Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAppel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4) - Page 2
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Appel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4)

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Pas besoin de chuter dans les escaliers assurément.. J'avais eu des démonstrations de tendresse de sa part sans ça. "Mais peut-être que si je tombe j'aurais encore plus justement..." Plus que ce que j'avais eu. Plus que des câlins... Plus que des bisous... Plus qu'une nuit dans ses bras.. Ouais, si ça m'assurait ce plus, je voulais bien me casser la gueule quand elle voulait. Enfin, un peu de sérieux quelques instants pour m'assurer du bon rétablissement de Lucky. J'étais content d'entendre ma meilleure amie me confier sa future sortie très prochaine. Au moins, elles seraient toutes les deux. "J'espère que ça va aller pour elle alors... T'es toujours chez elle ? Ou bien tu es retournée au loft ? " J'avais tenté ensuite les questions sur 'son mec' mais son ton, mon prénom qu'elle soufflait ensuite, et le noeud que je sentais au creux de mon estomac, tout ça me fut renoncer à davantage de questions sur le sujet. L'option de divaguer, de lister tout ce qui nous attendait pour mon hypothétique et lointaine sortie, voilà une discussion tellement plus sympa. Qu'elle suivit un instant, me rappelant le cadeau qu'elle m'avait réservé. "Je rajouterais bien les courses auxquelles tu devais m'emmener mais vu l'endroit où je me trouve on va éviter d'en parler." Pour leur côté illégal, fallait mieux qu'on se taise. Manquerait plus qu'Ash se retrouve enfermée à cause de nos discussions téléphoniques. Parce que à coups sûrs, on nous écoutait. J'étais sûr que mes appels étaient épiés. Ils espéraient beaucoup mettre la main sur un gros revendeur. Enfin la parenthèse de nos plans sur la comète se termina bien vite, trop vite, Ash me questionnant sur ma sortie. Et si la semaine passée j'étais ultra confiant, je l'étais de moins en moins... "Je peux pas te dire... J'en sais rien." Soupirai-je quant à la date de ma libération... Ton désolé, j'eus quand même un petit rire en entendantsa réplique, la mienne d'habitude quand on se disputait. "Ça marche mieux quand c'est ponctué d'un baiser tu sais..." Ho ne pas penser à ses lèvres sur les miennes... ça ne faisait qu'empirer la chose. "Ashleigh t'attire pas d'ennuis pour moi." Lui recommandai-je en ajoutant ensuite : "Je veux te voir... Toi plus que n'importe qui d'autre. Mais t'attires pas d'ennuis s'il te plaît. "
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Il avait vraiment pas besoin de tomber dans les escaliers pour avoir de l'affection de ta part, il le savait, il en voulait juste plus. Tu rigoles donc. Je croyais que tu aimais pas les blouses ? Parce que si tu tombes dans les escaliers, je devrais jouer à l'infirmière et voilà que c'est reparti... Il suffisait d'un rien pour que les taquineries reviennent et surtout pour que l'ambiguité se fasse entendre. Mais fallait pas, tu pouvais pas dire de telles choses, m'enfin ça pouvait être prit sans sous entendus aussi. Juste que tu devrais prendre soin de lui car il sera cabossé. Oui voilà, assez crédible ? Quant à Lucky, elle est pas encore autorisé à sortir. Tu dois encore restée seule chez elle. Punaise que tu t'es jamais aussi sentie seule de ta life. Surtout depuis que t'avais fait la coloc avec Denys et que tu étais à la mather. Toujours du monde fourré dans ta chambre ou toi dans la chambre des autres, mais là... Personne avec qui