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Confidences alcoolisées (Louve)

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La soirée battait son plein. J’avais perdu le compte de verres enfilés, de joints fumés… C’était l’anniversaire de mon ex alors il m’avait quand même fallu enchainer quelques verres pour me sentir complètement à l’aise et faire abstraction de la bizarrerie de la situation. Sans compter qu’il y avait aussi la fille qui me plaisait ici ce soir, en simple maillot de bain et que je préférais être un peu alcoolisé pour moins me rendre compte des regards masculins qui se posaient sur Ash. Bref, me voilà donc, bien en forme, levant le coude pour prendre une nouvelle gorgée de mon cocktail, réalisant alors que mon verre était vide. Ni une, ni deux, je me dirigeai vers le bar qui regorgeait de bouteilles, histoire de me ravitailler et c’est à ce moment là que je tombais sur la star de la soirée. « Ca va ? Tu t’amuses bien ? » Je n’avais pas vraiment eu le temps de lui parler depuis le début de la soirée, enfin pas seuls à seuls, pas sans Marin dans les parages pour nous taquiner et nous charrier alors je profitais que la brune soit un peu seule pour discuter avec elle. « Merci de m’avoir invité au fait. J’étais étonné… mais étonné dans le bon sens hein. » expliquai-je.  
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

J’ai bu. Beaucoup bu. J’en ai l’habitude, mais ce soir, j’ai fait tellement de mélanges que je tangue de gauche à droite à chacun de mes pas. En même temps, vous me direz, c’est la fête que j’ai organisé avec ma famille à l’occasion de mon anniversaire, j’aurais tort de ne pas en profiter. Je voguais d’invité en invité, pour passer du temps avec chacun de mes convives malgré nos états plus désastreux les uns que les autres. Bon, tant que personne ne va se noyer en mer, la soirée resterait parfaite. Je sors de la piscine et m’empresse d’aller vers le bar pour me servir un nouveau verre. J’ai pas pris la peine de me sécher, souhaitant directement retourner patauger dans l’eau. Une voix familière me sort de ma préparation, et je serais prête à parier qu’il s’agit de Denys, mon ex. Je lui souris avant de l’entourer de mes bras, dans un excès de tendresse. Ca pourrait être mal vu, mais rien d’ambigu dans mon esprit en tout cas. « Ca me fait super plaisir que tu sois venu, tu sais ! » Je réponds indirectement à ses questions, je suppose que le fait que je profite bien de ma soirée se remarque relativement bien après tout. Je le relâche finalement en déposant un baiser sur sa joue, lui offrant un large sourire. « Bah, tu sais, avec Marin… Enfin tu le connais hein ! » Je lâche un rire quelque peu crétin, surtout dû à tout l’alcool ingurgité, et j’en profite pour terminer mon verre. « Tu veux qu’on aille se mettre par là-bas ? » De mon doigt, je lui montre un coin un peu en retrait. Je ne sais pas s’il veut qu’on discute ou non, mais je dois avouer que ça me ferait du bien, quelque part, après tous ces mois à s’ignorer. J’attrape mon verre dans une main et sa main dans l’autre pour le tirer vers ledit endroit, sauf que, manque de pot, sans doute trop pressée, je sens mon premier pied vriller. Puis le second. Et je me retrouve le cul au sol, le verre éclaté à mes côtés. Je me suis lamentablement ramassée et j’espère vraiment que personne, sauf lui, n’a rien remarquer. « Je… merde. » Je regarde ma main, de laquelle coulent quelques gouttes de sang, sans doute ouverte avec l’aide du verre. Fuck off. Je soupire. « Tu peux m’aider, s’il te plaît ? Désolée. » Je me sens conne alors que je lui tends une main pour m’aider à me relever.
