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Toi-même tu ne croyais pas à ce que tu avançais, alors comment allait-il pouvoir y croire. Un fin sourire vint déformer ses lèvres et tu fronças les sourcils malgré toi. Il n'y avait absolument rien de drôle à ce que tu disais, mais alors vraiment pas. T'avais espoir que vous trouveriez un terrain d'entente, une manière de continuer à vous voir sans que tu n'ais l'impression de mettre en péril ton couple ou tout du moins, ce que t'essayais de sauver. Torbjörn était de retour, et tu étais heureuse, vraiment. Mais c'était à cet instant que tu te rendais compte à quel point le duo que tu formais avec le suédois s'était fragilisé. Et sans que tu ne t'y attendes, Ezio avança assez près de toi pour que tu te heurtes aux casiers et qu'il t'emprisonne entre ses bras. T'étais bloquée et tu ne voyais aucune issue. En fait, tu n'en cherchais même pas, absorbée par les mots qu'il prononçait. Vous ne seriez jamais amis, tu le savais oui, mais t'avais essayé d'évoquer l'idée au moins, on pouvait pas te l'enlever. Son regard dans le tiens à une si courte distance t'avait fait oublier de respirer. T'étais à la fois apeurée que l'on vous attrape et excitait par la mince proximité de vos corps chauds. Ses yeux se perdaient de temps en temps sur tes lèvres que tu pinças instinctivement. Il te rendait faible et t'avais rendu accro à cette faiblesse. Sa main trouva ta hanche sans grand mal et il se permit d'y déposer de lentes caresses. T'étais perdue. Il te faisait perdre pied avec ce simple contact. Il évoqua le baiser que vous aviez échangés il y a plusieurs semaines et que tu n'avais toujours pas oublié. Tu fermas les yeux un instant et posas ta main sur la sienne avant de les ouvrir à nouveau pour planter tes perles émeraudes dans son regard sombre. « Ezio... Arrête, s'il te plait. » prononças-tu dans un murmure. Tu ne disais même pas cela parce que t'avais envie qu'il arrête mais plus parce que tu y étais obligée. A contre coeur, tu décollas sa paume de ta peau nue et pris une grande inspiration pour retrouver des idées claires. « Qu'est-ce que tu veux ? » demandas-tu, toujours à voix basse. Tes yeux ne le quittaient plus, tu le bouffais du regard sans même pouvoir y faire grand chose.
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Ses doigts effleuraient sa peau tandis qu'il profitait de cette proximité retrouvée. Depuis qu'ils avaient franchis la limite de l'indécence, Ezio en redemandait. Au Spring Break, il avait cherché à capter son attention et avait essayé d'attiser toujours un peu plus ce désir qui s'émanait d'eux. Une tentative qui n'avait pas aboutit à ce qu'il espérait. Au delà d'avoir eu un bisou de sa part, il avait obtenu une certaine complicité, il avait renforcé un lien naissant et oppressant. Le Mather s'était rendu compte que cette fille l'intéressait plus que de raison. Il en était perturbé. Anja captait toute son attention et à côté d'elle, les autres filles paraissaient tellement fades. Les yeux rivés vers elle, il n'arrivait pas à détacher son regard. Il était obnubilé par sa présence et par sa main sur son ventre. Il pouvait enfin la toucher. Ils étaient dans une bulle, un cercle invisible qui lui faisait perdre la raison. La blondinette ferma les yeux. En la voyant faire, il s'humidifia les lèvres et chercha, au plus profond de lui, le courage de ne pas l'embrasser. Elle était là, juste devant lui, presque à sa merci, prisonnière de son emprise. Anja vint rejoindre son mouvement en posant sa main sur la sienne. A ce contact, Ezio intensifia ses caresses. Elle le rendait complètement fou. Elle ouvrit délicatement les yeux. Il lui afficha un sourire aussi malicieux que provocateur. Il voulait des réponses mais elle lui demanda d'arrêter et vint enlever sa main de sa peau. Non. Le Mather fronça les sourcils. Il ne pouvait pas se contenter de cette réponse. Dans un murmure, elle lui demanda ce qu'il voulait, ce qu'il attendait d'elle. Ezio vint déglutir. « Ne m'oblige pas à le dire Anja. » répondit-il, faiblement. Le temps n'appartenait qu'à eux. Les deux étudiants étaient dans leur bulle et Ezio se jurait presque de tuer quiconque viendra interrompre ce moment. Elle le regardait, elle le perturbait. Il ne pouvait pas se permettre de la perdre, c'était maintenant ou jamais, cette occasion ne se représentera peut être plus. « C'est toi que je veux. » lança-t-il en plantant son regard dans le sien. Voilà. C'était dit.
