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ce qui t'est destiné trouvera le moyen de te rejoindre (Ash)

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Tout le début de semaines je n’avais été obnubilé que par ça : son absence. Bon bien sûr, au début, le dimanche, j’avais simplement pensé qu’elle avait changé d’avis. J’avais fait défilé le fil de nos derniers sms et j’avais réalisé que j’avais été peut être un peu envahissant, peut être un peu insistant avec mes ‘sois sages’ et compagnie, alors qu’on n’avait rien signé, on avait re-couché ensemble et quoi ? On n’avait pas pour autant décidé que ça devait changer quoi que ce soit entre nous… Bref, c’était l’explication la plus logique sur le pourquoi elle n’arrivait pas… Sauf qu’après le cambriolage, le temps passant, après avoir alerté la plupart de ses amis et en apprenant qu’aucun d’eux ne parvenaient à la joindre, les films les plus fous se jouaient dans ma tête. On avait même joué les inspecteurs gadget avec Lucky en cherchant le moindre indice au loft… Rien. On n’avait aucune piste et ce ne fut que ce jeudi, vers midi, quand mon téléphone vibra que je sentis le nœud qui me serrait le bide s’alléger enfin : Ash. Enfin Ash depuis le téléphone de Lucky. Après plusieurs sms échangés, j’étais un peu rassuré, même si elle avait été pas mal touchée par cet ‘accident’ elle m’assurait bien aller, et elle était avec sa meilleure amie. Elle comptait y rester pour la semaine mais m’envoya l’adresse pour que j’y rende. Un coup d’œil à l’heure, je ne pourrais pas y aller avant ce soir, tristesse… Je venais de commencer au garage, j’essayais d’être ponctuel et je ne pouvais pas recommencer à répéter les absences si je ne voulais pas voir l’histoire se répéter comme avant mon ancien boss. Une fois au travail néanmoins, je me rendis vite à l’évidence que je n’étais pas efficace. Passant mon temps à regarder l’horloge, impatient, avec des difficultés monstres pour me concentrer, j’eus finalement cette idée : un dépannage. Lucky devait bien avoir une voiture. Ash approuva et le téléphone ne tarda pas à sonner, dans le bureau du patron. Il sortit, quelques minutes plus tard, m’annonçant qu’on avait besoin de moi, me dictant l’adresse de miss Burberry avant de m’envoyer les clés de la dépanneuse que je réceptionnais habilement, direction le véhicule.  Une fois au volant, sur le trajet, je me rendis compte que mon pouls s’était sensiblement accéléré, que je souriais niaisement, que j’étais vraiment bien trop enthousiaste de la retrouver… On remettra ça sur le compte de la peur endurée ces derniers jours. Je garai mon camion dans la rue, descendis et fis quelques pas pour arriver jusqu’à l’interphone, tiquant en voyant le nom à côté de celui de Lucky : Nina Dunford. Nina comme la Nina du garage ? C’était vrai qu’Ash m’avait parlé qu’elle était amie avec Lucky. Et Dunford comme Hippo ? Ca par contre, ça m’intriguait encore plus. Enfin, pas le moment de se questionner, j’appuyais sur la sonnette,  là dans mon bleu de travail, trop hâte de revoir ma meilleure amie…  

@Ashleigh H. Strauss
