts continuent de vivre à travers nos pensées, nos actes » dit-il avant de glisser son index sous son menton pour lui faire tourner le visage vers lui. « La dernière chose que je souhaiterai même à mon pire ennemi, c’est de vivre dans cet enfer avec moi trésor » murmura-t-il en caressant sa joue pour faire fuir cette larme de sa joue. Au final, peut-être que Siloë ferait mieux de se tenir éloigné de lui car tant qu’elle serait à ses côtés, elle resterait dans l’optique de souffrir. Un gentil garçon pourrait lui ouvrir son cœur, lui montrait qu’elle pouvait sourire à nouveau. Lui, qu’est-ce qu’il avait à offrir à une femme ? Sa misogynie ? Son cynisme ? Sa froideur ? Sa vie ne lui appartenait même pas. Ce soir, il allait être égoiste pour profiter de cette bulle de bonheur et demain… Demain était un autre jour songea-t-il alors que la conversation déviait vers quelque chose de plus léger.

« Ah bon ? Je ne m’en étais pas aperçu » s’amusa-t-il à répondre avant de sourire à ses propos. « Tu sais ce que je fais aux vilaines filles ? » murmure-t-il contre ses lèvres avant de la soulever pour l’asseoir sur le plan de travail et se glisser entre ses jambes pour l’embrasser langoureusement. « Les crêpes attendront, j’ai faim d’autre chose » ajoute-t-il alors que ses lèvres se pressaient dans son cou pour le butiner et mordiller cette peau tendre.

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« Ce que j'aimerais vraiment c'est que ça vienne de toi, que tu souhaites me garder dans ta vie. » Tu ne voulais pas lui demander ça parce que tu savais que ça ne marcherait jamais tant que lui ne choisirait pas de te faire une place dans son cœur et dans sa vie. Finalement tu ne pouvais rien faire de plus, tu avais su lui exprimer ce que tu ressentais maintenant c'était à lui de décider mais tôt ou tard il devrait être plus claire envers toi car cette situation ne durerait pas indéfiniment. Si tu voulais te reconstruire et allé de l'avant tu ne pouvais sans doute pas resté ainsi toute ta vie. Tu avais écouté ses paroles et il avait raison seulement toi tu voulais vivre avec Léo dans ta vie, sans ayant perpétuellement peur qu'une autre femme finisse par prendre ta place et que tu le perdes définitivement. Il t'obligea à le regarder et tu obtempérais. « Alors il est temps pour toi d'en sortir parce que moi je ne vais nul part sans toi. » Effectivement, tu avais choisi de le suivre dans cette rue à Negril, tu avais accepter de te jeter dans la gueule du loup et tant qu'il ne changerait pas de chemin tu le suivrais même si tu devais resté silencieuse, discrète comme son ombre. Imaginé continuer d'avancer sans lui alors que vous aviez passé deux ans ensemble c'était pas possible pour toi.

Tu te retrouvais très vite assise sur son plan de travail, lui entre tes jambes et tu venais prolonger ce baiser qu'il te donnait avec passion et avec fougue. Comme pour combler un manque bien trop important, tu avais besoin de ta dose. Quittant ces lèvres alors qu'il parcourait ton cou, tu frémissais, enroulant tes jambes autours de sa taille pour coller vos bassins l'un à l'autre. « Fait moi l'amour. » Soufflas tu basculant la tête en arrière, alors que ta respiration se faisait haletante.


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    « Je suis incapable de t’écarter complétement. J’ai essayé mais j’ai échoué. Je crois que c’est la première fois de ma vie où je suis heureux d’échouer à quelque chose » souffla-t-il avec sincérité. Il avait réellement essayé de la rejeter, de la haïr. Pour ça, il avait réussi, sa colère était toujours présente en lui car quoiqu’il arrive, il était un être rancunier mais Siloë arrivait toujours à ses fins auprès de lui, à croire qu’il n’était pas capable de lui en vouloir très longtemps. Il se demandait bien comment il allait pouvoir gérer le retour à la réalité, le fait d’être à nouveau pleinement en capacité de réfléchir, de redevenir cet être froid et distant. Il avait encore quelques heures devant lui pour prendre une décision, pour cesser de se prendre la tête même s’il avait conscience dans son brouillard que Siloë ne supporterait pas longtemps tous les rejets qu’il lui opposait. « Si seulement c’était aussi facile que cela… Quand tu pactises avec le diable, il ne faut pas se voiler la face, c’est rare quand tu arrives à récupérer le contrat » soupire-t-il. Le voulait-il ? En quelque sorte. En fait, il ne savait pas. Il luttait contre son grand-père dans l’ombre, œuvrant pour lui prendre tout ce dont il était le plus fier, le plus attaché : son argent, sa réputation, son empire. Leonidas n’avait que cet objectif en tête et pour cela, il devait rester le monstre tapi dans l’ombre et ne pas dévier de sa route.

A cet instant précis, il avait plus l’air d’un prédateur cherchant à fondre sur sa proie plutôt qu’à un monstre sans scrupule. « Tout ce que tu voudras trésor » murmura-t-il contre sa peau avant de la débarrasser de son haut pour avoir un plein accès à sa poitrine encore recouverte de sa pièce de dentelle.

AVENGEDINCHAINS
   
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