Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« save the day » ∇ MAXWAN
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« save the day » ∇ MAXWAN

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Deux jours d'avance sur le planning, les talons de McAllister foulent le sol de Cambridge, le soleil commençant seulement à se lever. Se dépêche de rejoindre l'appartement de l'homme, en taxi. Forcément quand on décide de s'échapper plus tôt de son voyage, faut se débrouiller toute seule, malgré la fatigue du trajet. Ses bagages suivront le reste des étudiants. Elle avait gardé une clé, depuis la dernière fois qu'il lui avait prêté, pour je ne sais plus quelle raison. Maxym l'avait retrouvé au fonds de son sac, et cela lui avait donné l'idée de l'intrusion. Le Spring Break était bien moins plaisant sans la présence masculine, de toute façon. Ouvre la porte d'entrée, ses chaussures à la main. C'est la veste qui vient d'abord rencontrer le canapé, puis son pull qui va s'échouer sur le sol, bientôt suivi de son jean. Un débardeur et des sous-vêtements, c'est bien assez pour finir sa nuit. Demoiselle essaye d'être silencieuse, grimaçant tout en appuyant sur la poignée de la porte de la chambre. Comme si supplier à cette dernière d'être discrète allait jouer. Ne reste plus qu'à espérer qu'il ai le sommeil lourd, jusqu'à ce qu'elle parvienne à se glisser sous sa couette. 
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Y a ce paquet de clope qu’il fixe, passif à ses côtes. Il en prendra pas, fidèle à sa conviction. Ne cédera pas malgré la tentation et le briquet, pas loin, qui le nargue. Celui qu’on lui a filé. Tout comme on lui a filé l’envie d’enfumer ses poumons. Pas sa faute si cette sensation de s’enfoncer dans le sol l’anime. On dira que c’est malsain. Qu’en plus de risquer le cancer, il menace ses poumons. N’oublions pas qu’il est asthmatique ; pas très enclin à ce genre de dérive. Et pourtant, pourtant putain. Mais non. Il range le briquet dans son sac, le paquet toujours sur sa table. Le danger, la tentation sous ses prunelles avides. Puis, les yeux se ferment. Le sommeil qui l’emporte. Le rêve tourmenté par des images de son frère et de Londres. Des souvenirs déformés par l’esprit endormie. Eux, qui finissent par se poser sur un muret, en train de causer de tout, de rien. Antwan ne discerne même pas les sons. Puis y a du mouvement. L’image qui tremble, devient flou. Un mouvement qui le réveille. Mais c’pas son imagination. C’est la femme qui s’est glissée à ses côtés. Il ouvre les yeux, plissés. Croit rêver. « Si c’est un rêve, il est très réaliste. » Surtout lorsqu’il touche les courbes féminines. Demoiselle est rentrée plus tôt, et au bonheur de Wayans, a su s’introduire dans l’appartement. C’qui, malgré la bonne surprise, n’est pas très rassurant. Il se tourne vers l’étudiante, le visage à peine réveillé. « Viens là me dire bonjour. », qu’il lance, passant sa main dans le dos de Maxym pour la forcer à passer au-dessus de lui.
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La discrétion anime ses pas, qui se font léger, pour une fois. Sa bouche qui reste close, pour une fois. Demoiselle arrive jusqu'à son lit, se glissant sous la couette en essayant de ne pas le réveiller. Le matelas suit ses mouvements, et alors qu'elle pense avoir réussit parfaitement son escapade, les paupières masculines s'ouvrent sur les iris. La voix finit de mettre des mots sur son échec. Si on peut appeler ça comme ça. La surprise se fait juste plus tôt, il lui pardonnera d'avoir écourté son temps de sommeil. « Si c’est un rêve, il est très réaliste. » Le sourire s'affiche sur le visage de la belle, qui ne peut décidemment pas vraiment cacher qu'elle est heureuse de le voir. J'ai cru que ça serait marrant, de profiter du soleil sans toi dans les parages, mais ça l'est vite devenu moins.  Puis, ça me plait d'être la première chose que tu vois ce matin. « Viens là me dire bonjour. » Ta main dans mon dos, qui me guide le chemin à suivre. J'l'emprunte avec plaisir, capturant tes lèvres dans un même mouvement. La peau qui se réchauffe au contact de celle de l'autre. Quand mes traits s'éloignent, la crinière chatouillant les tiens, c'est juste pour laisser passer un mot. « Bonjour. » La bouche qui s'amuse d'un énième sourire, attrapant celle d'en face encore un peu, murmurant un : « J'me suis dis que je serai un meilleur réveil que ton téléphone. » Puis j'y peux rien si mes doigts partent déjà à la conquête de ton torse. Je ne quitte même pas tes lèvres pour poser mon téléphone resté sur le lit, sur ta table de nuit. La main qui croise un paquet sur le retour. Dans deux secondes, j'vais tourner la tête, et j'ai comme l'impression que ça sera pas un si bon moment.



