Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDo you know how much you mean to me? • Luckash
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Do you know how much you mean to me? • Luckash

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Mercredi 12 avril. Une bonne dizaine de jours que tu passais ton temps à jongler entre le campus et l'université. Une dizaine de jours où pas une seule fois tu ne venais pas ici, rendre visite à ta meilleure amie. Tous les jours tu passais, que ce soit le matin, le midi, ou le soir. Tu ne voulais pas manquer des nouvelles positives. Puis t'avais plein de choses à lui raconter, tous les jours tu avais de quoi la tenir informer. Tu espérais que ça allait l'aider, qu'elle allait t'entendre et qu'elle se réveillerait. Peut être qu'en sentant ton désarroi, elle ne voudrait pas te laisser seule un jour de plus. Oui parce que tu en bavais trop en ce moment. Entre elle et Denys, t'étais au bout du rouleau. Tes pensées passaient de l'un à l'autre. Ton coeur aussi. Et le seul moyen que tu avais d'être un peu en paix, de moins te torturer l'esprit, c'était la cocaïne. Stupide, quand on sait que c'est ce qui a foutu Denys en prison mais, ça t'aidait. A trouver le sommeil, à ne plus penser, à te détendre. Tendu tu l'étais. T'avais les nerfs à vifs, et ton autre moyen pour pas péter un plomb c'était de te venger sur les autres. De briser des couples, faire de la casse. Comme avec Agathe et Aisling. Ils étaient pas les premiers et ils seraient pas les derniers. Enfin bon, encore au chevet de la brunette, assise sur ta chaise, face à la jeune femme endormie, tu lui parlais comme tous les autres jours. J'attends toujours des nouvelles de Denys, ça va faire une semaine que j'en ai pas, je commence à m'inquiéter. Ils ont pas voulu me laisser le voir à la prison, toujours pas droit aux visites. Ca me rend folle, puis pourquoi il m'appelle pas lui ? Je lui ai dit de me tenir au courant même s'il m'appelle pas tous les jours. Et toi... tu marques une pause, la regardant. Toi tu attends quoi pour te réveiller ? T'as une pétasse a qui faire la peau, puis moi... j'ai besoin de toi moi... Tu ne cesserais pas de lui répéter à chaque fois que tu viendrais lui rendre visite. Lucky si tu te réveilles pas, je te jure que je me rase la tête, ou je me jette dans les escaliers aussi, comme ça je te rejoins dans ton coma. Et je le ferai, tu sais que je le ferai. Oui elle le savait, puis façon tu serais limite mieux dans le coma toi aussi. Au moins Denys pourra t'oublier comme il veut, lui coincer en prison et toi coincer à l'hôpital. Puis tu souffrirais plus, tu serais paisiblement endormie sur ton lit. J'aurais rien à perdre Lucky, alors me défie pas dis-tu d'une voix un peu plus forte, montrant la colère qui te gagne, la tristesse aussi, avec cette larme qui coule sur ta joue... Bordel ce que ça fait mal de perdre les deux piliers de sa vie !

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@Lucky E. Burberry Do you know how much you mean to me? • Luckash 2511619667
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Il ne pouvait pas y avoir pire pour la personne qui allait se réveiller sous cette avalanche de sentiments presque sombre. Cette personne, cette femme emplie de haine et de désir de vengeance était plongée dans un profond sommeil qui allait bientôt toucher à sa fin. Un sommeil si profond, que la jeune fille n'avait pas ouvert les yeux depuis dix jours. Beaucoup de choses se sont passés durant ce sommeil, mais la haine qui m'envahissait le corps ne c'était jamais apaisé durant ce coma. Aujourd'hui, j'allais me réveiller.... Demain... Je verrais mon désir de vengeance devenir plus grand pour finalement chercher à refaire plonger les galaxies dans le chao le plus total pour la simple raison que j'étais dénuée de sentiments... D'amour.... Non, seul la colère et la haine habitait mon corps désormais. Puis soudain, la voix de ma meilleure amie me traversa telle une étoile filante, brisant mon état de haine et m'entourant de son aura si apaisant. Je l'écoute, je pleure ses sanglots parce que je ne peux le supporter, je ne peux supporter qu'elle soit aussi mal par ma faute. J'ai envie de la saisir dans mes bras, la réconforter, lui dire qu'ils vont tous payer, que cette pétasse allait pourrir dans ce petit bout d'enfer que j'aurais souhaité la plonger, mais j'étais incapable de bouger, incapable de me lever, tout ce que je pouvais faire c'était la regarder et l'écouter. Mais alors, elle m'avoue vouloir se raser la tête ou bien pire encore, se jeter dans les escaliers pour venir me rejoindre. Ma poitrine cogne férocement. T'as pas le droit Ash ! T'as pas le droit ! Je t'interdis de te faire du mal ! Tu m'entends !... Hélas, elle ne pouvait pas m'entendre. Il y a juste mon index qui se met à bouger. Je manque soudainement d'air, je veux respirer putain ! Allez respire Lucky ! Respire !... Et c'est alord qu'un souffle sortait de ma bouche et enfin, j'ouvrais les yeux tandis que les premiers mots fusaient de ma bouche. « Je t'interdis de te faire... du mal... » Murmurais-je difficilement à cause de mon manque d'air tournant doucement la tête vers elle. « Et je préfère te... voir avec... tes jolis cheveux blonds. » Le personnel fut alarmé, infirmières et infirmiers entrèrent pour me mettre rapidement un masque d'oxygène. Mais je suis là, je suis enfin de retour et je regarde ma meilleure amie avec un sourire pendant qu'ils s'occupaient de moi.
