Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySave me | Jayra
Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €


Save me | Jayra

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Fermer les yeux, ignorer simplement la douleur qui me submerge petit à petit. Un mal de crâne me prend lorsqu’il me plaque au sol, ma tête heurta le sol dans un bruit sourd. Le choc m’empêche de stabiliser ma vue durant quelques secondes, cette dernière devenant floue, mais malgré tout, je continue de me débattre, en vain, ayant l’impression de me battre contre le vide. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, tout ça parce que je n’ai pas voulu lui servir un verre . Je sens ce qu’il me fait, mais je n’arrive pas à l’en empêcher, ce mec pèse de tout son poids sur moi, me bloquant les mains, m’empêchant littéralement de bouger ou de faire quoi que ce soit pour me défendre ou me dégager de son emprise. Je sens mes larmes dégringolaient sur mes joues, couler le long de mon cou, tandis qu’une boule se forme dans ma gorge. J’essaie de crier, mais je n’entends pas le son de ma voix, je n’entends plus rien, voyant des images du passé ressurgir. Cet homme sur moi, je le connais à présent il prend le visage de celui qui continue de hanter mes rêves malgré toutes ces années, et comme aujourd’hui, je ne pouvais rien faire avec lui. J’ai seulement été sauvé par un élan de courage que je n’arrive pas à avoir aujourd’hui, totalement paralysé par la peur et les souvenirs. Je ferme les yeux , voulant chasser ces images, tournant la tête et sentant ma joue caresser le sol froid du bar et également humide, un liquide que je n’arrive pas à identifier, l’esprit bien trop perturbé. Finalement le poids présent sur mon corps et mes mains disparaît, me rendant de nouveau libre de mes mouvements, me faisant ouvrir lentement les yeux. Je n’arrive toujours pas à stabiliser l’image, tout semble tourner autour de moi. L’arrière de mon crâne continue de me faire mal, comme si on s’acharnait à frapper dessus. Mes larmes coulent d’elle-même, tandis que je referme les yeux, n’ayant pu la force de rien.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jayra

♣ Save me ♣

Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.

Soirée avec mon blond, son frère et sa copine. Une bonne petite soirée d'ailleurs, comme souvent et franchement ça me fait du bien d'avoir un pseudo quotidien calme et paisible quand on sait qu'à côté, avec ma famille, c'est la misère, mais ça, j'en ai toujours pas parlé avec Oliver, je ne sais pas comment lui dire que mon père est maintenant au courant pour nous et qu'il m'a en quelque sorte renier aussi. Au fond, je n'ai pas envie de lui dire, parce qu'il risque de se sentir responsable et je n'ai pas envie de le voir culpabilisé, mais j'ai du mal à garder ça pour moi, surtout avec les appels incessant de ma mère pour tenter de me raisonner et faire en sorte que je pardonne mon père, sauf que non, je ne compte pas renier mes sentiments pour l'artiste et me ranger sagement avec une fille que je n'aimerais pas. Je soupire un peu d'ailleurs en regardant mon cellulaire en voyant justement un appel manqué de ma mère. Elle lâchera pas l'affaire, au moins, je sais de qui je tiens pour être borné de la même façon. Dans tout les cas, je rentre à mon appartement maintenant, j'aurais pu passé la nuit là-bas, comme souvent, mais Môo n'étant pas rentrée avant de partir, je préfère rentrer pour être sûr que cette boule infernal ne finisse pas encore dans l'appartement de Mira ou de je ne sais quel autre voisin, parce qu'autant je sais que je peux faire confiance à Mira pour ne pas lui faire du mal, mais autant les autres, j'en sais rien. Le mec qui a reprit l'appartement de mon frangin ne m'inspire pas, mais alors là pas du tout confiance à ce niveau. Je suis sûr qu'il a déjà mangé du chat à la brochette ! Parano ? Non, je me fais juste des films tout seul et j'adore trop ma boule de poil pour risquer de la perdre, surtout que c'est le dernier cadeau de mon frangin avant son départ d'ici.

