Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySomeday, people just leave { Madi
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


Someday, people just leave { Madi

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ou comment un appel peut foutre en l'air toute une journée ou même toute une vie. J'avais retrouvé le réconfort dans la cocaïne, celle qui m'avait rendu accro depuis un an déjà, mais j'avais besoin de Madisson avant que je ne fasse des conneries. J'avais bien failli manquer de tuer plusieurs personnes en conduisant y compris moi, mais j'avais finalement réussi à arriver indemne devant l'appartement de Madisson dans lequel je n'avais pas mis les pieds depuis plusieurs mois déjà. Je prenais une grande et longue inspiration en essuyant mes larmes de rage et de peine. Les yeux rouges n'avait rien à voir là devant, j'imagine que je planais énormément. Une chance de n'avoir croisé aucune voiture de police sur la route. Surtout vu la manière dont je conduisais. Mon doigt sur la sonnette, je n'avais plus qu'à attendre qu'elle veuille bien m'ouvrir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le SMS d'Austin m'avait vraiment inquiété. Depuis le Spring Break, nous ne nous étions pas plus parlé que cela. J'essayais au mieux de régler le bordel dans ma vie et.. Disons que j'émettais de fort doute sur le fait qu'il est une copine. Ou du moins, une fille régulièrement dans son lit. Jalouse ? Forcément, mais je me taisais car je n'avais vraiment pas envie de me disputer avec lui. De toute manière, le bal approchait et n'ayant eu aucune invitation, j'allais accepter de garder les enfants d'Andrew ce soir-là. Au moins, je m'amuserais aussi et j'en profiterais pour m'entraîner, histoire d'arrêter de me faire battre par eux. La honte quand même. Soit, je relisais le dernier message de mon meilleur ami et j'avais de quoi être inquiète : il ne voulait même pas manger. Autant dire que la situation devait être très grave. J'espérais juste qu'il allait officialiser son couple et basta, je lui dirais « du moment que tu es heureux » et on irait manger un McDo. Mais.. Si c'était une fille, il n'aurait pas ce ton si maussade, je suppose. La sonnerie de mon appartement retentit et je fronçais les sourcils. Je lui avais dit que c'était ouvert.. Ou bien étais-ce quelqu'un d'autre ? Me levant du canapé, je posais tous mes classeurs afin de rejoindre ma porte d'entrée. L'ouvrant, je souriais légèrement en voyant que c'était bel et bien mon mouton. « La porte est ouverte tu sa.. » commençais-je avant de tomber dans son regard. Rouge. Brisé. Drogué. En un instant, j'étais totalement dévastée. Je ne l'avais jamais vu dans un tel état. Je répète bien, JA-MAIS. Et forcément, je pensais à une personne. Une seule à qui, s'il arrivait quelque chose, il serait dans un tel état. Sauf que je voulais prendre d'abord soin de lui, les mots viendraient après. Doucement, je le tirais dans mon appartement, prenant soin de claquer la porte avant de l'amener sur le canapé. Toujours dans une douceur infini, je le poussais pour qu'il s'allonge avant de venir contre lui, enfouissant ma tête dans sa nuque pour ne pas le regarder. Je n'avais pas envie qu'il se retienne s'il comptait pleurer. Je voulais juste être à ses côtés, contre lui et lui montrer que j'étais à cent pour cent avec lui.. quoiqu'il s'est passé. « Je suis là.. » murmurais-je tendrement en le serrant contre moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Voir Madisson me faisait un bien fou. Je savais que si j'avais un gros pépin ou que si j'allais mal, je pourrais compter entièrement sur elle et c'était réciproque. Je ne savais même pas comment j'avais réussi à arriver jusque là. J'étais encore sous le choc, dans un état second, les jambes chancelante ayant l'impression que son canapé se trouvait à des kilomètres de l'entrée. Je n'avais pas pris le temps d'enfiler une veste ou quoi que ce soit, une allure légèrement de clocharde on pouvait le dire. Je m'allongeais doucement à côté d'elle. En temps normal je n'arrivais déjà pas à dormir, mais alors là, j'étais parti pour être sous somnifères durant des mois entier. J'étais du genre à être l'homme fort, le bon portugais par excellence qui ne pleure pas, mais là les larmes coulaient toutes et je crois bien que je n'avais jamais pleuré comme ça dans les bras de ma meilleure amie. Je n'arrivais pas à m'arrêter, aucun mot n'arrivait à sortir de ma gorge. J'avais juste envie de me réveiller, qu'on me dise que ce n'est qu'un cauchemar. Que tout va bien..