I got you babe [Hippolyte]

I got you babe

Hippolyte & Liam

Ce boulot paye bien, mais putain que les nuits peuvent être longues. Voilà à quoi j'en étais réduit pour payer mes frais de scolarité. J'étais devenu le chiens de garde de la boite de nuit où ce réunis toutes les nuits la jeunesse doré de Boston. Et quand il y a de l'argent dans l'air vous pouvez être sûr que les Eliot ne sont pas loin. Heureusement pour moi, le peu de ces richards que je connais ne traine pas dans cette boite, je suis donc tranquille la plupart du temps. N'empêche que c'est très frustrant pour moi de voir tout ce beau monde boire juste devant moi. En général je préfère rester devant l'entrée, je peux enchainer les cigarette et mettre des écouteurs ni vu ni connu, manque de chance ce soir j'étais de service à l'intérieur. J'erre donc entre la marée humaine et veille au grain. Heureusement pour moi je ne fais pas un service complet ce soir. La libération viens finalement lorsque qu'un collègue viens m'annoncer qu'il me remplace. Je prend alors la direction des vestiaires, je me changes et je retraverse la boite en direction de la sortie. Manque de chance sur le chemin dans un coin relativement éloigné, je peux apercevoir une fille en prise avec ce que l'on qualifie dans le métier de "gros lourd bourré". A première vu, cette femme semble insulté copieusement le bonhomme et d'avoir la situation bien en main. Cependant je me sens d'humeur à faire du zèle. Je m'approche donc de l'homme et lui fait signe de sortir de la boite. Le pauvre bougre tente maladroitement de me bousculer. Erreur fatal. Je le saisit par les épaules et lui assène un coup de tête droit dans le nez l'envoyant directement à terre. " Ca va ? Il ta pas trop emmerdé ?" dis-je en regardant l'inconnue.

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Les soirées en boîte de nuit, ça va un temps. Ça allait un temps surtout, il y avait bien longtemps que je n'avais plus mit les pieds au Royale.. D'ailleurs, la dernière fois remonte à l'année dernière quand j'avais fait la fameuse connaissance de Dante. L'italien et ami de Kyla au passage, celle que je voulais à tout prix voir tomber. Ah, la bonne époque, si on pouvait appeler ça comme ça, évidemment. Agathe était en train de m'appeler, impossible d'entendre ce qu'elle avait à me dire dans le bruit et l'agitation de quelques bourgeois complexés. Je prenais mes affaires, finissant mon verre d'une traite et saluant les personnes avec qui j'étais accompagné. La soirée était terminé pour moi, j'avais déjà mal à la tête et je n'étais pas des plus sociable.. Alors, un endroit bourré de monde qui se piétine ? Non merci. - Allô ?.. Allô ?! Réseau difficile à capter, je regarde mon portable en enfilant mon manteau quand l'écran est simplement noir. Je soupire, agacé, plus de batterie. Super. Comment j'allais pouvoir appeler mon chauffeur ?! Bordel. Sur les nerfs, un mec s'approche de moi en titubant, les yeux rouges sangs. Je le dévisage un instant alors qu'il tente sans relâche d'aligner deux mots. - Tu peux dégager d'ici ? Merci. Il refuse visiblement, s'approche un peu plus et je recule, prête à lui sauter à la gorge mais voilà qu'un autre protagoniste s'emmêle. Un coup de tête, du sang qui gicle, je sentais que la nuit allait être longue. Très longue. Le grand blond se retourne vers moi, je fronce les sourcils en grimaçant légèrement. - Qu'est ce que tu veux ? Un billet ? Me mettre dans ton lit en utilisant la technique infaillible du super héros en carton ? Allez, dit moi qu'est ce que tu veux réellement. On sait toi comme moi, que ça n'est pas juste un élan de bonne volonté.. - Je sais me débrouiller seule au passage.. Ou pas. J'avais juste une fierté hors norme, ce besoin de ne jamais avoir besoin de personne.