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Des jours que tu as l'impression de revivre le même moment. Toi, assise sur cette même chaise, dans la même position, dans cette même pièce, toujours aussi froide, terne, seulement les fleurs qui changent... C'est comme si tu revivais le même jour, plusieurs fois de suite, parce que y a aucune amélioration. Rien. Alors après dix jours, après quasi une semaine sans nouvelles de Denys, tu craques un peu. Tu râles, comme toujours. Quand est ce qu'elle va se réveiller ? Qu'elle va venir te donner une nouvelle bouffée d'air ? Quand est ce qu'elle va te faire reprendre un peu espoir au lieu de te donner raison de te couler dans cette merde de drogue, dans la destruction de toi même et des autres ? Tu la menaces limite. De la rejoindre dans son coma. De prendre place à côté d'elle, dans al chambre voisine s'il faut. Tu pourrais en être capable, alors tu la défie de le faire si elle se réveille pas. Elle sait combien tu aimes les défis. Elle sait qu'il suffit qu'on te dise que t'as pas chiche pour que tu le fasses. Est ce qu'elle veut voir si tu aurais ce qu'il faut en bas pour le faire ? Je plaisante pas Lucky ! Si tu te réveilles pas, je vais le faire, demain, ou après demain, je le ferai. Tu tentes d'autres menaces, comme si ça pouvait aider. Tu pries pour qu'elle entende mine de rien. Apparemment oui, son doigt bouge mais, tu le vois pas. Visage trop focalisé sur le sien. Tu vis parfaitement ses yeux s'ouvrirent par contre. Clignant les tiens, tu crois halluciner. Les restes de cocaine de la veille ? Tu clignes encore des yeux. Les siens sont bien ouverts et sa voix... Elle parle. Quelques larmes quee tu ne contrôlent pas, coulent sur tes joues, tandis que tu te lèves de la chaise. Infirmières, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un que tu cries en restant à ses côtés. C'est peut être mauvais de se réveiller après autant de jours, alors tu appelles 'à l'aide', tu ne veux pas que quelque chose d'autre lui arrive. Tu rigoles tout de même à ce qu'elle répond, sur ta menace de te raser. Y a que Lucky pour sortir de son coma avec une telle phrase, réplique. Tu t'écartes pour laisser les infirmiers s'occupent d'elle, vérifier que tout va bien. Tu m'as manqué dis-tu le regard fixé sur elle. Si j'avais su, j'aurais menacé de me raser avant. La plaisanterie, ton arme. Tu tentes comme tu peux de lui cacher ton mal être, tes angoisses, inquiétudes. Alors tu blagues, pour la réconforter, pour pas qu'elle se préoccupe de toi. Mais d'elle. C'est elle qui a besoin d'attention, de soutient...

