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a smile is all you may need (leonidas)

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Maintenant que le Spring Break était terminé, c’était le retour à la réalité. Ton premier Spring Break n’avait pas été si mauvais que cela, un peu plus calme que tu ne l’imaginais, mais ces deux semaines de repos t’avaient apporté beaucoup de bien. Avec les derniers mois de ta vie très mouvementé, tu avais clairement eu besoin de penser à autre chose, et à raffermir ton beau bronzage. Toute fois, maintenant, tu étais de retour à Cambridge, et tu étais une nouvelle encombrée par tes nombreuses obligations. Entre les cours qui prenaient beaucoup de ton temps, et l’organisation du voyage de la Quincy, tu n’avais que très peu de temps. Tu passais la plus part de ton temps entre la bibliothèque, la résidence des Quincy, et très peu de temps dans ton propre appartement. Tu ne voyais que très rarement ta meilleure amie, sortant tôt le matin, mais ne rentrant que très tard. C’était un cercle que tu espérais voir se terminer bientôt, bien qu’avec l’approche des examens de fin d’année, cela pourrait s’éterniser encore quelques temps. Aujourd’hui, tu avais décidé de prendre refuge dans le salon de la Quincy House, un endroit certes plus bruyant que la bibliothèque mais qui avait un certain charme. De plus, pendant la journée, il y avait moins de monde qu’en soirée, tu pouvais ainsi te lancer tête libre dans les projets pour le reste de l’année, comme le bal, et le voyage qu’il allait se passer au mois d’Avril avec toute la Quincy House.
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Retour à la réalité, le Spring Break était terminé depuis quelques jours et Leonidas avait repris son rythme de croisière en passant le plus clair de son temps, le nez dans un bouquin ou alors à la morgue. Il n’y avait que dans les fictions que les étudiants avaient le temps de se la couler douce à Harvard. Pour sa part, il avait suffisamment profité de ses vacances, il devait à présent se concentrer sur son boulot et ses études. Oh, il s’accordait des pauses, rencontrait une amante ou deux au passage histoire de se vider l’esprit mais rien de bien important. De tout de manière, il n’y avait jamais rien d’important quand cela incluait une femme, soyons honnête. Le grec consulta sa montre. Il avait un peu de temps devant lui, il pourrait toujours passer voir si Melchior était disponible ou non pour un moment entre hommes. La décision prise de rendre visite à son meilleur ami, Leonidas fit faire demi-tour à sa voiture de sport pour prendre le chemin de la Quincy House. Il n’avait pas vraiment beaucoup d’affinités dans cette confrérie, ayant des idées bien arrêtées sur le travail humanitaire ou les bonnes paroles. C’était simple, c’était à cent lieues de ses intérêts personnels. Les dons n’étaient à ses yeux que des exonérations d’impôt qui conféraient une bonne image à son prochain. En aucun cas, il ne le faisait spontanément à moins que cela ne concerne une cause animalière. Là, à la limite, il reconsidérait sa position. « Qui vois-je… la présidente Quincy en personne » dit-il en pénétrant dans le salon, quelques minutes plus tard. Feryel ou la seule femme qu’il ne devait pas fréquenter mais qui l’attirait comme aucune autre. Dès qu’il la voyait, Leonidas n’avait qu’une envie : se perdre dans son regard et entre ses cuisses. « Tu me sembles bien songeuse… » reprit-il en se laissant tomber sur le fauteuil en face d’elle.
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Est-ce que tu regrettais ce choix de devenir présidente des Quincy? Non absolument pas. Tu adorais ton travail, t’occuper des Quincy, de leur proposer des activités, ce voyage qui allait se dérouler dans peu de semaines. Certes, la charge de travail que tu avais été énorme, et avec l’approche des examens, tu avais de moins en moins de temps pour tes amis et ta vie sociale. C’est pour cela que tu passais plus de temps à la Quincy House. Certes, il y avait plus de distractions, des personnes qui entrent et sortent à tout moment de la journée, mais tu avais la possibilité de parler avec les membres de ta maison, et cela te faisait plus que plaisir. Aujourd’hui, il n’y avait heureusement pas tant de membres que cela. C’était assez calme, te permettant ainsi de te plonger première tête dans la paperasse qui s’était accumulée sur ton bureau. Tu soupirais alors que tu tournais la prochaine page, voulant bien retourner sur les belles plages blanches de la Jamaïque. C’était toujours ainsi, quand on rentrait de vacances reposé, on n’avait qu’une envie, y retourner. Il ne reste plus longtemps avant votre voyage de l’année. Bien que vous alliez avoir plusieurs activités de proposer, tu pourrais aussi te reposer entre-temps. Tu entendis une voix qui entrait dans le salon. Tu relevais doucement le visage, refermant tes dossiers sur tes genoux. Leonidas, un ami à Melchior avec qui tu t’entendais plutôt bien. Tu ne connaissais pas grand chose de lui, cela n’empêchait en rien que tu pouvais discuter avec lui. « Je suis simplement très occupée… » Et très fatiguée, mais cela ne se faisait pas de dire cela. Tu lui lançais un petit sourire. « Tu es venu voir Melchior? » Leonidas ne faisait pas partie des Quincy, et pour toi, il n’y avait pas d’autres raisons quant à sa venue.