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Assise dans l'une des chambres de l'appartement de Lucky, le téléphone de cette dernière en main, tu avais textoté Denys pour lui annoncer que tu étais vivante, que ça allait et que tu étais chez ta meilleure amie. Plusieurs SMS, tu pouvais facilement sentir qu'il se faisait du soucis. Les questions s'enchaînaient et tu essayais de le rassurer, n'ayant pas envie qu'il se fasse plus de sang d'encre qu'il ne s'en était déjà fait. Surtout, t'avais pas envie de ressasser tes mensonges. Tu voulais juste lui parler, avoir de ses nouvelles, savoir comment lui il allait. Il arrivait malgré tout à te mettre le sourire aux lèvres avec ses petites taquineries ou tout simplement ses paroles, disant qu'il préférerait que tu rentres au loft ou qu'il ne voulait pas partager ta garde. Ça te faisais du bien de lui parler, pourtant, c'était pas suffisant. T'avais envie de le voir. De sentir sa présence à tes côtés. Ses bras autour de toi. Il te manquait. Et il envisageait de passer ce soir, alors tu avais hâte. Tu t'impatientais, te reposant un peu, allongée dans ton lit, quand le son d'un SMS vint à tes oreilles. Attrapant le portable, c'était encore Denys. Quelques heures que vous n'aviez plus parlé, lui étant au travail, et voilà que monsieur s'impatientait. Trop long d'attendre ce soir pour te voir, il proposait une idée pour venir dans l'après midi : que tu appel son garage pour qu'il se ramène. Le sourire au lèvre, son message te faisais bien plus que plaisir. Tu grattais alors des infos en lui disant que tu devais beaucoup lui manquer. Sa réponse, provoqua une pointe dans ta poitrine. Tu n'as pas idée... qu'il avait répondu, te donnant encore plus envie de le voir. Tu avais pianoté aussitôt une réponse, tu voulais le numéro de son boulot, pour appeler tout de suite et qu'il arrive au plus vite. A peine le numéro reçu, tu étais avec le smartphone a l'oreille, réclamant l'aide d'un mécano à son patron car ta voiture ne voulait pas démarrer. Le tour joué, tu lui affirmais que son bosse devrait venir lui donner la mission. Il avait eut l'idée de trouver une ruse rien que pour venir te voir, ne pouvant pas attendre ce soir, et ça te laissait pas du tout indifférente... T'informais ainsi ta meilleure amie qu'il allait débarquer et afin de vous laisser seuls, elle sortit faire des courses. Assise sur le canapé, regardant la télé, tu checkais l'heure, ne sachant aucunement le temps qu'il lui fallait pour venir ici. Cette attente te paraissait interminable. Il prenait son temps ? Le temps c'était arrêté ? Non parce que toujours aucun signe du mather. Jusqu'à que l'interphone sonne. Le coeur battant, tu fonces vers celui ci. Monte c'est l'appartement 6 dis tu en appuyant sur le bouton pour le laisser pénétrer dans l'immeuble. En attendant tu accours vers la chambre pour chopper des lunettes de soleil que Lucky t'a passé. Tu les poses sur ton nez, tu veux pas qu'il flippe, parce que ton visage c'est le premier truc qu'il verra sans les lunettes. Tu te caches donc derrière, histoire de pas gâcher les retrouvailles avec des questions et inquiétudes. Pas pour les premières minutes. Ca frappe finalement à la porte, ta main posée sur la poignée, tu attends quelques secondes, à la fois contente et effrayée de le revoir. Depuis la dernière fois que tu l'as vu, t'es bien consciente que les choses ont changé de ton côté. T'appréhendes. Tu sais pas comment te comporter. Tu sais juste que t'as envie d'ouvrir cette porte qui vous sépare. Un second frappement sur la porte et tu tournes la poignée, laissant cette porte qui vous sépare, vous réunir... Denys sur le pas de celle ci, tu viens te loger contre lui, dans ses bras, pour un câlin qui exprime combien t'es contente de le voir. Pas besoin de paroles, à ta façon de le serrer, à votre étreinte, il comprend...

