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Don't let the sun go down on me

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Siloë,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





Leonidas fit semblant de porter sa main à son cœur, comme si elle l’avait profondément blessé. « Tu me tues trésor, tu viens de faire voler en éclat mes illusions romanesques » s’amusa-t-il à dire sur un ton ironique car le jour où il ferait preuve de sentiments et de romantismes, les poules auraient des dents en or et danserait sur du Bruno Mars. « Au moins, tu gardes un bon souvenir de ta première fois ! D’autres n’ont pas cette chance » reprit-il avec un sourire moqueur. Le grec savait qu’il était insupportable, misogyne mais au moins, les femmes ne pouvaient pas se plaindre de ses performances sexuelles car contrairement à la croyance populaire, il n’était pas un amant égoïste. Il aimait satisfaire ses conquêtes. Une petite voix lui souffla que c’était justement parce qu’il n’aimait qu’une chose : être le meilleur dans ce qu’il entreprenait. Leo détestait la place de numéro 2. Une raison qui le poussait à ne s’engager avec personne car il ne supporterait jamais qu’une petite-amie puisse en trouver un autre désirable ou qu’elle puisse coucher avec un autre homme. S’il devait s’engager, il deviendrait aussi possessif que jaloux et croyez-moi, ce ne serait pas beau à voir. Au moins, en restant éloigné des histoires sentimentales, il se prémunissait contre ce genre de prise de tête. Enfin, en partie car il ne supportait pas l’idée qu’un autre homme par exemple, puisse tourner autour de Siloë en sa présence. Il savait qu’elle avait des amants et il s’en fichait car il ne le voyait pas. La donne serait sûrement différente s’il était réellement confronté à la chose. La jolie blonde était SA colocataire et il était hors de question qu’on la touche et surtout pas à l’appartement. L’idée même de l’entendre gémir un autre prénom que le sien lui donnait envie de la plaquer contre le premier mur et de la posséder pour lui prouver qu’il avait été le premier dans sa vie et qu’elle ne trouverait jamais meilleur amant que lui.

Pourtant, malgré cette envie, il se retint d’y céder car elle était sa colocataire et il tenait à elle, à sa manière. Le problème c’est qu’il pouvait lire le désir de Siloë dans ses yeux, dans son attitude. Elle le voulait autant qu’il la désirait et garder la tête froide dans ses conditions, relevait du parcours du combattant voire de l’impossible. « Tout ce qui se passe à Negril reste à Negril ? » lui demanda-t-il à la fois moqueur et sérieux. C’était peut-être le moment de partir, de s’éloigner des problèmes mais il n’y arrivait pas et elle non plus. Un petit rire secoua ses épaules quand elle lui demanda de retenir ses hormones. « Dixit celle qui m’a embrassé le premier. C’est plutôt à moi de te demander de calmer les ardeurs… tu étais à deux doigts de me violer » se moqua-t-il gentiment en marchant à ses côtés dans les rues de la ville. Certaines étaient plus animées que d’autres. Finalement, le duo arriva devant une sorte de vieille bâtisse où Leonidas repéra une piscine. « Bon sang, j’ai trop chaud… on entre ? » demanda-t-il. L’endroit semblait inoccupé à la vue de la boite aux lettres qui débordait de prospectus. « Je pense qu’on peut y entrer discrètement en empruntant cette petite ruelle. Après, il nous suffira d’escalader le mur… » ajouta-t-il comme si entrer dans une propriété privée ne lui faisait ni chaud ni froid. Après tout, pour aider son père détective privé, Leo avait fait bien pire.

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— leoloë
« Tu me tues trésor, tu viens de faire voler en éclat mes illusions romanesques » Tu ne peux t'empêcher de rire parce qu'il n'est pas crédible une seule seconde, tu le connais trop bien après tout. « Au moins, tu gardes un bon souvenir de ta première fois ! D’autres n’ont pas cette chance » Un sourire au coin des lèvres, tu le regardes. « Un tellement bon souvenir que c'est dommage que tu doives t'arrêter là. » Tu voulais le faire chier clairement même si ça t'embêtais autant que ça l'embêtait lui. Pourquoi fallait il que les choses soient compliqué entre vous, bon sang tu voyais pas mal d'hommes, enfin pas cinquante non plus mais tu essayais de remplir le vide de la disparition de ton frère, seulement le seul qui le complétait vraiment c'était lui, ce mec misogynes, énervant et tellement attirant. Lorsque tu le voyais ramener des filles chez vous, tu t'emportais et déclenchait de grosses crises de colères, parce que ça me rendait vraiment folle. Folle de rage pourquoi n'avait pas fallut qu'il ne fasse l'amour qu'avec toi, juste toi et toute les fois où tu vous avais imaginé.