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Il avait ce sourire à la fois malicieux et provocateur. Ses caresses te perturbaient autant que son regard, et pendant quelques secondes interdites, t'apprécias le mouvement de ses doigts sur ta peau. Mais l'image de Torbjörn te revint vite en mémoire et tu le stoppas. T'avais pas le droit, vous n'aviez pas le droit. Votre baiser avait déjà enfreint des mœurs auxquels tu portais, d'ordinaire, tant d'importance. Mais Ezio avait tout chamboulé. Tu luttais, du mieux que tu pouvais. Alors tu retiras sa main de sous ton t-shirt et lui demandas ce qu'il voulait. Ne m'oblige pas à le dire Anja. Si. Si tu voulais qu'il te le dise. T'avais besoin de l'entendre le dire à voix haute. Parce que t'étais perdue et que t'avais besoin qu'il te dise le fond de sa pensée. Ses yeux plantés dans les tiens, tu attendais, la gorge nouée. Quand enfin il exprima ce qu'il désirait, ton cœur rata un battement. Tu baissas la tête vers vos pieds et fermas les yeux. Fallait que tu réfléchisses. Mais son corps trop près du tiens te brouillait l'esprit et tu n'étais plus certaine de penser correctement. Au bout de quelques secondes, tu relevas la tête pour fixer ton regard dans ses iris sombres à ton tour. « C'est moi que tu veux ? Ou tu veux juste avoir la satisfaction de m'avoir dans ton pieu ? » dis-tu, amère. Tu connaissais parfaitement le côté coureur de jupon de l'italien, t'en avais même été témoin plusieurs fois dont là, il y avait à peine cinq minutes. Donc qu'il dise te vouloir toi, c'était presque ambigu à tes yeux. T'étais pas certaine que ce qu'il voulait dire à travers ces mots, c'était ce que t'avais espéré. Tu ne lui laissas pas vraiment le temps de répondre pour ajouter une explication à ta réponse « Y a encore cinq minutes tu cherchais à prendre l'autre nana dans les toilettes, et là tu me dis me vouloir moi. Tu m'excuseras de ne pas être certaine de bien comprendre ce que tu voulais dire par là. ». Tu t'en voulais presque de lui dire ça, alors qu'il avait eu l'air de prendre son courage à deux mains pour te dire ces cinq petits mots, mais il restait Ezio, et tu restais Anja. Rien n'était facile.
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Pour qu'Ezio avoue une telle chose, il fallait vraiment se lever de bonne heure. Anja avait prit de l'ampleur dans sa vie, trop d'ampleur, sans qu'il ne puisse l'éviter. Il avait prit un malin plaisir à la taquiner et s'était rapidement retrouvé piégé à son propre jeu. Cette fille n'avait rien de semblable aux autres. Elle était spéciale et il en appréciait presque son petit côté folle enragée. Le corps collé contre le sien, il en perdait la raison et avait énormément de mal à rester concentré. Les yeux rivés vers elle, il scrutait ses yeux puis ses lèvres en attendant sa réaction. Il essayait une nouvelle tactique, l'intimidation. Mais dans ce petit jeu, il se dévoilait beaucoup plus qu'il ne l'aurait voulu. La satisfaction de l'avoir dans son pieu, Anja avait vu juste. Elle était son but ultime, son défi, sa consécration. Malheureusement pour lui, les sentiments s'en étaient mêlés, faisant de lui un esclave, un minable et un moins que rien. La blondinette continua dans sa lancée et vint l'accabler d'accusations. Ce à quoi le Mather afficha un large un sourire malicieux. Alors comme ça, c'était vraiment de la jalousie, intéressant. Il leva les yeux pour les planter dans les siens et s'humidifia les lèvres lentement. « La prendre dans les toilettes ? T'es mignonne mais j'ai un minimum d'amour propre pour pas baiser n'importe qui, n'importe où. » commença-t-il. Instinctivement, il s'approcha encore un peu plus d'elle et vint replacer la main qu'elle avait enlevé, juste à côté de son visage pour la faire prisonnière de son emprise. « Si tu tiens vraiment à savoir ce que je veux Anja, écoute bien parce que je ne le répéterais pas. » murmura-t-il avant de décaler son visage et de placer ses lèvres, juste au bord de son oreille. « Je te veux Anja, j'ai envie de toi, j'ai envie d'te prendre contre les casiers, juste là. J'veux sentir ton corps en ébullition contre le mien, j'veux te faire perdre tes moyens, j'veux t'entendre hurler mon prénom. » Poussant le vice à son maximum, il décolla sa main du mur et le posa sur sa hanche, une nouvelle fois. « J'veux t'entendre jouir de plaisir. » Délicatement sa main décala vers sa cuisse, l'obligeant à se pencher légèrement vers l'avant. « J'veux que tu largues ton copain débile et que tu sois mienne. » susurra-t-il avant de venir attraper le lobe de son oreille et de l'embrasser sensuellement. Ezio avait du mal à faire face et à rester correct dans ses propos. Elle réveillait ses pulsions les plus primaires. Brusquement il la lâcha et se recula, mettant une grande distance entre leurs deux corps. Il écarta légèrement les bras avant de reculer d'un pas ou deux, histoire de ne pas sauter dessus. « Un jour tu seras à moi. J'ai tout mon temps Anja. » affirma-t-il, sur de lui, comme toujours.
