Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« save the day » ∇ MAXWAN - Page 2
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« save the day » ∇ MAXWAN

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« Pas la peine. » Ca, j'en suis pas si sûre. J'ai l'impression que t'as besoin de cette piqure de rappel, que j'te le souffle façon tempête. Et, j'ai l'argument de te vouloir le plus longtemps possible à mes côtés en bonne santé. J'ai le droit à ce texte écrit d'avance. Je sais que mes limites sont floues, que l'adrénaline est une notion que je conjugue à de multiples temps, et que mon absence de tolérance peut toucher des sujets qui peuvent paraître superficielles. J'm'en fous pour les autres, car ils n'ont pas les mêmes failles que toi, ils n'ont pas de poumons en carton, eux. Et surtout, j'm'y attendais pas. J'crois que c'est ça, surtout, qui me marque. Je te voyais pas la nicotine aux lèvres. J'te voyais pas me servir des justifications dont tu rirais dans un autre contexte. Tu crois pas toi-même à ce que tu me présentes, Antwan. Puis tu prends l'objet du délit, tu le portes hors de ma portée et de ma vue. Tu la vois, cette mâchoire qui se déporte dans une espèce de grimace d’agacement ? Ces lèvres qui se pincent. « Y a du café à côté, si jamais. » Hausse un sourcil, dépliant ses jambes pour se lever du lit. J'm'en fous de ton café, si tu savais. Je digère seulement le fait que ma petite surprise n'ai pas le goût souhaité. J'l'imaginais plus sucré, tu vois. Quand j'arrive dans le salon, je mets distraitement mes vêtements balancés n'importe où, plus en ordre. « Ouais, merci. » Que ma bouche prononce quand mes yeux vont sur la cafetière allumée. « Du coup, j’vais la prendre ma douche. » La maladresse dans les mots, l'assurance qui se défile de tes pas. Je sais même plus si je dois te rejoindre ou non. « Tu l'as mis où ? » Les doigts qui glissent sur une étagère. J'ai bien regardé, il est pas apparent. « Le paquet, t'en as fais quoi ? » J'imaginerai bien qu'il a finit à la poubelle, mais.. oh, j'suis pas naïve.

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J’aurai pu prédire ma défaite devant ton regard. La confiance envolée un court instant. Je sais que mes actes sont discutables, qu’il n’y a pas de positif dans la fumée. C’est ce qui me rend fébrile face à ton jugement. Je suis ridicule dans cet habit, j’en ai conscience. Hormis l’envie, je n’ai pas d’argument. Encore faudrait-il que ce dernier en soit vraiment un. Je sais aussi que tu ne lâcheras pas et ton « Le paquet, t'en as fais quoi ? » me le confirme. J’aurai dû atteindre la salle de bain plus rapidement. Etre plus efficace dans ma fuite. « Arrête maintenant. » Calme, direct. Ce froid qui frappe. La spécialité de l’anglais. Le visage se tourne vers elle. Je te bloque avant même que tu ne puisses commencer. « Ce n’est pas bien. Je le sais. Sauf que je fais ce que je veux, Maxym. » Elle n’est pas sa mère, pas celle qui lui fera des leçons de morale, qui lui donnera la barrière entre le bien et le mal. Regrettons maintenant cette figure maternelle qu’il lui a terriblement manqué dans son adolescence. Il a quand même grandi, mais sans le cocon d’une famille normale. L’absence se paye un jour. « T’auras pas le paquet. Et si jamais tu le trouves, ca ne m’empêchera pas de continuer. » Autrement dit, laisse-lui la liberté de prendre ses décisions, ou tu seras la première victime de ses ripostes. Elle lui a tant reproché ses indécisions par le passé, qu’aujourd’hui elle n’a pas le droit de lui imposer quoi que ce soit. Aussi dur soit les mots balancés, ce n’est qu’une vérité connue par les deux protagonistes.  