Passant alors devant le Lord Hobo, je suis surpris de voir encore de la lumière et me stoppe un instant devant, ne sachant pas si c'était Mira ou non qui bossait ce soir. Je ne me pose d'ailleurs pas la question plus longtemps quand j'entends un cri venir de l'intérieur. En effet, que ça soit toujours ouvert, c'est pas normal et si c'est réellement Mira qui bossait ce soir, alors le cri, c'est elle. Je l'imagine déjà s'être cassé la figure à cause d'un tabouret douée comme elle peut être parfois, sauf que ça aurait pas été le même genre de cri. Elle a du voir une araignée ou une bestiole dans le même style.

Je pousse alors la porte du bar, celle-ci s'ouvrant effectivement et j'entre. "Mira ?" Appelais-je alors qu'il n'y a désormais plus un seul bruit. J'ai rêvé ? Non, mais dans tout les cas, c'est ouvert, les lampes allumés... J'entends alors une porte se refermer. Derrière ? Je marche dans la salle, sur mes gardes pour finalement arriver près de la réserve et la porte de derrière. Je vois alors ma voisine, sur le sol, complètement....Quoi ? Perturbée ? Blessée ? Je sais pas trop comment définir ce que je vois, mais en deux trois enjambées je suis à côté d'elle, accroupi, posant ma main sur son épaule doucement. "Mira ?" Questionnais-je alors doucement pour essayé de comprendre sans formuler de questions réelles.



Rei©
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je suis incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La réalité se mélange avec mes souvenirs, seule la douleur me permet de savoir que je ne rêve pas, que ceci n’est pas un cauchemar mais que c’est bien vrai et en train de se passer. Cet homme que je ne connais pas, me fait subir, sans le savoir, la même chose que j’ai subie il y a quelques années, avec l’homme avec qui je vivais, dont je partage le même sang, et qui pourtant n’a pas hésité à faire subir cela à sa propre fille. Les années ont passé, et malgré mon envie, mon désir d’oublier, ce passé refait surface, m rattrape et m’empêcher de lui échapper. À présent, ce sang, s’écoule lentement sur le carrelage du bar, que j’ai tant de fois foulé de mes pieds. Mais cette légère blessure n’est rien comparé à ce que je ressens à l’intérieur lorsqu’il est allongé sur moi, remontant sa main sous ma jupe, sans que je puisse l’en empêcher, sans être capable de bouger. La seule chose que je puisse faire et le supplier, essayer de faire entendre ma voix en criant, espérant qu’une personne, n’importe qui, m’entende, débarque dans le bar ou appelle de l’aide.

Les frissons commencent à me parcourir. Je ne sens plus de pois sur mon corps. Il n’est pu là, qui que ce soit, il est parti, me laissant seule avec mes tournants. Je souffle doucement, essayant de reprendre une respiration normale tandis que mon cœur semble toujours aussi emballé. J’ouvre finalement les yeux avec difficulté, t ayant du mal à resituer le bar, ni même le visage flou de la personne qui se penche vers moi. Je referme légèrement les paupières, la lumière ne m’aidant pas réellement. J’essaie de me redresser, mais la tête me tourne rapidement, et me décide donc à rester appuyer sur un coude tandis que je porte une main à ma tête, là où la douleur est la plus forte. La chaleur du sang coulant entre mes doigts me fait grimacer. Une entaille, rien de plus j’imagine. Mais je me sens mes larmes se remettant à couler lorsque je vois l’État dans lequel je me trouve, me rappelant les gestes qu’il a eus envers moi, ses mains sur ma peau, arrachant mes vêtements. Je tourne une nouvelle fois mon regard vers cette personne à mes côtés, réussissant à l’identifier, le flou de l’instant d’avant commençant à disparaître. Jay se tient à côté de moi, une expression que je n’arrive pas vraiment à identifier si ce n’est de l’incompréhension. J’entre ouvre les lèvres, mais de nouveau les sanglots reprennent. « il … Est parti ? » réussi-je malgré tout à articuler, ne sachant pas où l’homme et allait, voulant simplement m’assurer qu’il n’est plus présent à proximité.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jayra

♣ Save me ♣

Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.