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Les yeux clos, ces derniers s'entre ouvrir légèrement en entendant la voix de ma meilleure amie, me tirant de ce coma cauchemardesque. Elle osait me défier même dans un profond sommeil et j'étais la seule à savoir qu'elle était capable de le faire, non, qu'elle allait le faire. Je ne voulais pas, alors je ne sais pas d'où j'ai puisé cette force et cette envie de me réveiller pour l'interdire de se faire du mal. J'aurais tout souhaité sauf qu'elle ait mal. Elle aussi en a bavé dernièrement. Je crois que nous avions toutes les deux un mauvais karma, pour ça aussi que nous étions destinés à nous rencontrer et à s'unir d'une amitié sans égale. Je l'aime cette petite tête blonde et je pourrais lui donner ma vie si elle le désirait. Mon regard ne la quitte pas alors qu'elle appelle le personnel. Ils s'occupent de moi et pendant ce temps, Ashleigh m'avoue lui avoir manqué. « J'espère bien que je t'ai manqué. » Tentais-je d'articuler avec un sourire. « Vaux mieux tard que jamais non ? » Les infirmiers ayant terminé leur boulot, m'aident à me redresser et à poser mon dos contre un coussin pour être plus à l'aise avant de sortir et nous laisser seules. Je tourne la tête vers la mather. « Tu m'as manqué toi aussi, vraiment beaucoup. Trop. » J'ai bien cru que je ne la reverrais plus, elle et toutes les personnes chers à mon cœur. Mais ça fait du bien de revenir dans le monde des vivants. Même sentir l'air de ce monde m'avait manqué. En tout cas, j'avais remarqué sa mine affreuse et ça me faisait peur aussi. Je m'absente dix jours et Ashleigh change de couleur. De rayonnante, elle passe à une morte vivante. « Denys n'est pas encore sortit de prison ein ? » Demandais-je si désolé... J'avais tout entendu, tout ce qu'elle me racontait chaque jour durant mon sommeil et tant de fois je voulais la réconforter, mais je ne pouvais pas. « Ne perds pas espoir Ash, il est innocent, il va s'en sortir. » La justice finit toujours par gagner, l'injustice, par payer. Je te promets.
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Tu n'en reviens pas quand tu la vois ouvrir les yeux et parler. Tellement d'émotions et sentiments te passent en même temps. La joie. Le soulagement. La panique. L'inquiétude. Tu appels aussi des infirmières pour qu'on vienne voir comment Lucky va, si son rythme cardiaque est okay, si sa santé ça va etc. Tu les laisse faire leur travail mais, tu lui dis tout de même combien elle t'a manqué et tu fais une plaisanterie. Le seul moyen pour détendre l'atmosphère, pour mettre un peu de positif dans tout ce négatif. C'est pas évident de faire semblant, pour tes problèmes mais aussi les siens, mais tu le fais, pour elle. L'entendre à nouveau te parler, ça fait un bien fou. Tu commençais à te demander si tu allais encore l'entendre ce son, celui de sa douce voix. Tu revoyais ce moment au spring break, le soir du feu de camp, dans les toilettes, où elle t'avait parlé doucement, te conseillant comme toujours. Par rapport à Denys et toi, pour ne pas changer. Et si tu faisais souvent ta tête de mule, tu avais hâte de l'entendre encore te conseiller et te dire des 'je te l'avais dit' que tu n'auras pas envie d'entendre. T'étais heureuse de la savoir à nouveau parmi vous. Encore plus quand elle avoua elle aussi que tu lui avais manqué. Tu la regarde, de loin, le sourire aux lèvres, tandis qu'elle se redresse à l'aide des infirmiers. Tu t'approches finalement d'elle, pour venir te poser sur le bord de son lit. T'as envie d'être plus proche d'elle. T'as été assez loin d'elle ces dix derniers jours. Tu poses ton regard sur elle, toujours ce sourire aux lèvres. Oh tu vois bien qu'elle a changé, qu'elle est pas au top de sa forme. Se rappelle t-elle la raison de son coma ? Que kinder n'est plus là ? Tu supposes que oui mais, t'as pas envie d'évoquer le sujet. Pas maintenant. Faut lui laisser le temps de revenir dans le monde réel avant de rebalancer une telle bombe. Pourtant, elle, elle t'en sort une que tu n'as pas vu venir. Ton sourire se fane légèrement. Tes yeux se sont un peu arrondis, surpris de la question qu'elle t'adresse. Comm... Comment elle sait ? Tu comprends bien vite d'ou le fait que tu te stoppe dans ta phrase. Elle a dû t'entendre tout ce temps quand tu lui parlais pour la tenir informer de ta vie, de celle de tes proches. A t-elle tout entendu ? Sait-elle combien il te manque ? Combien t'as peur de le perdre ? Tu lui a dit tout ça, déjà même avant son coma, mais là... Là, les choses sont différentes. Tu secoues la tête