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On était en plein milieu d'après-midi lorsque tu faisais ton entrée dans le grand hall d'Harvard. Le bruit de tes talons résonnait dans les couloirs en même temps que tu te dirigeais vers un des bâtiments académiques. Yeux rivés sur ton téléphone, tu répondais au dernier sms de Torbjörn pour l'informer que tu avais un trou dans ton emploi du temps et lui demander si vous vous voyiez toujours après les cours. Son arrivée à Harvard t'avait toute retournée. Si on t'avait dit il y a encore un mois que ton petit ami viendrait te rejoindre ici, tu aurais certainement ri. Mais il était bien là. Une fois le message terminé, tu rangeas ton téléphone dans ta poche et relevas les yeux vers le couloir qui s'étendait face à toi. Ton regard se posa sur des courbes que tu connaissais très bien. Ezio. La main posée contre un des casiers et une fille entre celui-ci et lui. Il se tenait proche de son visage, prédateur, le sourire aux lèvres. La jeune femme semblait apprécier son jeu de séduction pendant que toi, tu bouillais de l'intérieur. Quel enfoiré. Cela faisait quelques semaines que tu avais appris qu'il était avec Asra, ton amie, et le voir ici avec une autre brune que la jeune Osborne te faisait fulminer. Ou peut-être est-ce que tu ne supportais juste pas de le voir là, avec une autre fille ? Tu chassas cette pensée de ta tête et arrivas à leur hauteur bien assez vite. Armée de ton sourire hypocrite, tu appuyas ton épaule contre le casier juste à côté d'eux « Marie c'est ça ? » demandas-tu à la jeune femme. Et avant même qu'elle ne te réponde, tu ajoutas « Ah mais non pardon, Marie c'était celle d'hier. » tout en faisant mine d'avoir fait une bourde. Tu vis la demoiselle froncer les sourcils avant de se dégager de l'emprise d'Ezio et de s'en aller. Ton regard la suivait, t'assurant qu'elle n'allait pas faire demi-tour. Une fois disparue de l'horizon, tu reportas ton attention sur le mather en lui offrant un petit sourire malicieux. « Oups. » dis-tu, simplement.
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Une belle blonde. Voilà de quoi passer le temps et se changer les idées. En temps normal Ezio préférait les brunes mais la depuis quelques semaines il semblait plus attiré vers une chevelure dorée, allez savoir pourquoi. La main brûlante délicatement posée sur le casier en ferraille, il avait trouvé une belle proie. Un beau mélange entre une italienne et une américaine ou du moins, de ce qu'il avait retenu. Le Mather n'écoutait absolument pas ce qu'elle disait. Elle lui faisait croire qu'elle parlait sa langue maternelle mais en réalité elle ne faisait qu'ajouter bout à bout des mots qui ne voulaient rien dire. Par pure stratégie de séduction Ezio rentrait dans son jeu et lui répondait des phrases désobligeantes en Italien, des phrases sur bien sûr elle ne comprenait pas. Ils étaient dans leur petit monde, il l'a draguait et elle rigolait, lui faisant parfaitement comprendre qu'il pouvait aller plus loin. Et alors qu'il leva sa main libre pour la poser sur sa joue, il sentit une présence, entendit une voix qui le stoppa net. Anja s'appuya contre les casiers et fit dégager la fille en deux phrases. Deux malheureuses phrases suffirent à faire partir son plan cul de l'après-midi. Ezio regarda la fille s'en aller, d'un air désabusé et se tourna vers Anja. « C'est quoi ton problème sérieux ? » râla-t-il, pas content du tout. Il fronça les sourcils et enleva sa main du casier. « Va t'occuper de ton mec de merde au lieu de venir me casser les couilles. J'veux bien être gentil mais là ça ne va pas le faire du tout. Donc t'es mignonne mais occupe toi de ce qui te regarde. » grogna-t-il. Le Mather se pencha légèrement vers l'avant et attrapa son sac à dos qui contenait pas grand chose d'ailleurs. Ezio était à Harvard en touriste.