Accroupi à côté d'elle, ma main posé sur ses épaules, j'essaie d'attirer doucement son attention, l'appelant par son prénom pour tenter de comprendre, de savoir ce qu'il se passe, du pourquoi elle est dans cet état. Je la regarde et attend sa réponse ou une quelconque réaction de sa part dirigée vers moi, parce que pour l'heure, je ne sais pas si elle a réalisé que c'était maintenant moi à ces côtés. Je reste silencieux et attend, calmement qu'elle comprenne que je suis là et je ne dois pas patienté longtemps, elle s'adresse à moi. "Oui. Il n'y a que toi et moi maintenant." Murmurais-je doucement pour tenter de la calmer alors que je garde toujours ma main sur son épaule pour tenter de la rassurer également, en espérant que ce geste ne l'oppresse pas étant donné que j'ignore ce qu'il vient de se passer ici. "Tout va bien maintenant. C'est fini." Murmurais-je doucement à nouveau, parce qu'il faut que je continue à la rassurer et j'avoue que je ne sais pas quoi dire et faire d'autre en fait. je n'aime réellement pas ce genre de situation, parce que c'est la misère, parce que je dois faire attention à ce que je dis pour ne pas qu'elle s'effondre d'avantage alors qu'elle est déjà en sanglot.


Rei©
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits, pour retrouver une vision plus nette. Le coup pris à ma tête ne m’a pas fait perdre conscience mais malgré tout, je me sens désorientée… ou alors est-ce dû à l’événement qui vient de se passer ? les images me reviennent en mémoire comme un boomerang, faisant remonter les larmes au bord de mes yeux pour finalement se laisse glisser le long de mes joues. Je tire précipitamment sur ma jupe, me sentant dénudé, après ces gestes. Je rapproche mes genoux de ma poitrine, me recroquevillant sur moi-même en continuant de sangloter doucement. La main qu’il pose sur mon épaule, me fait reculer de quelques centimètres, un regard apeuré posé sur le jeune homme, que je reconnais finalement comme étant Jay. Je souffle doucement, posant la question qui me brûle les lèvres : savoir s’il est toujours dans les parages. Je hoche doucement la tête quand il m’assure qu’il n’y est plus, que tout va bien. Je passe mes bras autour de mes jambes, essayant de me calmer, avec difficulté. Pleurer me donne l’impression d’accentuer mon mal de crâne , sans compter la douleur que je ressens plus bas. Être dans cet état, devant quelqu’un, sans moyen de défense, sans réussir à me ressaisir malgré moi me rend encore plus pitoyable. « Je … Je veux rentrer… » Il peut revenir… terminer le travail, je ne suis pas en sécurité ici. Je tourne rapidement la tête vers la porte menant à l’extérieur m’assurant une nouvelle fois qu’il n’est vraiment plus là. Ce mouvement me fait porter ma main à la tête, grimaçant en sentant la tête me tourner. Lorsque je retire ma main, je vois un peu de sang sur cette dernière, me confirmant ce que je pensais. « je dois avoir … une entaille... » Je sens les sanglots revenir, ma voix trembler à la vue de ces taches de sang rouge sur mes doigts. Ce n’est rien de grave, mais cette vision me renvoie de suite dans le passé.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jayra

♣ Save me ♣

Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.