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Elle était ruisselante d’eau, là, près du bar, en train de se remplir un nouveau verre, et ça aurait pu ajouter à l’étrangeté de cette situation. Moi, présent, là, devant elle, à son anniversaire, alors que j’étais son ex, qu’on avait été proches, intimes même, et ce pendant un mois, qu’elle était la sœur de l’un de mes meilleurs amis qui plus est… Mais fallait croire que je me faisais des films, que j’étais le seul à trouver que ça puisse être étrange parce que dans un geste dénoué de toute connotation sexuelle, elle m’enlaçait dans ses bras. « T’as l’alcool affectueux à ce que je vois… » rigolai-je, en enroulant mes propres bras autour d’elle pour lui rendre tendrement son accolade.  Un baiser sur ma joue, et la jeune femme évoquait son frère. « Il a retourné ma chambre au début du SB, donc oui je le connais. Je le connais même un peu trop. » L’as du dawa, le roi pour foutre le bazar, y’avait qu’à voir avec quel malin plaisir il avait essayer de nous mettre mal à l’aise tout à l’heure. Alors forcément, quand Louve m’indiquait un petit coin tranquille pour se poser et discuter, j’étais tenté d’accepter. Je crois qu’on avait encore des choses à se dire, même si là, vu qu’on avait bien picolé tous les deux, ce n’était peut être pas le moment adéquat. Qu’importe, je la suivais, tiré par la jeune femme qui avait attrapé ma main, son verre dans l’autre, mais elle finit par s’emmêler les pinceaux et s’étala par terre, explosant son verre et se blessant. Je me penchai pour l’aider à se relever, inquiet : « Ca va ? T’as rien de cassé ? » Elle regardait sa main et j’aperçu une plaie. « Faut que t’ailles passer ça sous l’eau, viens… » conseillai-je en attrapant sa main valide pour l’aider en l’entrainant vers l’une des salles de bain de la maison.
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

Je fais qu’à demi attention à ce que Denys me compte, je suppose que c’est l’effet qu’a l’alcool sur moi ce soir. Je l’enlace, sans aucune ambiguïté, sans me soucier non plus de ceux qui pourraient apercevoir cet élan de tendresse pour mon ex. L’alcool affectueux. Ca doit être ça. Je hoche la tête pour répondre à sa question, lâchant au passage un rire niais. L’alcool encore une fois. Les mélanges, tout le monde sait que c’est mauvais. Alors ajouter à ça la chaleur, c’est ne pas tenir à sa vie. Ou pas trop. Je le tire dans un endroit plus calme, mais je me latte. J’ai dû oublier que je viens tout juste de sortir de la piscine, que je suis trempée et que le carrelage accentue les risques de chute. Je fixe ma main, ébahie, comme une gamine. Je réalise pas trop mais je veux qu’il m’aide à me relever. « Je suppose que non, rien de cassé. » Je hausse les épaules, parce qu’au fond je sais pas trop, je ressens à peine la douleur de la plaie due au verre, alors bon. Enfin, une jambe pétée, ça doit se remarquer. Je me relève avec son aide, sans trop de difficulté bien que j’ai l’impression que mon corps pèse trois tonnes. Je suis Denys dans une salle de bain, et je me dirige vers la douche. Comme si un lavabo ne suffisait pas à nettoyer cette plaie. Je prends pas la peine de fermer les portes, j’allume l’eau à fond, je passe ma main sous le pommeau, et là, c’est le drame. Je vois l’eau couler sur le sol et je mets bien trente secondes à éteindre la douche, admirant le liquide qui se répand de plus en plus dans la salle de bain. « Oups. » Je rigole, sûrement trop bourrée pour me rendre compte que Colin me foutra une raclée en voyant ça. Tant pis. Les faits sont là. « Je crois que Colin va devoir nettoyer ça s’il veut récupérer la caution ! » Je hausse machinalement les épaules et j’éclate de rire, faisant mine de marcher sur une corde en sortant de la douche. Je dois être devenue acrobate, sans doute ; ou alors, j’évite de me ramasser une seconde fois. Parce qu’on dit jamais deux sans trois… et trois, ça ferait trop. Je m’approche de Denys, attrapant sa tête entre mes mains et le fixant tel un merlan frit. « T’es toujours aussi trognon toi dis-moi ! » Et puis, je relâche sa tête et je pince son nez. « Tu m’emmènes ? » J’attends pas spécialement de réponse de sa part, je fais le tour de lui et je grimpe sur son dos. Maladroitement, certes, je saute et je glisse à trois reprises avant de réussir à m’agripper. Je passe mes jambes autour de son bassin et mes bras autour de son cou, fermement. « T’as intérêt à pas tomber, sinon, je te jure que tu vas t’en souvenir quand t’auras quatre-vingt-dix ans ! »