(Invité)

I got you babe

Hippolyte & Liam

Si moi j'aime la violence ? Bon ok je plaide coupable. C'est vrais que j'ai toujours eu ce petit côté bagarreur. Je n'ai jamais eu la moindre hésitation pour rentrer dans le lard de quelqu'un. En même temps faut dire que c'est super agréable comme défouloir. Et là faut dire que je suis pas peu fier. Démolir quelqu'un qui le mérite c'est encore plus gratifiant. Peut être j'en n'avais trop fait avec ce gus, mais d'un autre côté cette nuit avait été plutôt calme et il fallait que je me défoule. Ce mec avait jouer de malchance. Et là c'est le moment ou la demoiselle me remercie géné et prend es jambes à son coup devant tant de violence. En tout cas c'est ce que je croyais avant de me faire copieusement insulter par cette petite blonde. Je la dévisage. C'est vrais qu'elle est carrément canon, mais la beauté n'excuse pas tout. "Patience" n'étant pas mon deuxième prénom, je ne met guère longtemps à lui répondre. " Non mais je t'emmerde moi connasse ! Ca t'es jamais venu à l'esprit qu'un mec puisse vouloir simplement t'aider sans rien attendre en retour, à par peut être une bière. Y a bien assez de pouffe ici pour que je ne sois pas tenter par le piège à loup qui te sert d'entre jambe putain" Ups, je crois que c'est stipuler dans mon contrat que je n'ai pas vraiment le droit d'insulter de la sorte les jolies filles. De toute façon je suis plus en service.

@N. Hippolyte Dunford

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Je crois que je venais de comprendre mon aversion d'autrefois pour les soirées en boîte de nuit. Les gros lourd en premier lieu, et en deuxième place ce genre de pauvre mec qui se la joue grand costaud à cogner sur tout ce qui bouge pour se faire un temps soit peu remarquer. Ridicule. J'en rirais presque si monsieur ne montait pas sur ses grands chevaux, déblatérant quelques insultes à mon sujet sans manquer de me dénigrer. J'observe son visage, peu familier mais familier quand même. Je l'avais croisé à l'entrée et j'en venais à la conclusion qu'il était videur ici. Ils embauchent vraiment n'importe qui.. J'étouffe un rire, baissant la tête légèrement avant de faire un pas en avant, de m'approcher de lui. Un signe d'affront ? Un combat que je venais de déclarer subtilement ? Sûrement. - Que je t'explique.. Je faisais claquer ma langue contre mon palet. Levant les yeux vers lui, ma main se posant sur son épaule faisant mine de le dépoussiérer. - Premièrement, je trouve qu'un homme qui parle comme ça c'est vraiment laid.. C'est quoi ton problème ? Tu ne sais pas te défendre autrement qu'avec ta vulgarité et tes poings ? C'est pathétique. Petit et pathétique. - Deuxièmement, tu n'es pas aussi bête pour penser que je n'ai pas la possibilité de te faire virer d'ici j'espère ? Croit moi, je le ferais sans aucun scrupule si tu t'amuse encore à me parler de la sorte. Je m'approche encore un peu, assez pour venir murmurer à son oreille. - Pour finir.. Je suis certaine que tu adorerais finir entre les griffes de ce "piège à loup".. Que je susurre lentement, décortiquant mes derniers mots en reprenant les siens en ce qui concerne mon entrejambe. - Sache que je suis une louve, et quand je mords.. Ça fait très mal. Je venais mordiller doucement le lobe de son oreille, me reculant finalement pour réinstaller la distance entre nous. Besoin d'air non pollué. -Essaye de ne pas trop fantasmer ce soir.. Pouffais-je avec ironie.

(Invité)

I got you babe

Hippolyte & Liam

Normalement je devrai déjà être dans un petit pub de quartier à jouer au billard en savourant une bonne peinte de Guiness tout en regardant la rediffusion du match de cette nuit et pourtant j'étais encore coincé au Royal. En faite non, je ne suis pas vraiment coincé. J'ai, sans vraiment réfléchir, jouer le jeu d'une parfaite petite garce. Il faut vraiment que je pense à réfléchir avant de m'emporter comme ça. Me voilà donc en prise avec cette petite blonde. Et bien sûr comme à chaque fois avec une femme de ce genre je ne peux jamais avoir le dernier mot. J'entends sa langue claqué et me prépare à subir sa contre attaque. Attend elle est entrain de me dire qu'elle me trouve vulgaire ? C'est l’hôpital qui ce fout de la charité là. Me faire virer ? Elle peux toujours essayer, ça fait bien trois ans que je bosse dans cette boite et c'est pas le boulot qui manque dans ce domaine en ville. Alors que je m’apprête à répliquer cette dernière s'avance vers moi. Elle avait l'intention de me baffer ? Qu'elle ose seulement. Je me laisse faire alors que je peux sentir son souffle dans mon oreille et ses douces paroles ce déversant comme du miel dans mon tympan. Encore une fois j'avais tort sur toute la ligne avec les filles. Mes muscles ce crispent quand je sens ses dents venir me titiler. Mais à quoi elle joue celle là ? M'insulter et me chauffer juste après. Elle était clairement pas net, et étrangement ca me plaisais assez. Si je n'avais Honey je lui aurai clairement fais ca fête. Mais pour l'heure c'était l'heure de la douche froide pour les sales gosses. Cette fois c'est mon tour de m'avancer vers elle. Je plante mes yeux bleu dans les siens. " Intéressant, tu dois hanter les rêves de plus d'un mec dans ton lycée, manque de chance pour toi ici, c'est le monde des adultes. Reviens me voir quand tu seras majeur et la y aura peut être une chance pour que je te fasse prendre ton pied". Je lui envois un petit clin d'oeil.