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le voir dans un tel état me détruisait complètement. Au fond de moi, je savais pourquoi il était ainsi, mais je ne préférais pas y penser. Je n'avais pas envie que tout cela soit vrai, sûrement comme lui. L'amenant sur le canapé, j'avais trouvé cela plus logique qu'il s'allonge pour éviter qu'il ne me tombe dans les bras. Avec ma force de fourmi, je ne serais pas allée bien loin. J'avais envie de lui dire tellement de choses pour le rassurer, mais j'avais peur du mot de trop, de lui faire encore plus de mal que ce qu'il ressentait déjà. Un homme brisé, voilà ce que j'avais contre moi et j'étais sonnée de le voir ainsi. L'entendre pleurer dans mes bras.. était juste horrible. Il n'avait jamais pleuré devant moi. JA-MAIS. Peut-être une fois ou deux les yeux brillants, prêt à craquer, mais sa fierté avait raison de lui à chaque fois. Cette connasse. Je tentais de le calmer, essayant de faire battre mon cœur plus doucement pour l'apaiser. Il semblait tellement anéanti que je ne savais même pas comment il pourrait se relever. Mon téléphone se mit tout à coup à sonner. La sonnerie de mes parents. Je soupirais doucement. Non, pas maintenant. Rien. Je voulais juste être là pour lui, le reste du monde et ses paroles attendront. « Je reste avec toi, Austin, je ne te lâche pas » soufflais-je avec tendresse contre lui en le serrant un peu plus encore - toujours ma force de fourmi. J'aimerais tant lui dire que ça va aller mais.. Est-ce que ça ne serait pas lui mentir que de raconter cela ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne sais pas pendant combien de temps j'avais pleuré, mais ça faisait du bien même si ce ne serait probablement pas ma dernière crise de larme. Une heure, voilà le temps qui c'était écoulé. Une heure à parler sans rien dire, contre Madisson. Mon corps avait eu raison de moi, je n'avais plus rien à pleurer pour le moment. Je sanglotais juste. Elle ne savait pas qu'elle était la raison de mes pleurs, mais elle était resté là du début, jusqu'à la fin. Malgré ses appels ou autre, elle était resté près de moi. De toute façon elle ne tarderait pas à le savoir que ça soit par ses parents ou par moi. Je me redressais tout doucement afin de plonger mes yeux verts émeraudes encore tout humides, dans ceux de Madisson. « Ma mère est morte Madisson » Disais-je encore la voix toute enrouée. Oui, j'avais encore du mal à y croire. Elle était si jeune, elle avait encore plein de choses à vivre, mais en trois jours une simple bactérie avait eu raison d'elle et je continuais à me dire que la vie était injuste.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Écouter l'homme que l'on aime pleurer sans réussir à s'arrêter était bien la pire chose au monde. J'espérais que ce soit la première et dernière fois que je le verrais si triste. Pas qu'un homme ne doit pas craquer quand c'est ainsi, mais simplement parce que ça me dévastait totalement. Lui que je voyais si souriant, à faire toutes les conneries du monde et là.. Le silence était baigné de ses larmes et j'aimerais tant pouvoir tout faire cesser. Qu'il me raconte une blague pourrie ou même qu'il me lance un pique sur ma vie amoureuse catastrophique.. Quelque chose de moins triste. Durant une heure, je ne cessais d'être collée à lui, caressant doucement ses beaux cheveux – bien que plus courts qu'avant, mais toujours si attractif – à ne pas prononcer un mot – et lui seul sait à quel point c'est dur pour moi de me taire autant de temps. Je n'avais pas eu les yeux fixés sur une horloge à espérer voir le temps passé plus vite. J'étais si concentrée sur lui que cela aurait pu durer encore deux ou trois heures de plus que je n'en aurais eu rien à faire. L'eau manquant, je le sentais juste sangloter et trembler contre moi. Puis vint le moment le plus compliqué : croiser son regard détruit et affronter ses paroles tranchantes. Je me mordais violemment l'intérieur de la joue, refoulant au maximum mes larmes. Si je commençais à pleurer, nous étions bons pour repartir pendant une heure à déverser tout ce que j'avais en stock. « Je m'en doutais.. » soufflais-je, la voix peu sûre. Il n'y avait qu'elle qui aurait pu le rendre si attristé. C'est.. C'était une femme incroyable. Elle a élevé toute seule une tête brûlée au sang chaud qui ne l'a pas ménagé un seul instant durant son adolescence. La complicité qu'ils avaient – bien que très discrète à cause de la fierté portugaise – m'avait toujours fasciné. Ce n'était pas aussi démonstratif qu'entre mes parents et moi, mais il l'aimait. Et il l'aimera de tout son cœur, pour toujours. « Je.. je ne