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Confidences alcoolisées (Louve)

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 Dans la piscine, Louve les seins à l’air, je faisais clairement le mariole. Ca m’amusait bien j’avoue, ce sentiment d’avoir un peu de pouvoir sur mon ex. Peut être qu’au fond de moi, bien enfoui, il y avait toujours un peu de rancœur vis à vis de notre séparation… J’étais le premier à dire qu’il fallait qu’on reste en bons termes avec ses exs, que c’était toujours mieux d’avoir de l’amitié en lot de consolation, mais peut être que je me fourvoyais moi même ? Non, je n’en voulais pas à Louve en fait, c’était juste que je comprenais pas. Et quand on se retrouvait à faire les cons comme ça, à s’amuser, à rire, à délirer, je comprenais encore moins ce qui avait pu clocher. Elle me défia de mettre à la porte ses frangins, avant d’ajouter que ça finirait surement par la situation inverse : moi dehors et ses frères dedans, Colin semblant nettement moins tolérant que mon pote Marin. Un rire s’échappa de ma gorge avant de lui retrouver son bien, plus sage décision surement, non sans la narguer un peu… Et un baiser volé plus tard, c’est quelques secondes troublé qu’elle me laissa en plan dans le bassin, bondissant hors de l’eau et en commençant à courir. Je me lançai à sa poursuite, sauf qu’elle fut rapidement freinée par la vitre impeccable de la baie… Trop propre pour être vue… Surtout par la vision floue d’une personne ivre. Je me penchais vers elle, lui soufflai une bêtise qui me valut une réplique de la jeune femme sur ma connerie. « Chuut… » lui soufflai-je doucement, en la voyant grimacer, passant doucement mes doigts sur son visage. « J’ai toujours eu un faible pour les boxeuses depuis que j’ai vu Million Dollar Baby. » répondis-je. « Vous auriez du louer une baraque sale… Ou alors une baraque sans porte et sans fenêtre… » Un open space. « Tu y penseras pour tes 22 ans. » tentai-je de la tempérer alors qu’elle s’enflammait un peu. Fallait qu’elle se calme, parce qu’elle avait pas l’air en forme, elle pâlissait même. Je me levai pour mettre la main sur de la glace. Je revins quelques minutes plus tard et la regardais se cacher le visage avec son sac de petits pois avant de suggérer d’aller s’allonger un peu. De toute façon, je lui laissais pas le temps de répondre, une main derrière sa nuque, l’autre sous ses genoux, et je la soulevais pour l’emmener prudemment à l’intérieur, prenant bien le soin d’ouvrir la baie, empruntant prudemment les marches jusqu’à l’étages et entrant dans la première chambre libre. Je la posais délicatement sur le lit, avant de m’inquiéter : « Louve, t’es sûre que ça va ? Tu veux que j’aille chercher Marin ? »
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

Le karma m’a frappée de plein fouet et je suis mal. Si on m’avait dit que je finirais ma fête d’anniversaire avec un nez pété, je me serais foutue de la gueule de celui qui aurait prédit mon avenir. Je suppose que ce soir, une entité a décidé de me faire bouffer toutes mes conneries d’un coup depuis mon arrivée ici. Surtout celle de l’aéroport, avec Marin. Parce que faire croire que dans ma valise perdue se trouvait une bombe, c’est sûrement la pire idée qu’on a eu. Mais ça a été relativement drôle. Jusqu’au moment où Colin nous a fait sa morale. A ça, on rajoutera ma petite escapade avec Jean et toutes les merdes qui nous y sont arrivées. Je vais finir par me dire que la Jamaïque ne voulait pas de moi, ça me semble être la seule raison valable à toutes les conneries qui m’arrivent. Et sûrement à celles qui m’arriveront encore. « Je te laisserai organiser mes 22 ans, qui sait ce qui peut se passer d’ici là… » Rien, il se passera rien. Mais l’ambiguïté de cette soirée était trop tentante pour la laisser de côté. Et puis, l’alcool ne m’aidait pas à rester sérieuse. Enfin, sérieuse… c’est un bien grand mot, puisque même non-alcoolisée j’ai tendance à ne pas l’être beaucoup. Je me couvre la tronche avec mon sachet de petits pois, je cache au passage mon mal-être. J’ai l’impression que je vais tomber dans les vapes dans trois secondes donc, évidemment, rester plantée au sol à côté de la piscine et de tous ces gens bourrés, c’était pas une très bonne idée. Heureusement que mon preux chevalier était là pour me sauver, Ô Grand Denys. Je me laisse porter telle une princesse – sonnée, certes, mais princesse quand même – et déposer sur le lit. « hmmmm » je râle. « C’est pas de Marin dont j’ai besoin. Je le veux pas. » Je souris sous mon masque rafraîchissant malgré la douleur. « Pas maintenant en tout cas. » Autant continuer de profiter de ma situation de privilégiée. Enfin, privilégiée… c’est vite dit. Mais j’apprécie assez que mon ex prenne soin de moi comme il le fait et qu’il ne rechigne pas à mes petites attaques. Je tapote la place à côté de moi, je suppose que le lit est assez grand pour deux. « Reste avec moi, tu veux ? » Je relève légèrement le sac de légumes pour le regarder, malicieuse, avec un nez sans doute gonflé si on le compare à quelques minutes plus tôt.
