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La partie cachée de l’iceberg
Jarod & Blue
Le soleil, la plage, la chaleur, tout était propice à la glandouille et au repos. Mais aussi à la fête ! Je marchais dans les rues, regardant autour de moi, les gens sont souriants, heureux, il n'y a pas d'ombre sur ce magnifique tableau, ou plutôt si ... mais je ne veux pas voir ces ombres, telles que les trafics de toute sorte de choses. Juchée sur mes sandales compensées, vêtue d'une robe et d’un gilet fin, je garde fermement mon sac en bandoulière style hippie contre moi. Il fait nuit, la soirée commence à peine et je suis des amis dans les méandres de la Jamaïque. Ils m’emmènent vers un lieu sombre où personne de censé ne se promène. Nous sommes dans un hangar, je reste auprès du groupe, les garçons sont surexcités, on va voir du sang et des combats, mouais, très peu pour moi. J’observe avec beaucoup de curiosité le monde autour de moi. L’on hurle, l’on agit de l’argent, je pourrais avoir peur mais non. Faut dire que je suis bien protégée. On finit par s’arrêter quelque part, on peut voir des combattants, nous sommes limite très près d’eux … trop à mon goût, je n’aime pas la violence. Mais je peux comprendre que certaines personnes ont besoin de l’extérioriser à leur manière.
C’est alors que l’on se pousse et soudain, mon cœur s’arrête. Le monde s’arrête. Tout s’arrête. Comme dans un film. Mes yeux sont écarquillés et la peur me prend à la gorge. Pourquoi ? J’aperçois Jarod en plein combat et le visage en sang, la rage se lit dans ses yeux, moi qui l’ait connu si doux, si attentionné, si calme, je ne le pensais pas ainsi. Des larmes tombent et mon cœur se déchire. Je le regarde se battre et je me sens si honteuse. Mon bras gauche se tiens sur mon bras droit et le serre. J’ai mal, j’ai horriblement mal. J’aurais dû le voir, je devrais être là. Je n’ose pas détourner le regard lorsque soudain, un coup se porte fatalement sur son visage, mon cœur tient plus j’explose « JAROD !!!!! » hurle je soudainement, sous les hurlements de la foule en délire. Là, tout s’accélère, la foule s’anime une fois encore, le bruit m’assourdit. Mes amis me regardent, interloqués que je connaisse un des combattant. Mon cœur bat à vive allure, nos regards se croisent. Jten pris … perds pas.
Je peine à respirer, l’odeur de cette rage me prend le cœur, je sens que je fais une crise d’angoisse, mes douleurs au ventre me reprenne, merde pas encore un ulcère ! Je me tiens le ventre, non c’est juste une douleur, pas de quoi s’affoler. J’entends une cloche sonner, je me sens mal. J’ai envie de pleurer, de m’excuser, de le prendre dans mes bras, de lui demander pardon, de lui dire que je serais là pour lui, que jamais plus je ne l’abandonnerais, j’aurais dû être là, il a perdu beaucoup de choses, j’aurais dû l’appeler, j’aurais dû faire quelque chose. La culpabilité me prend, c’est horrible. Je le vois se battre comme un forcené, j’espère que ma vue ne l’a pas perturbé. Je panique, on me demande ce qu’il se passe, mais je m’enfuie, je me fraye un passage et finis par sortir du hangar. Je prends l’air, c’était trop … bizarre pour moi. Mais je dois retrouver Jarod, à tout prix, je me retourne et …. « Hey … » j’ose à peine faire un son, ou dire quoi que ce soit. Je tremble de tout mon long. Je n’ai pas peur de lui, son visage est en sang et sacrément amoché. Je déglutie « Pourquoi tu m’as pas dit ? » lui demande je en m’avançant vers lui doucement, sans détourner mon regard du sien « Tu sais que … j’suis là … » mon cœur bat la chamade, j’ai envie de pleurer, c’est atroce « Je suis désolée » dis je dans un murmure. Ma main se lève doucement et je lui caresse la joue avec douceur. Je lui lance un léger sourire, mais je dois avouer que je ne sais vraiment pas quoi faire ni quoi penser
C’est alors que l’on se pousse et soudain, mon cœur s’arrête. Le monde s’arrête. Tout s’arrête. Comme dans un film. Mes yeux sont écarquillés et la peur me prend à la gorge. Pourquoi ? J’aperçois Jarod en plein combat et le visage en sang, la rage se lit dans ses yeux, moi qui l’ait connu si doux, si attentionné, si calme, je ne le pensais pas ainsi. Des larmes tombent et mon cœur se déchire. Je le regarde se battre et je me sens si honteuse. Mon bras gauche se tiens sur mon bras droit et le serre. J’ai mal, j’ai horriblement mal. J’aurais dû le voir, je devrais être là. Je n’ose pas détourner le regard lorsque soudain, un coup se porte fatalement sur son visage, mon cœur tient plus j’explose « JAROD !!!!! » hurle je soudainement, sous les hurlements de la foule en délire. Là, tout s’accélère, la foule s’anime une fois encore, le bruit m’assourdit. Mes amis me regardent, interloqués que je connaisse un des combattant. Mon cœur bat à vive allure, nos regards se croisent. Jten pris … perds pas.
Je peine à respirer, l’odeur de cette rage me prend le cœur, je sens que je fais une crise d’angoisse, mes douleurs au ventre me reprenne, merde pas encore un ulcère ! Je me tiens le ventre, non c’est juste une douleur, pas de quoi s’affoler. J’entends une cloche sonner, je me sens mal. J’ai envie de pleurer, de m’excuser, de le prendre dans mes bras, de lui demander pardon, de lui dire que je serais là pour lui, que jamais plus je ne l’abandonnerais, j’aurais dû être là, il a perdu beaucoup de choses, j’aurais dû l’appeler, j’aurais dû faire quelque chose. La culpabilité me prend, c’est horrible. Je le vois se battre comme un forcené, j’espère que ma vue ne l’a pas perturbé. Je panique, on me demande ce qu’il se passe, mais je m’enfuie, je me fraye un passage et finis par sortir du hangar. Je prends l’air, c’était trop … bizarre pour moi. Mais je dois retrouver Jarod, à tout prix, je me retourne et …. « Hey … » j’ose à peine faire un son, ou dire quoi que ce soit. Je tremble de tout mon long. Je n’ai pas peur de lui, son visage est en sang et sacrément amoché. Je déglutie « Pourquoi tu m’as pas dit ? » lui demande je en m’avançant vers lui doucement, sans détourner mon regard du sien « Tu sais que … j’suis là … » mon cœur bat la chamade, j’ai envie de pleurer, c’est atroce « Je suis désolée » dis je dans un murmure. Ma main se lève doucement et je lui caresse la joue avec douceur. Je lui lance un léger sourire, mais je dois avouer que je ne sais vraiment pas quoi faire ni quoi penser
AVENGEDINCHAINS
(Invité)