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Forcément, entre l’alcool dans le sang, le fait qu’elle soit trempée, et sa précipitation, miss Perol finit par terre, explosant son verre et s’ouvrant la main au passage. Je me rapprochai aussitôt, me penchant vers elle pour observer sa main… Elle disait que ça allait, qu’elle n’avait rien de casser mais elle avait surtout quatre grammes dans chaque bras, la preuve vu le câlin qu’elle venait d’échanger avec moi un peu plus tôt, alors j’étais pas bien sûr qu’elle sente quoi que ce soit, et comme j’étais guère mieux qu’elle, que j’avais enchaîné pas mal de cocktail avec Ash, je n’étais pas bien sûr d’être très en état pour apprécier sa blessure et l’aider. Il me semblait judicieux de passer la plaie sous l’eau. Attrapant sa main valide pour l’aider à se redresser, je l’entrainais vers l’une des salles de bain, me dirigeant vers le lavabo. « Viens par l… » Mais j’entendais déjà des bruits d’eau et vis Louve qui avait foncé sous la douche et elle allumait le jet qui gicla partout, l’eau sortant de la cabine et se déversant partout dans la pièce. Heureusement qu’on était déjà en maillot de bain quoi…  « T’es pas possible Louve… » me marrai-je. « Fais attention… » soufflai-je en la regardant marcher jusqu’à moi. Sol trempé, on dirait qu’elle s’en sortait presque mieux puisque pas de nouvelle chute cette fois. Ses mains sur mon visage, son regard sur moi, et ses mots… Ca avait le don de me ramener en juin l’année dernière. « Tu dis n’importe quoi parce que t’as trop bu… » Clairement. Si elle avait réellement pensé ça, on n’en serait probablement pas là aujourd’hui non ? « Pourquoi ça a pas marché toi et moi Louve ? » demandai-je, soudain sérieux, quelques secondes. Parce que l’instant d’après, son rire résonnait à nouveau alors qu’elle grimpait sur mon dos. « T’as raison, c’est peut être plus prudent vu que tu tiens pas sur tes jambes ! » la taquinai-je. Je pris la direction de la sortie, retournant à l’extérieur, près du bassin, m’appliquant à ne pas me traler avec la miss sur le dos, malgré le sol qui tanguait un peu sous l’effet de l’alcool ingéré depuis le début de la soirée. Et malicieusement je m’approchai du bord et toujours avec Louve accrochée à moi, je me jetai dans l’eau.
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

J’ai l’alcool redoutable. Pas parce que je fais soudainement preuve d’une violence inouïe, non… plutôt parce que je fais preuve d’une connerie inouïe. Sûrement l’une des raisons pour lesquelles Colin a toujours fait en sorte de m’avoir à l’œil lors de soirées où on se retrouvait ensemble, et qu’il en me laissait pas trop boire au passage. Sauf que ce soir, j’ai eu carte blanche. Si ce n’est qu’il fallait rendre la maison entière. Bon, on reviendra là-dessus, hein, mais c’est mal barré. Entendre Denys rire à ma connerie, ça m’a encore plus inspirée. J’ai joué à l’équilibriste, et plutôt bien puisque j’ai pas fini parterre cette fois-ci. Je fais mine de ne pas entendre sa question, parce que ça deviendrait trop compliqué d’en parler maintenant, de la raison pour laquelle ça n’a pas marché entre nous. Je saurais même pas quoi répondre, au fond, rien de pertinent en tout cas. Que du blabla. Je me jette sur son dos, difficilement mais je finis par y arriver, à grimper, à m’accrocher comme un bébé koala à sa mère. J’ai le sourire, j’adore cette soirée. Ca aurait pu être bien pire. « Plus prudent, mais carrément ouais ! T’es super sobre toi, j’y mets ma main à couper que t’as rien bu ! » Et je ris. Une fois de plus. Ca se sent que lui aussi n’est pas très clair, alors me trimbaler sur son dos est tout aussi dangereux. Mais, ça va. On arrive en bas des escaliers, tant mieux. J’aurais pu crever. « Ca va, ça va… Tu gères ! Un peu mieux que moi, j’avouuuuuue. » Faut bien avouer les choses, à un moment. Si ça avait été l’inverse, on aurait sans doute fini à l’hôpital. Et puis, un cri sort de ma bouche alors que Monsieur décide de nous balancer dans la piscine. Et là, le drame. Le vrai du vrai. Je ressors la tête de l’eau un peu plus loin, un bras sur ma poitrine. Et merde. Mon soutif a valsé. « Fait chier ! DENYYYYS » Je braille, j’ai besoin