Silencieux, je reste à côté d'elle, attendant de voir comment elle va réagir, ce qu'elle va dire surtout. Je ne sais pas ce que moi je peux dire ou faire là, déjà, la touché d'un simple geste sur l'épaule, je vois bien que ce n'est pas bon, elle se recule alors, je retire ma main, restant là, à simplement la regarder sans dire un mot, attendant simplement. Et elle fini par parler, me dire qu'elle veut rentrer avant de réaliser qu'elle saigne... Je serre un peu les dents, ne sachant pas ce qui est le mieux, la conduire à l'hopital pour être sur que ça ne soit qu'une blessure superficielle ou bien la reconduire cher elle comme elle le désire. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé réellement ici, mais vu son état, j'en déduis pas mal de chose... "Je vais te conduire à l'hôpital pour examiner ta tête Mira." Soufflais-je alors doucement, sachant bien qu'elle n'aime pas les hôpitaux, mais si jamais elle a une commotion ou quoi... Vaut mieux être prudent avec les blessures à la tête. "On rentrera ensuite. " Lui précisais-je alors.



Rei©
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je ne suis plus à l’aise, plus en sécurité. Je me sens totalement nue malgré les vêtements qui couvrent encore ma peau. Ou plutôt les morceaux de tissu qui ne ressemblent plus à rien après ses mains sur mon corps, écartant le tissu, l’élargissant, le déchirant pour obtenir ce qu’il souhaitait : mon corps. Ce moment, la sensation de ses mains sur moi, je la ressens encore et toujours. Je me recroqueville, ramenant mes jambes contre ma poitrine, enlaçant mes bras autour de ces derniers, comme pour me protéger d’un homme qui n’est plus là, mais dont la marque et la présence sont encore sur moi. Je sens le regard de Jay sur moi, attendant certainement une petite explication que je ne peux pas lui offrir pour le moment. Je reste un moment silencieuse avant de finalement prendre la parole pour lui demander de rentrer, voulant simplement fuir cet endroit, ce sol où il… Je souffle doucement, essayant de secouer la tête aux dires du jeune homme, grimaçant, et m’arrêtant en plein mouvement, en sentant la douleur lancinante. « Non... je peux pas y aller comme ça… » Je ne veux pas qu’on me voie ainsi… comme autrefois, au fond du trou, sans échelle pour remonter ou s’échapper. « Je peux me recoudre toute seule… je l’ai déjà fait… » dis-je en posant mon regard vers lui. « s’il te plaît… je veux partir» dis-je en le suppliant du regard. Je ne peux plus rester ici, je veux sortir. M’occuper de ma tête est sans doute la première chose à faire, mais le lieu par contre pour s’en occuper… Tout mais pas l’hôpital, les questions, les interrogations, les regards. Je ne peux pas affronter ça en plus.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jayra

♣ Save me ♣

Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.

Je serre un peu les dents en la regardant... Forcément qu'elle n'allait pas vouloir y aller, j'espérais quoi ? Qu'elle allait juste me dire oui à cause de son état de choc ? La bonne blague. Je peux pas la laisser comme ça dans tout les cas, et la laisser se recoudre toute seule comme elle le dit, c'est pas une bonne solution non plus, parce que de un, c'est à la tête donc elle va galéré, et si jamais il y a des complications... Je ne peux juste pas. Je me redresse un peu et retire ma veste pour la lui mettre sur les épaules. "Tu peux te lever?" Savoir si je dois la porter ou juste la soutenir. Dans tout les cas, il est hors de question que je ne la fasse pas soignée et si l'hôpital elle n'en veut pas, je peux la conduire dans une clinique privé que j'ai connu à cause de mon job de garde du corps, clinique qui ne pose pas de question et ne laisse aucune trace de le dossier médical à la demande. Ce qui est avantageux quand on veut pas que sa mère qui bosse dans le domaine médical ne soit pas au courant de ce qui nous arrive... Puis ça reste des infrastructures plus petite avec un service tout aussi bon. Enfin, dans tout les cas, je dois attendre sa réponse pour pouvoir nous mettre en marche, même si je me dis que je ferais mieux de la porter que de la laisser marché, mais en même temps, je crois pas que la toucher de trop soit un bon plan à cause de ce qu'elle vient visiblement de vivre...