squatter. Le néant absolu. Toujours chez elle, tu sais le loft sans toi... c'est pas pareil. Sans toi ça me fait encore plus penser à toi justement, mais tu te gardes de le dire ça. La question du petit ami très vite écourté, volontairement, tu préfères bien mieux le sujet qu'il lance de votre futur programme. Savoir qu'il envisage de passer son temps avec toi à sa sortie, comment dire... ça te fait du bien. Alors tu enchaînes sur une activité qu'il a omit. Et il fait de même sur les courses que tu dois l'emmener. C'est vrai, mais j'aimerais tellement que tu y participes. T'avais eut hâte que les beaux jours arrivent pour l'emmener. Ils étaient enfin là ces jours, le soleil, la chaleur. Les courses allaient pouvoir reprendre, sauf que Denys n'était pas disposé à venir. Puis tu lui demandes quand il va sortir. Il le sait pas évidement mais tu aimerais savoir. Ca te paraît interminable, vraiment. C'est comme si les minutes devenaient des heures. Une part de toi lui en voulait, de s'être immiscé de la sorte comme ça, sans demander la permission, sans te laisser le choix... SI ça avait été Ilhan ou Maxime, oui ça aurait été dur aussi mais faut l'avouer, tu te serais juste battu pour les faire sortir, tu n'aurais pas ressenti le un quart de manque que tu ressentais là de le savoir enfermé. Alors ça te saoulait, il te saoulait, d'avoir cet effet sur toi. C'est vrai, attend pour plaisanter et aussi pour essayer de cacher ce trouble qui t'envahissais, à l'idée de tes lèvres sur les siennes, tu imitais le bruit d'un bisous à travers le combiné, comme si tu en déposais un sur ses lèvres ou sa joue. Vint alors une idée loufoque pour pouvoir venir le voir : te faire passer pour une employée de la prison. Son 'je veux te voir toi... plus que n'importe qui d'autres' ne tomba pas dans l'oreille d'une sourde, bien au contraire. C'est vrai ? Moi plus que n'importe qui d'autres ? Oui il venait de le dire et alors ? Tu avais peut être besoin de l'entendre une seconde fois, parce que mine de rien, toute la semaine tu t'étais mise cette possibilité en tête : qu'il t'en veuille pour x raisons, qu'il t'ait oublié, zappé, rayé. Pour n'avoir aucunes nouvelles tu t'étais fait des films. Je vais pas m'attirer d'ennuis, sinon comment je vais faire sans tes appels ? Te retrouver toi aussi au poste de police, en prison ou à l'hôpital, c'était pas la solution, sauf pour n'avoir plus aucun contact avec lui, physique comme 'virtuel'. Mais... Je me suis habituée à ta présence... et pas que. Est ce qu'il le sentait ce manque ? Parce que toi t'avais l'impression qu'on t'avait retiré un poumon, qu'il manquait quelque chose pour que ton organisme fonctionne correctement.
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Je voulais plus… Forcément qu’elle, elle tiltait à l’autre bout du fil en pensant que je faisais référence à du sexe… J’aurais pu lui répliquer –plus encore- mais pourquoi faire ? Ce que je voulais c’était ce type qui l’avait… Enfin dans une espère de mascarade d’après ce que Lucky avait compris en fouillant son portable, mais qu’importe. Il était auprès d’elle, il était à ses côtés, il était officiellement son petit ami… Et moi, je n’étais que son meilleur ami. Constatation qui aurait pu me faire bader un peu plus sauf qu’Ash relançait allusivement la discussion sur une pente ambigu qu’on empruntait trop ces derniers temps et un petit rire m’échappa. « J’aime pas les blouses blanches en effet, d’ailleurs de ça t’étais censée me guérir je te rappelle. » Alors oui, chute dans les marches, Ash en soignante sexy, des câlins et tout