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Sa voix résonna dans l’interphone et rien que ça, déjà, ça fit s’élargir mon sourire. L’entrée déverrouillée, je pénétrais dans le hall, fonçant vers les escaliers trop impatient pour monter via l’ascenseur, trop pressé aussi. Devant la porte numéro 6, je frappai nerveusement, des coups brefs, qui trahissaient probablement mon impatience… Et puis l’attente qui s’écoula ensuite avant que la porte ne s’ouvre me parut des heures… Combien de temps ça avait véritablement duré ? Probablement quelques secondes. Mais ça avait suffit pour que mon cerveau repasse en mode questionnement incessant. Ca suffit pour qu’il se repasse le fil de nos sms, qu’il s’interroge sur le ressenti de la demoiselle, si notre rapprochement n’allait pas être complètement remis en question par son accident. Et si elle en avait marre de moi ? Et si tout cela ne voulait tout simplement rien dire pour elle ? La voix de la peur. Ma voix rassurante interne avait beau m’hurler qu’Ash n’aurait pas accepté si rapidement de me voir, n’aurait pas accepté ce plan ‘dépannage’, ne m’aurait pas écrit que je lui avais manqué, c’était trop tard, la voix flippette l’emportait en me répliquant mentalement qu’elle avait préféré filer chez Lucky, qu’elle comptait passer la semaine là, que c’était d’ailleurs chez Lucky et Nina qu’on allait se voir, peut être même que les deux colocs étaient là, peut être qu’Ash avait calculé cela pour que l’on ne soit pas seuls elle et moi justement, peut être que… Oui, il s’en passait des choses dans la tête d’un Zacharias. En gros, en quelques secondes, le stress avait remplacé l’impatience. Et c’est peut être moins assuré, déjà, que je frappai à nouveau. Parce que j’avais malgré tout envie de la voir, quand bien même c’était pour qu’elle m’annonce qu’on devrait arrêter nos bêtises, j’avais eu trop peur pour elle ces derniers jours je voulais constater de mes yeux qu’elle allait bien. La poignée s’enclencha, la porte s’ouvrit. Ash apparut. Je n’eus le temps d’apercevoir qu’une tornade de cheveux blonds parce qu’elle fonça sur moi, se blottissant contre moi. « Doucement tu sors de l’hosto… » rigolai-je alors, me rappelant qu’elle avait insistée sur le fait qu’elle avait été sérieusement blessée. Mais ne résistant pas, mes bras s’enroulèrent quand même autour d’elle, prudemment, tendrement. Mon visage s’enfouit dans ses cheveux, inspirant son parfum, une bouffée enivrante d’Ashleigh. Un baiser sur le sommet de sa tête et j’avouai dans un souffle : « Tu m’as trop manqué Ash… » Mes phalanges glissèrent alors le long de son visage, me reculant en desserrant un peu notre étreinte pour mieux pouvoir la contempler, remarquant qu’elle s’était cachée derrière de larges lunettes noires… « Je sais que je suis rayonnant mais je crois que tu peux enlever ça, je devrais quand même pas t’éblouir au point de t’aveugler… » commentai-je avec un faible sourire, constatant déjà et malgré l’accessoire devant ses yeux, combien son visage avait été marqué par l’accident. 
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Il était là, juste en bas, attendant pour que tu lui ouvres. Tu le faisais, te précipitant finalement pour attraper des lunettes de soleil, afin qu'il ne voit pas directement tes hématomes. Puis le stress fit son arrivée quand tu entendis des coups sur la porte. T'avais terriblement envie de le revoir, mais c'était cette terrible envie qui te faisais flipper aussi. C'était pas normal de vouloir voir autant son meilleur ami. Evident, tu ne le voyais plus comme tel. Et pourquoi ? Pourquoi sur tous les hommes qui font partis de ta vie, il avait fallut que ça tombe sur lui ? Il était ce que tu avais de mieux. Votre lien est un des plus forts que tu possèdes. Pourquoi il fallait que tu t'attaches à lui de cette façon, pour venir tout foutre en l'air ? Parce que tu le savais que ça n'allait rien donner de bon tout ça. Ca allait mener à quoi ? A part foutre en l'air votre amitié, peut être le perdre ? Tout ce que tu avais redouté les dernières semaines, derniers mois, ça allait se produire. Mais aujoud'hui pas question d'y penser à tout ça. Vous aviez dit ne pas réfléchir, ne pas penser. Puis t'avais besoin de sa présence, plus que tout. Alors après une hésitation, tu ouvres la porte qui vous sépare et tu fonces sur lui, dans ses bras. Il ne peut s'empêcher de te dire de faire attention, d'être protecteur. Mais tu ne réponds rien, au contraire, tu ressers un peu plus tes bras autour de lui, profitant de cet instant, comme si ça serait le dernier. Et quand il t'encercle à son tour, tu sens ce pincement au coeur, qui s'agrandit quand il avoue que tu lui as beaucoup manqué. Il l'a déjà dit mais l'entendre de vive voix ça