Malicia & Léonidas

Léonidas l’accusa d’avoir une vision réductrice des hommes et Malicia regretta ses mots, même si elle savait qu’il disait ça pour la chambré. « Désolé » dit-elle en passant une main dans ses cheveux. Elle ne savait pas pourquoi elle était aussi aggressive avec Léonidas. En vérité elle savait très bien comment étaient les hommes et n’avait jamais fait de généralité, car elle passait sa vie à les fréquenter. Très garçon manquer, Malicia se sentait plus à l’aise parmis la gente masculine qui ne se prenait pas la tête que parmis les filles qui se crêper les chignons pour un oui ou pour un non. Elle s’en prenait à léo et l’accussait de tout les maux alors qu’il n’avait strictement rien fait à part la taquiner au quad. Puis soyons honnête c’était elle qui avait commencé. « Je ne voulais pas te mettre dans une case et te coller l’étiquette « les mec sont tous blablabla » . Vous êtes tous différents. Je pense que c’est mon célibat qui me fait dérailler » Et pourtant depuis que Brent l’avait plaquer Malicia n’arrêtait pas de crier haut et fort qu’elle se sentait libre et revivre. Peut-être qu’elle agissait ainsi avec Léo car c’était le premier garçon depuis B. avec qui elle se trouvait des points commun. Elle essayait sans réelle raison de le tenir à distance. Un sourire quand il affirma à son tour pensait que les femmes ne valait pas grand-chose. C’était stupéfiant comme ils pouvaient se ressembler tout les deux ! Malicia n’en avait même pas totalement conscience. « Médecine aussi » affirma-t-elle avec un sourire amusé. « C’est curieux qu’on ne se soit jamais croisé dans les amphi. Je suis à Harvard depuis longtemps. Et toi ? » Après il y avait des nouveaux très souvent. Ce n’était pas comme le lycée, la fac était remplis de gens qui arrêtait et reprennait leur études. L’étudiant le plus âgé devait même avoir une quarentaine d’année. Léonidas lui raconta donc sa dernière autopsie comme elle lui avait demander et elle l’écouta avec intêret, pas une once de dégout passa sur son visage, pas de pitié non plus, juste un « waw » presque admiratif quand le jeune homme affirma qu’il l’avait identifié grace à son pacemaker. Elle trouvait ça super intéréssant. Alors qu’elle lui demandait s’il avait déjà coucher dans une morgue, poussait par sa libido qui faisait des siennes, elle fût surprise de l’entendre répondre par l’affirmative. Un sourire. « Non jamais. « répondit-elle à regret, le ton de sa voix trahissait qu’elle aurait bien voulu et ça n’avait rien à voir avec son états à l’heure qu’il était. Malicia aimait les choses qui sortait de l’ordinaire. La Lewis enleva son tee-shirt et se pencha vers Léo pour lui chuchotait quelque chose à l’oreille. « Je crois que j’ai envie d’arrêter de lutter… » dit-elle avant de se diriger vers ses lèvres pour l’embrasser. Après tout, l’ascenceur était toujours en panne et personne n’avait l’air de se bouger pour venir les aider, quand à devoir faire l’amour avec quelqu’un pour se calmer, autant le faire avec quelqu’un qui nous plait ? Et là en regardant Léo et son sourire, en parlant avec lui, nul doute qu’il lui plaisait. Du moins au moins physiquement. De toute façon Malicia avait tiré un trait sur les relations sentimentale depuis sa rutpure avec un certain Winthrop…