Vous avez donc continué à marcher tout les deux, côte à côte évitant de vous regarder pour ne pas avoir à nouveau à vous sauter sauvagement l'un sur l'autre. Tu passais un super moment avec lui et ça te tuait de l'admettre mais tu aurais voulu qu'il soit nul par ailleurs qu'ici avec toi. Qu'elles aillent au diable toutes ses femmes qui le voulaient, que le désiraient, possessive tu l'admettais et Leo était ton partenaire de vie, de jeu et de disputes. « Tout ce qui se passe à Negril reste à Negril ? » A ces mots ton regard alla chercher le sien essayant de savoir si il pensait réellement ce qu'il venait de dire. Passant une main dans tes cheveux par réflexion tu finissais par sourire. « Tout ce qui se passe à Negril reste à Negril. » Vous enfonçant dans la ville, tu te demandais si vous aviez vraiment une destination ou si ce n'était qu'une excuse pour passer un peu plus de temps tout les deux. Tu ne pu t'empêcher de lui dire de mettre fins à ses ardeurs juste pour l'embêter et peut être ete protéger aussi. « Dixit celle qui m’a embrassé le premier. C’est plutôt à moi de te demander de calmer les ardeurs… tu étais à deux doigts de me violer » Faisant un arrêt tu le regardes fixement la plus sérieusement du monde, jouant la carte de l'honnêteté et de la simplicité, étant juste toi même. « On sait tout les deux que ça n'aurait pas été un viol, chéri. Un consentement mutuel entre deux êtres qui désirent faire l'amour ensemble. » Tu te mords la lèvre et fini par reprendre votre marche comme ci ce que tu avais dit quelques instant plus tôt n'avait pas existé. Alors que vous être dans une ruelle complètement vide, c'est au tour de Leo de s'arrêter. . « Je pense qu’on peut y entrer discrètement en empruntant cette petite ruelle. Après, il nous suffira d’escalader le mur… » Tu prends alors sa main comme pour lui faire comprendre que tu allais faire ce qu'il venait de dire, lui demandant de te faire la courte échelle tu escaladais le mur et finissait par mettre les pieds dans la propriété. Tu souris une fois qu'il t'avait rejoint et vous vous dirigiez à la piscine. Retirant tes vêtements en vitesse, déjà en maillot de bain tu plongeais finissant par remonter en le regardant. « Elle est super bonne. »
MAY
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Leonidas n’était pas le mec le plus marrant de la planète. Il possédait un humour noir, cynique voire sarcastique seulement, il aimait entendre Siloë rire. C’était devenu trop rare ces derniers temps pour qu’il ne se sente pas empli de fierté à l’idée de lui décrocher des sourires, des rires. « Remarque, les voisins auraient une autre raison de se plaindre de nous » plaisanta-t-il avec une légère grimace. Non, il n’était pas en train d’imaginer l’idée de rentrer à l’appartement, de la retrouver et de lui faire passionnément l’amour. Leo ne faisait pas l’amour, il couchait et la nuance était importante à ses yeux. Pourtant, quand il la regardait, ce n’était pas une coucherie qu’il imaginait et ça l’emmerdait royalement. Bordel, c’était Siloë, sa colocataire, une chieuse à temps complet qu’il appréciait. S’ils se mettaient à coucher ensemble, ce serait déclencher la troisième guerre mondiale car il n’était pas le genre d’homme à réussir à se contenter d’une seule et unique femme. Remarquez, il n’avait jamais essayé ! Le hic c’est qu’il la désirait constamment et par moment même les femmes qu’il ramenait à l’appartement se transformaient dans son esprit, en cette magnifique blonde. Le pire c’est qu’il adorait les crises de colère qu’elle piquait continuellement en voyant ses conquêtes. Combien d’entre elles Siloë avait foutu dehors ? Un certain nombre. Bien sûr, cela déclenchait une dispute entre eux mais ce serait mentir que de dire qu’il ne claquait pas la porte de sa chambre avec un sourire satisfait. Il aimait la rendre dingue tout comme il aimerait l’étendre sur leur canapé et la posséder.