ce que je rêvais derrière, pour tout ça, je sautais quand vous voulez… Les news de Lucky étaient bonnes : réveil, sortie imminente. Ash elle, elle était restée chez la brune pendant son hospit, trouvant une étrangeté au loft puisque je n’y étais plus. « T’as vu ça fait bizarre ? Moi aussi j’ai trouvé ça dur pendant ton accident et quand t’es restée chez Lucky… » Moi aussi je trouvais que le loft sans toi, ça n’avait pas la même saveur… Même si j’adorais Kacy aussi, soyons clairs, ce n’était pas pareil. « J’ai un super coloc ici maintenant tu sais. Il a des tatouages partout. » Une tête de killer aussi mais j’allais peut être pas le dire ça, évitons de faire flipper ma BF, je préférais sortir quelques conneries à la Denys pour l’amuser : « Tu crois qu’il a le plan de la prison sur sa peau ? » Trop regardé Prison Break mon coco… J’avais envie de rire, de plaisanter, de pas repenser au sérieux et à la gravité de mon cas. Positivons, parlons de ma sortie, plans sur la comète de ce que nous ferions ensuite… On en vint à évoquer les courses illégales, sans mettre de mot dessus vu que mes appels étaient surement épiés. « On fera tout ce qu’on a prévu Ash… Tout et bien plus encore. Promis. » La question restait juste : quand ? Ca frustrait la demoiselle qui en affirmait que je la saoulais. Ma réplique d’hab. Je fis remarquer que ponctuer la réplique d’un baiser cela marchait mieux, et j’eus ainsi le droit à un smack sonore en direct. Je riais quelques secondes, rire qui s’étouffa bien vite, ma gorge se nouant en constatant combien elle me manquait, combien ça me manquait… J’avouais donc que je voulais la voir, elle plus que n’importe qui d’autre. C’était juste déchirant d’être loin d’elle. Elle reprit mes mots. « Oui… » confirmai-je avec l’envie d’ajouter d’autres mots derrière cet aveu, mais sentant que la discussion allait prendre un tournant peut être trop révélateur, j’optai pour l’option humour en objectant : « En fait non, y’a quelqu’un que j’ai plus envie de voir que toi… » Petit sourire, amusé de la faire marcher, je ne fis pas attendre mon interlocutrice plus de dix secondes avant de lâcher : « Le juge qui m’annonce ma libération. » Voilà la personne que j’avais envie de voir en first one. « T’arrives juste après lui. » rigolai-je. Je reprenais mon sérieux pour lui recommander la prudence. Elle tenait à nos appels. C’était tout ce qui nous restait pour le moment donc… elle m’assurait qu’elle ferait attention. « J’ai pas envie que tu t’habitues à mon absence… » répondis-je ensuite, le cœur serré.  


hj : non mais c'est quoi cet appel plus long qu'un rp Appel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4) - Page 2 1881463262 le manque Denleigh se fait sentir je crois Appel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4) - Page 2 3997999705
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T'avais beau être frustrée, en colère, sur les nerfs, sans trop savoir comment, il arrivait à faire partir tout ça. Et comme si rien n'avait changé, comme s'il ne voulait pas prendre ses distances, comme s'il t'appelait du campus, du loft ou peut n'importe d'où n'étant pas ensemble au même endroit, tu  te laissais mener à vos vieilles habitudes, à vos taquineries et vos sous entendus. Plus fort que toi. Eh bien va falloir tu sortes pour ça pour le guérir de cette 'phobie'. Peut être que ça allait le motiver ? Enfin bon c'était pas lui qui avait sa sortie entre les mains, hélas. Il te questionnait pas mal, sur Lucky, sur où tu logeais. T'étais pas revenue à l'appart, parce que ça te rappelait déjà ton kidnapping