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J'sais pas vraiment ce que j'attends. Que tu fasses comme si tu comprenais, comme si ma parole avait une valeur. Fait semblant, on se persuadera qu'on y croit. J'm'en fous de ce qui ne se passe pas sous mes yeux, j' n'ai pas la prétention de régir ton quotidien. Je me démène juste avec ce qui se déroule sous mes yeux, et je ferme les paupières sur le reste. « Arrête maintenant. » Le menton se lève, comme un uppercut qui réveille l'ego débordant de la McAllister. Tu l'sais pourtant, que je connais pas le « non », que j'connais pas les portes, les chaînes, tout ce que tu veux. « Ce n’est pas bien. Je le sais. Sauf que je fais ce que je veux, Maxym. » Le sourire vient aux lèvres féminines. « Dire que j'me faisais une joie de venir te voir. » J'commence à me dire que j'aurai mieux fait d'aller voir Jude directement. « T'es bien meilleur pour les surprises que moi. » Les mauvaises, j'entends. Et j'parle même pas du goudron, j'parle de ton arrogance qui dégouline de ta gorge. « T’auras pas le paquet. Et si jamais tu le trouves, ca ne m’empêchera pas de continuer. » Un espèce de rire etouffé, et les ongles de Maxym qui s'enfoncent dans le creux de sa main, juste pour canaliser la rage qui monte. Qui connait parfaitement le chemin le long de ses nerfs. Attrape son sac, en sort quelques dollars qu'elle pose sur la table. « Tient, j'te donne même de quoi te reprendre un paquet. » Oh, t'as raison, au fonds je le sais. J'ai une sévère tendance à vouloir que les choses fonctionnent comme je le désire. Mais tes mots sont mal pesés, mal dosés, et ils viennent de décevoir mes efforts de calme. « J'te conseille d'en fumer deux-trois en même temps, sensations garanties. » Oublie ta ventoline aussi, quand tu fais ça.

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« Dire que j'me faisais une joie de venir te voir. » Le regret se partage. Les choses auraient dû être plus agréables. La clé de mon appartement n'aurait pas dû t'être donné. Voilà, la conclusion de ce chapitre. « T'es bien meilleur pour les surprises que moi. » Nul dans la création comme dans la réception. Il y aura toujours un défaut dans le manège. Son visage trop peu expressif, des détails qui ne devraient être exposés. La meilleure solution reste encore de lui donner assez d'indices pour qu'il s'y prépare. Il ne répond pas, bien que l'envie le tiraille. Evite de frapper encore. L'homme observe des billets valser du sac adverse. Typiquement tes réactions Maxym. Excessif à souhait. « Tient, j'te donne même de quoi te reprendre un paquet. » J'hausse un sourcil. C'est ridicule. On s'connait, chacun va maintenir ces positions. Faut calmer le jeu, et le seul capable d'apaiser tes flammes c'est moi... Mais j'ai tellement d'armes en tête. « Comme si j'étais dépendant de l'argent des McAllister. » Ca, c'est ta position. Toi qui déteste les affaires de tes paternels, tu te retrouves les poches remplies d'argent sales. Bien pire que de la clope. « J'te conseille d'en fumer deux-trois en même temps, sensations garanties. » Maline. « Tu donnais aussi des conseils à Ricardo ? » Pas de chances. Après l'expert de la drogue, tu sors avec le novice de la fumée. Les mauvais. « Ils devaient pas être si bon pour qu'il s'en aille. »
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Mauvaises conclusions, mauvais choix. Antwan, tu t'enlises. J'aime pas ce que tu me montres, et j'ai pas encore entendu le pire. Prit sur le fait, sans argument que je ne saurai écouter, tu te prends les pieds dans tes répliques. Tu te casses la gueule dans la colère. Tu vois comme c'est facile. Soit aussi faible que moi, soit aussi moche de l'intérieur, met-toi au niveau de mes méfaits. M'fait pas croire que t'as plus rien dans le ventre. « Comme si j'étais dépendant de l'argent des McAllister. » A ce niveau, je suppose qu'on s'égale. J'en sais rien, j'en ai jamais rien eu à foutre de savoir le montant sur mon compte en banque. Cette richesse est juste bonne à être dépensée. Juste utile pour finir sur ton meuble, pour te provoquer. J'vais pas te servir que j'ai pas envie de te perdre plus tôt que prévu, c'est tellement sous-entendu. On est pas à l'heure des romantiques, nous, on est sur l'horaire des frappes. « Tu donnais aussi des conseils à Ricardo ? » Le visae oscille légèrement sur le côté, les yeux se froncent à peine. J'attends la suite. Oh, je vois que tu es lancé. J'la connais, cette jouissance du bon mot, de l'attaque qui perce le cœur adverse. Je te donne le bonheur de me voir coupé dans mon élan. De me voir abasourdie par le prénom prononcé. Parce que ouais, j'pensais qu'on utilisait pas ces armes là, pas entre nous. C'est pour les autres, les trucs qui font vraiment mal. « Ils devaient pas être si bon pour qu'il s'en aille. » Le brun devient noir, cerclé de ce blanc qui se rougit à peine. Les billets sont fourrés dans la poche de son sac, et l'amazone s'approche, son poing hésitant à libérer les doigts ou faire cogner ses phalanges. Tu mérites les deux sanctions. « Fait gaffe Antwan, tu deviens un vrai connard. » Qu'elle vient hacher, maintenant plus proche. Les billes le jauge. « Et les connards, c'est bon qu'à coucher avec. » Mais vas-y, renchérie, mon corps ne réclame que la violence.