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La surprise délicieuse. Si bien qu'il ne réalise toujours pas la présence féminine. Qu'on lui balance qu'il est en plein de rêve ne l'étonnerait pas. L'homme en profite, esquissant le plus large sourire qu'une personne à peine réveillé puisse offrir. Les yeux s’émerveillent devant le corps féminin déjà débarrassé d’habits superflus. Chaque baiser est un pic d’énergie. Ainsi que le contact de tes doigts sur mon torse. Y a le bruit d’un objet tombant au sol qui me sort quelques secondes de notre utopie. Pas besoin de me pencher pour deviner ce qu’il vient de se passer. J’en déduis l’identité par le son. Et si la conversation est inévitable, j’préfère la reporter à plus tard. Eloigner l’échéance. Tes cris, j’veux pas les entendre. Tes reproches, tes mises en garde non plus. Je ne veux que tes baisers et pour cela, j’t’empêche de voir c’que tu as fait tomber en te ramenant à moi. En inversant les rôles. C’est moi qui te bloque avec ma jambe entre les tiennes et mon visage au-dessus du tien. Ma main qui vient se glisser dans tes cheveux complète le tableau. « T’arrête de tout faire tomber. » Qu’il tente pour rester naturel. Pour cacher qu’une dispute les attend dans les prochaines minutes. « J’t’ai manqué à quel point ? » Parle ou embrasse-moi. Mais oublie c’qu’il y a autour de nous.

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Mes lèvres s'ouvrent, quand, dans une réflexion qui arrive en retard, je mets des mots sur le tactile de mes doigts. J'ai pas réagit tout de suite, trop embrouillée par les circuits électriques qui se croisent et provoquent quelques décharges dans les reins. Je peux même pas dire que c'est le manque, les symptômes sont les mêmes quand j'ai juste quitté tes mains depuis quelques heures. Alors oui, t'as le temps de nous échanger, d'absorber mon attention de tes traits trop près. « T’arrête de tout faire tomber. » Se mord la lèvre, idiote aveugle, qui ne voit que son désir, qui n'écoute que son cœur qui raisonne d'un bruit sourd. Minaude, d'un sourire distrait. « C'est de ta faute, tu m'perturbes. » Les ongles qui effleurent le dos masculin, puis les doigts. Okay McAllister, on arrête d'être faible. On prend une inspiration, et on lutte tout ce qu'on peut pour ne pas céder au : « J’t’ai manqué à quel point ? » Parce que j'en ai pleins moi, des idées pour te montrer que tu m'as manqué. Et je résiste pas à l'idée de t'embrasser une énième fois, et la passion que tu crois que je mets, c'est la frustration à venir. Quand je quitte tes lèvres, pour aller jusqu'à ton oreille : « Pas assez pour oublier qu'il y a un paquet de clopes sur le sol. » Et, je tente de profiter d'une possible surprise pour me dégager du piège de tes jambes, avec l'objectif certain de la preuve.