te fait juste un bien fou. Tu m'as manqué aussi... peut être un peu trop même. Est ce qu'il sait combien il t'a manqué ? Combien il n'a pas quitté tes pensées pendant tout ce temps éloigné de tout ? Combien son visage et la semaine dernière passée ensemble, avec tous les petits déjeuners, a été une ancre pour tenir bon ? Surement pas. Et tu ne comptais pas lui dire non plus. Pas directement. Pas de cette façon. Il se décala alors, vous éloignant, venant planter son regard dans le tien. Derrière tes lunettes, plongée dans ses yeux bleus, ton regard déviait sur ses lèvres... T'avais envie d'y plonger les tiennes... Ses paroles te stoppèrent dans tes pensées, tes envies, taquinant sur le fait que tu avais justement ces lunettes. C'est vrai que dans l'appartement y avait pas de quoi avoir ceci sur le bout de ton nez, mais t'avais pas envie qu'il s'inquiète. Hélas, c'était déjà foutu, il allait bien le voir tôt ou tard. Ne le lâchant pas, toujours tes bras autour de lui, tu souffles. Si je les enlève, promet moi de ne pas flipper. Autant dire que c'était inutile, tu le connaissais et il n'allait pas faire comme si de rien n'était. Je t'assure que ça va, ça partira... commentes-tu pour le rassurer, peut être même te rassurer ? Et sur tes mots, tu portes une de tes mains à ton visage pour relever les lunettes sur ton front, laissant entrevoir ton visage et surtout le noir/violet qui avait prit place sur tes yeux, surtout sur l'un d'eux... Ta lèvre légèrement fendue n'était que de la rigolote à côté. Rentre, reste pas là. Moyen de l'écarter de ce sujet qui va tomber, de ton état amoché. Tu veux boire quelque chose ? Un autre moyen de détourner l'attention de ton visage. Tu l'entraînes ainsi vers le salon, attendant sa réponse, sa réaction. Lucky est sortit faire quelques courses... tu ajoutes, bien que ça doit être le dernier de ses soucis non ? D'ailleurs, elle aurait peut être mieux fait de rester. Te laisser seule avec lui, c'était à la fois une bonne et mauvaise idée. Cette sensation des derniers jours, elle c'était juste amplifiée par sa présence. Troublée, paumée, tu te sentais juste attirée à lui, pire qu'avant. C'était déstabilisant...

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 J’avais peur de lui faire marre, elle sortait de l’hôpital, elle y avait quand même passé quelques jours et avait reconnu n’être sortie que parce qu’elle avait insisté, alors était-elle vraiment remise ? C’est prudemment que mes bras s’enroulèrent autour d’elle quand même, une accolade pleine de tendresse, prudente, savourant cette sensation de la sentir contre moi, avouant qu’elle m’avait manqué et l’écoutant me répondre la même chose. Je m’écartais un peu pour l’observer, remarquant alors les lunettes noires qu’elle portait, remarquant sa lèvre, quelques ecchymoses, plaisantant sur l’accessoire qu’elle avait revêtu, avec une petite note d’humour pour détendre l’atmosphère même que si je me doutais que la vraie raison était bien pour me cacher ses plaies. « Promis… » assurai-je quand elle me demanda de ne pas flipper. Promesse en l’air parce qu’à l’instant où elle souleva l’objet pour révéler ses yeux, mon regard se fit inquiet, les traits de mon visage se crispèrent, devinant combien ça devait être douloureux pour elle en découvrant la couleur et la tuméfaction de ses paupières. J’essayais de me départir de mon air soucieux, comme promis, et en commentant avec un ton plus léger : « On dira que t’as un peu forcé sur le fard à paupière noir, c’est la mode gothique que tu vas remettre au goût du jour… » J’aurais probablement du tiquer, demander pourquoi ses yeux avaient morflé ainsi, si c’était qu’un accident, mais d’une part je n’y connaissais rien, et d’autre part, pourquoi remettrais-je en question la version de ma meilleure amie ? Pourquoi me mentirait-elle sur l’origine de ses blessures ? J’étais loin de me douter de la vérité. On entrait dans l’appart de Lucky et Nina et Ash me proposait à boire. « Un café je veux bien… » Pas de bière pendant mes ‘heures de boulot’. J’avais déjà perdu mon précédent poste si je pouvais garder celui là jusqu’à la fin de mes études, merci ça m’arrangerait.  Apparemment Lucky n’était pas là. « Nina n’est pas là non plus ? » Pour ne pas demander cash, on est seul ? Et quand j’eus la confirmation qu’on l’était, je m’approchais de nouveau de la jeune femme, et ma main saisit la sienne pour l’attirer de nouveau contre moi. Mes doigts effleurèrent prudemment son visage en la détaillant, mon petit air inquiet revint malgré moi ensuite : « T’as mal ? Ou je peux faire ça ? » Mes doigts glissèrent le long de sa joue, mon index et mon majeur venant caresser tout doucement ses lèvres, mes phalanges venant ensuite se poser sur son menton pour lui faire relever le visage vers le mien alors que je la sentais un peu fuyante, essayant d’échapper à mes yeux, comme si elle redoutait mon regard sur ses blessures. Ma bouche s’approcha lentement de la sienne et je répétai : « Est-ce que je peux faire ça ? » Et pour illustrer l’autorisation que je lui demandai, mes lèvres se posèrent, tout à fait furtivement, quelques secondes, sur les siennes…