négativement. T'as envie de baisser le regard pour montrer que ça te fait chier, ça te peine, mais tu restes forte, pour elle. Je sais qu'il est innocent, mais eux ne le savent pas... C'était pas ça le problème, pas son innocence. Jamais tu douterais de lui, tu mettrais ta vie en danger tellement tu serais prête à parier sur son innocence. Tu le connais, tu sais ce qu'il prend comme drogue ou non. Ce qui était dur, c'était son absence. Vous qui aviez l'habitude depuis les dernières semaines de vous envoyez des sms à longueur de temps, de passer vos journées ensemble au spring break, vos petits déjs ensemble à votre retour etc, là, plus rien. Le vide. L'absence. La manque. Tu passais de tout, à rien. C'était pas facile à encaisser. Pas quand il prenait ses distances en plus. Parce que toi tu y arrivais clairement pas à les prendre. Le savoir là bas, ça te faisait penser bien plus à lui que si tu le savait sain et sauf ici, au loft ou sur le campus. Comment tu te sens ? Tu veux à boire ? Un truc à manger peut être ? C'était toi qui devait te préoccuper d'elle, non l'inverse. A ses petits soins tu allais être, à ton tour. Puis attendant sa réponse, tu vins la prendre dans tes bras. Une accolade douce, tendre, de quelques longues secondes. Tu fermes les yeux, tu te laisses emporter par son odeur, ton nez se perdant dans ses cheveux bruns. Ca te fait du bien, un grand bien. Tu sens super bon, même après tout ce temps la complimentes-tu, dans un petit rire, pour éviter de faire venir les larmes. Tu dois être forte, pour elle.

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Comment j'ai su pour Denys ? Comment j'ai su qu'elle est tombée pour lui ? Je pouvais tout entendre et je pouvais tout voir ce qu'elle aurait pu me cacher. Là, c'était comme si Ashleigh s'était mise à nue pensant que je ne pourrais pas l'entendre, pensant que je ne pourrais pas la voir. Elle en fut très étonnée d'ailleurs. « J'pouvais t'entendre et te voir tu sais, et je crois que je connais tous tes secrets maintenant. » Je hoche positivement de la tête accompagnée d'un sourire. Pas question que je lui montre mon mal être et à cet instant, je porte le masque de la bonne figure. Je ne veux pas qu'elle plonge avec moi, je crois qu'elle est déjà assez mal comme ça. On l'est toutes les deux et on a besoin d'évacuer à notre façon chacune. La mather semble avoir perdu espoir pour son meilleur ami, alors je me devais de la rassurer. On dit que tant qu'il y a de la vie, il y a toujours de l'espoir. « Eux ne le savent pas, mais lui, le sait et je ne pense pas que ce soit son kiffe de laisser des innocents pourrir en taule. » Affirmais-je en pointant mon index vers le plafond pour désigner le ciel, pour désigner le tout puissant, pour désigner celui qui voit tout. Je suis croyante, alors je suis certaine que Denys finira par sortir de prison. Je repose mon bras sur lit n'osant pas tellement répondre à sa question. Je ne vais pas bien, je n'irais pas mieux jusqu'à ce que je fasse le deuil de ma perte. Mais, en attendant, je compenserais comme je peux. « Juste un peu d'eau s'il te plait... Et je vais bien ne t'inquiète plus. Je ne compte pas te laisser seule, tu t'enuyerais sans moi ! » Allez, trompons les apparences, essayons de mettre tout ça de côté. Elle se glisse soudainement dans mes bras pour une petite accolade, fourrant son visage dans mes cheveux, humant mon odeur. Ça fait tellement de bien de l'avoir comme ça, dans mes bras, qu'instinctivement, les miennes glissent dans son dos que je caresse doucement. Ma joue contre la sienne, je lui tapote doucement sa colone vertébrale. « Peut-être que je devrais plus souvent faire des comas pour avoir ce genre de câlin. » Un peu de plaisanterie ne ferait pas de mal. « Arrête de me charrier femme, j'aurais bien besoin d'un bon bain oui ! Tout à l'heure je vais me doucher et je m'en fiche si je ne dois pas bouger. En plus, j'ai l'impression d'avoir des courbatures de partout à force d'être restée allongée. Quel jour on est d'ailleurs ? » Petit rire lâché, je recule doucement ma tête en m'informant du temps que j'avais mis pour me réveiller. Et si j'avais raté le bal ? Et si mon cavalier s'était trouvé une autre ? Bon, la soirée je m'en fiche, je n'ai jamais été fan, mais genre, j'aurais bien kiffé accompagner Marin et faire un peu plus de jalouses. « Et toi, tu vas me faire le plaisir de reprendre un peu de couleur ! » Je glisse mon auriculaire dans le sien rapidement. Une promesse que je venais de lui voler et à présent, elle n'avait nul autre choix que d'essayer de la tenir.