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Leonidas n’avait rien du prince charmant et encore moins du gars sympa quand on le rencontrait la première fois. Il avait plutôt tendance à agir comme un connard car c’était dans sa personnalité de tenir les autres à distance. Il n’avait que très peu d’amis car ses proches se comptaient sur les doigts de la main tant il était méfiant. N’allez pas croire qu’il était paranoïaque ou qu’il voyait un complot à chaque coin de rue. Non, il était méfiant dans le sens où il connaissait la laideur humaine et qu’il souhaitait s’en prémunir. Aussi ne donnait-il jamais sa parole à quelqu’un ou encore il évitait les confessions sur sa vie, sa famille. Moins les autres en savaient et mieux il se portait car il comptait bien atteindre les hauteurs et il n’avait pas envie de trainer des casseroles derrière lui comme certains hommes politiques. Il en allait de même avec les femmes. Il évitait de s’éparpiller pour éviter les scandales ou encore les problèmes à cause de grossesses non désirées. Feryel, elle, incarnait sans même le vouloir, un de ses plus grands fantasmes. On ne pouvait pas lui enlever sa beauté, elle était magnifique et conquérir une créature pareille devait être agréable. Le hic, c’est que Melchior lui avait interdit d’y toucher et qu’il était loyal. « Donc je te dérange, c’est ce que tu souhaites me dire ? » s’amusa-t-il à répondre tout en détaillant son visage angélique. Il tuerait pour goûter à ses lèvres au moins une fois. « Oui mais il ne semble pas être là… Cela t’importune que je l’attende ici ? Je te promets de bien me comporter » répondit-il avec un sourire en coin.
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Tu ne connaissais pas Leonidas plus que cela. Il avait toujours été l’ami de Melchior, et c’est comme cela que tu le voulais. Il était sympa les quelques fois que tu lui avais parlé, un teint soit peu dragueur, si seulement tu pouvais reconnaître les signes. Oui, car ton problème, c’est que bien souvent, tu remarquais pas que tu plaisais à quelqu’un. Cole, tu avais cru qu’il voulait simplement comme un prix, et peut-être que ce n’était que cela au final, il t’avait usé pour son propre bien, détruisant ainsi toutes tes attentes en matière d’hommes. Tu étais mieux sans. Il y avait bien une expérience qui disait qu’il fallait mieux être seul que mal accompagné. Tu ne voulais pas être définie par tes relations, mais bien par le travail que tu fournissais pour faire une différence dans le monde. Tu aspirais à être la prochaine Amal Clooney, justicière des oubliés, et des torturés. Tu avais encore un long chemin à faire avant d’arriver à ce statu là. Un jour, tu y arriverais, et si il te fallait être seul, alors ainsi soit-il. Tu refusais de bifurquer de ce chemin que tu t’étais tracée depuis des années maintenant. Toute fois, avant de pouvoir aspirer à ton rêve, il fallait que tu survives à la montagne de paperasse qui t’attendait devant toi. « Si je ne voulais pas être dérangée, je serais entrain de travailler dans mon bureau. » Certes, tu avais beaucoup à faire, mais un peu de compagnie ne te faisait jamais de mal. Tu t’étais installée dans le salon pour avoir ce petit bruit de fond qui te rappelle la vive à la Quincy. T’enfermer dans ce bureau macabre et silencieux ne ferait que renforcer ta frustration que tu n’étais pas une bonne présidente. « Non vas-y, reste ici tant que tu veux. » Dis-tu en retournant à tes papiers. Toute fois, tu avais cette impression que Leonidas t’observait, et cette sensation d’un regard omniprésent sur ta personne te stressait. « Si tu veux rester, amuse moi un peu. Histoire de me changer les idées. » Ouais, en fait, Leonidas ne pouvait pas rester sans un certain payment, et il allait devoir te divertir.