@N. Hippolyte Dunford

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Alors quoi ? C'était ça ma fin de soirée ? Me fatiguer dans une joute verbale qui n'a aucun sens, avec un inconnu qui a la bouche plus sale que le trottoir d'en face ? Hum, je passe mon tour je crois bien, j'ai passé l'âge avec ce genre d'enfantillage à déterminer qui est le plus fort dans un combat de piques sans fin. Non, je préférais la jouer de manière plus vicieuse, tout en douceur sans qu'il ne puisse le voir venir. J'étais plutôt du genre à faire les yeux doux pour mieux étrangler ensuite. Et je venais de trouver mon nouveau terrain de jeu, ma nouvelle attraction du moment.. Malgré les paroles que je pouvais déblatérer, il avait ce je ne sais quoi d'excitant. De malsain. Ce genre de chose qui me fait vibrer, qui m'attire beaucoup trop. Je le cherche, le titille à peine en caressant le lobe de son oreille de mes dents. Je recule, serre les dents à sa remarque. Il voulait jouer à ça ? Pas de soucis. - Ahah très drôle. Vraiment, t'es un comique toi dit moi. J'en ai presque mal au ventre ! - Je pense surtout que tu n'es pas à la hauteur pour me faire "prendre mon pied" .. Mimant les guillemets de mes doigts. C'est le regard perçant que je venais planter dans le sien. - Je pense aussi que tu n'es qu'un petit joueur, tu parles beaucoup mais en réalité.. Tu ne fait pas grand chose. Je pouffais un rire par dessus mon épaule, le dévisageant de haut en bas. Tel un chien, qui aboie beaucoup trop mais ne mord pas. - Ou un gay peut-être.. Moqueuse, je faisais mine de réfléchir. - Ah ! J'ai trouvé, je suis tombé sur le bon gros puceau qui se vante de quelque chose qu'il ne connait pas. Alors, t'es lequel d'entre eux ?

(Invité)

I got you babe

Hippolyte & Liam

Faut bien le reconnaitre cette fille est un sacré numéro. Typiquement le genre de fille que j'attirais et qui m'attirait avant que je ne rencontre Honey. Mais même si à son contact je changeais, mes vieux démons ont la peau dur. Voir cette fille sexy devant moi comme ça, me provocant, n'aide pas vraiment mes nouvelles résolutions. C'est vraiment pas cool de la part de l'univers de me tenter comme ça. Au contraire ce dernier devrais m'aider. Ses yeux, aussi bleu que les miens me provoquent, me somme d'agir pour faire fermer cette magnifique bouche qui déverse sa haine contre moi. Et puis de la haine elle en a à revendre. J'en prend pour mon grade. D'un certain côté c'est plutôt bon signe ca veut dire que j'ai fais mouche. Et puis une petite voix à l’intérieur de mon crâne me dis de jouer avec ele sans me mouiller pour autant. Je me rapproche un peu plus d'elle et je saisis son menton entre mes doigts, la forcement à garder la tête levé vers moi. Je rapproche mon visage du siens. " Je peux toujours t'envoyer ma copine pour qu'elle t'en parle, elle a toujours su y faire avec les mioches dans ton genre" Honteux mensonge, on peux pas vraiment dire que je sois en couple. Mais en tout cas ca devrait calmer cette tornade blonde.