Tout ce qui reste à Negril reste à Negril ne cessait-il de se répéter. Cela planait entre eux à la fois comme une promesse mais également une menace et seul le temps leur permettrait de savoir de quel côté la balance penchait. Les taquineries fusaient entre eux dans un mélange d’amusement et d’attirance. Ils se cherchaient, s’éloignaient mais ne restaient pas indifférents l’un à l’autre. « Je ne nierai pas le fait qu’il y aurait un consentement mutuel » dit-il en laissant son regard s’attarder sur ses courbes féminines. En temps normal, il l’aurait repris sur ses termes, lui aurait dit : coucher pas faire l’amour seulement, il n’avait pas envie de la reprendre. Siloë connaissait les risques après tout, elle le connaissait même certainement plus que la majorité des femmes étant donné qu’ils vivaient ensemble depuis septembre 2015. Un an et demi qu’il vivait avec la même femme, un exploit chez lui. La chaleur commençait à le rendre dingue et il proposa de jouer les squatteurs de piscine histoire de se rafraichir -chose qu’elle accepta. Le grec se laissa tirer par la main et l’aida à franchir le muret avant de prendre un peu d’élan et de s’élancer à son tour contre le mur où il se hissa à la force des bras. Une fois dans la propriété, il la regarda se mettre en maillot de bain, lâchant un sifflement admiratif. Elle était vraiment sexy ! Bordel on devrait lui décerner une médaille du courage pour se retenir de lui sauter dessus. Cabot, colocataire, amie… trois panneaux défenses d’entrée qui s’illuminaient dans son esprit. Leonidas se déshabilla à son tour, se mettant en boxer n’ayant pas vraiment prévu le plongeon dans la piscine. « Je confirme elle est super bonne » dit-il avec un sourire en coin -pas certain qu’il parle de la température de l’eau vu qu’il n’y était pas encore.

Le brun termina par plonger dans l’eau remontant non loin d’elle en se passant une main sur le visage pour y chasser les gouttelettes d’eau. « Bordel que ça fait du bien ! Cet été, je file dans un pays nordique pour être au frais » marmonna-t-il. Il n’était pas un grand fervent de la chaleur mais à présent immergé dans cette piscine, c’était supportable. Leonidas plongea à nouveau la tête sous l’eau et se rapprocha d’elle jusqu’à l’attraper par la cheville et la tirer vers le fond de la piscine.


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— leoloë
« Remarque, les voisins auraient une autre raison de se plaindre de nous »    Il avait raison sur ce point mais c'était tellement jouissif de les entendre grogner quand tu passais ou te lancer des regard noir. Vos voisins étaient particulier, mais l'animation était vraiment trop agréable lorsqu'ils tapaient dans les murs. «  Ah ce n'est plus ce que c'était d'être populaire de nos jours. » Tu échangeais avec lui un clin d'oeil complice, tu ne savais pas trop à quel moments vos disputes étaient devenue un jeu, à quel moment ils étaient aussi proche de la frontière. Pourtant tu n'aurais plus aimé que ça change, vous étiez arrivé à un stade où tu ne pouvais pas revenir en arrière.