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« C’est une bonne réponse » dit-il avec un sourire en coin alors qu’elle lui donnait une raison suffisant et viable. Avec Leonidas, il fallait être précis car il avait tendance à emprunter les petites routes mises à ça disposition. Ce n’était pas étonnant qu’on ne lui donne jamais d’occasion de jouer à action/vérité car il trouvait toujours une façon de contourner un gage pour le rendre suffisamment potable afin qu’il accepte de le faire. Par contre, il ne s’attendait pas un seul instant à ce que la demoiselle ne veuille qu’il l’amuse. « Est-ce que tu me confondrais pas avec un bouffon ? » demande-t-il pince sans rire. « Je ne suis guère amusant, je risque de te plomber le moral… Par contre, je connais d’autres façons de s’amuser » lâche-t-il avec un sourire séducteur. Melchior lui avait interdit de toucher à Feryel mais si c’était elle qui le touchait en premier ?! Son meilleur ami ne voudrait pas qu’il la vexe ou la blesse en lui opposant un refus n’est-ce pas ? Qu’est-ce que je vous disais, ce type était suffisamment tordu pour faire en sorte que les règles l’arrangent. Néanmoins, décevoir son meilleur ami n’était pas dans ses options. « Qu’est-ce que je pourrais faire pour t’amuser ? Je te préviens, je ne ferais pas le clown » dit-il avec un petit frisson d’horreur. Il détestait ces créatures depuis sa plus tendre jeunesse. « Au fait, vous allez où pour votre voyage ? J’ai cru comprendre que les confréries s’amusaient à partir chacune leur tour » hausse-t-il les épaules. D’ailleurs, Malicia l’avait invité récemment au voyage de la Eliot House. Leonidas avait accepté avec une certaine réticence car la dernière chose dont il avait envie, c’était bien de se retrouver en présence des bleus. Il avait beau être riche, il détestait la compagnie des moutons capricieux.
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La subtilité ne faisait pas spécialement partie de tes points forts, et tu étais surtout incapable de reconnaître que tu pouvais plaire à quelqu’un. Cela avait toujours été comme cela. Certes, tu savais que tu avais un certain charme, et une beauté assez exotique de part ton héritage. Toute fois, si Leonidas avait des pensées malsaines pour ta personne, tu étais totalement incapable de le reconnaître. Tu parlais normalement avec le meilleur ami de Melchior, essayant un peu d’être joueuse. Cela ne t’allait pas vraiment, et tu savais que tu ne pourrais pas te tenir à ce petit jeu bien longtemps. « Le bouffon, c’est celui qui amuse le roi? C’est ça non? » Lui demandais-tu d’un ton un peu stupide. « Et vu que je suis la présidente Quincy, je suis comme le roi. Du coup, oui, tu seras un peu comme mon bouffon. » Oui, ta logique était celle d’un enfant pour le coup. « Mais, voit cela comme quelque chose de positive. Tu as le droit de dire des trucs stupides, et des blagues, comme tu me divertis de mon travail. » Un bon deal, tu trouvais de ton coté. Tu décidais de ranger tes affaires, et de les poser sur la petite table basse qui se trouvait juste à coté de ton fauteuil. « Raconte moi une blague, ou une histoire drôle sur toi et Melchior. » Histoire que tu penses à autre chose. Leonidas te demandait alors pour votre voyage. « On va aux Bermudes. » Une destination qui allait quelque peu contre tes principes de par le statu de paradis fiscal de cet archipel. « Tu n’as jamais eu envie de rejoindre une confrérie? » Tu étais curieuse ce qui pouvait le motiver de rester un simple étudiant. Tu l’avais été pendant 3 ans, avant de finalement décider de rejoindre la Quincy House.
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C’est bien ce qu’il pensait, elle voulait faire de lui, le bouffon du roi ou plutôt de la reine. Leonidas ne savait pas s’il devait en rire ou en pleurer. C’était bien la première fois qu’une femme lui réclamait une blague. D’ordinaire, on lui demandait plus des orgasmes qu’autre chose vu qu’il n’avait aucun humour ou plutôt, ce dernier était un peu trop noir au goût des autres. Sarcasme, ironie, c’était sa marque de fabrique. « Hein hein.. Dis moi, tu demandes ça à tous les hommes qui t’approchent ? » l’interroge-t-il en posant ses coudes sur ses genoux pour mieux se pencher vers elle. « J’ai le droit à n’importe quelle blague, c’est ça ? » reprit-il en pesant le pour et le contre. Il avait peut-être une blague, elle était osée. Finalement, ce petit jeu allait peut-être être amusant. Voyons donc voir si miss Oswald était du genre à rougir d’un rien. « Va pour une blague dans ce cas » s’exclama-t-il avant de la regarder dans les yeux et de débiter son texte. « Alors c’est l’histoire d’une petite fille qui rentre de l’école et dit à sa mère : Maman, maman, je sais comment on fait des bébés. Etonnée, sa mère lui demande alors : Ah oui ? Raconte-moi. Sa fille obéit et commence par lui dire : le garçon se met tout nu et moi aussi. Et là il met son zizi dans ma bouche. Là, sa mère secoua la tête et réplique : Mais non ma fille, ça, c’est lorsque tu veux des bijoux » termine-t-il son histoire avec un grand sourire fier de sa connerie.