de lui là, c’est urgent. Pas le choix. C’est pas comme si on était seuls. Les choses seraient différentes. C’est pas comme s’il m’a jamais  vue à poil, ce serait moins gênant. Mais là. « Je t’en suuuuupplie, aide-moi ! Je vais pas te faire un dessin, mais… » Je lui montre ma poitrine de mon index, toujours cachée par mon bras, pour lui signifier que sans celui-ci, je finirais par faire du seins-nus. Et que c’est pas l’objectif de la soirée. « C’est extrêmement grave là. Je t’aime bien, tu sais, je sais bien que je t’ai manqué… mais si tu pouvais éviter de me foutre à poil devant les autres ce serait top ! » Ok, c’est pas de sa faute. Je sais bien que c’est pas voulu, qu’il a pas fait exprès de me faire perdre le haut de mon maillot, mais l’accuser, c’est trop tentant. « Si tu veux que je te fasse un défilé nue y a paaaas de souci mais en privé, tu vois ? Du coup je veux bien que tu m’aides à retrouver le fugitif… » Je souris, de toutes mes dents, avant de partir à la recherche de ce con de bikini. Heureusement que j’ai pas perdu le reste. Là, ça aurait été impossible à dissimuler.
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 Alcoolisée, maladroite et déroutante, voilà comment je trouvais la Louve bourrée devant moi. Amusante aussi, sans aucun doute vu ses chutes en série. Mais je crois qu’elle était également troublante. Entre ses gestes tendres et ce moment où elle prenait mon visage entre ses mains, elle me déroutait… Et elle laissait forcément ma question sans réponse. Peut être que c’était ma conversation précédente d’avec Ash qui me travaillait, lorsque ma meilleure amie m’avait demandé pourquoi je mettais toujours un point d’honneur à rester ami avec mes exs. Peut être que c’était ça qui me faisait soudain me questionner sur les sous tenants de ma séparation d’avec Louve. Mais je n’eus pas le temps de répéter, d’insiter, parce qu’elle me demandait de la porter hors de cette salle de bain inondée et je ne me laissais d’ailleurs pas le choix, sautant sur mon dos. Me marrant, soulignant le côté plus prudent de la chose, elle s’amusa avec ironie à souligner ma sobriété. « J’ai sûrement bu plus que toi mais je tiens mieux la route petite… Ca c’est l’âge et l’expérience que veux tu ! » la taquinai-je, mon trouble rapidement dissipé. Merci mon alcoolémie. Je me concentrais pour descendre les marches avec mon petit poids plume dans le dos, pas envie qu’elle se retrouve dans un hosto jamaïcain pour ses 21 ans quoi. Marin me tuerait. Et j’osais même pas imaginer ce que son autre frère, qui ne me connaissait pas et n’avait donc aucune raison d’être clément avec moi, me ferait. Amen, on arriva en un seul morceau en bas mais j’avais une petite idée de comment arroser l’anniv de miss Perol. Arroser ça bien en la trempant et la faisant plonger avec moi dans la piscine de cette grande baraque. Je remontais à la surface en moins de deux et entendis aussitôt la demoiselle brailler « Oh ça va ! Elle est bon… » Bonne oui. L’eau ou Louve ? Parce que là, poitrine sur la main, la vision de mon ex ainsi eut le don de faire réapparaitre illico presto mon trouble. « C’est quoi ton maillot bas de gamme qui survit pas à un petit plongeon de rien du tout ? C’est comme si moi j’avais perdu mon short en sautant. » ronchonnai-je pour me défendre. Non, OMG, n’imaginons pas le scénario, moi sans short, Louve sans soutif, dans le même bassin, avec juste toute sa famille et ses potes autour, et surtout avec la fille que j’aimais dans le coin, qui devait peut être même avoir l’œil perdu dans notre direction. « Bouge pas je te retrouve ça… » soufflai-je, en pouffant malgré moi devant la posture coincée de la brunette. « Tu sais le top less c’est à la mode aussi… » répliquai-je alors qu’elle me charriait et me taquinait en m’accusant d’avoir voulu la foutre à poil, continuant de chercher le fameux soutif parmi les bouées et matelas gonflables qui flottaient dans l’eau. « Puis c’est quoi le thème de la soirée, moins t’es vêtu, mieux t’es vu ? Là tu vas être très très bien vue… » Je finis par trouver le fameux morceau de maillot, sous le crocodile gonflable. « Le petit pervers ce croco… » commentai-je avec un rire en nageant jusqu’à Louve. « Alors miss top less, on dit quoi à son ex préféré ? » la narguai-je en secouant le vêtement en l’air, tendant le bras pour le maintenir hors de sa portée.