Rei©
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

L’idée de rester une minute de plus dans ce bar, m’est presque insupportable. Rapidement les larmes me montent de nouveaux aux yeux, comme si ces dernières n’allaient jamais cesser de couler. Un seul mot me revient sans cesse en tête : fuir. Comme les autres fois, comme avec mon père. Il n’y avait pas d’autres solutions, juste le simple fait de claquer la porte, partir en courant pour échapper à ses doigts qui touchaient ma peau sans scrupule, comme ce fut le cas de cet homme ce soir. J’aurai dû courir… ou simplement lui obéir. Lui offrir un verre ne me coûtait rien, ce qu’il m’a fait, j’aurai pu l’éviter en lui donnant ce qu’il voulait en premier… je n’en ai pas été capable, et il m’a puni… puni de ne pas avoir obéi, comme autrefois, comme dans le passé. Je hoche finalement, très faiblement la tête, à la question de Jay qui me parvient et résonne parmi ces sombres pensées. Je peux marcher, je suis en parfait santé, si ce n’est cette blessure au crâne : le reste, je l’ai mérité très certainement et je n’en doit m’en plaindre qu’à moi-même. Inutile d’aller occuper des médecins ayant des urgences bien plus importance. Je déplie lentement mes jambes, posant mes pieds à plat au sol et me redressant lentement. Ma tête me tourne presque aussitôt, me faisant une nouvelle fois porté ma main à cette dernière « Je peux… juste me tenir à toi…s’il te plait ? » Le sol ne me semble pas droit, comme après une soirée un peu trop arrosé où il me devient difficile de marcher droit, ou de faire entrer la clé dans la serrure de ma porte du premier coup. J’ai peur de tomber, malgré le fait que je sois immobile, tout me semble… vague. Je cherche à tâton son épaule pour m’appuyer dessus , me sentant… je ne sais pas trop à vrai dire. J’avance avec l’aide de Jaysaël, ayant du mal à reconnaître le bar dans le brouillard qui embrume mon esprit. « qu’est ce que… tu es venu à pied ? » demandai-je en sortant dans la nuit, il n’y a pas 10 minutes je refermais la porte…



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jayra

♣ Save me ♣

Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.


"Vas-y soufflais-je doucement déjà prêt à encaisser son poids sur moi, sauf que je la vois galéré à chercher mon épaule et je ne bouge pas, préférant la laissé faire pour le moment afin d'éviter une remarque de sa part comme quoi elle peut se débrouiller. Je sais à quel point ça peut être frustrant de se faire trop aider, trop couver, mais en même temps, elle à l'air tellement mal... Je me pince un peu les lèvres en me relevant, gardant un oeil attentif sur elle alors qu'on prend la direction de la sorte. Je la soutiens comme je peux, sans trop la touché pour ne pas qu'elle ai l'impression de geste déplacé, attrapant rapidement mon cellulaire de mon autre main avant d'ouvrir la porte, je compose le numéro de la boite de taxi pour en demander un en donnant l'adresse. Je range alors mon téléphone et l'aide à sortir en faisant attention à cause du petit seuil de la porte. Fermant la porte derrière elle, sans la fermée à clef, je sais pas où elles sont et elle ne semble plus les avoir sur elle, de toute façon, s'il y a des caméras, ce qui doit y avoir, le patron saura ce qu'il s'est passé même s'il ne comprendra sûrement pas l'absence de flic et d'ambulance... Le taxi s'arrête au bord de la route et je lui ouvre la portière pour l'aider à entrer avant de prendre place à côté du chaffeur. "J'vais vous indiquer la route." Lançais-je alors, parce qu'on peu pas donner l'adresse au premier venu, que j'espère même qu'il ne la retiendra pas, mais j'ai pas spécialement le temps de le faire tourner un peu en rond pour le perdre. Dans tout les cas, faut qu'on fasse soignée la blonde à l'arrière, je garde un oeil sur elle alors que j'indique au gars de prendre la prochaine à droite. Il nous dépose finalement devant un immeuble et j'invite Mira a sortir. "Viens... On va te faire soigner, mais promis ce n'est pas un hopital." Lui lançais-je alors, ce n'était pas tant un mensonge que ça au final, même si le principe de ce lieux restait le même...


Rei©
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)