Les choses devenaient réellement compliqué entre vous, plus que tu ne l'aurais imaginé, cette tension entre vous deux était de plus en plus pesante. Combien de temps allais tu vraiment pouvoir te retenir de lui sauter dessus ? Leo comptait pour toi et si tu t'empêchais de t'attacher c'était pour ne pas avoir à subir ce que tes frères et sœurs avaient enduré avant toi et pourtant tu t'enfonçais dans quelques chose que tu ne contrôlais pas avec Leo. Non, il ne fallait pas, tu devais être plus forte que çà, franchement ça t'apporterait quoi ? Tellement de chose positive et tellement de plaisir. « Je ne nierai pas le fait qu’il y aurait un consentement mutuel »   Tu te mords la lèvre inferieur alors que ça devient de plus en plus difficile pour toi de résister à la tentation. « On sait tout les deux que ça arrivera tôt ou tard. » Finis tu par conclure simplement avant de filer jusqu'à la piscine après avoir grimper tout les deux le mur. C'est très vite que tu avais sauté dans la piscine sans doute par besoin de te refroidir les idées parce que la situation était de plus en plus difficile. Alors que tu venais de sortir de l'eau son commentaire te fit légèrement sourire, tu étais à son goût et tu le savais pertinemment à sa manière de te déshabiller du regard lorsque tu te baladais dans l'appartement.

« Bordel que ça fait du bien ! Cet été, je file dans un pays nordique pour être au frais » Il disparut à nouveau sous l'eau tu le cherchais du regard jusqu'à ce que tu te sentes attirés vers le fond, tu le regardais alors que tu essayais de garder ton souffle le plus longtemps possible. Vous n'étiez qu'à quelques centimètre l'un de l'autre, vos corps pouvaient se frôler, bon sang c'était dure. Tu pouvais contempler son corps  admirablement bien sculpté.    
MAY
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Oui, un jour ou l’autre, ils franchiraient la ligne jaune, ils céderaient à leurs pulsions. Dans le fond, était-ce mal ? Peut-être le fait d’y céder une bonne fois pour toute calmerait les choses entre eux. Siloë ne l’attirerait sûrement plus songea-t-il avec une pointe de scepticisme. Le grec doutait un peu de ne plus ressentir le frisson du désir en présence de sa colocataire mais peut-être serait-il moins fort. « Je sais » se contenta-t-il de dire en plongeant son regard dans le sien. Ils étaient sérieux et c’est ce qui lui faisait peur. L’étudiant détestait ne pas contrôler les événements. Il y avait comme une fatalité dans leur duo, comme si malgré tous leurs efforts, ils étaient condamnés à croquer la pomme. Ce qui reste à Negril, reste à Negril lui répéta à nouveau cette petite voix qui le poussait à céder à la tentation que représentait sa colocataire. Et puis pourquoi pas ?! D’une façon ou d’une autre, ils finiraient par se jeter l’un sur l’autre donc autant que ce soit en dehors d’Harvard, de leur appartement. Ils auraient beaucoup plus de facilité à passer à autre chose après coup car il ne doutait pas de cela. Siloë n’était pas le genre de femme à s’engager. Elle était indépendante, ne se gênait pas pour aller vers d’autres hommes. C’était l’occasion rêvée de consommer cette attirance entre eux se persuadait-il comme pour se donner bonne conscience. Athena lui avait interdit de s’approcher d’une de ses cabots mais Siloë était à lui bien avant d’être à la présidente de cette sororité. Cette femme lui appartenait depuis leur adolescence et là maintenant, il avait envie de le lui rappeler de la plus délicieuse des manières.

Autant vous dire que de la contempler en maillot de bain n’arrangeait pas son cas de conscience. Pire, il ne faisait que confirmer cette folle envie de la croquer. Alors, quand ils se retrouvèrent tous les deux dans la piscine, sous l’eau, il l’attira entre ses bras musclés et l’embrassa avant de donner une impulsion contre le sol carrelé pour remonter avec elle vers la surface. Il en avait marre de lutter contre son désir alors autant y céder une bonne fois pour toute. « Je te laisse une seule occasion de m’envoyer paître trésor » murmura-t-il contre ses lèvres qu’il mordilla sans attendre. Si elle lui disait non, il la relâcherait… sinon, il la posséderait dans cette piscine en se foutant bien des conséquences de leurs actes.