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Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.

Avoir bu plus mais tenir mieux la route, l’âge et l’expérience. Des mots qui n’ont eu d’effet sur moi que de me faire m’esclaffer comme une gamine. C’est pas non plus comme si l’alcool n’était pas mon ami mais il est vrai qu’entre les mélanges et la chaleur, ça a eu un sacré effet sur mon corps. « Ah bah oui, forcément, j’oubliais que t’avais fêté tes cent-cinq ans le mois dernier ! » Je tente, pour continuer dans cet esprit de taquinerie, de lui pincer le nez de là où je me trouve – son dos. Pourtant, en vain. J’ai dû lui pincer l’arcade, et lui foutre un doigt dans l’œil au passage. Mon esprit, lui, ne fait plus attention à rien : il ne s’intéresse qu’à Denys. A tel point que je ne vois plus personne. Enfin, jusqu’au moment où je me retrouve à faire du seins nus au beau milieu de la piscine. Là, par contre, ça devient problématique. Pas parce que je me retrouve à demi nue devant une horde de mecs, mais plutôt parce que parmi ces mecs se trouvent mes frères. J’ai jamais eu spécialement l’envie de leur dévoiler mes petits atouts. « C’est du made in china, ne critique pas parce qu’ils vont dominer le monde et tu vas finir par te retrouver à poil à chaque coup de vent si tu cherches pas à les aider à progresser ! » J’enchaîne les mots, mais dans ma tête, je suis même pas sûre que ce que je viens de dire ait un sens. Tant pis. L’important, c’est de comprendre qu’il faut soutenir le marché chinois si on veut pas se faire bouffer le cul dans trois ans. Je le regarde chercher, restant plantée là, en plein milieu de la piscine, tournant de temps à autres la tête pour vérifier que personne n’ait rien capté. « Je m’en bats les reins du top less ! Comment te faire comprendre que j’ai pas spécialement l’envie de montrer mes mandarines à Marin et à Colin ? Si c’était que toi, tu sais… » Tu sais ? Ce serait pas gênant. Pas le moins du monde même. J’aurais même pas cherché à couvrir mes ‘arguments’ s’il n’y avait eu que Denys. Encore une fois, ce serait pas la première fois. Une de plus ou une de moins… « Ouais ouais ouais, mais ça veut pas dire qu’on doit être à poil. Enfin, si t’as envie de te mettre à poil, toi, je t’en prie… fais-toi plaisir ! » Je souris, comme une gamine. Et là, mes yeux se plaquent directement sur le haut de mon maillot qu’il finit de retrouver sous l’un des accessoires de la piscine… « Dieu soit loué ! » Je me rue vers Denys, plongeant mon corps dans l’eau et ne laissant sortir que ma tête, parce qu’avouons-nous que nager d’un main, c’est dur. Trop dur pour moi. Alors, pour cinq secondes, je peux bien me permettre de laisser voir le monde aux jumeaux. Sauf que là, Monsieur veut jouer. « T’es sûr de toi, Denys ? Vraiment ? » Bon. Les gestes parlent mieux que les mots qu’on dit. Tant pis pour lui. Je me relève, plaque mon buste à lui pour camoufler les évadés et, alors que je tente d’attraper mon maillot d’une main, l’autre me permettant de me maintenir à son épaule, je lui vole un baiser. Qui ne signifie rien. Mais ce sera sans doute suffisant pour le dérouter et réussir à reprendre mon bien. « Tu m’as cherchée… coquin ! » Je pouffe de rire, attrapant finalement mon bikini et le remettant en place en m’éloignant de lui, fière de ma contre-attaque. Tout le monde sait qu’il ne faut pas jouer avec la louve, après tout… Il pourra pas crier au viol. Je me rue malgré tout hors du bassin, sait-on jamais s’il décide de me poursuivre, et je cours du mieux que je peux en tentant de faire attention. Parce que s’il me poursuit, ce que je suppose fortement probable suite à ma petite attaque, il réussira bien trop vite à m’attraper au vu de nos tailles et de nos états. Sauf que là. Comme si mes bourdes précédentes n’étaient pas suffisantes, je fonce droit dans la baie vitrée. Trop alcoolisée, trop excitée pour me rendre compte qu’elle me faisait face. Je me retrouve parterre après qu’un gros bruit ait retenti dans la résidence. Et merde. Allongée au sol, je touche mon nez qui me fait horriblement mal. Manquerait plus que je me le sois éclaté mais, au vu du sang qui en coule, c’est plutôt bien parti pour…