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Bouche bée il te faut tout de même quelques secondes pour comprendre que si elle sait pour Denys en prison alors que celui ci y est rentré après son coma à elle, c'est qu'elle t'a entendu lui parler dans son 'sommeil'. Puis tu captes pas tout de suite qu'elle a dû en entendre beaucoup de ce que tu disais. C'est quand elle avoue connaître tous tes secrets que tu réalises. Tu te mords la lèvre inférieure te traitant toi même de conne intérieurement. C'est ta meilleure amie, tu peux tout lui dire, mais t'es censée être en faux couple. Et même si quand tu lui parlais t'as jamais dit clairement avoir des sentiments pour lui, il est évident que par ton inquiétude, tes répétitions qu'il te manque, que t'as besoin de lui, que tu ne voulais pas le perdre et que c'était juste horrible de le laisser prendre des distances alors que tu n'en n'avais pas envie, oui tout ça, ça pouvait que lui avoir mit la puce à l'oreille. Je vois pas de quoi tu parles mens-tu pour changer le sujet. Tu veux pas savoir ce qu'elle sait exactement. T'es pas là pour parler de toi, enfin là qu'elle soit réveillée, tu ne veux pas centrer l'attention sur toi, c'est elle qui a besoin d'attention, même si elle ne le dira jamais clairement. Tu la connais. Elle est un peu comme toi, elle dira pas qu'elle va mal, qu'elle a besoin de toi, mais tu le sais toi, tu le sens. Comme si vous êtes liées. Comme si tu peux lire en elle, tout comme elle lit en toi. Tu la connais sur le bout des doigts et inverse. Quant à ton meilleur ami, tu jures savoir son innocence mais pas les flics. Et elle, elle croit qu'il s'en sortira, que là haut on le laissera pas enfermer pour quelque chose dont il n'est pas coupable. Oui mais combien de temps ? Combien de temps restera t-il là bas avant qu'on puisse prouver qu'il a été piégé ? Tu en as entendu parler de plus d'une d'histoire de ce genre où vingt ans après le mec sort parce qu'il est non coupable. En attendant, il a perdu vingt ans de sa vie. Vie bousillée. Pas question que ça arrive à Den'. Tu ne réponds rien, tu veux pas lui prendre la tête avec tes questions. Et toi tu y crois pas qu'il y a quelqu'un là haut. Sinon pourquoi ils vous seraient arrivés ça à toi, Lucky puis Denys ? Pourquoi vous ? Alors que vous avez rien fait de mal. Rien pour mériter ça à ce point. Tu lui sers un verre d'eau finalement comme elle te le demande, riant à sa petite taquinerie. Je confirme, c'était nul ces derniers jours sans toi. Une vie sans Lucky c'était pas pareil. Plus jamais tu voulais ça se reproduise. Elle t'a trop manqué, la preuve, tu viens l'encercler de tes bras après lui avoir tendu son verre d'eau. Tu restes un moment comme ça, la tête enfuit dans ses cheveux, joue contre joue, sa main dans ton dos. Tu retrouves de l'oxygène. Tu te sens respirer à nouveau. Tu retrouves un de tes poumons. Mais il manque l'autre. T'es qu'à moitié complète... Tu en auras plus à présent. La vie est courte, tu t'en rends compte, de plus en plus ces derniers temps. Après ton kidnapping où tu aurais pu y passer, c'est ta meilleure amie qui y a échappé bel. Tout peut basculer d'une minute à l'autre. Et toi qui te cache derrière des barrières, des murs, qui n'osent pas parler de tes émotions, tes sentiments, montrer trop ton affection à tes proches, là tu te dis que t'es peut être conne. Qu'il faut profiter d'eux, de leur dire que tu les aimes, que tu tiens à eux, avant qu'il soit trop tard. Alors tu lui fais la promesse, elle en aura plus souvent des câlins de ta part. Tu lui affirmes qu'elle sent bon mais bien sur que non pour elle. Aussi tête de mule, elle se voit déjà rebeller contre les infirmiers pour aller se doucher. On vous changera pas toutes les deux. Je peux même t'aider à t'y mener maintenant si tu veux. Tant cas faire autant lui rendre service, ça sera mieux que ce soit toi qui le fasse que ces inconnus. Promis, je te laisse te déshabiller et je n'abuserai pas de ta faiblesse la taquines-tu, sous entendant que tu pourrais lui sauter dessus. On te changera pas on a dit. Tu tentes des petites plaisanteries pour lui tirer des rires, des sourires, et qu'elle se sente un peu bien malgré tout. Tu veux la voir bien avant de la voir s'effondrer, car oui elle va s'effondrer, à sa façon, mais elle le fera, tu le sais déjà. Le douze avril... tu fais une pause, 2019. Une petite blague pour lui faire croire qu'elle est restée aussi longtemps endormie avant de