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Reste avec moi, à mes côtés. Pas besoin de regarder au sol. On est bien en haut, dans notre passion partagée. Pas dans mes idioties que tu voudras corriger. Je sais que t’as deviné, j’la sens cette faiblesse momentanée. Et ce n’est pas parce qu’on a inversé les rôles sur le matelas. Embrasse-moi, fais-moi croire que tu n’as pas vu ce que je te cache. T’en as envie. Suffit de couper les pensées. « C'est de ta faute, tu m'perturbes. » Et j’aimerai apprécier cette phrase, y sourire sincèrement. Tes lèvres qui m’embrassent également. J’y réponds, avec de la passion pour ma part. J’suis bien dans mon déni. Prend ma main, j’t’y emmène. Sauf que la bouche féminine quitte l’échange pour murmurer quelques mots à l’oreille de l’homme. « Pas assez pour oublier qu'il y a un paquet de clopes sur le sol. » Fatalement prévisible. T’aurais pu fermer les yeux Max. Juste un instant, le temps qu’on profite de nos retrouvailles. C’était si simple. Demoiselle profite de l’instant de latence pour s’extirper de l’emprise masculine. « T’es pas obligée de transformer le rêve en cauchemar Maxym. », presque un reproche pour celui qui laisse sa tête s'écraser sur le coussin. Ça l’deviens, là, quand t’essayes de t’emparer de l’objet du délit. J’ai aucune défense, j’en n’ai pas préparé. Il n’y en a même pas. Aucune plaidoirie. Et je sais que tout ce que j’te dirais n’aura aucun sens. Mes yeux sont clos, mon soupir se fait entendre. « Reviens, s’il te plait. J’ai pas envie de me battre. On en parlera après. »
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Bien sûr que j'aurai pu feindre l'oubli, jouer à être une autre, leurrer mes pensées. Mais tu sais comment ça marche, tu sais que ça tourne là-haut, que je ressasse, que je ne suis pas capable de fermer les paupières. Je confronte. C'est mon ADN, j'ai la lutte dans le sang. Et qu'importe combien il peut bouillir à ton contact, c'est bien plus fort que ma volonté. « T’es pas obligée de transformer le rêve en cauchemar Maxym. » Juste une confirmation, alors que mes doigts vont jusqu'à l'objet. L'avocate qui va chercher les preuves, alors qu'elle sait combien son adversaire est coupable. La main se referme dessus, l'écrasant légèrement. Un indice sur ce qu'il va advenir de lui plus tard. « J'ai fais ma part de rêve. » Qu'elle se sent obligée de rajouter après son reproche, tout en se redressant, assise sur le lit. C'était à toi de faire la tienne de part, et là-dessus, t'es pas d'une grande réussite. « Reviens, s’il te plait. J’ai pas envie de me battre. On en parlera après. » Les doigts ouvrent le paquet distraitement, comme pour vérifier combien avaient finit dans les poumons de monsieur. « Après quoi ? » Comme s'il y allait avoir un moment propice à cette discussion. C'est tel les pansements Antwan, faut juste tirer dessus. J'apaiserai la douleur après. « J'suis fatiguée, j'vais.. » Se pince les lèvres. « .. pas m'énerver. » Tu vois, j'essaye de calmer mes démons, tout en triturant ce putain de paquet. « Tu fumes maintenant ? » C'est une info que j'ai loupé, visiblement.


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« J'ai fais ma part de rêve. » J'aurai pu faire ma part si tu m'en avais donné l’occasion. C'est qu'une connerie au sol, qu'une parenthèse à oublier. Donne moi juste la possibilité de l'enlever de tes pensées. C'est pas en le récupérant que tu m'aides. Tu nous enfonces. « Après quoi ? » Après avoir préparé une défense qui arrivera à te convaincre. Je suis bon dans les mensonges, ceux qui permettent d'avancer sans trop de marques. Mais j'dois les forger, les perfectionner. « J'suis fatiguée, j'vais .. pas m'énerver. » Je veux te croire, vraiment. On est pas aussi solide que tu sembles le croire. J'me redresse, ramène mes jambes près de mon torse, l'observe elle et non c'qu'elle tient dans la main. « Tu fumes maintenant ? » La question banale, mais qui n'a aucune bonne réponse. T'as pas envie d'savoir c'qui est rentré dans mes poumons ces derniers temps. « C'est occasionnel. » C'qu'on dit tous. « J'ai juste acheté le paquet au cas.. l'envie me prend. Rien de terrible. », calme. L'homme s'avance près de la belle, se pose à ses côtés, épaule contre épaule. Sa paume vient rejoindre la main féminine, atteignant ensuite le paquet. « Là, maintenant, c'est pas important. » Ses doigts agrippent le paquet et ses lèvres viennent déposer un baiser sur l'épaule de la demoiselle. « Ce qui l'est, en revanche, c'est de savoir si tu veux rester au lit ou aller prendre une douche avec moi. »