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Ca te fait du bien de le voir, de sentir son contact. Mais les lunettes que tu portes ne suffisent pas à empêcher des questions, non dites, mais des questions quand même. Par sa remarque, sa taquinerie, tu sais d'avance qu'il va se faire du soucis. Et même s'il promet, tu sais déjà qu'il va pas la tenir sa promesse... Tu enlèves tout de même, libérant tes yeux pour lui laisser la pleine vue sur ton visage défiguré, essayant de le rassurer que c'est pas très grave, que ça partira dans quelques semaines au pire. Tu vis bien que son regard avait changé, qu'il était soucieux et même s'il tentait de le cacher, de plaisanter, tu appréciais qu'il tente la plaisanterie plutôt que des tas de questions. Ca t'arracha ainsi un petit rire. Valait mieux en rire qu'en pleurer non ? T'avais assez pleuré comme ça quand Darren t'avais libéré, et toi, t'étais pas le genre de nana qui pleure souvent. Pas le genre qui verse des larmes, alors t'avais assez donné. Tu répondis rien, l'invitant juste à rentrer pour changer le sujet, et c'est à boire que tu lui offrais, espérant que ça l'occuperait sur autre chose que ton visage, que tes blessures. Le savoir inquiet pour toi c'était adorable mais ça lui donnait ce charme et cette envie de le rassurer, tout ce dont tu n'avais pas besoin, hormis pour craquer. Un café, très bien, mais avant de te rendre dans la cuisine pour le faire, tu lui fis part que Lucky n'était pas là. Vu le silence régnant dans l'appart, pas dur à deviner. C'est sa question qui t'interpella. Nina ? Ah oui c'est vrai qu'il la connaissait. Tu secoues la tête pour lui dire que non. Oui vous êtes bien seuls, dans cet immense appartement. Tu le vis ainsi s'approcher de toi, attraper ta main et t'attirer à lui. Seuls, vous étiez seuls, et c'était peut être pas bon tout ça. Ou peut être que si. Ou peut être que non. Parce que si proche de lui, ses doigts sur ton visage, son regard plantait dans le tien, tu te sentais différente. Tu te sentais bien, trop bien même. Encore plus quand ses doigts glissèrent sur ta joue, te faisant fermant les yeux, à la fois parce que ça te faisait un peu mal, mais surtout pour apprécier son contact. Ses doigts relevèrent ton menton, faisant re ouvrir tes yeux. Croisant ses pupilles qui étaient aussi dans les tiennes, tu te sentais un peu gênée qu'il te voit dans cet état. Gênée d'être aussi amoché et qu'il soit au premier rang pour le constater. Pourtant, ça ne l'effrayait pas. Lucky avait eut raison, malgré tes blessures, tu le vis se rapprocher dangereusement de tes lèvres. Ca ne devait pas te rendre si laide alors parce que à sa question, tu compris. Tu savais ce qu'il allait faire et tu aurais pu l'arrêter, tu aurais pu dévier, prétendre que tu devais faire son café. Tu ne fis rien de ça. Tu le laissa rompre l'espace entre vos lèvres, parce que il fallait l'avouer tu en avais très envie. Tu n'y répondis pas les premières secondes, pour finalement te laisser porter par le moment, par ses lèvres, par sa proximité... Une de tes mains se posa sur sa nuque, répondant au baiser. T'avais mal à cause de ta blessure sur la lèvre inférieure, mais ça enlevait tout le supplice avec ce baiser, avec ses lèvres sur les tiennes. T'étais prête à supporter la douleur rien que pour profiter de lui... Et bon sang ce que ça te faisais du bien. Alors que tes lèvres étaient insistantes, tu sentis ton coeur s'affoler dans ta poitrine... Tu avais plus aucun contrôle de tes émotions, ni de ce que tu ressentais en sa présence. Le temps semblait se stopper et t'avais aucunement envie de briser ce contact. Tu te sentais foutrement bien. Un peu trop. Il te chamboulait complètement, et si là tu comptais profiter, il était évident que quand tu aurais retrouvé la raison, tu flipperais plus qu'autre chose. Denys... soufflas-tu entre vos lèvres. T'avais des tas de choses qui voulaient sortir, mais rien qui ne le fit. Juste son prénom, dans un souffle, un murmure. Juste son prénom, d'une voix qui exprimait que tu le voulais. Et ton autre main attira un peu plus son cou à toi. Bordel ce que tu ne voulais pas le lâcher... Ne pensant plus à rien, ton corps prenant totalement possession de toi, tu le faisais reculer contre le canapé, l'obligeant à s'y asseoir, t'installant sur lui sans libérer vos lèvres...

