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I'm not your friend, but not your ennemy too. x Cartaël

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I'm not your friend, but not your ennemy too.
feat. Jaysaël & Carter
Ce n’était pas parce que tu devais rester à l’hôpital que tu faisais réellement une telle chose, tu sortais les jours où tu te rendais compte que tu n’avais pas trop mal, ce qui était déjà un exploit pour toi. Tu étais sortie il y a quelques jours de cela, ce n’était clairement pas l’idée du siècle puisque tu avais pu voir quelque chose…de surprenant. Tu ne savais pas que ton cousin pouvait faire une telle chose, en soit un câlin ce n’était pas grand-chose mais tu avais été quand même surprise. Tu avais juste oubliée ce que tu avais pu voir depuis quelques jours, tu t’étais concentré sur ton ventre qui te faisait réellement mal, mais aujourd’hui tu étais décidée d’aller voir Jaysaël pour lui en parler. Tu allais sûrement te faire envoyer chier comme jamais de la part du copain de ton cousin qui ne te portait pas dans ton cœur et c’était réciproque, mais tu avais presque envie de voir comment le jeune homme serait capable de réagir quand tu lui diras une telle chose. A ce que tu avais compris, c’était Jaysaël qui faisais des conneries normalement dans leur couple, c’était lui qui se retrouvait dans le lit d’une femme ce genre de choses, enfin tu ne connais pas du tout les détails en soit. C’était bien pour ça que t’étais habillé et que tu avais pris la direction de l’appartement du président de la winthrop house. Tu souris en coin avant de frapper à la porte attendant que le jeune ouvre, il serait sûrement choqué de te voir devant sa porte surtout que tu espérais réellement qu’Oliver ne soit pas là parce que tu te doutais bien que ton cousin n’apprécierait pas que tu dises une telle chose à son copain.

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Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal


L'appartement encore un peu en désordre, j'ai réellement du mal à ne pas me mettre à le ranger, mais j'ai envie de casser avec les rituels que mon père m'a inculqué, ne plus être un mini lui, ne plus suivre sa trace d'une façon où d'une autre. Je veux casser cette image et si j'ai commencer en me laissant pousser les cheveux pour me faire une sorte de crête, j'ai continue avec un fin collier de barbe et finalement avec ce pseudo désordre dans mon appartement. Rien de bien bordélique, juste deux trois trucs pas à leur place, des vêtements qui traînent ci et là, mais en deux temps trois mouvement ça pourrait être impeccablement rangé.

Occupé présentement sur des recherches en lien avec mon corps de sociologie, Oliver étant à un de ses cours lui, histoire de l'art, je crois, je sais pas, je sais qu'il en enchaîne plusieurs en fait. Je suis alors surpris d'entendre frapper à la porte. Mira ? Possiblement. Je ne vois pas qui d'autre viendrait, ou alors peut-être Brent ou un autre Winthrop ? Dans tout les cas, je me lève, ouvrant assez rapidement la porte pour tomber sur... "Carter." Laissais-je entendre d'une voix mêlant la surprise et l'ennui de la découvrir elle sur le seuil de ma porte. "Oliver n'est pas là." Lançais-je alors rapidement parce que je ne m'imagine pas une seule seconde qu'elle vienne ici, exprès pour me voir.


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Ça pouvait être une blague de te voir devant l’appartement du copain de ton cousin tout en sachant que tu ne venais pas voir ton cousin, tu savais qu’il était en cours ou quelque chose comme ça. En fait, tu devrais toi aussi être dans un amphithéâtre en train d’écrire ce que tu pouvais entendre, sauf que pendant encore quelques jours tu étais obligé de rester à l’hôpital, mais tu étais toi, tu n’écoutais personne et tu sortais de temps en temps de l’hôpital. Tu passas ta langue sur tes lèvres en regardant la porte devant tes yeux, tu ne savais pas du tout comment il allait réagir en te voyant, il ne te portait pas dans ton cœur et bizarrement, les choses étaient réciproques. Vous aviez tous les deux qu’une idée en tête, le bonheur d’Oliver sauf que toi, tu n’appréciais pas forcément de voir Jaysaël faire du mal à Oliver même si ce n’était pas voulu. En fait, tu te rendais compte que si tu étais autant sur la défensive avec Jaysaël, c’était à cause de Roman, à cause de ce que tu étais capable de subir et tu refusais qu’un de tes proches vivent la même chose. « Je ne suis pas venue voir Oliver. » Tu croisas tes bras devant ta poitrine tout en regardant le jeune homme qui venait de t’ouvrir la porte, pas de sourire rien du tout. Il était tellement content de te voir ça se voyais, parfois tu te sentais mal pour Oliver puis tu savais que tu étais en train de vivre la même chose entre ta sœur et Roman. « Il faut que je te parle de quelque chose, il faudrait mieux qu’on parle à l’intérieur sauf si tu veux que tout le monde entende. Enfin c’est à toi de voir. » Tu haussas les épaules encore une fois ne pouvant pas faire autrement sur le coup parce que c’était à lui de voir.

