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This is a beach war (Ashleigh & Gabrielle)

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This is a beach war

Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Denys, Denys et encore Denys, son nom revenait de plus en plus souvent ces temps-ci alors que moi, tout ce que je voulais, c’était l’oublier tranquillement et redevenir celle que j’étais avant qu’il ne vienne foutre le bazar dans ma tête. La vérité c’était que plus j’entendais son prénom, plus je nourrissais de l’amertume et du dégout à son sujet. J’aurais pu, juste l’effacer de ma vie et garder son image en tête comme une vieille photo qu’on regarde avec nostalgie, comme lorsqu’on tourne les pages d’un album de vacance avec ce sourire mélancolique aux lèvres. Cependant, monsieur avait parlé et j’étais là à devoir me justifier auprès de son fan club et plus je me justifiais, plus je lui en voulais et plus je lui en voulais, plus les souvenirs agréables que j’avais de lui se transformaient en déception et en mépris. Elle continua, voulant me faire croire que Denys m’avait demandé de devenir son amie par pitié, je laissai échapper un « que tu penses … » flegmatique. Parce que je n’allais pas tomber dans ce piège-là, je connaissais Denys bien avant elle et le regard plein d’espoir et de bon sentiment qu’il m’avait servi lors de notre dernière rencontre ne ressemblait en aucun cas à de la pitié. J’étais lassée de parler de lui, cela faisait augmenter cette boule de déception que j’avais dans la poitrine et qui alimentait grandement ma colère. Puis elle vint me servir ce discours de loyauté et d’amitié bien rodée que tout bon mather devait sortir à un Eliot. C’était d’un cliché, j’étais loin d’être superficielle, je connaissais la valeur des liens et je savais aimer jusqu’à en mourir. « Je te donne une idée, juste comme ça … » je haussai les épaules « si tu veux que j’arrête d’en parler, arrête de m’en parler », voilà une excellente idée, qu’on me foute la paix avec lui, j’avais assez entendu son prénom pour le millénaire à venir. Bambi sembla comprendre de qui on parlait et je laissai échapper un soupir fatigué pour toute réponse à sa question avant d’essayer de la rassurer « chérie tu n’es pas à l’origine de cette dispute, la bêtise de certains l’est … » et ce n’était certainement pas la mienne. Ashleigh attaqua de nouveau et je devais avouer que ses derniers mots me firent aussi mal qu’une balle en plein ventre. Lorsqu’elle mentionna l’absence de Noah, j’eus le souffle coupé l’espace d’une seconde. Ce n’était pas que j’avais peur qu’il puisse m’abandonner, je savais que cela était impossible, mais il me manquait. Il me manquait comme on manque d’air et à chaque fois que je devais respirer quand il n’était pas là, j’avais cette sensation de brulure dans la poitrine. Je suffoquais littéralement, quand il n’était pas près de moi. Instinctivement, je saisis sa chevalière familiale que je portais au cou à l’aide d’une chainette en or. « Fais très attention à ce que tu dis » mon ton n’était plus aussi léger et s’il était toujours aussi calme, il était plus froid et avait un arrière-gout de colère bien marqué. Ce n’était pas une menace, c’était un avertissement, elle venait de toucher à ce que j’avais de plus précieux, il ne me fallait que ça pour perdre le contrôle.  