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Ils se blessent pour des raisons qui ne devraient pas être à l'origine de tels échanges. Il suffisait d'une flamme pour que ces désaccords deviennent sujet de guerre. La défense de l'homme est mauvaise et il en est conscient. Il n'a jamais été bon dans les batailles, toujours à attaquer sauvagement pour ne pas prendre le risque de se prendre des coups imprévus. Un bouclier qui s'effrite. Quelques morceaux s'en détachent déjà. Il y a trop à perdre pour une divergence d'opinion, et pourtant il plonge dans ce qu'il ne devrait pas. Dans les informations que le meilleur ami a récolté au cours des années et qui représentent les plus belles cicatrices de son alliée. « Fait gaffe Antwan, tu deviens un vrai connard. » Il se blinde de mille armures, ça ne l'atteint pas. Ce n'est pas la première fois que ce qualificatif sort de ses lèvres, et il a la conviction que ce ne sera pas la dernière. Ca ne l'empêche pas de garder l'affrontement dans ses yeux et d'y fixer Maxym. « Et les connards, c'est bon qu'à coucher avec. » Un sourire mauvais sur les lèvres. On nourrit notre colère mutuellement. Pour un foutu paquet, pour une stupide maladresse. Ce n'est pas tes mots qui vont m'arrêter. « Une connaisseuse. » Combien t'en a choisi des comme ça hm ? Quand moi j'n'avais pas encore le souci de mes poumons abimés par les mauvaises substances et que j'te regardais avec des yeux brillants et les poings serrés par leur passage dans ta chambre. « Chance étant que je n'en suis pas un. Sinon on serait encore dans mon lit à cette heure-ci. » Enlève les sentiments et on n'en serait pas là. Sauf qu'il y en a, des forts, des puissants. De ce qui font mal lorsque les deux ne sont pas sur la même longueur d'onde.
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Tu vois, on est pas égaux. Parce que j'n'utilise que des armes qui effleurent, qui marquent, mais qui ne font pas saigner. Ou si peu. Les vraies, j'les garde dans mon dos, contre ma peau, et je sais qu'elles font bien trop mal pour être utilisées pour nos bétises. Nos disputes idiotes. J'ai la colère dans la gorge, quand tu ne me traites pas avec ce même égard. Que toi tu t'en fous, que le rouge sorte par torrent. T'es pas doué dans la guerre Antwan, tu sais pas doser. Toi tu enfonces la lame, tu gères pas la profondeur, tu gères même pas que c'était ta plus belle dague, et que tu l'abîmes dans quelque-chose qui n'en vaut pas la peine.  « Une connaisseuse. » Hausse un sourcil. Ce n'est pas une remarque qui me blesse, je sais bien mon passé, et je sais mes failles. Et encore, tu ne connais mes pires faits d'armes, mes prostitutions si peu glorieuses pour quelques contrats, pour quelques informations. « Si tu savais. » Réponds l'ingénue avec ce sourire provocateur. Je ne te donnerai pas les excès que tu cherches, je ne te donnerai pas l'occasion de faire peser la responsabilité de nos cassures sur mes épaules. « Chance étant que je n'en suis pas un. Sinon on serait encore dans mon lit à cette heure-ci. » Des fois, j'en viens à en douter. Quand tu parles d'Il, par exemple. « T'appelles ça comment, quand tu parles de Ric ? » Croise les bras, demoiselle. Le sourire s'affine, entre la malice et l'agacement. « Lizie, elle est courant qu'on est ensemble, au fait ? » C'est toi qui a établit les règles, qui a dit qu'on avait le droit aux mots interdits. Puis, j'dois l'avouer, j'ai cette question sur les lèvres depuis des semaines, il me fallait juste la colère nécessaire pour oser la sortir.
