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a smile is all you may need (leonidas)

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Tu essayais toujours de comprendre la blague de Leonidas, cherchant à tout prix ce qui devait y être drôle. L’expression sur ton visage devait montrer de ton incompréhension totale. Ce n’était pas que tu n’avais pas essayé de comprendre. Ton cerveau refusait simplement de voir les choses que Leonidas lui pouvait trouver. Dépendant une explication, le jeune homme ne t’en donnait pas. « Ok… » Dis-tu avec une petite moue. Toi qui avait espéré pouvoir comprendre ne serait-ce qu’un peu de la blague. Bon, c’était une chose qui se terminait. Visiblement, tu n’étais pas faite pour les blagues. Tu mettais ce petit incendie de côté, loin dans ta mémoire, comme quelque chose qui n’arriverait jamais. Vous changiez de sujet, parlant de vos points de vues respectifs sur les confréries. Leonidas te donnait cette impression d’une personne hautaine, ne voulant pas être réduit à une simple marionnette ou pièce d’échec dans une confrérie. Tu te rendais compte que tu ne le connaissais pas du tout, et au vu de son discours, est-ce qu’il ferait parti des personnes qui pourraient être tes amis? Tu étais bien sorti avec Cole Wildingham, tu pouvais pas vraiment parler. Il te demandait ce qui t’avait poussé à rejoindre les Quincy, et à te présenter à la présidence. Tu te tus un moment, cherchant tes mots. « Un commun intérêt, je dirais. Je suis très engagée pour les causes humanitaires, la protection des animaux, l’aide aux vétérans. La Quincy est différente des autres maisons. On peut être qui on veut. Tu n’es pas obligée d’être une poupée, un riche héritier, un artiste, un fêtard, un studieux ou encore un sportif. Si tu as un bon coeur, la Quincy ouvre ses portes pour toi. C’était quelque chose de primordial pour moi, d’appartenir à quelque chose tout en restant moi, et de pouvoir continuer à être moi sans jamais être juger. » La diversité Quincy t’avait fait rêver en quelques sortes. « Et quant à la présidence, disons, que j’aspire à beaucoup de choses, et être à la tête d’une confrérie peut m’ouvrir les portes. Je voulais aussi donner un peu une autre image à la Quincy que celle de « bisounours ». » Cette horrible description que vous vous tapiez depuis des années déjà.
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Feryel,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





La blague était tombée à l’eau mais Leonidas n’avait pas trop eu le cœur à lui expliquer les tenants et aboutissants de sa plaisanterie. C’était le genre de choses qui foutait en l’air l’esprit joyeux d’une plaisanterie et puis, il était carrément naze dans cet exercice. Les blagues, c’était pas du tout son truc. Le grec était plus dans le trait d’esprit, les remarques sarcastiques ou l’humour noir. Etre drôle pour être drôle, très peu pour lui. Heureusement Feryel n’insista pas et il changea rapidement de sujet pour l’interroger sur la Quincy House. « Oui, c’est souvent ainsi que l’on m’a décrite la Quincy House : des bisounours qui veulent révolutionner le monde. Dans un sens, les gens ne devraient pas vous critiquer : le marché des œuvres caritatives est quelque chose de très tendance sans compter les réductions fiscales » répondit-il. Son commentaire pouvait être d’un cynisme s’il n’était pas aussi réaliste. Toutes les entreprises ou les peoples de la Terre se trouvaient une bonne cause à défendre histoire de redorer leur image ou se donner bonne conscience. « Et du coup, vous vous êtes engagés auprès de quelles œuvres ? » demande-t-il histoire d’apprendre à la connaitre. C’était toujours mieux que de lui dire : et sinon, côté homme, tu préfères défendre quelle position sexuelle ? Il passerait pour un lourdingue et un pervers à ses yeux mais Feryel devait perdre souvent les hommes qui lui faisaient face car il était plus que difficile de tenir une conversation sans avoir envie de lui sauter dessus. En même temps, cette femme était d’une beauté à couper le souffle.