et à quoi bon quand lui n'y était plus ? Oui y avait Kacy et Nate, mais ils remplaceraient jamais Denys et votre complicité, ni vos soirées. Je suis désolée avoues-tu pour l'absence que tu avais fait ressentir lors de ton 'accident', de ta disparition. Aujourd'hui, tu comprenais bien ce qu'il avait peut être ressenti. Aujourd'hui, c'est toi qui devait faire face à cette absence, à ces pièces vides, sans trace de Den'. Plus de squattage de chambre, plus de joints ensemble, plus de films à s'endormir avant la fin, plus de bières partagées. Y avait un peu trop de 'plus' à tes yeux. Pour ne pas changer, il rebondit avec humour, sur son nouveau coloc, un tatoué et le voilà qui sort cette référence cinématographique. Tu rigoles. Je sais pas, demande lui, je te vois bien dans le rôle de Sucre plaisantes-tu à ton tour. Le beau portoricain de la série. Bon il lui manquera des couleurs mais étant le compagnon de cellule du tatoué, ça le fait. Puis comme Sucre, Denys c'est le rigolo, le gentil de la bande. Finalement, c'est par des plans de ce que vous allez faire à sa sortie que vous poursuivez. Ce qui te met le sourire. Des projets vous en avez des tas de base. Des tas de voyages prévus, sans compter les activités comme danser dans cette cage, son tour sur un circuit de course etc. Il promet que vous ferez tout ça, et plus encore. Tu fermes les yeux un instant, te reposant à nouveau sur le canapé, comme calmée, apaisée. Je bouge pas de toute façon, je serai là... A ta sortie, pendant, après... Je te lâche pas et ça c'était une promesse aussi. Même s'il essayait de se débarrasser de toi, de prendre ses distances, tu ne le lâcherai pas comme ça. Et la discussion repart sur cette pente, ces sous entendus. Un baiser donné après ses 'Tu me saoules Ashleigh Strauss' alors tu lui en donnais un, virtuel, à travers le combiné, qui lui provoqua un rire. Ca faisait du bien de l'entendre rire, au moins quelques secondes. Puis un aveu, qu'il veut te voir, toi, plus que quelqu'un d'autre. Plus fort que toi, tu lui redemandes, tu veux être sûre d'avoir bien entendu. Il en perd pas une pour te taquiner et blaguer. Si c'est que lui ça me va, je lui laisse la place volontiers, j'aimerais aussi que tu le vois celui là. Tu allais l'attendre ce putain de coup de fil où enfin il t'annoncera que sayé c'est sur la bonne voie, qu'il va pouvoir sortir sous peu. Il allait se faire désirer cet appel, croyez moi. Mais en attendant, il veut que tu fasses attention à toi. C'est pas à lui de t'inquiéter pour toi, qu'il s'occupe de lui surtout. Tu le rassures comme tu peux, surtout par rapport à vos appels, seul lien entre vous actuellement... T'avoues juste que t'es habituée à lui. Pas un jour ne passait sans que vous vous voyez ou parlez par messages. Et là, c'était tout l'opposé. Ce que tu disais indirectement, lui l'avoue ouvertement. Un pincement au coeur, tu souffles, triste, mal. C'est pas près d'arriver... Au contraire, il était encore plus présent que quand il était derrière ces barreaux. Cet éloignement avait le don de le faire apparaître à ton esprit plus que quand tu le savais en dehors de ces murs. Si tu retrouves plus certains hauts à ton retour, c'est peut être parce que je te les ai piqué plaisantes-tu alors pour essayer d'enlever cette atmosphère lourde que tu sentais. Cet appel était bien plus dur que les précédents. Toi me remplace pas pour ton Scofield... Façon détournée de lui dire de ne pas t'oublier, de ne pas changer de coloc, de meilleur ami. Cette place, c'était la tienne, tu comptais pas la laisser à quelqu'un d'autre !