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Lui faire croire que Denys avait voulu rester ami avec elle par pitié, tu savais pas si ça fonctionnait ou pas. Son "que tu penses" était peut être une façon à elle de ne pas te montrer que tes mots l'atteignait. Cependant, tu rebondis immédiatement sur le fait qu'il mériterait une médaille, un award ou peut importe, pour l'avoir supporté tout ce temps et enfin voir qu'il y avait mieux ailleurs. Probablement agacée, elle émettait l'idée de ne plus parler de lui. Bien trop facile pour elle, sachant que ça devait lui renvoyer au visage le mistral qu'il lui avait mis en ne répondant pas à son baiser ni en lui courant après comme il avait pu le faire des dizaines de fois auparavant. Tu levas les yeux au ciel, pas question de lui faire ce plaisir. Et c'est là que Bambi s'excusait d'être à l'origine de cette dispute. Oh non, elle avait juste permis que tu fasses enfin un face à face avec la bleue, histoire de lui remettre les barres sur les t et les points sur les i. Ce n'est pas ta faute, au contraire, je te remercie même Bambi dis tu avec un petit sourire sincère à la cabot, pour en faire un hypocrite a l'eliot. Mais pas question d'en rester là. Du répondant tu en avais et tu lui expliquais bien qu'elle la loyauté et défendre des amis elle connaissait pas, trop focalisé sur sa personne. Tu savais que l'un de ses seuls vrais amis était Noah, cet eliot qui t'insupportais et qu'elle avait embrassé à cette même soirée ou tu avais embrassé Denys. Absent, tu n'avais pas entendu parler de lui depuis un moment. Ni même tu l'avais vu, alors tu saisissais l'occasion pour appuyer là où ça allait certainement faire mal. Jackpot. Si elle garda ce ton calme, tu lisais entre les lignes que tu avais touché la corde sensible. Et sa menace ou mise en garde, eut juste le don de te faire sourire. Sinon quoi ? Provocante, tu la défiais sans aucune once de peur. Toi ça te faisais marrer au final de retourner la situation de la sorte. Si bien que tu ne t'en arrêta pas là. Tu sais ce qui est drôle ? C'est que même lui il a aimé goûter aux lèvres de mathers. Et pas juste de Sage, oh non, Lucky aussi il a bien aimé ça. À croire que vous êtes tellement peu intéressantes que les propres mecs de votre maison viennent à nous. Le savait-elle pour le dérapage entre Lucky et Noah ? Surement pas, c'était donc un plaisir de lui apprendre de ta bouche. Elle allait comprendre pourquoi tu tenais tant à protéger Denys et que ça te mettais en rage de l'entendre parler de lui ainsi. Si elle était aussi proche de Noah que tu l'étais de Denys alors elle comprendrait qu'il fallait pas toucher à un être cher.

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Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Plus les secondes filaient sur le cadran, plus la discussion dérapait entre Gabrielle et Ashleigh. A croire qu'elles se soient donné le mot pour faire honneur à l'ancestrale guerre entre leurs deux maisons... même si Bambi refusait d'y croire, les appréciant autant l'une que l'autre pour des qualités extraordinaires dont elles savaient faire preuve. Alors oui, cette froideur et ce contrôle chez la jolie Eliot l'étonnait car jamais encore l'italienne ne l'avait vue à l’œuvre mais choquée, elle ne l'était pas. Pas plus que de voir la belle Mather défendre bec et ongle son meilleur ami, coûte que coûte. L'une et l'autre avait ses arguments et la brunette se retrouvait au milieu, refusant de prendre parti. Ce serait le meilleur moyen de se fâcher avec les deux et ça, il n'en n'était pas question. Merci ma chérie... commença-t-elle à répondre à Gabrielle avant d'entendre aussi le mot gentil d'Ashleigh. Vous êtes adorables avec moi mais ça me fait mal de vous voir vous déchirer... admit-elle car après tout, c'était la vérité. Son invitation leur permettait sûrement de se mettre les points sur les virgules mais il n'empêche que Bambi avait du mal à supporter leur joute. Ah non, vous n'allez pas commencer avec les menaces, pitié !