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Dans le fond, t'étais pas peu fière de ce que tu venais de faire. Tu remarquas l'expression abattue d'Ezio et y vis une victoire. Lui arracher un plan cul sous son nez te plaisait plus que de raison. Certains diront que c'est malsain, que tu n'as aucune droit de faire ça mais tu t'en foutais, tu nierais tout. Parce que c'est ce que tu faisais depuis le début après tout. Nier. L'italien te fusilla du regard en te demandant quel était ton problème. Ton problème ? Lui, tout simplement. Comme toujours. Tu faisais tout pour l'éviter et pourtant à cet instant, c'était toi qui avais fait le premier pas. Pas dans l'idée d'être amicale ou quoi mais tout de même. Il qualifia Torbjörn de mec de merde et tu ne pus t'empêcher d'hausser les sourcils, surprise par son vocabulaire aussi cru bien que venant de lui, ce n'était pas aussi étonnant. Toujours épaule contre le casier, tu ne le lâchais pas des yeux « Tu t'es levé du pied gauche ce matin ? » demandas-tu, moqueuse, avant de te pencher vers lui, le regard plus dur « Et t'as vraiment cru que j'allais te laisser batifoler avec une gonzesse devant mes yeux alors que tu sors avec ma pote ?! ». Il pouvait rêver. Ok, peut-être que t'utilisais Asra comme excuse, mais t'étais crédible. Jamais tu ne laisserais le mec de ta pote s'en faire une autre sous tes yeux. Point.
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Ezio ne s'énervait jamais mais la il sentait bien que la situation lui échappait totalement. Anja avait dépassé les bornes et ouais clairement il ressentait un peu de colère. Pas au point de péter un gros câble mais juste de quoi bien le faire rager. Il la regardait d'un air assez mauvais en comparaison avec les regards qu'il avait pu lui lancer dans le passé. Blessé dans son estime et touché dans son égaux, il vint déglutir difficilement. « Ouais j'me suis levé du pied gauche et j'suis pas d'humeur pour tes sarcasmes. » répondit-il d'un air assez tranchant. Et alors qu'il allait partir, Anja lui sortit une excuse de merde sur son faux couple avec Asra. C'était la meilleure celle là. Depuis quand avait-il besoin qu'on le surveille ? Personne n'avait surveillé la blondinette quand elle avait flirté avec lui. « Qu'est ce que ça peut te faire Eldjarn ? Je n'ai de comptes à rendre à personne et surtout pas à toi. » lança-t-il. Mais qu'il pouvait être mauvais quand il s'y mettait celui là. Ezio croisa ses bras contre son torse et la fixa quelques secondes avant de reprendre.« J'suis plus avec Asra, c'était juste du sexe entre elle et moi, ça n'aurait mené nulle part de toute façon. » conclut-il sur un ton un peu plus doux et détaché. « Donc tu vois finalement ce n'était pas la peine de venir jouer les jalouses et me niquer mon plan cul. » dit-il. Ezio decroisa ses bras et vint mettre ses mains dans les poches de son jean. Le tout, pas content bien évidemment.
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Ce regard mauvais qu'il te lançait te donnait de légers frissons. Il avait, manifestement, pas apprécié que tu viennes le déranger à deux doigts de conclure. Mais tu ne laissais rien paraître, gardant le regard dur et l'expression pleine de malice. Il s'était amusé à te faire chier pendant des mois, faisant exprès de te pousser dans tes retranchements, de te faire péter les plombs. Et voilà que les rôles venaient d'être échangés. Sa rage te faisait sourire alors que ton sourire le faisait rager. Il t'annonça n'avoir de compte à rendre à personne et surtout pas à toi. Certes, t'étais pas sa pote, et encore moins sa petite amie. Mais tu t'en foutais. Il croisa ensuite ses bras contre son torse, te faisant face, et un court silence s'installa pour laisser place à une bataille de regard. Tu ne le lâchais pas et lui non plus. Quand soudain, il annonça ne plus être avec Asra. La surprise pouvait se lire sur ton visage. Pardon ? Cette histoire n'avait donc même pas durée un mois. La bonne blague. T'avais toujours su qu'il n'était pas capable de rester avec la même nana plus d'une nuit. Il t'informa qu'il n'avait été question que de sexe et tu te retins de déglutir, chassant les images qui te venaient. T'avais pas apprécié de savoir qu'ils s'étaient mis ensemble, et t'appréciais encore moins qu'il te dise clairement ce qu'ils avaient passé leur temps à faire. « Jouer les jalouses ? Je pense que t'as mal interprété ma venue Scorsese. » dis-tu, froide. Si t'étais jalouse, bordel, mais t'avais pas le droit. « Et arrête de pleurnicher parce que je t'ai volé ton joujou de la journée, tu t'en trouveras un autre bien vite. » déclaras-tu, limite en colère à ton tour. T'aurais jamais dû venir jusqu'à lui, ça avait été une mauvaise idée, mais sur le coup t'avais pas pensé aux conséquences. « Tu sais quoi Ezio ? Va te faire voir. Ça fait même pas cinq minutes que je te parle et tu me saoules déjà. » dis-tu, tranchante, avant de décoller ton épaule des casiers pour partir.