sourire, trahissant ton mensonge. Deux ans sans elle ? Sans Denys ? Tu te serais déjà jeté du haut d'une falaise ou intoxiqué avec des médocs et de l'alcool ! Elle te remonte alors les bretelles sur la mine que tu abordes. Ouais t'es pas à ton niveau le plus haut de sexitude. Pâle, cernée, mine fatiguée, tu pourrais passer pour un zombie. On pourrait même voir à travers toi tellement tu es blanche, presque transparente. J'ai voulu voir ce que ça faisait d'être dans la peau d'un zombie, j'ai trop regardé cette série, tu sais avec cette blonde qui vit dans le monde réel mais qui est un zombie. Tu pourrais être l'actrice principale. Blonde et yeux bleus comme elle, vu ta mine, ils auraient même pas besoin de maquilleurs, tu pourrais filmer tout de suite. Excuse bidon, tu voulais pas qu'elle s'inquiète, surtout que tu le savais, tu allais pas retrouver des couleurs aussi facilement. Pas avec lui en prison, pas avec la cocaine, pas avec ton manque de sommeil, tes cauchemars. Tu veux la prendre alors cette douche ? Si seulement ils avaient une baignoire, ça serait bien mieux pour elle.

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Elle fait mine de ne pas savoir de quoi je parle et moi je pose une main sur son crâne, tapotant doucement. « Petite coquine ! » Je lâche un rire accompagné d'un clin d'œil et je n'insiste pas plus que ça. Je savais déjà tout ce que j'avais à savoir. Ce coma avait été bénéfique quelque part parce que j'avais pu voir la détresse de ma meilleure amie. Les appels au secours qu'elle me pensait impossible d'entendre, moi endormis profondément comme la belle au bois dormant. Ceci dit, je ne fus pas réveillé d'un baiser, mais d'une menace. C'était plus drôle avouez, on changeait du classique non ? Quant à Denys, il faut qu'elle laisse le temps à son avocat de trouver des preuves qui l'innocentera, des preuves qui viendront tôt ou tard, mais faut juste pas qu'elle perde patience ou bien même espoir, sinon le pauvre Denys, qui le réconfortera ?. C'était à nous de lui assurer qu'il sortira de prison, pas le contraire. Puis, lorsqu'elle me sort qu'elle allait plus souvent me faire des câlins, je laisse échapper un sourire satisfait. « En voilà une bonne nouvelle depuis quelques minutes. » Et en recevoir à moi aussi, ça fera du bien, parce que je sais ce que j'ai envie de faire en sortant d'ici. Je vois déjà mes longues journées à plonger dans l'immense vague sombre et déchainante de mon cœur. À m'y noyer même sachant que ce n'est qu'ainsi, que j'oublierai tout. Ce n'est pas la meilleure des solutions, mais en attendant, si c'est la seule façon pour moi de me sentir mieux , pourquoi me priver ? Manque juste que je sorte d'ici vite fait et je ne vais pas attendre une semaine comme ont décidé les médecins. Finalement, elle réussit à me voler un rire sincère avec sa réplique de la douche, elle est incroyable cette fille, toujours des répliques là où il faut. « Fais gaffe, je suis en manque de sex, alors c'est peut-être de moi que tu devrais avoir peur ! » Et j'hausse les sourcils en mode perverse. Oui fais gaffe à ta petite culotte Ashleigh. Je parie cher que si un personnel nous entendait, il nous prendrait soit pour des folles, soit pour des lesbiennes. Dans les deux cas, on rirait bien. « WAIT ! Attends deux ans ? » La mâchoire ouverte, la mine déconcertée, l'envie de chialer jusqu'à ce que je me rende compte qu'elle se moquait de moi. Je tire une mine boueuse. « Méchante va ! » Murmurais-je en croisant mes bras sous ma poitrine et en tournant la tête sur le côté. J'ouvre finalement un oeil, puis le second et j'éclate de rire. « Rappel-moi de cacher tous les films de zombie et de ne plus en ramener s'il te plait. Je n'ai pas envie de me retrouver allongée sous ma meilleure amie qui me voit en bon steak saignant avec la bave qui coule au coin des lèvres et son envie pressante de me dévorer. » Oh que non je n'aurais pas très envie. D'ailleurs, mon index se pose sur son épaule et je la pousse doucement. « Nouvelle règles, dix centimètres de distance entre nous-là. Merci zombie girl ! » Et j'éclate de rire avant de reprendre mon sérieux. « Allez, on y va pour la douche, mais par contre je vais avoir besoin d'aide pour le deshabillage et le rhabillage... Mon rein oblige. Puis j'veux plus mettre cette mocheté de robe, franchement, comme je vais réussir à draguer les sexy infirmiers si je suis dans ce truc ? » Mes doigts fixaient la robe d'hôpital, ma mine dégoûtée.