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Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Elle avait réussi à me toucher, à m’atteindre sur ma plus grande force mais aussi ma plus faiblesse, celui sans lequel je n’étais rien, Noah. Alors pour sûr, maintenant, son amusement, son ton piquant faisaient remonter ce qu’il y avait de plus mauvais en moi. Elle osait me relancer, en me balançant un sinon quoi ? Sinon je t’assomme, je te traine et je t’enterre dans le sable encore vivante. C’était ce que j’avais envie de lui dire, le schéma tordu que j’avais dans ma tête mais je réprimai cette envie. Elle continua, me signifiant le gout de Noah concernant les Mather, cela ne me touchait pas vraiment à vrai dire. J’étais beaucoup trop proche de lui pour le juger sur ce genre d’agissements et puis je le connaissais de son souffle à son rire, de son regard à ses mots. Je savais aussi que ce n’était pas parce qu’il réussissait à leur faire écarter les jambes, qu’elles représentaient un intérêt quelconque pour lui. Pour cause, j’avais encore en mémoire ces escortes que j’avais eu l’occasion de surprendre à mainte reprise en rentrant dans sa chambre à l’improviste, qu’il m’était même arrivé de payer alors qu’il était sous la douche  « Ce sont plutôt tes amis qui sont souvent attirés par les Eliots …», je haussai légèrement les épaules « ça fait quoi d’être hypocrite ?  ». Parce que pour moi c’était de l’hypocrisie pure et dure. Une donneuse de leçon qui ne voyait pas la merde qui l’entourait. Seulement, une évidence me vint à l’esprit alors … si elle tenait à Denys autant qu’elle voulait le faire croire, il y aurait certainement une chose qu’elle ne supporterait pas : l’idée de le blesser. Et alors que je m’apprêtais à me faire plus insultante, je m’arrêtai net. J’allais me servir de ce que cette Lucky m’avait dit sur le yatch pour lui faire du mal. « En tout cas je suis heureuse de savoir que Denys soit passer à autre chose » acerbe, tellement qu’on pouvait presque entendre un sifflement de vipère « très heureuse de savoir qu’il se soit tourné vers toi … magnifique vraiment » plus fausse et sarcastique tu crevais « j’espère que c’est un sentiment partagé … » j’espérais surtout que c’était une impasse et qu’ils allaient tous les deux par en souffrir « parce que ce pauvre Denys, ce regard trop doux, cette innocence, cette gentillesse » je secouai la tête, l’air faussement désolée « je pense que le pauvre supporterai mal d’avoir à gérer une autre déconvenue sentimentale » je marquai une pause, levant les yeux vers Ashleigh sourire mesquin aux lèvres « surtout venant de … quoi déjà ?  » Avant de lâcher dans un soupire « de sa meilleure amie …». Mesquine, méchante, perverse pour le coup, on pouvait presqu’y lire un sadisme déguisé. Je n’allais pas l’attaquer, l’insulter, non … j’allais laisser ce qu’il y avait de pire lui faire du mal, la culpabilité. Parce que si elle l’aimait comme elle disait l’aimer, pour sûr, l’idée de lui faire du mal lui tordrait le ventre. « Je n’ai pas besoin de lui régler son compte à Denys » pour sa langue bien trop pendue « je pense que tu t’en chargeras très bien pour moi, merci ma belle ». Du Gabrielle dans toute sa splendeur.  Je me tournai ensuite vers Bambi, l'air désolée "tu as raison, je suis désolée de te faire du mal avec cette stupide dispute chérie", regard fourbe vers Ashleigh "mon but à moi n'est pas de faire souffrir mes amis"

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Depuis le temps que tu attendais de tomber sur elle pour lui dire le fond de ta pensée, encore plus depuis ce que tu avais apprit récemment, là tu n'étais pas prête de t'arrêter. Lancée dans une troisième guerre mondiale, chacune de vous attaquait l'autre avec les armes qu'elle avait en sa possession. Pour ta part ce fut son attirance pour Denys qu'elle était incapable d'assumer, puis aussi Noah. Son cher acolyte qui avait une fois encore disparu de la circulation. Aux abonnés absents, tu te faisais une joie d'appuyer sur son absence et également sur le fait que lui également aimait les mathers. Sage la première même si tu étais arrivée bien après la fin de leur histoire, puis Lucky, le temps d'un flirt, de quelques baisers