Carrie Elaejah Brinley - Scarlett leithold

J'ai toujours étais tête en l'air, celle qui réviser à la dernière minute, celle qui lorsque sa mère lui demander une course, elle oublier, celle qui n'a jamais vraiment su trouver sa place dans ce putain de globe. Petite je pensais vraiment que la vie, était un compte de fée, que tout se résumer au rose, et que j'étais l'une de ces princesses, à la belle robe et à la licorne volante. Foutaise ! Si on m'avait dit une seule seconde que ma vie aurait été comme elle est devenue, je vous aurez soit dis d'allez vous pendre, soit alors je vous aurez rigoler au ras du nez, deux choses qui ne vous aurez certainement pas plus. Je n'ai jamais été proche, du plus loin que je me souvienne, de mes parents, cette figure paternel, encore une fois foutaise ! Cette soit disant figure paternel, je ne l'ai jamais eu, il a toujours manqué à son poste et dieux sait, que cela peut faire très mal dans le cœur d'une petite fille, qui le soir en fermant les yeux, s'imaginer un père idéal, un père pas alcoolique, un père qui ne devait pas lever la main sur sa mère et encore moins sa fille. Ma vie était un nid à embrouille ou alors à merde, voyait ça comme vous le voulez, mais sinon ne dîtes rien la pitié des gens, ne m'intéressait plus depuis très longtemps. Ou plutôt elle ne m'avait jamais intéressée.
Revenons plutôt à mon histoire, car si tu es entrain de lire ce que j'écris ou plutôt ce que j'essaye de vomir en me contrôlant de pas pleurer. Je suis Carrington Elaejah Brinley, oui sérieusement je m'appel Elaejah, je me suis toujours imaginé que mon existence et mon deuxième prénom était des erreurs fatales dans la vie de mes soit disant parents, j'ai toujours imaginé que j'était arrivé, un soir ou mon père avait sans doute envie de baisser ma mère, dans sa voiture, rien de plus glamour, pour m'engendrer n'est-ce pas ?!
Je suis née il y a 17 ans maintenant, 17 ans que je hais mon père, 5 ans que ma mère est morte, 4 ans que mon père est en taule pour coup et blessure et homicide volontaire, sur sa propre femme, j'ai envie de vous dire chacun a ces problèmes mais les miens, on ne pourrait pas les arranger en une seule vie. Je suis née dans la merde et j'y resterai jusqu'à ma mort, enfin c'est ce que je pensais quand je suis née à Cuba un mois de Mai, après un coup de rein et un gémissement poussait dans une voiture déglinguée. Jusqu'à que ma vie prenne un tourment beaucoup moins morbide, mon arrivée à Harvard, je me suis installée, là-bas au début rien ne m'enchanter à part peut-être changer d'identité, enlever ce nom de famille qui à l'époque de mes 12 ans avait fait la une, disant que ce bon samaritain Mr. Jack Brinley avait tué sa femme, mais cela sans arrière pensé. Mon cul !
Alors, je m'étais dit, tu veux partir ? Tu veux réussir ? Rentre à Harvard, donne toi les moyens d'y arriver et surtout ne baisse jamais les bras, pense à ta mère. Plus facile à dire qu'à fait, mais avec une certaine détermination, j'étais arrivée à lancer ce foutu processeur qui était encré dans mon cerveau en mode flemmard, je l'avais alors avancé en mode "bosseuse", mais comme je dis souvent on ne change pas les bonnes vieilles habitudes, ma haine est en moi, mon caractère est bien là et mon deuxième prénom ? Rebelle !