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Faire celle qui ne voit pas de quoi elle parle concernant tes potentiels secrets qu'elle connait, c'est mieux que devoir parler de la chose. T'as bien comprit qu'elle fait allusion à Denys, tu la connais comme si tu l'avais faite mais, tu esquives. Tu lui tires juste la langue quand elle te traite de petite coquine avec un clin d'oeil. Tu finis par lui faire un câlin et elle se met à plaisanter sur le fait que tu lui en fait pas souvent et qu'elle devrait plus souvent être dans le coma pour en avoir droit. Ah non. Tu promets donc de lui en faire plus à l'avenir et te connaissant elle sait que c'est pas la chose la plus simple. T'es très tactile mais pas le genre à faire des câlins ou des bisous à tout va, pour un oui ou un non. Dans ce câlin échangé, tu reconnais qu'elle sent bon même après dix jours allongée dans ce lit. Tu mens même pas pour lui faire plaisir mais, elle n'approuve pas. Tu proposes donc une douche, toujours avec une taquinerie, pour la faire rire et essayer de mettre une atmosphère chaleureuse plutôt que pesante. Tu rigoles à sa réplique du manque de sexe. Tiens on dirait toi quelques semaines plus tôt quand tu avais eu ce défi de la part d'Ilhan. Combien de temps ? Je suis à presque quinze jours, bordel qu'est ce qui m'arrive ? dis-tu en rigolant. Besoin de se demander qui était le dernier en date ? Denys, bingo ! Lors de vos retrouvailles après ton 'accident' et depuis plus rien vu que t'avais fait croire à ton faux couple, qu'ensuite ça avait été tendu entre vous, puis la prison. Quant aux autres mecs... T'avais déjà pas trop aimé le contact de Dimitri sur ta joue, dû pas juste à tes blessures mais au contact que tes agresseurs avaient eut sur toi aussi, alors plus ? C'était comment dire... le dernier de tes soucis. Ces derniers temps tu étais trop à l'ouest, trop préoccupé mentalement, pour penser à coucher avec des mecs, penser au sexe. Elle veut finalement savoir combien de temps elle est restée dans le coma. Trop tentant pour pas lui faire une blague, tu fais croire à deux ans. Tu vois qu'elle se décompose alors tu souris bien vite, trahissant ton mensonge. Elle fait sa boudeuse. Ca te rappel pas quelqu'un ça ? Prénom qui commence par un D, qui contient 5 lettres... Toujours pas ? Of course à Denys, boudeur professionnel surtout avec toi. Pour ton manque de couleur, tu sors une excuse de zombie, un truc tellement pas crédible mais, elle rebondit dessus. Tu souris en l'écoutant. Tu sais que d'un point de vu extérieur, on pourrait comprendre autre chose de tes propos, surtout que ça fait quinze jours j'ai rien fait, t'as vu moi aussi je suis en manque... Ou pas. Pour une fois t'avais pas ce besoin de coucher à tout prix. Trop de problèmes pour être en manque. Mais la taquinait c'était juste trop marrant. Après dix jours, ça te faisait surtout du bien, beaucoup de bien. Du coup elle te pousse, instaurant un périmètre de 'sécurité'. Tu rigoles, puis elle réclame sa douche. Tu te lèves donc du lit pour pouvoir l'aider à son tour, tandis qu'elle évoque vraiment le déshabillage puis rhabillage. Tu hausses les épaules en lui tendant ton bras pour qu'elle s'appuie sur toi pour se relever. Promis je te reluquerai pas... T'essayes de la mettre à l'aise. Tu t'en fous complet de la voir à walp, c'est ta meilleure amie, y a pas mort d'homme. Des seins tu en as déjà vu hein. Son intimité c'est autre chose mais bon, t'as signé pour le meilleur et le pire. Tu l'entraînes ainsi vers la salle de bain de la chambre et tu verrouilles la porte derrière vous. Tu l'installes sur le toilette pendant que tu allumes l'eau chaude