sais pas trop comment réagir.. » balbutiais-je, les larmes aux yeux. Comment est-ce que l'on doit faire quand une personne aussi proche de nous décède ? Comment est-ce que l'on fait pour que le fils de cette magnifique femme disparu pourrait aller mieux ? Je me sentais désemparée. Je ne savais pas comment réagir dans une telle situation. Je n'étais pas prête à ça, mais.. Je savais que je ferais tout ce qu'Austin souhaiterait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Madisson aussi adorait ma mère et cela devait être dure pour elle de ne pas fondre en larme devant moi afin que je ne m'écroule pas. Je me détestais de ne pas lui avoir rendue visite plus souvent, de n'avoir pas été plus souvent là pour elle. S'il y a bien une seule et unique pour laquelle j'aurais été autant dévasté, c'est bien ma mère. J'aurais réagi de la même manière si j'avais perdu Madisson. Se sont les deux femmes de ma vie. « Je n'ai même pas été le fils exemplaire...J'aurais dû aller l'a voir plus souvent » Elle avait été la seule personne présente pour moi dès mon plus jeune âge puisque je n'avais pas de père et maintenant, je n'avais même plus de mère. La vie ça craint vraiment parfois. « Tu...Tu m'accompagneras à Cleveland pour l'enterrement ? » Je n'étais pas sûr d'y arriver tout seul . Je savais qu'elle était bien entourée et que ça famille prendrait en charge toute la paperasse administrative et l'organisation. J'avais juste à faire le déplacement. « Merci d'être là.. » J'avais été le pire des connards avec elle et elle me supportait encore. En même temps, j'avais beau être bien entouré, je finissais toujours pas retourner vers Madisson, car c'était mon pilier.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Essayer de me rendre compte que je ne verrais plus jamais sa mère me tuait de l'intérieur. C'était une femme force, accomplie et si incroyable. Elle avait pris soin d'Austin toute sa vie, sans personne d'autre. Après ma mère, c'était la femme que j’idolâtrais le plus. Elle ressemblait à la femme que j'aimerais être plus tard : courageuse, souriante et dévouée corps et âme à son enfant. Le mérité qu'elle avait à avoir élever mon meilleur ami aurait en récompense largement plus qu'une médaille de n'importe quel titre. Une femme comme elle m'avait toujours fasciné par sa présence, sa façon douce et rassurante de parler, pesant le pour et le contre lorsque son fils faisait une bêtise. Je comprenais la détresse d'Austin et je ne pouvais que la partager, me souvenant d'un milliard de souvenirs que j'avais de cette femme merveilleuse. Les paroles de mon ami me fendait le cœur et je n'avais pas envie de le laisser s'effondrer encore plus bas qu'il ne l'était déjà, bien que je ne sache pas réellement quoi faire dans cette situation. « Tu es parfait à ta manière, Austin » souriais-je faiblement en ravalant mes larmes encore. « Même si parfois elle râlait quand tu faisais une nouvelle connerie.. Sans ça, sa vie aurait été trop linéaire » murmurais-je. « C'est elle qui me l'a dit.. Elle avait même rajouté que si j'avais été sa fille, elle se serait bien emmerdée » bougonnais-je un peu. J'avais souvent proposer à mon meilleur ami de venir avec moi à Cleveland pour voir sa mère. Il n'avait pas toujours accepté, mais je me souvenais d'un souvenir et c'était le plus précieux de sa tendre mère. « Tu te souviens, il y a deux étés je crois.. On était retourné par hasard en même temps à Cleveland. On se faisait la gueule – enfin, moi quoi – et tu étais revenu auprès de ta mère pour l'aider à travailler » soufflais-je avec douceur. « ça a été les meilleures vacances de sa vie, avec toi » rajoutais-je. « Elle sait que tu travailles dur pour les cours et que tu as ta vie, elle ne t'en a jamais voulu de ne pas venir plus, bien au contraire.. Elle était heureuse de te voir grandir et évoluer en homme fort » Tout comme moi, mais ce n'était pas le moment d'en parler. Sa demande me faisait mal au cœur. « Bien sûr, la question ne se pose même pas » promis-je avec délicatesse en restant collée à lui. Je n'allais sûrement pas le laisser y aller seule. Sa maman avait été comme une deuxième mère pour moi, ce serait impardonnable pour moi de ne pas m'y rendre. Son remerciement me fit légèrement sourire. « Tu pourras toujours compter sur moi, tu dois le savoir maintenant » dis-je avec un peu plus de franchise. Doucement, je mettais mon avant bras contre le sien pour former notre tatouage. Si aucun de nous n'avait jamais eu le cran d'aller le faire enlever depuis tout ce temps.. Ce n'était pas rien. Nous avancions désormais un peu plus chacun de notre côté, mais on en revenait au même point : on se retrouve, quoique l'on fasse, et l'un reste la moitié de l'autre, peu importe les sentiments qui nous hantent.