@N. Hippolyte Dunford

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Feeling feelings I never felt — Joute verbal, regards qui se défie sans relâche, langues aiguisées, une pratique que je manie à la perfection. Alors je le pique sur sa fierté d'homme, là, au coin de cette ruelle parce que je reste une éternelle joueuse et peu importe qui se tient en face de moi. Je ne scille pas, juste un mince sourire arrogant qui vient orner mes lèvres. Je le toise, capturant les traits de son visage dans un coin de ma tête. Je venais de trouver mon nouveau jouet, la facilité ne m'a jamais attiré, j'aime faire languir et qu'on me fasse languir. La victoire n'est que plus belle ! Il tombera, tu tomberas, c'est ce qu'ils font tous à la fin.. Il n'y avait qu'à voir avec Royce, lui qui se disait en couple avec cette adolescente fade, s'est finalement perdu dans mes bras sous son nez. Aucun scrupule, aucune pitié, seul ce que je veux compte. Je prends, je jette, je garde un peu plus longtemps parfois pour que la fin soit plus brutale. Il emprisonne mon menton entre ses doigts, mon regard ripe sur son geste dangereux avant de le relever aussi vite. Sa copine ? Laisse moi rire. - Ahah, si ton truc c'est les gamines alors.. J'hoche à peine la tête, le visage bloqué entre sa main poignante. - Je passe mon tour ! Soufflais-je en ricanant, me dégageant de son emprise d'un coup de main. Je recule pas à pas, lentement dans le quitter des yeux. - Je te laisse détourner des mineurs en paix. Sourire insolent, je continue de reculer avant de lui tourner complètement le dos. Si son truc c'est les enfants, soit, d'autres attendent pour les femmes. Je pars me caler contre un mur, attendant que mon chauffeur ait la présence d'esprit de venir me chercher.

(Invité)

I got you babe

Hippolyte & Liam

Bon je vais pas le cacher. 'aurais rencontrer cette fille juste avant de partir au Spring Break, ca fait bien longtemps que cette petite joute verbal serait fini. On aurait entamer un tout autre genre de lutte. Faut dire pour ma défense que cette blonde est carrément canon. Vu son attitude et son tempérament, plus d'un pauvre mec avait du ce péter les dents sur elle. Une véritable machine à briser des cœurs, et des fiertés personnelle aussi. Encore une fois elle retourna mes paroles contre moi. Mais cette fois ci elle recula. Honnêtement j'aurais put considéré que j'avais gagné à ce moment la. Enfin j'aurai put, si cette petite peste ne c'était pas contenter de ce planter à dix mètres devant moi. Bon après tout je m'en fiche, j'ai 26 ans, je suis un adulte j'ai passer l'âge de ce genre de petit jeu. Alors pourquoi je suis entrain d'avancer droit sur elle ? Maudite sois-tu mentalité puéril qui guide mes geste. Je m'adosse sur le mur à côté d'elle et m'allume une cigarette. " Je vais patienter avec toi le temps que tes parents viennent te chercher. On sais jamais le type de tout ta l'heure pourrait revenir. Quoi que t'es très loin d'avoir besoin d'une quelconque protection, mais ma conscience me force à rester..." Conscience mon cul oui, c'est quelque chose de beaucoup plus pitoyable qui me pousse à rester près de cette fille.

@N. Hippolyte Dunford

(Invité)

Feeling feelings I never felt — Moi qui pensait avoir trouvé un nouveau jouet, un jouet intéressant qui aurait pu me divertir pendant un long moment. Avec qui j'aurais eu droit à la difficulté, avec qui j'aurais pu m'amuser à avoir mal. À ressentir tout et n'importe quoi mais jamais rien de bon, tout qui serait différent de cette relation à la con avec Royce. Cette relation qui me rendait beaucoup trop niaise, beaucoup trop douce, cette relation qui faisait ressortir mes faiblesses et les dernières traces de ce qu'il peut bien y avoir de bon chez moi. Stop. J'en voulais plus, et surtout j'en voulais encore moins depuis que j'avais apprit ce malheureux baiser entre lui et Carter. S'il vous plaît.. On ne passe pas du caviar au thon, on ne mélange pas classe et médiocrité. Non merci, je te le laisse petite Carter, amuse toi bien jusqu'à ce que ma vengeance ne tombe une fois de plus ! Alors, je préférais tourner les talons lorsqu'il mentionne une possible petit ami, et même si j'adorais jouer quand la partie incluait trois personnes.. Là, je préférais largement passer mon tour. Pas le temps, pas l'énergie non plus, et surtout la queue était longue devant la porte pour me trouver rapidement une nouvelle proie. Un nouveau centre d'intérêt, même si celui-ci était particulièrement.. Indécent, intéressant. Tant pis, je le laissais aux adolescentes boutonneuses si cela lui convient. Je m'adosse contre ce mur, regardant avant pitié cet écran toujours aussi noir charbon. Je soupire avant de lever la tête vers le protagoniste dont je ne connait d'ailleurs toujours pas le nom. Faux sourire aux lèvres, je bat des cils frénétiquement en me redressant. - Ou alors tu peux tout autant avouer que tu as déjà du mal à te passer de moi. J'arquais un sourcil, croisant les bras sur ma poitrine tout en regardant mes ongles. - Ou alors simplement que ta petite jeunette ne te suffit pas.. Le regard sournois qui vient capturer le sien, un fin sourire au coin des lèvres.

(Invité)

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