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  « Partie comme t’es partie, tu seras peut être en béquille, pour tes 22 ans… Ou les deux bras dans le plâtre… » la taquinai-je sans saisir que son –ce qui peut se passer d’ici là- était censé s’appliquer à nous deux, à notre relation, à remettre un peu d’huile sur le feu de cette ambiguïté que l’alcool  qui circulait dans son sang semblait apprécier plus que d’habitude ce soir. Fallait dire qu’on avait passé plus de temps à s’éviter qu’autre chose ces derniers mois. Peut être que c’était le résultat de nos retrouvailles ce soir, sous le joug de la fête, du Sb etc, qui rendait Louve aussi exaltée et joueuse… J’en savais rien, je comprenais rien. J’avais même pas compris pourquoi elle m’avait largué en juin dernier et j’avoue que de la retrouver ce soir, de retrouver notre complicité, son rire, nos taquineries, ça me rendait encore plus perplexe sur la question. Qu’est-ce qui avait pas marché ? Je crois qu’elle n’était en aucun cas en état de répondre, la tête dans le sachet de légumes, littéralement, je pris le temps de la soulever délicatement, la portant dans mes bras, jusqu’à l’une des chambres, la posant avec prudence sur le matelas. C’est inquiet que je demandais si elle voulait voir son frère, mais elle était catégorique, elle ne le voulait pas, pas pour le moment et son petit geste contre le lit et la place libre à côté d’elle me fit comprendre qu’elle voulait que je reste, ce qu’elle finit par me demander explicitement en me lançant un petit coup d’œil malin… « T’as ce regard tu sais… » commentai-je avec un sourire attendri. « Même avec ton nez de boxeuse je peux pas te dire non… » Et c’est ainsi que je me laissais tomber à côté d’elle sur le lit, tournant la tête vers elle pour la détailler, m’assurer qu’elle allait pas tourner de l’œil entre l’alcool, les chutes, le choc contre la baie… Mais non, paupières ouvertes, elle semblait toujours bien consciente. « La princesse au petit pois, je vais t’appeler comme ça maintenant. » plaisantai-je, mes prunelles s’attardant sur le sachet qu’elle avait toujours en main. « T’as la tête qui tourne ? T’as encore mal ? Ou ça commence à aller mieux ? » m’inquiétai-je. C’était pas moi le toubib de la famille, mais bon pour Louve je pouvais faire l’effort de m’improviser Doc Zacharias quelques instants, histoire d’être sûr qu’elle se remettait doucement.