Malicia & Léonidas

« Depuis Janvier » répondit-t-elle quand il lui demanda si elle était célibataire depuis longtemps. Elle était curieuse de savoir sa réaction. S’il pencherait pour le «  c’est tout ? » ou «  tant que ça ? », comme si c’était dur d’imaginer qu’elle soit célibataire. Cette rupture venait de Brent mais au final ce n’était peut-être pas si mal… «  Je suis en cardio. J’ai fait un premier stage en psychiatrie mais c’est pas mon truc. » Dit-elle alors qu’ils parlaient de leur études. Pas étonnant qu’ils ne se soient pas croisés, il n’était pas là depuis tant longtemps que ça. La conversation allait bon train, Malicia essayait tant bien que mal de garder le cap malgré ses hormones qui lui jouer des tours. Elle semblait résistée à la tentation puis elle finit par décider de céder. Le moins qu’on puisse dire c’est que Léo ne se fit pas prier ! Il l’attrapa par les hanches et la fit s’assoir sur ses cuisses. Elle se mit à rire lorsqu’il lui parla de tuer le temps et il vint l’embrasser. Waw… Les baiser de Léo s’était quelque chose ! La température venait sans nul doute de monter dans l’ascenseur… Léo n’était pas un gentil garçon qui mettait les petits plats dans les grands et faisait en sorte d’être un gentleman au grand cœur. Non. Lui, il suivait ses pulsions et s’il avait envie de la prendre là maintenant tout de suite il se fichait bien de savoir si c’était convenable ou non. Et c’était plaisant… Cette rage, cette passion qui animait la jeune homme faisait monter l’adrénaline dans les veines de la Lewis. Elle se sentit vibrait sous ses baisers, alors qu’il posait ses lèvres sur son cou, se moquant de son état et pariant sur le plaisir qu’il pourrait lui donner. Malicia dût se faire violence pour se redresser. Elle attrapa les mains de Léo posait sur ses hanches qu’elle colla contre la parois de l’ascenseur, certaine qu’il n’attendrais pas bien longtemps avant de redevenir maitre de la situation, et elle se pencha à son oreille. Elle murmura «  Tu es joueur Léo ? » Elle savait qu’il l’était après leur petite balade en quad mais ça l’amusait de poser la question. Malicia ne portait pas son prénom pour rien, elle était pleine de malice, comme une enfant espiègle, comme une vraie chipie. «  Je pense que c’est plus drôle de voir qui craquer le premier. » Sourire plein de malice justement, dans un rire d’enfant, elle se leva et alla s’assoir sur la parois d’en face, son dos coller contre l’ascenseur. Après tout, elle était en train de «  souffrir » d’avoir envie de lui, pourquoi serait-elle la seule à galéré ? Elle voulait que Léo soit dans le même état, c’était drôle. Puis qu’elle satisfaction en tirerait-t-il si elle lui tombait tout cuit dans les bras ? Elle avait beau être déjà en train de l’imaginait en elle, elle préférait ne pas céder la première. Question d’égo. Puis elle trouvait drôle d'essayer de mettre Léo dans le même états de manque qu'elle...

Malicia & Léonidas

Quand Léonidas affirma qu’il était un grand joueur, le sourire de la Lewis s’élargit. Elle sentait qu’elle allait aimer ce qui aller suivre, peut-être même qu’il tomberait sur le cul en la voyant s’éloigner de lui. Mais non ! Le jeune homme ne se laissa pas décontenancer et se mit à rire. L’ambiance était bonne enfants bien qu’une tension sexuelle était palpable.  «  Oui je veux ! Et pour l’instant j’me frotte pas à grand-chose » répondit-elle avec insolence et toujours ce même sourire espiègle, sous entendant qu’elle pouvait se «  frotter » à quelque chose d’autre situer entre ses jambes si monsieur le désirait. Enfin, s’il craquait le premier. Après tu que risquer-t-elle ? Coucher avec Léo ? Ils semblaient dans tout les cas c’était bien partit pour le faire ! En laissant ce jeu elle se gardait une chance pour changer la donne, pour que ce soit différent. S’amuser empêcher en plus la Lewis d’imaginer dans quel position Léo devait être le plus doué. Elle était presque certaine qu’il détestait quand la fille était dessus. Ah moins que… Et voilà qu’elle recommençait à s’imaginer des choses ! Alors qu’elle essayait de se concentré, il attrapa alors sa jambe. Elle se demanda au début ce qu’il était en train de faire. Il allait la trainer par terre façon homme des cavernes ? « Homme veut ! Femme fait ! » ? Mais non apparemment il ne s’agissait pas de faire preuve de force puisque Léo se contenta d’enlever sa chaussure. Elle le regarda perplexe alors qu’il prenait la parole. En entendant le mot «  supplier », Malicia arqua un sourcil et afficha un sourire amusé. Mais bien sûr Léo ! Comme si j’allais te supplier ! pensa la jeune femme. Quand bien même faire l’amour aurait été sa seule chance d’échapper à une mort atroce, elle ne se serait jamais abaissée à ça. Quand bien même elle aurait eu envie de lui comme un paumé à envie d’une goutte en plein désert, elle ne l’aurait pas supplié. Oh ça non ! Malicia avait bien trop d’égo pour ça. Elle n’était pas arrogante et prétentieuse comme d’autres Eliot, mais elle avait la chance de savoir ce qu’elle valait et de ne pas être tout le temps en train de se rabaisser comme d’autres. Alors non. Elle n’allait pas le supplier. «  Mon chers Léo, sache qu’il y a une première fois tout et aujourd’hui est celle où tu échoue ! » dit-elle avec toujours la même assurance alors qu’il commençait à la masser. Oh putain que c’était agréable. Ce n’était pourtant pas grand-chose mais… Malicia ferma les yeux une seconde, juste pour en profiter avant de les rouvrir  en poussant un léger soupir. Non. Elle ne le laisserait voir qu’elle appréciait ! Sourire aux lèvres elle rajouta : «  Tu crois qu’un simple petit massage va suffire à me faire céder ? » demanda-t-elle moqueuse alors que les mains de Léo montait toujours un peu plus haut, continuant son massage. Elle ne savait pas où il avait appris à faire ça mais… waaaw !!! «  Mes hormone sont peut-être que ton côté mais… mon corps de rêve est du mien. » Et pour appuyer ses propos et faire comprendre à Léo qu’un homme reste un homme et qu’il peut rarement résister à l’appel du sexe et de la luxure, elle déboutonna son jean et le fit glisser pour l’enlever dans un geste d’une sensualité infini, se retrouvant ainsi dans un jolie string en dentelle à moitié transparent. Elle se pencha sur le côté pour s’appuyer sur sa cuisse droite et ainsi lui donner une jolie vision de ses fesses. «  Alors Léo ? Tu n’a toujours pas envie de m’embrasser et plus encore ? Bien sûr si tu le fais tu perds ! »