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C'était fou comme une seule personne pouvait réduite à néant un caractère tout entier. Ezio était célèbre pour son calme légendaire et pour son jemenfoutisme le plus complet. Pourtant là, il était loin de ressembler à ça. Il ne voulait pas l'admettre mais le fait de savoir que le fameux copain suédois avait débarqué ici et de les avoir apperçu la dernière fois, le rendait exécrable. C'était ni plus ni moins que de la jalousie. « J'veux pas en chercher une autre, c'est elle que je voulais. » râla-t-il en désignant le côté droit du couloir, celui que la brunette avait emprunté pour s'évaporer de cette situation. La provocation habituelle avait prit une autre tournure, le Mather en était parfaitement conscient. « J'te saoule ? Bah dégage. C'est toi qui est venu me parler, t'es pas contente tu t'en vas. Allez. T'as pas des choses à faire là ? » grogna-t-il. Son regard se détacha d'elle. « Va re... » Il s'arrêta de parler avant de reporter son attention sur la blondinette. Ezio s'apprêtait à lui dire va rejoindre ton mec, suivit certainement d'une quelconque insulte vulgaire. Mais il se rendit compte à la dernière seconde qu'évoquer son mec ferait de lui un jaloux. Il ne voulait pas admettre l'évident. « Va faire chier quelqu'un d'autre. » conclut-il d'un air convainquant. Rhaaaa, elle le rendait fou.
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Ezio t'apparaît comme le pire des capricieux à cet instant. A râler parce qu'il n'avait pas celle qu'il voulait là, maintenant. Parce que tu l'avais privé du petit plaisir qu'il allait s'octroyer en sa compagnie, mais tu t'en foutais, tu ne regrettais en rien de lui avoir casser son plan cul. Ton seul regret se résumait à ça. Ce que vous faisiez. Vous vous bouffiez, vous envoyez des piques pour que ça fasse mal, rien d'autre. Tu l'agaçais et lui t'énervait. C'était simple, et pourtant si compliqué dans le fond. Et rien que de voir sa gueule de mec enragé, t'avais juste envie de lui en coller une. Il te parlait mal, et tu lui rendais bien. T'étais très bonne à jouer les têtes de con, et lui aussi apparemment. Il t'encourageait à partir, sans prendre de pincettes, ce que tu fis. T'avais à peine fait deux pas qu'il te pria d'aller faire chier quelqu'un d'autre, ce qui te fit arrêter net. Tes poings se serraient d'un coup et tu faisais volte face pour revenir jusqu'à lui, le poussant contre les casiers « C'est toi qui dit ça ?! Ça fait des mois que tu t'amuses à me faire chier et parce que j'ai osé te retirer ton quatre heures, tu montes sur tes grands chevaux ?! » dis-tu, en rogne. Tu le pointas du doigt, menaçante « T'es qu'un gamin capricieux Ezio, grandis un peu ! » lui conseillas-tu, les joues rougies par la colère.
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Ezio n'allait pas par quatre chemins, il ne voulait pas la voir. Pas maintenant, pas après ce qu'il avait vu et d'ailleurs, s'il écoutait son impulsivité, il ne voulait plus jamais la revoir. Le Mather se détestait et n'admettait pas qu'une petite suédoise chieuse et arrogante ait réussit là où toutes les autres avaient lamentablement échouées. De toutes les filles qui existaient sur terre, il a fallut qu'il ne faiblisse pour une déjà en couple. Finalement, Anja le laissa en plan et prit la direction de la sortie. Ezio soupira bruyamment. Il était enfin tranquille jusqu'à ce que la blondinette revienne à la charge. « Ouais t'as tout compris, juste parce que tu m'as retiré mon quatre heures. C'que tu peux être égoïste, il ne te viendrait pas à l'esprit que cette fille puisse réellement me plaire ? » râla-t-il, toujours un peu plus. Elle le traita de gamin capricieux. Il fronça les sourcils. « Mais va t'faire foutre. » grogna-t-il. Pour une fois, elle n'était pas toute seule à s'énerver, il entrait dans le game aussi. La colère s'accentuait à vu d'oeil, ce n'était pas bon du tout. Ezio n'aimait pas cette situation qui lui échappait totalement. Le couloir s'était vidé, ils n'étaient plus que tous les deux. Le Mather se décolla de là et contourna Anja qui le suivit du regard. D'un coup, sans qu'il ne sache vraiment pourquoi, son visage se détendit rapidement. Il haussa les épaules. « C'bon t'as raison, j'suis qu'un gamin capricieux. Vas-y, j'te laisse partir Anja, je ne t'emmerderais plus. » dit-il avant de serrer sa mâchoire. Ezio décida d'arrêter tout ça et de se détacher d'elle, de son mec et de cette situation de merde qui l’obnubilait complètement.