chauds, qui auraient pu finir autrement. Mais tout ce qu'elle trouva à répondre c'était que tes propres amis étaient attirés par les eliots. Tu haussas les épaules dans un rire franc. Mais nous on a assez de couilles pour l'assumer. Sage ne s'en était jamais caché, ni Lucky, ni même toi avec Tate. Tu assumais et tu reconnaissais qu'il y avait quelques exceptions qui confirment la règle, mais vraiment quelques unes... Mais ce que tu ne vis pas venir c'est qu'à son tour elle utilisait des cartes qu'elle avait dont tu ignorais l'existence. Tu ignorais que Lucky avait pu lui lancer un pique concernant un dîner romantique entre Denys et toi, mettant ainsi l'idée en tête à l'eliot que le mather avait des vues sur toi. T'avais envie de rire quand elle évoqua qu'il c'était tourné vers toi et de lui répondre quelque chose pour contrer sa phrase, parce que toi tu ne voyais rien et tu n'y croyais pas à la véracité des propos de ton meilleur ami comme quoi il pouvait être amoureux de toi. Trop aveuglée, ou peut être trop effrayée de perdre votre complicité ou pire de t'attacher à quelqu'un et de tomber dans ce gouffre des sentiments, des coeurs brisés et des prises de tête. Elle continua, persuadé que ton coloc en pinçait pour toi et que ce sentiment n'était surement pas réciproque. Que tout ce que tu allais faire c'était lui faire du mal. Ce que tu comprenais pas c'était qu'est ce qu'ils avaient tous à te parler de lui et de potentiels sentiments ? C'était quoi leur problème à faire une fixette sur Denys et toi ? Comme les deux doigts d'une main, vous êtes inséparables, mais de là à vous voir en couple ? Y avait une épidémie ou bien ? Le virus Denleigh vous connaissez -> Ils allaient finir par te faire croire que ça pouvait être vrai tout ça, qu'il te voyait bien plus qu'une simple meilleure amie, alors quand elle se chargea de terminer sur la note que c'était toi qui allait achever le brun, qui allait le faire souffrir, tu lui lanças ce regard noir. Elle te cherchait un peu trop et elle allait te trouver. Faire de la peine à Denys ? Ca te briserait autant le coeur. Il n'en n'était pas question, jamais tu ferais quelque chose qui le nuirait, qui le blesserait, mais hélas involontairement c'était bien ce que tu faisais. Pourtant, pas question de la laisser parler. Elle voulait jouer à ça ? Tu allais rentrer dans son jeu. Et l'hypothèse que ce soit réciproque, tu y a pensé ? Tu sais quoi je devrais te remercier en fait. Marquant une pause pour la laisser cogiter sur ce que tu devrais la remercier, tu repris un sourire remplit de malice au coin des lèvres. Faut avouer que grâce à ce baiser à la rubi-x cube, sans le vouloir, ce rapprochement avec Denys, je le dois à toi... et tu continuais de faire durer le suspense, tout comme elle l'avait fait, ne la quittant pas du regard. C'est grâce à ce baiser qu'on a couché ensemble et faut avouer que sans toi j'aurais jamais découvert à quel point il était exceptionnel au lit, mais je suppose que tu t'en doute non ? Allez, prend toi ces souvenirs en pleine face, des baisers du mather sur ta peau d'eliot, ses caresses et tout ce que tu n'auras plus le droit. On préfère prendre notre temps tu vois, pas aller trop vite, pas perdre cette complicité que tu ne connaîtras jamais. Okay tu disais des beaux mythos là, enfin à moitié. Fallait avouer que ces derniers temps tu te faisais bien faible face au jeune homme, et votre complicité elle était plus que présente. Alors si faire souffrir ses amis c'est en dépassant la limite de l'amitié, je le ferai souffrir avec tout mon coeur continuas-tu pour lui faire comprendre qu'entre lui et toi c'était bien plus qu'amical, comme elle venait de le sous entendre pour lui. Et franchement ça serait pas dur à avaler, pas après votre baiser de la rubi-x cube, pas alors que vous aviez vraiment couché ensemble, pas alors que tous vos proches, même elle, pensaient qu'entre vous y avait anguille sous roche. Alors merci, merci de lui avoir ouvert les yeux sur la fille que t'es et de l'avoir fait venir à moi. Ton fourbe, le sourire encore pire, tu te tournais finalement vers Bambi qui se sentait mal. Je suis désolée, mais je peux pas me la fermer quand on s'en prend à quelqu'un que j'aime.