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 Je savais bien que ça se voyait sur moi, que mes traits et la lueur inquiète dans mes yeux devaient me trahir, mais j’essayais de ne pas trop le montrer, comme promis. Ca la détendit un peu, d’abord, ça et le fait d’entrer dans l’appart, de me proposer à boire, de faire comme si de rien n’était en somme. Ca aurait pu partir ainsi, discussion autour d’un café, à ne pas trop évoquer son accident puisqu’elle semblait encore un peu secouée, parler de tout autre chose, sauf qu’elle glissa que Lucky était partie, confirma que Nina non plus n’était pas là et ce simple fait, cette constatation de savoir que nous étions seuls, ça me poussa à rompre la distance entre nous à nouveau. L’attirant contre moi, mes doigts voyageant doucement sur son visage, effleurant sa peau bleuie et tuméfiées avec prudence, l’interrogeant sur sa douleur, sur ce que j’avais le droit de faire, réduisant peu à peu l’espace entre nous, jusqu’à ce que mes lèvres se retrouvent sur les siennes. Je sentis alors ses doigts dans ma nuque, la pression de sa bouche qui répondait à mon baiser, et une vague de chaleur m’envahit, effaçant un peu le stress qui avait grandi au creux de mon ventre avant mon arrivée. Je ne l’avais pas imaginé, cette complicité grandissante au cours du SB ou au cours de nos petits déj, c’était bien là, c’était la preuve… Elle aussi, elle le voulait. Voix rassurante 1. Voix flippée 0. Le duel entre mes voix intérieures n’était néanmoins pas prêt de finir. Elle souffla mon prénom, contre mes lèvres, et je répliquai, taquin, les yeux rieurs : « C’est bien, t’as pas oublié mon prénom dans l’accident… » Avant de reposer de nouveau mes lèvres contre les siennes, la laissant me pousser jusqu’au canapé du salon sur lequel je me retrouvais rapidement assis, la demoiselle montant sur moi, notre étreinte se poursuivant, mes mains glissèrent toujours avec des gestes calculés, pesés, doux, pour ne pas la brusquer ou risquer d’attiser ses blessures, le long de son dos, glissant ensuite sous son T shirt pour caresser sa peau.