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La porte ouverte, je suis des plus surpris de voir Carter se tenir devant moi. Murmurant même uniquement son prénom en guise de salutation. Je vais directement au but, lui dire que son cousin n'est pas présent. Parce que je ne vais pas me mentir, je ne l'apprécie pas particulièrement et la voir comme ça chez moi c'est pas une chose que j'apprécie non plus. Bien que je conçois qu'elle puisse venir voir mon blond. Mais à cet instant il n'est pas là et j'ai pas réellement envie de l'entendre dire, Je vais l'attendre. Parce qu'alors ça risque clairement d'être long. Très long. Cependant, je suis surpris par ses propos, mais surtout son maintient. Comment dire que ça ne me dit rien de bon ? Et avant même que je ne puisse la questionner pour savoir ce qu'il y a, elle s'invite limite elle même dans mon appartement en me disant qu'il faut mieux en parler à l'intérieur. Je la fixe, incrédule. Je ne sais pas du tout ce que je dois penser. "Oli va bien?" C'est la première chose qui me vient en tête. Comme elle est de sa famille, si jamais il lui est arrivé quelque chose, elle serait au courant avant moi alors là j'ai clairement un petit coup de panique. Je me bouge donc de l embrasure de la porte pour la laisser entrer dans mon appartement, plus aussi impeccable comme avant. Fermant la porte derrière elle je la fixe. "Il se passe quoi?" Parce que là elle me fait peur, j'ai peur pour Oliver là, peur qu'il ai eu un accident ou un soucis dans le genre...


Rei©


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Tu aurais dû arriver tout en criant surprise, Jaysaël aurait toujours la même tête, celle qui montrait que ta présence l’ennuyait fortement et toi, ça t’amusais plus qu’autre chose dans le fond. Il se rend pas compte que c’est à cause de lui, que c’est entièrement de sa faute si tu étais comme ça, tu ne voulais que le bonheur des membres de ta famille et même si ce n’était qu’un cousin, il comptait plus que tout dans ta vie. Tu passas ta langue sur tes lèvres avant de lever les yeux au ciel, il était idiot ou quoi ? A croire que tu prendrais le temps de tout ça, s’il y avait quelque chose de réellement important par rapport à Oliver. S’il était en danger, s’il avait quelque chose tu l’aurais directement dis à Jaysaël parce que même si tu ne le portais pas dans ton cœur, tu savais très bien qu’il tenait à ton cousin. « S’il y avait un souci avec Oliver, je serais déjà en train de te tirer pour qu’on aille le voir. Je te porte peut-être pas dans mon cœur, mais je ne suis pas non plus idiote et je sais que tu tiens à lui. » Le truc que tu te demandais c’était ce que Oliver pouvait lui trouver, mais comme quoi, il y avait peut-être du bon en tout le monde. Tu passas encore une fois ta langue sur tes lèvres en rentrant dans l’appartement du président de la winthrop, tu levas un sourcil ne faisant aucun commentaire, ce n’était pas ton rôle de faire une telle chose puis tu n’étais même pas chez toi. « Rien de trop grave, du moins… » Du moins tu le voyais comme ça toi, enfin tu ne savais pas ce qu’il se passait dans leur couple alors bon tu ne faisais des suppositions, mais ce que tu as pu voir ce n’était pas un rêve ou quelque chose comme ça, tu en étais certaine. « Ecoute, je vais pas tourner autour du pot très longtemps. J’ai vue Oliver faire un câlin à un homme, je crois qu’il s’appelle Jonathan ou un truc du genre. J’en sais rien en faite. »

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Je dois bien reconnaitre que là, elle marque un point, c'est vrai qu'elle n'aurait pas prit autant de temps pour me donner l'info, elle me l'aurait même sûrement dit par téléphone, via un texto ou un appel pour aller plus vite, parce que si réellement il était arrivé quelque chose à mon blond, elle aurait pas été en état de bouger comme ça je pense, elle serait plus déjà à l'hôpital à son chevet... Alors, je me suis inquiété pour rien, enfin, oui et non, parce qu'elle est quand même là, à me dire qu'il faut qu'on parle donc, il y a un soucis.