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Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Difficile pour Bambi d'écouter ce combat de catch entre Gabrielle et Ashleigh. Mais que diable pouvait-elle faire ? Même en se mettant devant et en essayant de faire barrage, elles continueraient très probablement leur règlement de compte à ok sur sable. Cela pouvait sans doute prêter à rire de loin, mais en direct live, à entendre tout ce qu'elles étaient capables de se balancer dans les gencives, la brunette ne riait pas. Elle en serait bien incapable. Ses deux amies réglaient leur contentieux devant ses yeux, par sa faute un peu vu que l'italienne elle-même les avait invitées, et désormais, à part attendre que les piques n'arrêtent, il n'y avait pas grand chose à faire. Pour le moment Bambi prenait son mal en patience, le visage marqué par une sorte de douleur sourde. Non elle ne souffrait pas physiquement, mais psychologiquement de voir ses deux amies se déchirer ainsi. Il serait utopique de croire que ces deux là deviennent un jour copines, bien sûr, et nul n'aurait pu prédire une telle bataille en pleine plage, mais l'après-midi était gâchée par avance et pour se sortir de ce bourbier, la brunette allait devoir faire des pieds et des mains. Qui sait dans quel état Ciarán allait la récupérer après cet épisode... Mais c'est sérieux maintenant avec Denys ? osa-t-elle tout de même demander à Ashleigh, absolument pas au courant de ce qui s'était passé entre eux. Bambi avait comme qui dirait un bon train de retard, facile. Ne vous excusez pas en prime, vous allez me faire pleurer !

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Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Cette fille était-elle réellement stupide ou le faisait elle exprès ? J’étais prête à parier que le jour de la distribution des neurones elle devait être aux abonnées absentes. Parce que même pour moi, l’idée de pouvoir faire du mal, volontairement ou pas, à quelqu’un que j’aimais était insupportable. Alors je ne voyais pas de quoi elle se vantait sérieusement, entretenir des sentiments ambiguë envers son meilleur ami ? Même mes relations n’étaient pas aussi tordues et dieu seul savait à quel point je pouvais l’être, tordue. Ouh, nous ne devions certainement pas avoir la même conception de l’amitié alors. Je la laissai parler, prenant le temps de l’écouter, de comprendre de quoi il en découlait parce que rien ne servait de se précipiter dans ce genre situation. Comme nous avions habitude de le dire avec Noah : Il était inutile de commettre un meurtre si nous ne prenions pas le temps. Je n’en étais pas à mon premier coup mais il était rare que des personnes me résistent aussi longtemps. J’arrivai à écraser en quelques minutes habituellement et me retrouver face à elle était aussi intéressant que rageant. Alors je l’écoutai et ce serait mentir que de dire qu’aucuns de ses mots n’avaient d’effets sur moi. C’était douloureux d’avoir perdu Denys, parce qu’avec lui, j’avais perdu l’espoir de dépasser mes peurs et ce qui était encore plus douloureux, c’était de savoir qu’elle s’en délectait. Que je lui avais laissé une faille pour m’atteindre. Alors oui, mon regard par moment se faisait troublée, mes dents rencontraient mes lèvres alors que l’énervement montait et mon regard, quelque fois se fit plus noir jusqu’à ce qu’elle finisse son discours. Je réprimais mes pulsions violentes, cette envie de la saigner que j’avais avant de pousser un soupir fatigué et de l’applaudir « franchement bravo … » tant que j’y étais, j’imaginais que c’était sa tête entre mes mains alors que j’applaudissais, cela m’aidait à garder mon calme. « Je ne peux qu’applaudir cet art que tu as de foutre une amitié en l’air ». Je devrais donner des cours de self-control. «J’ai pensé à cet hypothèse oui et je dois avouer qu’elle est parfaite. Le choix cliché et cornélien de l’amitié ou de l’amour  » je rigolai légèrement, discrètement « ne me dis pas que tu es naïve au point de penser que tu ne perdras pas quelque chose peu importe le choix que tu feras … ». Le ton calme, condescendant mais le visage habillé de ce voile de mépris « ça vient d’où ce don de tout foirer que tu as ? » je fis mine de réfléchir avant de balancer des trucs complètement aux hasards, des situations plus ou moins banales « on ne t’as pas assez dit que tu étais capable quand tu étais petite ? Papa Maman se disputaient alors tu ne sais pas à quoi ressemble l’amour ? Ou maman à trop souffert à cause de papa ? … un classique ». Je plantai mon regard dans le sien, pas de rire, pas de sourire juste de la curiosité et un certain amusement à essayer de décortiquer sa personne « qu’est ce qui fait en sorte que tu sois aussi dépravée hein ? » petite mimique de dégout «  … jusqu’à coucher avec ton meilleur ami … jusqu’à prendre le risque de le perdre et de lui faire du mal ». Ces gens qui étaient beaucoup trop égoïste pour penser à autre chose qu’à leur entrejambe qui les démangeait, qui risquaient tout, qui risquait de blesser, juste pour quinze minutes pas si inoubliables que ça au final et qui s’assuraient de venir me faire la leçon après. « Puis au cas où penserai que tout ce joli bordel puisse être rattrapé  … sache que Denys est extrêmement tenace » petit sourire en coin, détendu « j’en sais quelque chose, crois-moi ». Je regardai Bambi en haussant les épaules, « visiblement ça l’est … ou pas, va savoir … » et que ces deux-là finissent en enfer. « Prenez votre temps, ne le prenez pas … mais assurez-vous de me voir là, aux premières loges, pour voir votre parfaite relation voler en éclat. Je suis extrêmement patiente » dis-je calmement vers Ashleigh avant de me tourner à nouveau vers Bambi « alors ma belle, raconte-moi tout, ça fait bien trop longtemps que je ne t’ai pas vu  » . L’air de rien, passant d’un sujet à un autre, comme si Ashleigh et les pics qu’on s’était envoyé, n’avaient jamais existés.

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A l'écouter tu avais juste envie de lui rire au nez, de la remettre en place et surtout de la contredire. Elle se faisait tout un film sur Denys et toi. Elle se trompait mais tu savais que rentrer dans son jeu, lui dire qu'elle avait raison, qu'il craquait pour toi et que c'était réciproque, ça lui ferait plus de mal. Pas question de la laisser t'avoir, te faire croire que tu pourrais blesser ton meilleur ami, l'achever à sa place. Alors, fière, sûre de toi, tu la remerciais. Elle avait été l'élément déclencheur de votre coucherie et rapprochement. Tout ça étant vrai, tu avais pas trop à forcer pour avoir l'air sérieuse. Pas besoin de mentir, tu avais bien couché avec le jeune homme et y avait bien plus entre vous. Désormais tu te sentais attirée à lui tel un aimant, voulant remettre le couvert, sauf que tu t'en privais à cause de votre amitié. Mais ça elle n'avait aucun moyen de le savoir. Bambi n'étant même pas au courant c'était parfait, tu risquais pas de te faire griller. Sérieux est un grand mot, mais c'est sur le chemin pour en tout cas. Tu serais pas crédible auprès de la cabot pour dire que c'était sérieux, que tu te voyais en couple et limite la bague au doigt avec le jeune homme. Elle te connaissait un minimum alors tu jouais celle qui n'était pas en couple, mais qui en avait envie, qui allait dans cette direction là. Ca n'empêcha pas pour autant l'eliot de venir commenter ta relation. Continuant d'appuyer sur le fait que ça allait briser votre amitié et que tu allais perdre soit l'amour soit l'amitié. C'était bien pour ça que tu voulais pas remettre ça à la base, par peur de le perdre et le perdre ça serait te perdre toi même. Il était clairement bien trop important à présent dans ta vie et il était surement la meilleur part de toi. C'est pas car tes relations sont des échecs, que celles de tout le monde