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Pourquoi tu avais eut le besoin de préciser que Lucky n'était pas là ? Il avait même pas demandé, pourtant tu l'avais dit de ton plein gré, sans trop savoir pourquoi. Ton inconscient avait surement essayé de lui faire passer un message. Lui dire que ta meilleure amie n'était pas là, ainsi que vous êtes seuls, tranquilles, en toute intimité. Sans même t'en rendre compte, tu lui avais tendu la perche, pour vous mener à nouveau sur le fil tendu entre votre amitié et cette ambiguité qui régnait depuis des semaines. Tu venais de te donner dans la gueule du loup, complètement. Parce que le café que tu devais lui faire, il existait plus. Il n'en n'avait plus envie, vu qu'il s'approchait de toi, t'attirant à lui, venant rapprocher ses lèvres des tiennes. Et toi, encore sous le choque des derniers jours, de tes retrouvailles avec Lucky, de toutes les émotions que tu avais affronté dernièrement, tu étais plus que faible face à lui. T'avais pas la force de lui tenir tête, puis en avais-tu envie ? C'était peut être surtout ça qui te faisait succomber si facilement. Cette irrépressible envie de lui, de sentir ses lèvres sur les tiennes, ses bras autour de toi. Il t'avait bien trop manqué pour rester de marbre et apparemment tout ton corps ainsi que ton cerveau et ton coeur étaient décidés à te le faire comprendre. Alors quand il posa ses lèvres sur les tiennes, c'est avec automatisme que tu répondis au baiser et que tu insistais. Tu le voulais encore plus proche de toi, ta main appuyait donc sur son cou pour exercer une pression qui trahissait toute ton envie. T'avais envie de lui dire quelque chose, lui dire qu'il t'avais énormément manqué, que tu avais fait que penser à lui pendant ces derniers jours, que tu ne le voyais plus juste comme un meilleur ami, que tu avais envie de ses lèvres à répétitions, mais rien ne sortait hormis son prénom. Même pas que tu avais envie de lui tu n'arrivais à le dire. Tu en perdais tes mots de tout ce qui te traversait en cet instant. C'est sa taquinerie, qui réussit à te débrider un peu, venant plaisanter à ton tour : ça risque pas... Oh que non ça risquait pas. Son prénom il allait hanter tes pensées, brûler tes lèvres, te faire saliver, et surtout affoler ton coeur. Non, son prénom, t'étais pas prête de l'oublier. Tu l'entraînais ainsi vers le canapé, l'obligeant à s'y asseoir et grimpant sur lui sans plus attendre. Tu avais terriblement chaud, ton coeur battait la chamade et ses mains dans ton dos, glissant sous ton haut pour venir caresser ta peau... Tu en avais des frissons. Tu collas ta poitrine à son torse, approfondissant vos baisers, ta langue cherchant la sienne pour jouer ensemble. Tu te montrais légèrement sauvage, complètement en manque, de lui, de sa peau, de votre contact... Depuis quand il avait cet effet sur toi ? C'était pas le moment de penser Ash', juste de profiter. Profite de lui, au maximum, on ne sait jamais ce que demain réservera... Alors pour bien lui faire comprendre -un peu plus en tout cas- tu glisses tes mains sous son haut, passant tes mains sur son torse tout en agrippant son haut pour le faire remonter, doucement, lentement, mais surement. Allons dans ma chambre que tu murmures. Ta nouvelle chambre pour les semaines à venir du moins... Parce qu'il t'avait justement surprit et coupé en plein élan avec Royce, il était pas question que ta meilleure amie ou Nina vous coupe. Il t'avait trop manqué pour qu'on t'en prive.

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  On était seuls… Et le savoir ça changeait tout. Lorsqu’Ash m’avait dit qu’elle était chez Lucky, qu’elle allait y rester, y’avait cette petite voix qui m’avait hurlé qu’elle voulait s’éloigner, mais là, de me retrouver devant elle, de l’entendre m’informer donc qu’il n’y avait personne dans l’appart, ça finit par étouffer cette idée et par me pousser vers elle. Nos lèvres se trouvèrent rapidement, prudemment bien sûr, aux vues de ses plaies et blessures. C’est ses mains à elle qui se perdirent dans ma nuque, sa bouche qui se fit plus pressante, et elle toute entière qui me poussa vers le canapé. Mon prénom s’échappait de ses lèvres, décuplant mon envie d’elle même si je répliquai une petite taquinerie avec humour. Me retrouvant assis sur le canapé, elle sur moi, mes mains sur sa peau, s’aventurant sous le tissu de son haut. Et je la sentis alors complètement réceptive, quémandant plus, de sa poitrine qu’elle plaqua un peu plus contre moi, de sa langue qui se mit à jouer avec la mienne, le baiser s’intensifiant en même temps que la température grimpait en moi. Et lorsqu’elle agrippa mon propre T shirt avant de me souffler de la suivre dans sa chambre. Mes prunelles brillantes