Quelques instants après, c’est une conversation plus terre à terre qui s’engage entre eux. « Sympa comme voyage ! Et pour te répondre, j’ai déjà fait partie d’une confrérie quand j’étais à Yale et l’expérience ne m’a pas donné envie de réitérer. Ici, mise à part la Eliot House ou la Winthrop, je n’aurais pas trouvé ma place. Il y avait bien la Dunster mais non… je suis bien mieux loin de toutes ces conneries sans vouloir te vexer »

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Tu ne savais pas vraiment à quoi t’attendre avec Leonidas. Vous étiez comme le jour et la nuit, deux personnes totalement opposés qui n’avaient rien de similaires, et qui devaient clairement vivre dans deux mondes très différents. On te disait souvent que tu vivais dans ta petite bulle, ne cherchant pas à en sortir. C’était vrai dans un certain sens. Tu vivais le monde d’une façon très différente que le reste de tes camarades de classes. Tu ne cherchais pas la gloire, l’amour, ou même la beauté sublime. Tu vivais pour l’égalité des droits, pour la justice, et tu ne t’intéressais souvent guère aux relations futiles que pouvaient exister avec le sexe opposé. « Ça dépend, si ils méritent mon attention. » Après Cole, tu avais surtout mis un trait sur les hommes, ne voulant plus être déçu ou blessé. « Faut qu’elle soit marrante quand même. » Oui, sinon, ce n’était pas drôle si tu ne rigolais pas de la dite blague. Leonidas commençait alors son petit discours, te demandant où est-ce que cela allait finir. Il n’y avait pas de sens pour toi dans cette blague. Elle était où la blague en fait? Comme dit avant, essayer de comprendre des allusions pas toujours très religieuse, n’était pas ton point fort. « Et la blague dans tout cela? » Finis-tu par demander, cherchant encore le sens de son discours. Vous changiez alors le ton de votre conversation. « Ouais, j’espère que cela se passera bien. » Leonidas te parlait de sa vie d’avant, de ne pas vouloir réitérer l’expérience confrérie. « C’est un peu dommage non? De croire que tu n’aurais pas trouver ta place autre part que chez les Eliots et les Winthrops. » Faire partie d’une confrérie était bien plus enrichissant que de rester dans son coin. « Tu ne me vexes pas. Je n’ai rejoins la Quincy House que l’année dernière. J’ai longtemps fait loup solitaire avant de décider de tenter l’expérience. » Et tu ne regrettais nullement ta décision.
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Leonidas avait fait un flop monumental avec sa blague, pas même l’esquisse d’un sourire. Pour le coup, il en était dépité et se gratta l’arrière du crâne. Feryel était décidément une créature à part : d’une, elle ne cherchait pas à attirer son attention et de deux, les allusions grivoises ne semblaient pas être son point fort. « La blague, c’est que… Laisse tomber ! » marmonna-t-il accompagné d’un mouvement de la main car il n’avait pas le courage de lui expliquer la chute. C’était en général ce qui tuait une blague : qu’on l’explique. Peut-être aurait-il dû lui sortir une blague sur les blondes ? Non, elle aurait été capable de lui sortir un discours féministe. En fait, il ne savait rien d’elle mise à part qu’elle était carrément à son goût. Leonidas avait toujours eu un faible pour les blondes même s’il ne faisait guère de distinction au final. Il préféra donc orienter la conversation sur le futur voyage de la Quincy House. C’était une destination sympa, il ne pouvait pas le nier. En fait, d’après ce qu’il avait compris, chaque confrérie organisait un voyage… C’était à se demander quand est-ce qu’ils étudiaient là-dedans. A Yale, mise à part le Spring Break, il ne voyageait pas beaucoup dans l’année en dehors des vacances où là, il y avait peu de chance de le croiser aux USA. « Pourquoi aurais-je besoin de me caser quelque part ? Cela m’ennuie de suivre quelqu’un sous prétexte qu’il est mon président ou mon vice-président. Je ne suis pas du genre à obéir aveuglement à quelqu’un du moins, quand ce dernier a de quoi être mon égal voire mon inférieur. Très peu pour moi… Tu sais, j’ai beau me tenir éloigné des confréries, les gens parlent et ce n’est pas fameux » hausse-t-il des épaules. « Mais qu’est-ce qui t’a poussé à entrer dans cette confrérie et mieux à en vouloir la présidence ? »

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