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J'sais qu'il va falloir inonder d'eau le vin, noyer mes grands principes. Essayer de me rappeler que je ne suis pas bien classée dans les individus aux belles valeurs. Que les miennes sont caduques aussi, que mes arguments ne valent pas grand chose, quand on regarde combien l'alcool et les coups ont rythmés mon existence. Le sport et bien la seule raison qui m'a toujours tenue éloignée des vices fumés. J'suis pas une belle personne, mais j'aspire à ce que les autres le soit. Hypocrite. « C'est occasionnel. » J'en crois rien. « J'ai juste acheté le paquet au cas.. l'envie me prend. Rien de terrible. » On achète rien sans que l'envie soit déjà présente. Sinon, on taxe les autres. Tu me berces de paroles bancales, et t'espère que ta présence finisse d'apaiser, là, à mes côtés. « Là, maintenant, c'est pas important. » Bien sûr que ça l'est. J'laisse quand même le paquet s'échapper de mes doigts, dans une renonciation qui ne me ressemble pas. Mes billes suivent tes mouvements. « Ce qui l'est, en revanche, c'est de savoir si tu veux rester au lit ou aller prendre une douche avec moi. »  Secoue doucement la tête, un traitre sourire aux commissures qui s'est frayé un chemin, sans contrôle de l'esprit. « Antwan.. » Qu'elle gronde faiblement. « Sérieusement. » Arrête de me dissiper. L'épaule s'appuie sur celle masculine. « J'vais pas te faire un laïus sur combien c'est la merde quand on est asthmatique. » Et croit-moi que ça me tente, que ça n'attends qu'une parole maladroite de ta part pour briser la jolie barrière de ma douceur. Celle-la même qui me fait dire : « J'prends quand même une option sur la douche. » Et sur ton paquet qui va clairement finir à la poubelle. Mais bon, ça, tu t'en doutes.

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« J'vais pas te faire un laïus sur combien c'est la merde quand on est asthmatique. » Oh, t'en meurs d'envie, il le voit bien. Et pourtant ça ne servira à rien. Il écoutera, ne fera pas de remarque, et partira sans avoir pris notes. Il connait les risques. Cette merde, il sait comment elle fonctionne. Et pourtant, l'idiot continue à tester ses limites. La liberté a ses mauvais côtés. Une crise d'adolescence reculée. « Pas la peine. », qu'il souffle, prudent devant le calme de Maxym. Elle fait des efforts, et il en est reconnaissant. Quant à lui, il essaye de garder l'équilibre. Ça ne durera qu'un temps. Le calme avant la tempête. Ta tempête, Maxym. A trop vouloir le protéger de ses conneries de gamins. « J'prends quand même une option sur la douche. » Bien. Il sourit, se lève, et d'un geste rapide il récupère l'objet pour l'emmener plus loin dans l'appartement. Dans le salon, dans un tiroir. Un où elle n'ira pas chercher et où le hasard ne la mènera pas. Peut-être que c'est maladroit comme geste, qu'il aurait dû la laisser s'en emparer et s'en aller avec, mais non. Non parce qu'Antwan y tient, pour aucune raison logique. Il y a aussi cette envie d'indépendance vis-à-vis de celle qui rentre chez lui sans demander la permission. S’il lui a donné les droits matériels depuis bien longtemps, ce qu'il fait de sa propre santé n'appartient qu'à son propre jugement. Là-dessus, les deux sont d'accord. Chacun prend ses décisions. L'homme profite de son déplacement pour allumer la cafetière. Une sorte de justificatif pour son départ de la chambre. Et quand il revient, il lance un « Y a du café à côté, si jamais. » banal, ne laissant aucune trace de leur conversation précédente. Continuant dans la normalité, dans l’optique d’empêcher Maxym de penser à ce qu’elle a vu plus tôt, « Du coup, j’vais la prendre ma douche. » Plus les secondes passent, plus son assurance en carton s’effrite.
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