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

Je lève les yeux au ciel, qu’il est niais. J’ignore si c’est l’alcool qui le rend plus con qu’à l’époque où je l’ai connu ou si c’est le temps qui a fait son effet. « Ou mariée à mon ex. » Je balance, sérieuse, avant de m’esclaffer. Bien sûr, ça n’arrivera jamais, jamais je n’épouserai mon ex. Enfin, je suppose. Ce serait trop étrange. Je finis la course allongée sur le lit, le visage dans les petits pois, à tapoter la place à côté de moi pour qu’il me rejoigne et laisse mon frère où il est. La nuit sera suffisamment longue pour que la tribus me vienne en aide un peu plus tard et me laisse profiter de ce petit moment. Mon regard est plein de malice, je suis joueuse malgré la douleur. Un tas d’idées traversent mon esprit malgré l’alcool – ou à cause de lui. « T’as jamais su me dire non Denichou » Je murmure, amusée par la situation. Faut dire que mon nez doit lui faire pitié et le pousser à rester, aussi. Je le regarde du coin de l’œil, le sachet rabaissé vers le bas de mon visage pour laisser mes yeux à l’air. C’est que ça refroidit, quand même. Ma bouche à demi couverte, je suis pas sûre qu’il comprenne parfaitement ce que je dis. Sans oublier qu’avec l’alcool, la réalité doit être bien loin de ce que je crois. « Un surnom personnalisé ? Trop d’amour entre nous ! » Mon sourire s’élargit alors que je finis par tourner la tête vers lui et à laisser tomber le sachet sur le lit entre nous. « Den… » Je plaque le dos de ma main sur mon front, faisant mine de me sentir soudainement mal. « soudainement je me sens mal, terriblement mal… Tu veux pas regarder si j’ai rien de cassé ? On sait jamais… Tu sais, une côte, c’est possible… » Pas vraiment. Enfin, quoique. « Je sens que mon cœur bat vite. Touche… » Je tapote ma micro-poitrine, sourire en coin aux lèvres. Je suis là, allongée à côté de mon ex, en bikini, c’est trop tentant pour moi.
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► désolée ma réponse est nulle :TT:
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 Je me moquais quand elle me confiait l’orga de ses 22 ans, lui dressant un portrait catastrophe de son prochain anniversaire, elle avait une vision différente de la chose, émettant l’idée qu’elle serait mariée à son ex l’année suivante. Je la regardais quelques secondes, un peu interloqué. Fallait dire que depuis le début de notre aparté, entre câlins, baisers volés et allusions, elle faisait tout pour me dérouter. Mais je compris qu’elle plaisantait quand elle s’esclaffa. « J’étais prêt à me mettre à genoux et tout, c’est dommage. » répliquai-je en riant avec elle. Une fois la grande blessée sur le lit, elle m’invita à la rejoindre, refusant que j’aille chercher des renforts Perol, préférant passer encore un moment avec moi. Ouais, ça aurait encore pu paraître ambigu, si y’avait pas un sachet de petits pois entre nous. « C’est vrai. Le –non- c’était plutôt ton truc à toi pas vrai ? » C’est son anniv Denys, elle vient de se péter le nez, lâche la et arrête de jouer les ex aigris. Voilà ce que me sermonnait ma conscience intérieur et je me repris, me dévoilant surement un peu en la détaillant un instant… Elle avait ce truc Louve, ce petit truc en plus, qui me faisait m’attendrir, malgré moi, malgré la petite rancœur que je pouvais avoir conservé vis à vis de notre rupture. Ouais j’avais jamais su lui dire non, elle avait raison, parce qu’à l’ époque déjà j’étais celui qui m’était accroché, qui était tombé amoureux, alors peut être que c’était normal que je sois encore celui de nous deux qui digérais le moins notre séparation. Et soudain la voilà qui lâchait son sachet de légumes, plaquant sa main sur son front, annonçant qu’elle se sentait mal, me demandant que je regarde si elle avait pas une côte de cassée, commençant à se peloter les seins en m’invitant à toucher aussi, sous prétexte de vérifier les battements de son cœur… Sauf que moi, je marchais pas, je courrais. « Attends t’as mal dans le thorax ? T’as juste bu ou t’as pris d’autres trucs ? T’as mal ailleurs ? » Si ça se trouve elle avait avalé je ne sais quoi et elle commençait un infarc. J’étais pas toubib moi, et les questions santé en plus, ça avait tendance à me paniquer. Ma main se porta alors sur sa poitrine, là où les siennes se trouvaient, sans me rendre compte du geste subjectif, m’attendant à sentir son cœur palpiter, mais finalement, c’est à ce moment là que je captais son sourire, au coin des lèvres, comprenant qu’elle se fichait de moi… « Mais Louve, arrête déconne pas… Tu sais bien que ça me fait flipper ce genre de ch… » Et ma phrase resta en suspend alors que mon regard se reportait sur mes doigts, toujours sur elle, réalisant l’endroit où je les avais posé dans mon mouvement de panique… « Je… euh… Désolé… » soufflai-je en retirant rapidement ma main, soudain mal à l’aise.  