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tout ce que Madisson était en train de me dévoiler à propos de ma mère, m'était encore inconnu. Au final, j'avais eu beau faire la forte tête à cacher mes sentiments, ma mère aussi. Je savais qu'elle m'aimait, mais elle ne me l'avait jamais avoué de cette manière. Ça me faisait un bien d'apprendre que je ne rendrais pas sa vie monotone au moins. Il est vrai que l'été où j'étais retourné chez elle pouvoir me faire un peu d'argents et l'aider au passage dans son petit café, avait été aussi bien génial pour elle que pour moi. Nous avions pu partager pleins de choses, on avait pu rigoler, je m'étais même confié à elle afin d'avoir quelques conseils de maman, la voix de la sagesse. « Je n'y peux rien si t'es ennuyante » riais-je légèrement en l'a taquinant. Je ne savais pas comment je réussissais à rire même dans un moment pareil, mais j'imagine que je suis fait comme ça et non pour rester triste bien longtemps. Je l'a prenais et venais l'a serrer fort contre moi. C'était MA Madisson, MA meilleure amie et MON tout. Rien ni personne ne me l’enlèvera. Mes yeux se posèrent sur nos bras collés. L'infini, c'est ce que représentait notre relation et bien plus encore.« Mon père sera probablement là apparemment » Je ne l'avais pas vu depuis qu'il est parti de la maison en fait. Je n'avais aucune idée de ce à quoi il ressemblait mise à part les quelques photos des albums que j'avais déchiré ou brûlé, car oui, je déteste mon père. Il venait juste parce qu'il était encore répertorié de la famille puisque c'était mon père et bon, s'il y avait des trucs à récupérer je suis sûr qu'il se ferait plaisir, même si tout revient à l'enfant en premier. Je savais que cet enterrement ne se ferait pas avant le mois prochain histoire de bien tout organiser et de prévenir tout le monde, au moins, ça me laissais le temps de me préparer psychologiquement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Plus je parlais de ce que m'avait confié sa mère, plus je voyais son regard pétillé de curiosité et d'apaisement. Apparemment, je ne lui avais jamais dit ce que sa génitrice m'avait confié depuis des années. Les mots avaient du mal à être dit entre eux, mais les gestes doux et protecteurs qu'ils avaient l'un envers l'autre valait plus que tout au monde. À l'oeil nu, sans les connaître, on ne verrait sûrement pas grand chose, mais à y regarder de plus près, il y avait tellement d'amour dans un simple regard que cela valait tout l'or du monde et bien plus. Pouvoir lui raconter nos confidences semblaient le rendre plus serein un instant. Il en vint même à me taquiner et se moquer de moi. Une victoire pour moi de le voir plus détendu. « Vas-y, puis dis que la vie avec moi est chiante hein » bougonnais-je avec un petit sourire aux lèvres. Je savais que ce n'était pas le cas – ou disons moins maintenant qu'avant – sinon il ne m'aurait pas supporter toutes ses années. Pas qu'il soit quelqu'un qui se lasse facilement, mais si j'étais ennuyante à ce point.. Il m'aurait envoyé chier. Chose faite quand nous étions en couple, mais nous avions autant besoin l'un de l'autre en temps qu'amis. Contre lui, je n'avais plus envie de bouger. C'est dingue mais comme ça.. j'avais l'impression d'être entière. Juste « bien » et besoin de rien d'autre. Mon bras vint contre le sien pour harmoniser notre tatouage fait dans un moment de folie et de flou total mais.. J'étais heureuse de l'avoir fait. Malgré nos différents et nos prises de tête, il restera toujours là, ce filet d'encre. Tout comme Austin restera toujours dans mon cœur. Sa remarque me fit revenir violemment sur Terre. Ouah. Stop. Son père ? Pour de vrai ? Il faut dire que je ne l'ai jamais vu et je ne savais même pas si mon mouton en avait un quelconque souvenir. J'avais vu une ou deux photos un jour, mais.. Je ne le reconnaîtrais pas. « Je serais avec toi » souriais-je avec douceur. « Mes parents pourront intervenir si jamais. Personne ne le laissera essayer de dire des choses fausses ou de faire quoique ce soit que tu ne souhaites pas, ce jour-là » promis-je. Je n'avais pas envie – bien que je le connaisse pas – qu'il joue au trouble fait le jour le plus triste de la vie d'Austin. « Gâcher » l'enterrement de sa maman serait une honte pour cet homme qui n'a jamais été présent dans la vie de son fils, à mon sens..
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)