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  « Je suis du mois d’août ! » rectifiai-je avec un petit air vexé avant d’ajouter : « Tu le saurais si tu m’avais pas largué fin juin… » Ouais elle le saurait parce qu’alors on aurait passé l’été ensemble et pas à s’éviter, et moi à collectionner les nanas comme j’avais pu le faire, et peut être qu’alors, mon anniversaire, ça aurait été ensemble qu’on l’aurait passé… J’étais pas sûr que de chanter le refrain de l’ex rancunier le soir de ses 21 ans soit une bonne idée, surtout qu’elle avait bu, j’avais bu, j’étais plutôt alcool joyeux habituellement alors histoire qu’aucune tension ne s’instille, je repris cette fois en rigolant : « Et c’est cent six ans jeune fille. » corrigeai-je quant à mon supposé grand âge. « Je sais, je ne les fais pas. » Grand sourire, je me penchai vers l’avant pour échapper à ses doigts qui essayaient de me pincer le nez, manquant au passage de la faire dégringoler dans les marches… Ok, c’était franchement dangeureux notre histoire et la piscine paraissait une zone d’atterrissage presque bien plus sûre… Ou pas. C’est le maillot chinois de miss Perol qui n’avait pas vraiment apprécié le plongeon.  Moi la situation me faisait bien marrer, elle beaucoup moins. Louve râlait, poitrine cachée derrière ses mains, baragouinant un truc sur la domination future des chinois ce qui me fit répliquer : «Je vous pensais plus chauvins que ça vous les français, du genre à n’acheter que du –made in France-. » Et puis quand même, je finis par l’aider, cherchant parmi la faune aquatique et plastique de cette piscine. C’’est sous le croco que mister soutif était parti flotter, l’écoutant d’une oreille qui ronchonnait, qui affirmait que le top less en soit n’était pas dérangeant, que si il n’y avait que moi d’ailleurs ça ne l’aurait pas gêné mais que c’était la présence de ses frères qui la mettait mal à l’aise. « Fallait pas les inviter. » Ha oui, c’était eux qui avaient loué la maison. Et Marin était accessoirement l’un de mes meilleurs amis. L’alcool me faisait dire n’importe quoi. Et faire n’importe quoi… Comme lever le vêtement en l’air, narguant la brune qui avait nagé vers moi en quelques brasses et qui bondit alors sur moi, se plaquant contre moi, sa poitrine contre mon torse… Contact et proximité déjà super étrange en soit, qui suffit à me faire perdre mon petit air hilare. Et lorsque ses lèvres finirent sur les miennes, je finis complètement dérouté par relâcher ma prise sur le soutif de la miss, qui en profita pour s’en emparer, s’écartant ensuite rapidement en riant… « Louve attends… » A quoi elle jouait ? Forcément quand je la vis se ruer hors de l’eau, je ne pus que la poursuivre. Je savais pas qu’elle aimait jouer au loup, la petite Louve… « Tu vas voir si je t’attr… » Bam, pas le temps de finir ma menace, la brune tombait à la renverse. Elle avait couru droit sur la baie… Je me précipitais jusqu’à elle,  m’accroupis près d’elle, prenant sa tête entre mes mains pour observer son visage en grimaçant : « Aïe… Je savais que mes baisers avaient un effet renversant, mais à ce point… » Je me risquais à effleurer son nez qui semblait l’élancer, avant de commenter : « Faut qu’on mette de la glace sinon tu vas avoir le pif d’un boxeur demain matin en te levant… » J’imagine qu’avec les 4 grammes dans chaque bras qu’elle avait à l’heure actuelle, elle devait être un peu anesthésiée, mais les effets de l’alcool allaient finir par se lever et la glace allait permettre de limiter les dégâts. Je me dépêchais de trouver la cuisine, le congel et de revenir vers elle avec un sachet de petit pois congelés. « C’est tout ce que j’ai trouvé… » expliquai-je en lui tendant pour qu’elle se le colle sur le visage… « Tu veux aller t’allonger un peu dans l’une des chambres ? T’as l’air sonnée un peu. »