sont destinées à en être de même répliquas-tu aussitôt, d'un ton sec et cassant. Okay il allait falloir que tu la convainc et de même avec toi, parce que tes paroles tu n'y croyais pas beaucoup de base sinon tu aurais déjà recouché avec lui comme il te l'avait demandé. Elle ne s'arrêta pas pour autant, venant s'en prendre à ton éducation et ta famille. Elle marquait des points, l'amour t'y connaissais pas grand chose, tu en avais eu seulement de ta mère. Ton père trop occupé avec Ayma et toi trop occupé à le décevoir, à l'affronter et te rebeller contre lui pour attirer son attention. Ta mère en avait bavé des tromperies de ton géniteur, d'où le fait que ton aînée n'était que ta demie soeur en réalité, alors tu avalas, te mordant l'intérieur de la joue pour t'empêcher de l'insulter. Perdre ton calme ? Ca serait lui faire plaisir. Pourtant ça te montait, surtout quand elle osait te traiter de dépraver. Ah le voilà le discours non recyclé, tout enregistré dans la tronche des eliots, tel des robots qui apprennent des choses sans vraiment en savoir le pourquoi du comment. Tel des personnes qui sont incapables de penser par eux mêmes. Ce discours tu l'avais entendu en long, large et travers et il n'avait toujours aucun impact sur toi. Et toi, qu'est ce qui a fait que tu sois devenue si froide, sans coeur, obligé de faire du mal aux autres, de les prendre de haut pour pouvoir te sentir exister ? Papa et maman n'ont pas su être assez à tes côtés préférant compenser leur absence par des sous et des cadeaux, ce qui t'a rendu cette fille pourrie gâtée qui croit pouvoir avoir tout ce qu'elle veut ? Toi aussi tu pouvais l'analysais sa petite personne, te doutant bien que sa famille ne devait pas être bien mieux que la tienne. Pour sûr qu'elle avait manqué d'amour tout comme toi pour devenir cette peste. Hélas, tu ne peux pas tout avoir, la preuve, Denys vient de te filer entre les doigts, fini le petit jouet préféré de mademoiselle, va falloir te trouver un autre jouet à démembré parce que Den' elle n'allait plus le toucher, plus avec toi qui était désormais sur son chemin, et qu'il le veuille ou non, tu t'opposerais entre eux. Le must, c'est que ça ose venir juger ma relation avec mon meilleur ami, mais regarde toi d'abord. Embrasser un de tes meilleurs amis juste comme ça tu crois c'est normal ? Que c'est sain d'esprit ? Même lui il veut pas de toi. Tu parles de Noah évidement, de Noah qu'elle a embrassé à la rubi-x cube. De Noah qui en pince pour Lara. Tout se sait à Harvard alors elle est mal placé pour parler et si elle veut continuer, qu'elle continue, des cartes tu en as encore dans ta manche. T'es prête à les sortir. Cependant, elle rebondissait encore sur Den' et toi. Sur le jour où votre relation partira en éclat. Tu te doutes bien qu'elle sera là mais tu ne te fais pas de soucis, avec le mather c'est plus fort que ça et il en faudra pour vous séparer. Tu laisseras personne se mettre entre vous, encore moins elle. Ou si tu veux je peux prendre ton adresse comme ça tu seras la première à recevoir le faire part de notre mariage, puis celui du bébé aussi. Sourire hypocrite, remplit de satisfaction, tu t'enfonçais bien dans ta connerie. Mais pourquoi pas ? Puisqu'elle était si sûre que vous alliez vous foirer, toi tu pouvais faire celle qui était sûre que ça allait marcher à ce point là. Puis comme elle s'attarda sur Bambi, tu fis de même, parce que présence de la snobinarde ou pas, tu voulais connaître les nouveautés pour la cabot. Histoire qu'elle se sente pas de trop non plus la pauvre, elle qui n'avait rien demandé et dont tu t'étais fait une joie de retrouver. Oui, raconte, comment ça va avec Ciaràn ? Toujours le parfait amour ? Ca existe non ? dis-tu, glissant un regard vers Gabrielle, petit pique destinée à la brunette, pour appuyer sur le fait que tu y croyais au parfait amour et donc que tu mettais tous tes espoirs dans la tienne avec Denys...