Je la regarde alors l'invitant à s'asseoir à cause de son état de santé, parce que je suis quand même au courant qu'elle n'est pas au meilleure de sa forme à cause de sa grossesse... Sauf qu'elle me parle, m'expliquer la raison de sa présence et ce qu'elle me dit... Je me fige, incapable de dire quoi que ce soit, serrant les poings et baissant la tête. Jonathan... L'eliot. Je secoue la tête, je veux pas croire ça. "Un câlin ?" Répétais-je alors, incrédule, parce que je ne veux pas croire ça, pas qu'il y ai réellement quelque chose entre eux... pourtant, tout colle, parce qu'ils sont proche... Depuis plusieurs mois maintenant et je ne sais pas comment les shoot qu'ils faisaient ensemble finissaient... Je ne sais pas ce qu'il y a au final entre eux... juste qu'ils sont proche... Assez proche pour se faire des câlins ? Non... je me recule alors jusqu'au mur derrière moi, me heurtant au meuble juste devant et m'y agrippant pour pas m'écrouler sous les pensées que j'ai, la vision de ce mec que j'aime plus que tout, dans les bras d'un autre, de Jonathan... "c'est pas vrai. Tu mens. Dis moi que tu mens." Je la supplie limite de me dire que c'est faux, qu'elle me fait juste une très mauvaise blague... Mais au fond, je sais que c'est une possibilité, parce qu'ils se collent l'un l'autre, au point de débarquer ensemble à mes soirées par exemple....


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Tu avais beaucoup de défaut surtout quand tu n’appréciais pas une personne, tu ne pouvais pas faire semblant et c’était le cas avec Jaysaël pourtant tu étais incapable de faire du mal comme lui cacher si Oliver n’allait pas bien. Tu ne pouvais pas alors tu l’aurais prévenu d’une quelconque manière, il aurait été au courant sauf que tu n’étais pas là pour cette raison, c’était autre chose qui t’avait amené à venir le voir. Tu refusais son invitation à t’asseoir, tu détestais être prise pour une petite chose fragile, il ne le savait pas alors tu ne fis aucun commentaire. Tu n’avais pas envie qu’on pense que tu étais une personne faible, une personne qui n’arrivait pas à supporter une grossesse à difficulté comme la tienne. Tu passas ta langue sur tes lèvres avant de bouger la tête de haut en bas. « Quand je suis arrivée, l’eliot avait Oliver dans ces bras. Enfin j’ai pas besoin de te faire un dessin tu sais ce que c’est un câlin. » Tu haussas les épaules ne rajoutant pas une couche sur cette chose, tu n’avais pas envie de lui faire du mal dans le fond, mais ça serais un peu le retour de la médaille, qu’il comprenne enfin que Oliver ne lui serait pas totalement acquis et qu’il pouvait toujours se détourner de lui s’il en avait envie, s’il trouvait une personne qui le rendait plus heureux. Mais honnêtement, tu préférais clairement que ce soit une autre personne qu’un eliot, les eliots tu ne pouvais clairement pas te les voir. Ok, tu étais mal placée pour dire une telle chose sachant que ton copain était un bleu et il était en plus le père de ton enfant, mais tu n’écoutais rarement tes conseils. « J’aimerais bien te dire que c’est un mensonge et que je prends plaisir à te voir aussi mal, mais c’est pas le cas. C’est vrai que j’aurais pu me taire et laisser ça comme ça. Sauf que je pense avant tout au bonheur d’Oliver, même s’il va me tuer dans le fond, je préfère le voir avec toi que le voir avec un eliot. » Il faut dire que cette chose était étonnante pour toi et surtout pour Jaysaël. Il allait être choqué de voir que tu préférais ton cousin avec lui qu’avec ce Jonathan que tu ne connaissais même pas.

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Je secoue la tête parce que je ne veux pas entendre ce qu'elle me dit, je ne veux pas y croire non plus, pourtant elle me détaille la scène quand je lui répètes le mot câlin... Je ne veux pas que ça soit vrai, je la supplie de me dire que c'est une blague, qu'elle ment, sauf que non, je vois bien ou alors elle joue bien la comédie... Je m'accroche au meuble derrière moi alors qu'elle me dit ses pensées sur tout ça, m'expliquant qu'elle préfère me voir moi avec son cousin plutôt que ce satané Jonathan... Sauf que là... "Quand ? Quand est-ce que tu as vu ça ?" La questionnais-je alors. Masochiste ? Possiblement, mais ça ne pouvait avoir eu lieu qu'au Spring Break non ? Vu que je n'étais pas là, sur le campus, ils ne le feraient pas ouvertement... Du moins j'espère... Sinon, tout le monde est au courant sauf moi... Je ne veux pas y croire, pourtant, il y a tellement de choses, des mots, des actes, qui vont dans ce sens là, une relation entre les deux... Elle ne date pas d'aujourd'hui... Mais de quand ? Quand je suis partit pendant les fêtes de fin d'années ? Ou avant ? Quand j'étais au plus mal à cause de mon frangin et son hospitalisation ? A-t-il été dans les bras de Jon déjà à ce moment-là pour trouver ce qu'à l'époque je ne pouvais pas lui donner parce que j'étais absent ou trop inquiet pour mon frère ?