hj : omg c'est ce que je disais à Chérine, je fais des pavés, je suis désoléeeeeeeeeeeeeee Appel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4) - Page 2 3619069448 vous m'inspirez, puis peut être le manque aussi Appel Denys (depuis le centre d'incarcération ) vers Ash (13/4) - Page 2 166564858
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Je répliquais en lui servant la promesse qu'elle m'avait fait au sujet de ma 'phobie' et elle répliqua à son tour qu'il allait falloir que je sorte pour m'en guérir  "Ou pas... Elle est pas mal la toubib de la prison." Lançai-je en repensant à ma visite médicale et à ma rencontre avec Andréa. Je faisais le malin là, mais je l'étais beaucoup moins quand je m'étais retrouvé face au médecin. Une pote de Priape. Forcément j'avais balisé. Mais depuis j'avais eu Pri au téléphone et il semblait ne pas être au courant de ma situation alors me voilà rassuré... On évoquait ensuite le vide, le sentiment d'étrangeté qui habitait la coloc quand l'un de nous était absent, sentiment qu'elle partageait, elle s'excusa même de son éloignement pour vivre chez Lucky. "T'inquiètes pas pour ça. T'as pas de compte à me rendre." On n'était pas ensemble donc... Elle pouvait emménager temporairement ou même définitivement avec sa BF, je n'étais pas me seul en droit de partager toit et quotidien de la blondinette. Puis maintenant encore moins vu où j'étais... C'était sur mon nouveau coloc d'ailleurs que je plaisantais. Sur ses tatouages pour être précis, me demandant si ils étaient un moyen d'évasion. Réfèrence qui amusa la demoiselle qui me compara au co-détenu du héros de la série. "Attends c'est qui qui meurt déjà? Si je pouvais éviter d'être ce personnage ça m'arrangerait..." plaisantai-Je à nouveau. C'était fou le bien que ça me faisait... Lui parler, l'écouter, entendre sa voix, son rire, plaisanter avec elle,  ou encore faire ce listing, de tous ces plans qu'on avait projeté ensemble... Je lui promettais qu'on les ferait. L'interrogation qui persistait c'était quand... Si elle ça l'agaçait, ça la saoulait même c'était ses mots, moi de mon côté c'était la même chose, ou pire encore... J'avais terriblement envie de la voir, plus que n'importe qui d'autre, aveu sûrement bien trop parlant pour que je ne le tempére pas. Je modérais donc la chose avec une vanne, plaçant mon juge libérateur comme very first one, retrogradant miss Strauss en deuxième position. Ça ne dura pas, parce que malgré nos petites tentatives d'humour la gravité de la situation nous rattrapait. Si elle avouait s'être habituée à ma présence, moi je rétorquais ne pas vouloir qu'elle se fasse à mon absence... Et je souriais en entendant sa confession suivante, l'imaginant très bien dans un de mes t shirt trop ample pour elle... "Et moi comment je fais j'ai pas de doudou Ash avec ton parfum ici..." Je me marrai à sa réflexion sur mon co détenu et repris ses mots : " C'est pas près d'arriver... " Et j'étais on ne peut plus sérieux lorsque je lui soufflai ça. J'avais terriblement envie de continuer sur cette pente, me sentant alors sur le point de trop en dire, de lui répéter l'importance qu'elle avait pour moi, de remettre sur le tapis mes sentiments pour elle... Mais quoi ? Qu'est ce que ça apporterait de plus ? Elle avait son numéro de faux couple à jouer. Et moi j'étais coincé derrière les barreaux pour une période indéterminée alors... Alors comme d'habitude, je me mis à rigoler pour reprendre avec légèreté : "Même avec une perruque blonde il est loin d'avoir tes atouts"