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« Ah ouais ? Oublie et vas-y, laisse-toi aller, mets-toi à genoux et demande-moi mon pied ! » Mon pied, plus original que ma main. A la Louve. Après tout, une Louve, ça a que des pattes, non ? Assimilé à des pieds. C’est parfait. « Tu sais, Papa m’a appris que ce mot. Non. Au moins, on me fait pas chier ! » C’est vrai qu’au final on m’a jamais forcée à dire oui, mais plutôt non. C’est resté ancré. Et tant mieux. Dans certains cas c’est vraiment plus pratique. « Et puis dire oui à tout c’est se mener soi-même à sa perte ! » Je hoche doucement la tête comme pour confirmer ce que je viens de dire. Comme si c’est quelqu’un d’autre qui avait pris la parole, peut-être un peu schizophrène au fond de moi. Ceci expliquerait cela. Je finis par balancer mon sachet de petits pois et à jouer la comédie. Comme Marin me l’a appris : parfaitement. Ou pas. Parce que n’importe qui aurait cramé mon petit jeu, surtout au vu du sourire que je dégainais. Mais lui, non. « n]]Je sais pas, je crois que…[/i] » Bon, au fond, y a pas que de l’alcool que j’ai pris, mais c’est pas si grave. Je finis par fixer le Denys stressé qui me fait face. Du stress, ça passe visiblement à la gêne. Et là, j’éclate de rire. Bruyamment. Je peux pas m’en empêcher, ça sort du fond de mon être. « La main dans le sac ! C’est tout ce que tu veux de moi… » Je lève le nez et le menton, fièrement. Je décide de pousser le vice un peu plus loin, je me lève et je me dirige vers la porte. J’attrape la poignée, et là, je me sens m’en aller. Je perds toute force, mes jambes s’affaiblissent, je tente de me tenir à cette fichue poignée parce que je sais très bien comment je vais finir. Jamais deux sans trois. Je tombe parterre, mais là, je vais mal. Les joints, l’alcool, la douleur de ce nez pété et les autres substances ingurgitées ont visiblement pas fait bon ménage. Je fixe le plafond, je reprends doucement conscience et je comprends pas ce que je fais parterre. Impressionnée par le nombre de chutes que j’ai faites ce soir, je le suis. Totalement. Ca m’est jamais arrivé je crois bien. Je tente de me redresser comme je peux et je regarde ma main : une poignée. Je pèse combien ? Une tonne, pour réussir à l’arracher ? « Den… » Et puis, comme si le démon s’emparait de moi, je me mets à rire nerveusement. Et j’arrive pas à m’arrêter. Les mélanges là, ils m’auront eue. A chaque fois que je regarde la poignée dans ma main, je ris de plus belle. Je dois ressembler à rien ce soir, et encore moins maintenant. Je m’étais apprêtée pour la soirée, tout est fichu. Un nez pété, une main blessée, et le visage aussi rouge qu’une tomate. Alors si j’avais voulu séduire mon ex même trente secondes, même pour rire, c’était mort. « Regarde… » Je lève ma main pour lui montrer ce que je tiens, et mon fou rire repart de plus belle. C’est mal barré là. J’ai chaud, j’ai l’impression d’être dans un sauna.