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« Si tu savais. » Un détail dans la conversation. Pourtant c'est le plus énervant pour l'anglais. Il n'y a pas plus horrible que ses mots qui confirment ce qu'il ne veut pas savoir. Un truc qu'il n'a jamais compris chez elle. Qu'il a toujours détesté. Ricardo fait parti de ces types qui ont tant de fois insupporté l'homme. Antwan a été le meilleur ami. C'était l'une de ses meilleures prestations lorqu'elle lui a annoncé. Il ne l'a jamais accepté, mais s'est toujours tut. Après tout, il avait Elizabeth, il avait son bonheur à côté. Pour qu'au final, cet enfoiré de mather se barre en laissant un cœur béant derrière. Raison de plus pour qu'Antwan le haïsse. Alors forcément qu'le sujet allait retomber. « T'appelles ça comment, quand tu parles de Ric ? » Tu ne devrais plus rien ressentir pour lui. Ça ne devrait pas te blesser. Je devrais pas voir autant de colère dans tes yeux quand je cite l'ancien petit ami. Il est le passé. « Je fais un rappel. » Trop longtemps que nos yeux se sont fermés sur les éléments de ton passé. « Lizie, elle est courant qu'on est ensemble, au fait ? » Il hausse un sourcil, un léger rire nerveux s'y accompagnant. Surpris une seconde. Pourtant il s'agit bien de la suite logique. « Elle doit bien s'en douter. C'est pour toi que j'ai rompu avec elle. » Il ne l'a jamais confirmé à Elizabeth. Il n'en a jamais trouvé l'occasion, ni même l'envie de lui dire. Ça servirait à quoi, hormis à confirmer à son ex qu'elle avait raison depuis le début. « Mais non, je ne lui ai jamais dit. La dernière fois que j'lui ai parlé c'était pour lui souhaiter une belle vie sans moi. » Le sourire amer sur le visage. « Au moins, vous aviez en commun votre détermination à m'emmerder pour des conneries. » Serre les dents, bouge légèrement la tête horizontalement. « Je vais me doucher. »

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On s'est dire d'accord, pour les bagages derrière, pour le passé qu'on se traîne. On le connait, on est trop resté dans la vie de l'autre, alors qu'on aurait dû s'écarter. On sait les mots à prononcer, on peut presque prévoir comment cette discussion va se terminer. Tu l'sais, que la colère viendra avec le prénom. Que mes ruptures sont des échecs, et que je ne sais pas vivre avec ces derniers. Je suis brillante pour bousiller mes histoires, demande à Paris. Si c'est lui qui s'est distancé, je reste persuadée que c'est moi qui l'ai poussé à le faire. Parce que j'ai jamais vraiment su le persuader de la pureté de mes sentiments envers la gente masculine. Envers toi. S'ils savaient combien ils avaient eu raison. « Elle doit bien s'en douter. C'est pour toi que j'ai rompu avec elle. » Parce que votre confiance ne rimait plus à rien. Je sais. J'arrive même pas à en être heureuse. Nous n'étions plus adversaires, à la fin, presque solidaires de ce film dramatique. Joliment drapées dans nos fiertés respectives. « Mais non, je ne lui ai jamais dit. La dernière fois que j'lui ai parlé c'était pour lui souhaiter une belle vie sans moi. » J'me le demande, si sa vie est vraiment belle sans toi. Si elle y pense toujours, si elle arrive à s'imaginer dans d'autres bras. Moi je triche, c'était bien plus simple, je n'ai jamais vraiment cesser de l'imaginer. Du moins, depuis que tu m'as réveillé ce soir de Housing day. « Au moins, vous aviez en commun votre détermination à m'emmerder pour des conneries. » Esquisse un fin sourire. « Faut croire que t'as un type. » Qu'elle ironise doucement. « Je vais me doucher. » S'écarte d'un pas, comme pour le laisser s'en aller. Comme pour accepter la retraite, de l'un et l'autre. « Et moi j'vais aller voir Jude. » Faire un deuxième essai de surprise. Se retourne, pour attraper son jean qu'elle remet, rhabillant ses idées premières. « On s'voit plus tard. » Ou demain, ou la semaine prochaine. Quand nos esprits se seront apaisés.
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