Malicia & Léonidas

Un sourire à demi boudeur passa sur les lèvres de la Lewis alors qu’il lui promettait de n’en parlait à personne si elle finissait pas craquer. Ah en croire les dires de monsieur, c’était comme si c’était évident qu’elle refusait de craquer par égo.  Comme s’il lisait en elle comme dans un livre ouvert. Et bien non ! Ce n’était pas le cas ! Enfin… Bien évidemment qu’elle refusait de craquer la première par égo ! Mais… N’empêche que l’idée que Léo puisse deviner ses pensées et la comprendre lui plaisait autant que ça l’a déplaisait, sans qu’elle puisse expliquer pourquoi.

Le jeu allait bon train et si Léo avait choisit la subtilité avec son massage, Malicia elle, choisit la provocation en se foutant encore plus à poil, oubliant qu’ils étaient dans un ascenseur en panne et que le réparateur pouvait débarquer à tout moment. Un sourire quand Léo affirma qu’elle était sexy, c’était plaisant à entendre. D’autant plus que c’était une espèce de revanche pour le Mexique, cette fois où Brent avait bafoué sa fierté en ne la touchant même pas alors qu’elle était nu fasse à elle. Qu’est-ce qu’elle avait eu honte… Elle s’était sentit… comme une moins que rien. Si Léonidas ne s’était pas empressé de lui sauté dessus, il n’avait toutefois pas l’air insensible à son charme. Oui. C’était plaisait. Comme le fait qu’il ne cède pas aussi facilement au final. Ça  plaisait à Malicia que ça ne soit pas aussi simple. C’est vrai quoi, a quoi bon jouer si elle gagnait en moins de trente seconde ? Un sourire espiègle sur les lèvres, elle regardait Léo en se demandant ce qu’il allait faire pour la faire craquer. Il continua son massage et s’adressa de nouveau à elle, l’interrogeant.

A la question de Léonidas une vague de chaleur envahit le corps de Malicia, comme si on avait augmentait le chauffage d’un seule coup ou comme si elle était une casserole sous laquelle on aurait allumé le gaz. Nul doute que les paroles du jeune homme lui faisait autant d’effet que le massage, voir plus. Un sourire c’était dessinée sur ses lèvres et elle hésitait entre la prudence et l’envie. Elle lui avait demandé s’il était joueur mais elle ne soupçonnait pas qu’il l’était à se point là. Elle n’était pas idiote elle savait où il avait envie de mettre sa langue, ou peut-être bien que c’était là où elle, elle avait envie qu’il mette sa langue, précisément où il commençait à faire balader ses mains ? Sans doute… Hésitante elle se mordilla la lèvre, non pour l’aguicher mais sans doute parce qu’elle craignait que dire une bêtise. Elle avait incroyablement chaud… «  Je ne dirais que non ce n’est pas… une défaite… » Un souffle. « … Ni pour toi… ni pour moi… » Elle déglutit avec difficulté alors qu’elle attendait avec impatience de connaitre la suite des événements.

Malicia & Léonidas