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— leoloë
Pourquoi ce compliquer les choses en pensant à ce qui se passerait après, en pensant aux conséquences alors qu'à cet instant la seule chose que vous vouliez tout les deux c'était vous unir l'un à l'autre. Depuis gosses vous n'aviez fait que vous battre et vous chercher jusqu'à enfin céder, jusqu'à ce que tu le veuilles enfin rien que pour toi juste une nuit. Maintenant, tu avais neuf ans de plus, des hommes à ton actif et tu voulais le posséder de nouveau mais avec plus de force qu'avant. Tu le savais entre vous ça ne serait jamais facile, mais tu détestais la facilité et le danger t'attirait encore plus. Leo était à toi, tu l'avais décidé à l'instant même ou tu lui avais offert ta virginité geste loin d'être anodin et lorsque vous vous étiez retrouvé c'est quand tu avais vu cette fille sortir de sa chambre que tu en avais à nouveau ressenti le besoin. Aujourd'hui, vous étiez seule au monde dans un pays qui ne vous offrait qu'un cadre idyllique. Lorsque tu te trouvais enfin sous l'eau il t'attira contre son corps musclé et tu ne mis pas longtemps à lui rendre son baiser, tes mains empoignant ces cheveux, tu glissais ta langue à travers ses lèvres et valsait sensuellement. Finalement, vous remontiez à la surface et tu repris ton souffle. « Je te laisse une seule occasion de m’envoyer paître trésor » Tu le regardais dans les yeux et tu venais enrouler avec fermeté tes jambes autours de sa taille, alors qu'il te mordillait les lèvres. Tu brûlais tout entière contre son corps, ton bas ventre devenait douloureux tant tu le voulais en toi maintenant. Il voulait que tu prennes la décision qui allait déterminer la suite entre vous mais tu te sentais incapable de le repousser c'était bien trop urgent de le sentir en toi. « Tout ce qui ce passe à Negril reste à Negril. » Finis tu par dire pour te donner bonne conscience ou te convaincre qu'après ça vous n'alliez plus en parler ou que ça redeviendrait juste des disputes banals. Mais était ce vraiment le cas ? Non , il ne fallait pas que tu y penses maintenant. Tu reprenais possession de ses lèvres, ce baiser sauvage et fougueux, tu lui donnais sans plus de retenue.
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— leoloë
Ce moment tu l'avais rêver de nombreuses fois, l'avoir pour toi seule, qu'il désires qu'une seule femme, toi. Vos lèvres ne se quittaient plus, comme si elles s'étaient toujours cherché, désiré et qu'enfin elles se retrouvaient malgré toutes ses années. Ton corps étendue sur le carrelage de la piscine, tu ne t'étais jamais sentie aussi fragile qu'entre ces bras. Il y avait quelques choses de différent qui se passait en toi, ça avait toujours été très simple avec les autres mais avec lui c'était différent. Tu te sentais à nouveau cette adolescente complètement sous le charme. Étrangement, il était délicat, doux et prenait le temps de caresser ton corps, ce qui ne faisait que la rendre un peu plus fébrile. Ses lèvres sur ta gorge te faisait perdre pied, ses caressent sur tes cuisses accentuèrent les battements de ton cœur. La douleur dans ton bas ventre faisait mal tant tu avais envie de lui, tu ne le quittais pas des yeux. Il avait encore le corps mouillés, des gouttes d'eau perlaient sur son corps, alors que ces cheveux brillaient avec le rayon du soleil. Juste parfait, cet instant était vraiment beau et tu n'aurais voulu partagé ça avec personne d'autre. Tu te mordais la lèvre inférieur alors qu'il découvrait ta poitrine gonflée par le plaisir et le désir que tu ressentais. Il s'en saisit et tu laissa échapper un gémissement, ce qu'il t'infligeait là était de la torture, n'aviez vous pas attendu assez longtemps, tu désirais ne faire qu'un avec lui. Tu laissais tes mains explorer son corps, chaque parcelle de son corps comme pour y laisser ta trace, une odeur qui pourrait le faire t'appartenir. Son regard te transperçait entièrement, tu ignorais ce qui était entrain de ce passer à cet instant précis. Tes lèvres se perdirent dans son cou, ta langue glissait jusqu'à son lobe d'oreille que tu titillais, tu ne voulais pas être la seule à prendre du plaisir à cet instant. Ta main allait se perdre dans son maillot de bain, tu venais reprendre ses lèvres, leur goût devenait trop envoûtant, tu devenais accroc mais tu n'allais pas y penser maintenant.
MAY
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