d’excitation accrochèrent les siennes, me risquant quelques secondes, comme si l’humour pouvait un peu dissiper la tension sexuelle qui régnait entre nous à cet instant précis : « Au loft ? Ou ta chambre à la MH ? » Quelques secondes à faire l’idiot, à faire celui qui n’avait pas compris, qui croyait qu’elle faisait allusion à la chambre qu’elle possédait dans notre coloc ou à la confrérie, mais très vite mes lèvres repartirent à l’assaut des siennes, fiévreusement, se détachant ensuite pour reprendre : « Je vais te faire l’amour tout de suite sur ce canap si jamais tu pensais vraiment à un de ces deux lieux… » précisai-je. Nos retrouvailles après le Sb, ce début de quelque chose auquel j’avais cru, puis cessé de croire, désillusion remplacée ensuite par un immense stress croissant, craignant que quelque chose lui soit arrivée, tout ça n’avait rendu que mon envie de la revoir, de la serrer dans mes bras, de la caresser et surtout de ne faire plus qu’un avec elle à nouveau, encore plus fort et encore plus pressante. Alors me relevant, puisque le salon ne semblait pas au goût de la demoiselle, mes mains glissant sous ses fesses, ses jambes enroulées autour de ma taille, la portant ainsi, incapable de la lâcher, de m’éloigner, de mettre de l’espace entre nous, je me dirigeai vers le couloir que je pensais être celui menant aux pièces de nuit. Je n’étais jamais venu chez Lucky alors je demandais entre deux baisers : « Quelle porte ? »
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Comme envoûtée, il avait suffit qu'il plonge son regard dans le tien, qu'il pose ses lèvres sur les tiennes, pour que tu perdes raison et contrôle. Comme s'il avait su lire en toi, que tu en mourais d'envie, il était venu combler ce vide entre vos corps et vos lèvres. Tu ne pouvais que y répondre, ayant bien plus envie de lui sauter dessus que de tout stopper. Tu te laissais porter par le moment comme une feuille emportée par le vent. Tu planais presque, lui faisant comprendre, en appuyant vos lèvres, en rapprochant vos corps, que tu en mourais d'envie. Tu le guidais au canapé et sans hésitation tu prenais place sur lui, vous rapprochant que plus. Cette chaleur, cette excitation, de cette position et vos corps si proches, ça augmentait ce que tu ressentais. Ce que tu ne pouvais dire à voix haute, mais que t'allais lui faire ressentir. Tes mains se faisaient baladeuses, profitant de chaque centimètres carré de sa peau, lui demandant de te suivre dans ta chambre. Une de tes mains le frappa sur le torse quand il fit l'idiot en demandant la chambre de votre loft ou de la mather. Oh non tu n'aurais pas le courage d'attendre d'aller dans un de ces deux lieux. Tu le voulais maintenant, tout de suite. Il s'en doutait bien et sa réponse étira un sourire sur tes lèvres. L'entendre dire qu'il allait te faire l'amour, rien que ça, déclencha des frissons sur ton corps. C'est fou comme il avait cette capacité à tout te faire oublier. Si vos baisers n'étaient pas là pour te rappeler ta lèvre fendue, si la douleur n'était pas là, tu aurais oublié complètement que tu avais vécu trois jours affreux... J'aurais bien aimé, ici, mais... je veux pas qu'on soit... interrompu... répondis-tu entre des baisers. Car même si vous fermiez la porte, les filles avaient les clés. Hors dans ta chambre elles ne rentreraient pas comme ça et si elles toquent, vous les ignorerez, sans scrupules. Il se redresse donc, glissant ses mains sous tes fesses, tes jambes à toi s'enroulant autour de sa taille. J'aurais préféré la cuisine..., toi l'adepte des lieux insolites, tu le faisais un peu trop dans un lit avec lui, ...ou la voiture mais... on se contentera du lit... dis-tu sourire coquin aux lèvres. Malgré tes envies, c'était pas possible, tu voulais vraiment pas qu'on vous interrompe. Tu voulais profiter de lui, entièrement. Le retrouver de la meilleure des façons qu'il soit. Il vous guida ainsi dans le couloir, réclamant la bonne porte menant à ta chambre. Ta main frappa une des portes pour lui indiquer celle ci. Verrouille la porte lui demandas-tu, une fois à l'intérieur de la pièce, dans le noir total. Quand ce fut fait, tu allumas alors la lumière de la pièce, laissant au jeune homme découvrir qu'il n'était absolument pas dans une chambre, mais la salle de bain... T'es un peu sale je trouve.... Référence au fait qu'il était mécano et donc qu'il devait avoir transpiré et peut être avoir un peu de cambouis sur lui. Raison idéale pour se faufiler dans la douche. Le sourire au coin des lèvres, tes mains se baladent encore sous son haut, n'hésitant plus, lui retirant aussitôt, pour replonger sur ses lèvres, avec encore plus d'envie, de fougue et de passion...

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