que tu laisses couler. Bras en l'air mademoiselle. T'as l'impression de t'occuper d'un enfant en bas âge qui sait pas s'habiller et se déshabiller tout seul, mais c'est drôle. Tu prends ça à la rigolade. Tu passes sa robe d'hôpital par dessus ses bras et tu l'envoie valser plus loin. Je t'avais emmené des habits, pour quand tu te réveilleras, parce que moi aussi je trouve que leur tenue laisse vraiment à désirer... Pas besoin d'être sur son trente et un quand on est dans le coma, d'accord, mais quand même, un minimum de respect les gars. Allez file ! Sous la douche ! Tu lui tends la main pour l'aider à rentrer et qu'elle ne tombe pas. Tu veux je te frotte aussi ou ça va aller ? Tu rigoles encore, cette situation étant bien trop drôle à tes yeux, surtout avec les deux sens que tes mots peuvent être interprétés.

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Est-ce qu'on a vraiment besoin de préciser le temps ? Revenir à parler de Cole ? Je n'avais pas très envie vous voyez. « Je dirais depuis la fin du spring break. Il faut que je me rattrape ! » Je me rappelle encore de chaque détail de cette fin de spring break, de tous les problèmes que j'ai eu là-bas alors que j'étais censée passer de bons moments, je me souviens absolument de tout et même du plus inoubliable des moments. C'est donc pour cela que je n'avais pas envie de m'y attarder. Fort heureusement, nous passions le sujet et nous essayons même de détendre les choses de mon côté, comme du sien en parlant de zombie et de choses qui n'avaient ni tête, ni queue. « Dit donc, tu vois le sexe partout là, j'aurais presque peur de me faire violer pendant mon sommeil. » Plaisantais-je en rigolant. Je crois que Denys ferait mieux de sortir vite fait de prison ou sinon je sentais que ma meilleure amie allait commencer à fréquenter des sites bizarre et s'acheter un sex-toy qu'elle nommera Denys pour compenser son absence. Oula, je crois que je serais dead à ce moment-là. Finalement, elle m'aide à me relever du lit, je m'appuie sur son épaule alors qu'elle me guide vers la salle de bain. « Ça ne me dérangerait pas que tu me reluque. Fais-toi plaisir femme. » Je n'avais pas honte qu'une demoiselle me regarde, encore moins si c'est ma meilleure amie. Après tout, nous avions partagé quelques bains lorsque nous étions petites. Alors grande ou petite, il n'y avait aucune différence pour moi. C'était toujours ma Ashleigh, ma meilleure amie de toujours et rare sont les amitiés qui après tout ce temps, perdurent et grandissent encore plus. Une fois dans la salle de bain, elle me demande de lever les bras en l'air, je m'exécute doucement avant de lui laisser la voie libre de me dévêtir de cette vilaine robe. Je glisse doucement ma culotte le long de mes jambes et je rentre sous la douche ouvrant l'eau sur moi. Ça me faisait un bien fou putain. « T'es vraiment un amour merci, j'en avais grave besoin. » Je me tournais face à ma blonde, passant doucement ma main dans mes cheveux. « Ça ira, t'es la meilleure femme ! » Et sans aucun doute qu'elle l'était. Prenant enfin cette douche, je termine et je sors pour qu'elle commence l'essuyage et le rhabillage. « Kinder... Est-ce qu'ils l'ont enterré ?... » Demandais-je en baissant la tête et en me mordant les lèvres pendant qu'elle me rhabillait. Trois mois et quelques jours n'étant pas rien, il avait des membres et donc considéré comme un être vivant. Je lui demande parce que je voudrais pouvoir dormir tranquille. Pas en sachant qu'on l'aurait simplement jeté quelque part... Parce que c'était un ange, un ange qui m'attendra là-haut désormais.
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