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Inconsciemment – ou pas vraiment – j’ignore ses paroles dès lors qu’il daigne parler de notre rupture ou de notre relation passée. On m’a toujours dit de ne pas vivre dans le passé mais de profiter du présent, il devrait sûrement en faire de même. Alors, au moment où il me rappelle le mois de son anniversaire… je joue la sourde, comme un peu plus tôt. Je sais pas trop où il veut en venir, je préfère ne pas noter. ‘Fallait pas les inviter’ qu’il me sort. Bien joué. « Je te laisse les foutre à la porte dans ce cas, mais je suppose que Colin inversera la tendance et te mettra dehors avec son gros pied puant. C’est pas comme si c’était grâce à eux que j’ai pu avoir cette sublime demeure, hein… » J’ai pas encore épousé d’homme riche et vieux, alors j’ai beau avoir un compte en banque assez conséquent, je suis pas certaine que l’âge joue trop en ma faveur en matière de sécurité. Qu’importe. Les choses s’accélèrent dans la piscine, entre ce bikini évadé et ce baiser volé, je dois avouer que ça ajoute du piquant à ma soirée d’anniversaire. Je suppose que pour mes vingt-et-un ans, tout se passe bien malgré quelques accrocs comme la plaie qui orne joliment ma main. J’ai aucune idée de si j’aurai droit à une cicatrice ou si la plaie choisira de disparaître en beauté, j’y pense pas spécialement d’ailleurs. On verra plus tard, au moment où l’alcool se sera estompé pour de bon. Sur le moment, après lui avoir attrapé fougueusement les lèvres pour deux secondes, je me suis barrée en courant. Mauvaise idée. Je l’ai compris au moment où ma tête à frappé de plein fouet la baie vitrée. Je me retrouve parterre, à toucher mon nez, je sens mes yeux s’humidifier de douleur. Et encore. Je crois que j’ai de la chance d’avoir trop bu. J’aurais sûrement fait ma petite crise autrement. Alors que là, je reste allongée. Je ronchonne. Et là, je souris. Je peux pas m’en empêcher en entendre ce que me sort Denys. Des baisers à l’effet renversant. « Si tu savais comme t’es con… » Je souris mais j’ai mal. Faut bien que le rictus tire sur tout le visage, ce serait pas drôle sinon. « Je suis sûre que tu pourras pas me résister avec mon nouveau nez. » Plus fort que moi, je lâche un petit rire. C’est honteux quand même comme situation. Et le bruit de ma tronche contre la baie m’a sacrément fait penser au bruit de ces oiseaux qui se prennent des vitres de plein fouet. Moi qui comprenais pas pourquoi, je suppose qu’ils sont tous bourrés. « En même temps, s’ils mettaient un peu de ketchup sur la vitre… » Je souffle, parce que c’est vrai quoi, ils pourraient éviter de nettoyer aussi bien. Ca fait des accidents après et ça s’étonne. « Je vais leur coller un procès moi tu vas voir ! » Ah, si seulement. Si seulement je pouvais leur péter le nez comme ça vient de m’arriver. J’ai quand même bien les nerfs, moi qui faisais la belle. C’est raté. Et puis, d’un coup, je me sens mal. En tout cas, plus mal qu’avant. Je suppose que la douleur agit par la suite. Une migraine me prend, mon nez pisse, mes yeux pleurent. Je vais peut-être vraiment finir ma nuit à l’hosto ? Merde. Je ferme les yeux alors que Denys s’éclipse un instant. Je tente de déstresser en inspirant et en expirant profondément, paraît que ça marche bien. Au moment où j’entends la voix de Denys retenter, je rouvre les yeux pour attraper le sachet et me le coller sur la tronche. Toute la tronche. Ca me rafraîchira les idées au passage. A sa question, je me contente de hocher la tête. Je suppose que m’allonger ailleurs qu’au bord de la piscine, au milieu de tout le monde, c’est plus raisonnable. Ca passera peut-être plus rapidement mais, en tout cas, ça améliorera un tant soit peu ma migraine.
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