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 Pouffant en l’entendant me réclamer la fameuse demande à genoux, c’est sur la partie de son corps qu’elle voulait que je lui demande qui me fit marrer tout particulièrement. « C’est sûr que ta main, je vais pas te la demander… » répliquai-je en jetant un regard à sa main dont la coupure semblait avoir coagulé un peu. Puis joueur, et surtout bourré, je la pris au mot, à genoux devant le lit sur lequel je l’avais allongé, virant ses tongues, je pris doucement sa cheville entre mes mains en annonçant solennellement : « Accepterais-tu de… prendre ton pied avec moi? » Impossible de garder mon ton sérieux je m’esclaffais en remontant sur le lit alors qu’ensuite on débattait sur la tendance que Louve avait de dire non… Ouais c’était elle qui m’avait largué alors peut être que ça me restait un peu en travers de la gorge.  Enfin toute trace de rancœur disparut devant son petit numéro, elle se sentait mal, décrivait des palpitations, me désignait son thorax, sa poitrine, contre laquelle mes mains finirent par se plaquer alors que mon inquiétude, grand naïf que j’étais, grandissait, surtout qu’elle n’avait pas du tout l’air certaine de ce qu’elle avait pris, et dieu seul savait ce qui pouvait circuler à ce genre de soirée. Je captais son sourire et compris qu’elle se foutait de moi, sauf que je réalisais aussi où se trouvait les mains et la gêne me gagna, provoquant alors l’hilarité de la brune. « Mais non Louve, c’est pas ça…. Je faisais pas ça pour te toucher, ou pour profiter de la situation, c’est juste que tu disais te sentir mal et je… » baragouinai-je alors qu’elle finissait par se remettre debout. J’essayais de l’arrêter par un : « Attends, doucement… Qu’est-ce que tu f… » Trop tard. Un malaise. Louve finit par terre, troisième fois de la soirée. Je me levai d’un bond pour la rejoindre alors qu’elle était déjà en train de reprendre ses esprits, assise par terre. Elle se marrait ? « Qu’est-ce qui y’a ? » demandai-je en me penchant et en découvrant alors ce qu’elle brandissait. Mon regard vrilla vers la porte. « Oh putain… Je savais pas que j’étais sorti avec Hulk… » Depuis quand Louve avait-elle la force d’arracher les poignées de porte ? « C’est ta technique pour me coincer dans une chambre ce soir c’est ça ? » me moquai-je avant de lui tendre ma main pour l’aider à se relever. « J’imagine qu’on va devoir passer par la fenêtre… » Ouais parce qu’il y avait surement pas les outils nécessaires pour réparer ça dans cette pièce.
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

Je suis Denys du regard alors qu’il s’agenouille face à moi, ou plutôt… face à mon pied. Il vire ma tong et déjà je ne peux plus retenir un petit rire. J’ai envie de mourir de rire en imaginant la scène, qu’il met rapidement à exécution. Et puis, je m’arrête. J’arrête de rire alors qu’il me demande si j’accepte de prendre mon pied avec lui. Je le fixe d’un air étonné : « Den… » je souffle un grand coup. « je… je sais pas quoi dire… je suis tellement émue… » je porte ma main sur ma poitrine, alors que je me tiens d’un bras seulement assise sur le lit. « je m’y attendais tellement pas… toi… et moi… waw… denys… » je fais mine d’essuyer une larmichette qui coulerait sur ma joue. « je… c’est la plus belle nuit de ma vie denys… je veux ! je veux évidemment ! » l’air sérieux, je finis pourtant par m’esclaffer comme trop de fois ce soir. Je le regarde remonter sur le lit alors que je me recouche immédiatement sans réussir à m’arrêter de rire. Les choses s’enveniment, avec mon petit cinéma signé par la production Pérol, alors que Denys touche sans trop s’en rendre compte les œufs aux plats qui me servent de poitrine. Je m’indigne devant ce geste, je fais mine d’être outrée alors que j’exprime mon mécontentement, en disant que je savais qu’il n’attendait que ça depuis le début. Bien sûr que non, je sais parfaitement que ce n’est pas le cas. Je m’emporte et je finis par me retrouver au sol, allongée pour la troisième fois de la nuit, la poignée de la porte dans ma main. Sûrement mal vissée car mes cinquante kilos tout mouillés n’avaient sûrement pas réussis à arracher ça. Je tombe dans un fou rire sans fin, j’ai du mal à m’arrêter et du mal à respirer correctement tant la situation est cocasse. « C’est ici qu’on va passer notre nuit de noce, mon cher mari ! » Et puis je m’emporte de plus belle dans ce fou rire. Je tente maladroitement de me relever en m’accrochant de ton mon poids au bras de Denys, lui tirant malencontreusement la peau au passage, le tout en tentant de calmer ce fou rire endiablé. « Je vais éviter de descendre par la fenêtre, je vais encore me casser la jambe… » je le regarde en pouffant de rire, parce qu’au fond c’est vrai, j’ai la poisse ce soir et vaut mieux pas en rajouter une couche. La douleur de mon nez me relance rapidement d’ailleurs alors que je retourne m’allonger sur le lit pour calmer mon engouement.
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