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A croire qu'il était pas en prison vu votre discussion. À croire que vous étiez pas au téléphone, séparés depuis plus d'une semaine vu que vous discutiez assez facilement, d'un peu tout, vous taquinant. C'est surtout sur sa phobie des blouses blanches que la discussion était tourné, alors qu'il confiait trouver la toubib plutôt pas mal. Ouais okay, tu préférais zapper cette info et ne pas chercher à en savoir plus. Te consacrer au sujet de son coloc de cellule et de la série prison break c'était mieux. Tu le voyais bien en Sucre et il voulait s'assurer que c'était pas ce personnage qui mourait. Non c'est ton coloc de cellule qui meurt, pas d'inquiétude tu lui assures. Manque plus que ça tient; qu'il décède. C'était plus au fond du trou que tu serais... Puis les projets, vos projets surtout. Il te promettait que vous ferez tout ça à sa sortie et même si tu savais pas quand ça serait, rien que sa promesse te faisais du bien à entendre. Signe qu'il n'allait pas prendre la fuite, sortir de ta vie. Il ajoutait également vouloir te voir toi plus que n'importe qui, ce qui t'enlevait un sacré poids, toi qui avait flippé toute la semaine passée qu'il t'avais oublié. Tu finis par lui avouer que t'as peut être piqué certains de ces hauts pour t'en faire des pyjamas. Et sa réplique... Tu rigoles, venant plaisanter à ton tour. Tu veux que j'essaye de te faire parvenir un de mes hauts avec mon parfum ? demandes tu pour rire mais aussi sérieuse. Tu le ferai s'il veut, tu t'en fichais bien. Et quand il avoua ne pas vouloir que tu t'habitues à son absence, tu avouais que c'était pas près d'arriver. Vraiment pas près de se passer, au contraire, plus les jours passaient et plus tu pensais à lui. C'était presque insupportable, parce que ça te rappelait juste combien tu ne pouvais pas le voir, ni l'entendre, ni délirer avec lui. Rien de tout ça était possible et ça te bouffais. Alors à ton tour tu voulais pas qu'il te remplace. Tu le manifestais, sans aucune retenue. Tu veux dire qu'il n'a pas ce même sourire que le mien, mes yeux bleus, mon rire ? Tu essayais de citer les mêmes éléments qu'il avait fait la fois où vous aviez parlé de Marin qui n'avait pas les mêmes atouts que toi. Cette fois où tu avais évoqué ta poitrine mais que lui avait parlé de toutes ces choses. Et si c'était peut être pas bien de glisser sur ce sujet, tu en avais quand même envie. Entre la plaisanterie et cette envie de savoir, tu ne te faisais pas trop griller sur tes intentions donc le bon plan.
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Ash me rassura sur le sort du personnage auquel elle me comparait, rafraichissant ainsi ma mémoire quant à cette série. Et ça faisait un bien fou n’empêche. De discuter avec elle. De rigoler. De délirer… C’était fou comment en quelques minutes elle parvenait à faire s’évaporer mon humeur morose. Si au début de l’appel, je m’étais efforcé de la masquer, désormais plus besoin de me forcer, je me sentais réellement mieux et requinqué. L’effet Ashleigh. Ils avaient raison en fait : j’étais un drogué. Juste que ma came n’avait rien à voir avec la poudre qu’ils avaient supposément retrouvé dans ma chambre. Non. Ma came c’était elle. C’était Ashleigh. Pour ça que j’acquiesçais quand elle proposa cette étrange présent. « Je dormirais mieux comme ça, ça fera un peu comme si t’étais avec moi… » Ouais enfin, les nuits ensemble, même si j’avais pas été incarcéré, ça nous était interdit en théorie, vu que la blonde était désormais en ‘couple’. Mais au fil de la discussion, ce détail semblait me sortir de l’esprit, me prenant au jeu. Soufflant combien mon co détenu n’avait aucune chance de la remplacer, n’ayant pas les atouts de ma meilleure amie. Et elle reprit mes mots, quand à une autre occasion déjà, j’avais listé quelques uns des détails qui la rendaient unique à mes yeux. « Mais il a de super beaux tatouages. Mais, oui voilà, t’as saisi ce que je voulais dire… » acquiesçai-je avec un sourire attendri, réclamant ensuite : « Je peux avoir une photo de toi aussi quand tu m’écriras ? J’ai plus mon téléphone, ils l’ont pris… Ca me manque de plus te voir… » avouai-je, même si un cliché papier ne remplacerait jamais le fait de la voir, elle, en vrai, en chair et en os devant moi… Comme les visites semblaient compromises pour le moment, j’allais devoir m’en contenter. Et le regard sévère du gardien se posa sur moi à cet instant. « Non, encore cinq minutes. » réclamai-je alors à l’homme, mais fallait croire que la technique de quémander ne fonctionnait pas, parce qu’il avançait vers moi l’air ronchon. Et je précipitai donc un peu les au revoir, lançant rapidement : « Faut que je te laisse Ash. Tu me manques trop. Je t’oublie pas. Je t’… »