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Que cette fille lui plaise réellement ? T'y avais pas pensé et en toute honnêteté, t'avais aucune envie d'y penser. Il faisait ce qu'il voulait, mais tu ne pouvais t'empêcher de réagir lorsqu'il agissait devant toi. T'avais cette boule au ventre qui te poussait à venir le voir et à détourner son regard des autres. Ton petit commentaire vis-à-vis de son comportement d'enfant capricieux ne lui plut qu'à moitié puisqu'il te gratifia d'un aimable va te faire foutre. En réalité, t'avais dû mal à réaliser qu'après le week-end que vous aviez passé à New-York, à rire ensemble malgré vos petites embrouilles banales, vous en soyez encore à vous tirer les cheveux. Seuls dans ce long couloir, on pouvait entendre tes talons claquer contre le sol sous le poids de l'énervement et de l'agacement. Tu jurais intérieurement. Tu perdais patience à vrai dire. Est-ce que t'avais déjà été dotée de patience avec Ezio en fait ? Il semblait tout aussi agacé que toi quand soudain, il reprit son air détaché. Celui que tu ne supportais tout simplement pas. L'italien annonça qu'il n'avait plus l'intention de t'emmerder à l'avenir et toi, ça t'emmerdait. Ne plus le voir tout faire pour t'embêter t'emmerdait. Contradictoire ? Tu n'avais jamais été une femme simple à suivre. Alors tu croisas les bras et le fixas dans les yeux, intensément. T'essayais de lire en lui, de comprendre comment il pouvait être aussi con parfois. Au bout de trente secondes de silence, tu relâchas tes bras le long de ton corps et soupiras. « Sérieusement Ezio. Tu me donnes l'impression que le week-end dernier n'était même pas réel. » avouas-tu, lasse. Ta rage était redescendue, mais tu savais pertinemment qu'un rien pourrait te faire repartir en furie. « J'avais même commencé à me dire qu'on pourrait devenir... amis. » dis-tu, hésitant sur le dernier mot. Amis... Avec Ezio ? T'avais presque envie de rire.
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Ok. Stop. Ezio essayait de se persuader qu'il arrêtait ici les frais. A quoi bon s'acharner dans une pseudo attirance qui ne mènera nulle part ? Anja avait son mec et lorsqu'il les avait vu ensemble, ils respiraient la joie vivre. Il devait se rendre à l'évidence. Elle était en couple et lui était seul, désespéramment seul. Il posait les armes et capitulait. Il prit son air détaché et vint presque lui sourire. Le petit Scorsese pouvait être convainquant quand il s'y mettait. La réaction de la suédoise ne se fit pas attendre. Elle semblait exaspérée par son comportement. Il haussa les sourcils, surprit par sa remarque. Putain, il ne s'attendait pas à ce qu'elle évoque leur week-end, surtout pas après le retour de son mec. Il entrouvrit la bouche, surprit. Et la suite fut encore plus déroutante. Le Mather ne laissait rien paraître, comme à son habitude. Il vint même afficher un mince sourire sur ses lèvres. Sa tête se tourna malicieusement vers le droite, puis vers la gauche, histoire de s'assurer que personne ne les voyait et reporta son attention sur Anja. Sans chercher à comprendre plus loin, il s'approcha d'elle et l'obligea à reculer, la plaquant presque contre les casiers. Il colla son corps contre le sien et posa ses mains sur le métal froid, juste à côté du visage de la blondinette. « Ne rêve pas Anja, on ne sera jamais amis et tu l'sais aussi bien que moi. J'vais être clair... » dit-il en penchant légèrement sa tête sur le côté. Son rythme cardiaque s'intensifia. Cette proximité était aussi enivrante que dévastatrice. Son regard vacillait entre ses yeux et ses putains de lèvres qu'il goutterait bien, ne serait-ce qu'une dernière fois. Il détacha une de ses mains du mur et vint le poser sur sa hanche. Il la fit glisser sous son manteau et vint caresser lentement sa peau nue et chaude. « Dis moi que t'as rien ressenti quand on s'est embrassé ... Dis moi que t'as pas aimé ce week-end ... Dis moi que là maintenant, tu ne ressens rien du tout et j'te laisse tranquille. Donne moi une seule bonne raison de ne pas tout lâcher. » finit-il par avouer sans rompre cette proximité. Allez ma jolie, les cartes sont entre tes mains là.
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