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Au fond de toi, tu t’en voulais réellement de faire une telle chose, ce n’était jamais un plaisir de faire ça, de faire comprendre à une personne qu’elle était en quelque sorte cocue et tu n’avais apprécié qu’on te le dise aussi. Enfin toi ça avait été sur internet, c’était pire que tout dans le fond parce que tout le monde pouvait être au courant. Tu soupiras encore une fois, l’envie de partir était bien trop grande, mais en même temps tu devais faire comprendre à Jaysaël que s’il se bougeait pas, il allait réellement perdre ton cousin, qu’il allait perdre l’homme qui partageais sa vie et ça serais en quelque sorte tant pis pour lui. Tu faisais vraiment un pas vers lui actuellement, bon tu allais aussi peut-être un peu trop vite dans les conclusions, mais ce n’était pas si important que ça, si ? T’en savais strictement rien. « Pendant le spring break. » Tu avais envie de t’avancer pour le réconforter, mais ça serais une situation plus que gênante pour toi et surtout pour lui. Vous ne vous supportez pas tellement donc ça serais bizarre pour toi de le prendre dans tes bras. « C’est peut-être pas ce que tu crois, enfin j’en sais strictement rien. Mais peut-être que… » Tu haussas les épaules ne sachant pas quoi dire, tu n’avais clairement plus de mots face à ce qu’il se passait. « J’aurais peut-être pas dû te le dire, mais je préfère être honnête avec toi. Je préfère que tu le saches que je ferme les yeux et laisse Oliver faire je ne sais quoi. C’est peut-être mon cousin, mais je ne supporte pas ce genre de choses. Je.. J’ai déjà été trompé donc je sais ce que ça fais de l’apprendre ou de se faire juste tromper. » Tu haussas encore une fois les épaules sachant que ce n’était pas une excuse, mais tu étais honnête avec toi-même, tu aimais beaucoup Oliver, mais tu ne pouvais pas toujours fermer tes yeux sur ce qu’il pouvait faire.

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Pendant le spring break... Je baisse la tête, j'aurais mieux fait d'y aller donc... Mais est-ce qu ça n'aurait pas juste fait venir le problème plus tard ? Ils auraient continué tout simplement tout les deux alors que moi, je n'aurais rien vu ou plutôt que j'aurais continué à faire semblant de ne rien voir... Je secoue la tête quand elle me dit que ce n'est probablement pas ce que je crois... Je relève le regard vers elle. "Pas ce que je crois ? Mais ça fait des mois que Jonathan lui tourne autour ! Des mois que je lui dis que je fais pas confiance à ce type ! Et lui, il fait quoi ? Il passe son temps avec lui quand je suis pas là... Alors pas ce que je crois ? Tu comprendrais quoi toi en sachant que dés la première rencontre, il lui a fait du rentre dedans ? Qu'il lui tourne tout le temps autour. J'peux pas juste croire que c'est un câlin innocent là..." Lançais-je alors, parce qu'il n'y a pas de défense pour eux, pas de mon point de vue, pas avec ce que je sais, pas avec mon analyse. Il y a forcément tromperie et ça, ça je peux pas l'accepter. Je porte ma main à mon visage pour tenter de me calmer un peu, de retrouver un semblant de contrôle alors que tout part dans tout les sens dans ma tête. J'essaie de me raisonné, de faire comme elle vient de tenter de le faire, de me dire que ce n'est pas ce que je crois. Après tout, on aurait pas fait la tatouage en commun par exemple. Et il n'aurait pas été comme ça à mon retour... Je le vois mal savoir jouer double jeu comme ça... Mais en même temps, Jonathan c'est un sujet que j'évite depuis un bon moment parce que je ne peux pas le voir en peinture ce type même si c'est un ami à Oliver.... Que c'était un de mes amis avant enfin, plus ou moins. Maintenant, je le tolère juste enfin, à partir de cet instant, je ne vais plus le toléré du tout en réalité.... Je retire alors ma main et fixe la rose. "Tu comprendrais quoi toi ?" Répétais-je alors pour avoir son avis.


Rei©
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