Et le molosse raccrocha pour moi, me coupant dans mon élan, ne laissant à Ash que les bips indiquant la fin de l’appel…
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Quand tu proposes cette idée de 'cadeau', ce haut avec ton parfum, tu plaisantes, bien que ça te gênerais pas. C'était surtout sorti tout seul cette proposition, comme pour lui remonter le moral ou bien parce que tu ne voulais pas qu'il t'oublie et ainsi ça serait chose faite. Et bien que vous rigoliez, vous taquiniez l'un l'autre, ça ne changeait rien au fait que, ce manque, son absence, tu la sentais encore. Un peu plus quand il évoqua que ton présent lui permettrait d'être comme avec toi. Façon indirecte de dire dans un lit, à dormir l'un l'autre à côté. Cette idée te fit sourire et vite le perdre à la fois. Ca te donnait envie de le faire, lui, toi, dans un lit. Rien que ça. Sans film, sans discuter. Juste vous, allongés, la présence de l'autre si près, voilà ce que tu demandais. C'était pas grand chose non ? Peut être un peu trop vu que personne n'était décidé à réaliser ta 'prière'. Alors vous continuez la discussion sur son co détenu, remplit de tatouages, mais qui n'a pas tes atouts alors impossible de te remplacer. Comme toujours, tu joues avec le feu. Tu lui demandes ainsi qu'est ce qu'il entend par les atouts que lui n'a pas comme toi. Tu cites quelques uns qu'il avait déjà évoqué dans des précédents messages et il approuve, étirant un sourire à tes lèvres. Tu vois bien qu'il ne veut pas en dire plus, qu'il se retient. Tu veux pas qu'il fasse ça, ton égoisme reprend un peu le dessus, voulant qu'il en dise plus, qu'il glisse sur cette pente lui aussi, sur ce petit jeu d'ambiguité qui c'était installé depuis quelques semaines. Et d'une autre façon, il le fait un peu. En demandant une photo de toi, avouant que ça lui manque de plus te voir. Tu te laisses basculer en arrière sur le canapé, te pinçant la lèvre inférieure pour te retenir de dire quoique ce soit d'un peu trop révélateur. Quelques secondes de silence, tu souffles finalement : ce que tu veux, je te passerai ce que tu veux... Tu te rendis compte à cet instant qu'il pouvait te demander n'importe quoi que tu le ferai. Tu ferai ce qu'il faut pour qu'il puisse se sentir un peu bien, être un peu moins seul, moins triste. Il suffisait qu'il demande et tout comme là, son voeu s’exaucera... Puis, tu l'entends demander cinq minutes de plus, surement au gardien, pour finalement te dire de façon rapide et courte qu'il doit y aller, que tu lui manques trop, qu'il t'oublie pas et... tu restes tellement figée sur les derniers mots qu'il a voulu prononcer que tu en rates de lui dire au revoir. Denys... ? demandes-tu alors que tu entends les bips t'informer de la fin de l'appel. Au revoir... libères-tu, sentant toute la tristesse t'envahir. C'était horrible de devoir se quitter de la sorte, si vite, sans le temps de réagir. Et ce qu'il avait essayé de dire... Etait-ce ce à quoi tu penses ou bien tu avais juste fabulé ? Ton esprit te jouer un tour ou bien il avait faillit te dire ça ? Paumée, le coeur lourd et vide à la fois, tu raccrochas, déposant ton téléphone puis direction la salle de bain pour prendre un bain et te laisser couler la tête sous l'eau pour, bizarrement, te sentir un peu mieux.
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