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T'essayais d'avoir le regard dur, mais la présence d'Ezio et l'atmosphère chaude dans laquelle vous baigniez ne t'aidaient vraiment pas. Il ne semblait pas irrité par tes paroles, au contraire, tu l'amusais. Il te prenait de haut, comme si tu n'étais qu'une petite chose face à lui, et ça t'énervait. Il pensait avoir le contrôle à cet instant, mais c'était se tromper que de penser que tu étais enclin à ne pas résister et à ne pas te battre toi aussi. Il te bouffait du regard et tu tentais tant bien que mal de ne pas succomber, n'ayant de cesse que d'avoir le visage de ton petit ami en tête. Il s'approcha un peu plus de toi et ton corps refusait de bouger, ne serait-ce que d'un petit millimètre. Tes yeux plantés dans les siens, tu le défiais d'avancer plus s'il tenait vraiment à sa vie. T'avais beau le désirer au fond de toi, t'étais déterminée à ne pas lui donner totalement raison et satisfaction. Son souffle chaud claquait contre ton visage et il se décala jusqu'à ton oreille pour te susurrer des mots interdits. T'avais autant envie de fuir que de rester. Chaque syllabe était une nouvelle claque, te procurant une excitation qui te chatouillait le bas ventre. Ta respiration était plus rapide, moins régulière. Tu serrais tes poings pour te contenir de faire quoi que ce soit. Résister. Résister un peu plus, un peu plus longtemps. Il était le vice, le péché, et tu ne pouvais te laisser tomber dedans. Il descendit de nouveau sa main jusqu'à ta hanche, ce qui te procura comme une mini décharge dans tout le corps. Tu voulais qu'il arrête, ou pas. T'étais déchirée entre l'envie et la raison. Sa main s'aventura sur ta cuisse et tu ne bougeas pas, savourant malgré toi son toucher. Enfin, il t'exprima son désir de te voir quitter Torbjörn et d'être sienne. Tu fronças les sourcils mais bien vite, la frustration laissa place à la surprise. Il jouait avec ton lobe d'oreille et tu te sentais impuissante, à sa merci une petite seconde. Et tu te maudissais pour ça. Tu tournas la tête du côté opposé au sien pour qu'il arrête et c'est ce qu'il fit. Il se recula brusquement et mit de la distance entre vos corps. Tu pouvais respirer à nouveau. A quelques pas de toi, il te promit de te faire sienne un jour, et tu ne laissas parler aucune expression sur ton visage. Tu te noyais dans un cocktail explosif d'émotions aussi contradictoires les unes que les autres. Il était fier de lui et surtout, bien trop sûr de ce qu'il avançait. Tu te pensais incapable de bouger et pourtant, tu te décollas des casiers et t'approchas de lui, te mettant assez proche de lui pour qu'il t'entende lorsque tu murmuras, tranchante « Amuse toi bien avec tes poupées gonflables Scorsese, parce que tu risques d'attendre un moment. ». Puis, tu t'écartas et te dirigeas vers le fond du couloir pour reprendre ta marche initiale, celle que tu avais arrêté pour venir faire chier Ezio. Au final, tu n'en sortais que plus chamboulée.

FIN
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