Spoiler:

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Est-ce qu’il te manquait quelque chose pour ne pas comprendre cette blague? Tu essayais, mais a chaque fois que tu repassais les mots de Leonidas dans ta tête, tu étais toute aussi confuse. Peut-être que ton cerveau n’était simplement connecté comme celui d’un mec. Tu avais eu l’expérience avec Cole, quand il te faisait des avances subtiles sans que tu ne comprennes vraiment ce qu’il voulait. Pourtant, tu pouvais être joueuse, et coquette de temps à autre. Vous passiez à un autre sujet de discussion, le jeune homme ne voulant pas t’expliquer sa blague, et tu n’insistais pas. A quoi bon insister? Cela n’allait vous mener nul part, surtout que sa blague semblait un peu de mauvaise gout. Tu ne pus t’empêcher de tirer la tronche par rapport à sa remarque. Tu t’étais battue pendant cette année pour redorer l’image de la Quincy House, quitter cette étiquette de bisounours qui vous pendait au nez depuis des années. « Si ça peut leur donner une raison d’être charitable, alors ainsi soit-il. » Tu connaissais très bien ce faux altruisme des personnes riches, espérant ainsi avoir une bonne image et une réduction sur leurs impôts. Tu ne pouvais pas dire que cela ne t’enchantait pas, mais tout compte fait, c’était de l’argent qui rentrait pour des bonnes causes. Des causes qui venaient en aide à ceux qui en ont besoin. « Personnellement, je suis engagée chez Amnesty International, UNHCR, WWF, et NECHV. Il y a d’autres personnes qui sont activement engagée avec PETA, Green Peace, ACLU, NCADV. La liste est tellement longue que je pourrais passer une journée à te lister toutes les organisations. Chaque personne s’engage dans ce qui lui est important, et y représente la Quincy House. Je n’irais jamais imposer à quelqu’un de s’engager pour PETA si il ou elle n’est pas d’accord avec les valeurs de cette organisation. » Chaque membres de la Quincy House prenait responsabilités pour ce qu’ils aimaient, et jamais n’irais-tu forcer la main à quelqu’un. « Tu t’intéresses un peu à ce qui se passe dans le monde, et ce que tu pourrais faire pour améliorer la situation? » Demandais-tu au jeune homme assis en face de toi.
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Feryel,

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Leonidas avait un rapport cynique avec les œuvres de charité. Pour lui, c’était une façon de se donner une bonne conscience, de se dire : je suis utile pour quelque chose. Combien de fois avait-il entendu des gens râler parce qu’ils ne recevaient rien en retour ? Trop souvent. L’homme était un fieffé égoïste et chacune de ses actions était dictée par l’envie d’être reconnu, de voir son image glorifiée, son égo flatté. Feryel ne semblait pas ainsi mais que savait-il d’elle dans le fond ? Rien. Pour lui, elle était une femme inaccessible, belle, studieuse. Le genre de femmes qui l’attirait, il n’allait pas s’en cacher. Le grec était exigeant dans ses conquêtes : les pétasses, les pisseuses, ce n’était pas pour lui. Il avait un certain standing à respecter et se tenait à l’écart des Marie couche toi-là bien qu’il ait cédé de temps en temps à la facilité en séduisant ce genre de femmes. La Quincy, elle, représentait un tout autre jeu, il n’allait pas se voiler la face. Elle avait un petit côté vierge effarouchée perdue dans son monde humanitaire qui faisait son petit effet. Etait-elle joueuse dans l’intimité ou restait-elle une femme coincée ?! Bonne question. « Et avec tout ça, tu as encore le temps d’étudier et de t’occuper de la Quincy House ? » demande-t-il un peu étonné. Sortait-elle de temps en temps ?! « Si tu veux me demander si je suis du genre à donner pour des œuvres caritatives ou à verser dans le bénévolat, la réponse est non. Je suis un capitaliste convaincu.. Après, on peut dire que je suis plus sensible à la cause animale qu’à celles des hommes. Au moins eux, sont dénués de vices » dit-il en se massant le menton, pensif. Les animaux le touchaient contrairement à ses semblables. Il n’aimait pas les êtres humains… comment les aimer quand il avait vu combien l’homme était un loup pour l’homme.

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