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Ashleigh & Gabrielle & Bambi

Très honnêtement, après le ping pong de piques, la question de Gabrielle à son sujet surprit légèrement Bambi. Par où commencer et que dire alors que pour un peu, la vie de l'italienne paraissait presque fade et inintéressante après un tel combat. Mais cette accalmie fit un bien fou à la brunette, qui, pour la première fois depuis le début de la discussion entre l'Eliot et la Mather, ne se sentait ni de trop, ni exclue. Point de bataille à propos de meilleurs amis, de Denys ou de Noah. Ashleigh embraya d'ailleurs peu de temps après, lui demandant comment se déroulait son histoire d'avec Ciarán, et son sourire déjà présent s'agrandit d'autant. Après tout, ne venait-elle pas de dire que le parfait amour pouvait exister ? Que ce soit un moyen pour faire rager Gabrielle ou pas, Bambi appréciait cette expression, puisqu'elle pointait sa propre histoire d'amour. Une histoire qui n'était pas gagnée au départ et qui n'était pas parfaite, mais à laquelle l'italienne s'accrochait comme à une bouée de sauvetage, car son homme était définitivement son sauvetage. Vous êtes adorables de me demander... j'ai eu du mal à décider Ciarán à venir mais ça a valut le coup parce que ce sont nos premières vacances en amoureux. Cela va faire bientôt trois mois qu'on est ensemble et vous allez me prendre pour une insupportable midinette mais j'y crois à cette histoire. C'est la première fois que je me sens aussi bien, protégée, à ma place. Il me rend heureuse, vraiment. Tu as sûrement raison Ashleigh, le parfait amour existe ! Et vous deux, dans vos vies, il y a eu des bouleversements à part... ce que vous avez dit tout à l'heure ? Essayer d'instaurer une conversation calme, de les faire parler... l'italienne espérait sincèrement y arriver.

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This is a beach war

Ashleigh & Gabrielle & Bambi

L’insecte marquait un point, je n’étais pas douée pour tenir les relations, je n’étais pas quelqu’un qui aimait lâcher prise et il suffisait que la personne en face de moi échappe à mon contrôle pour que mon côté maniaque reprenne le dessus. Incapable de me laisser aller, je n’avais jamais réellement connu de relation amoureuse stable, j’écrasais souvent avant de me faire écraser. Si j’avais cru bon de l’attaquer sur sa famille, en lançant des affirmations au hasard pour espérer la blesser ce que je n’avais pas prévu c’était qu’elle puisse frapper aussi juste et que cela puisse me faire aussi mal. Je n’étais pas froide, mais là n’était pas le problème, il était vrai que j’avais souvent souffert de l’absence de mes parents. Parce que j’étais une gamine qui avait besoin d’attention, d’être constamment rassurée et entourée … et qu’en réalité rien n’avait changé. Ils avaient fait de leur mieux pour combler leur manque, entre cadeaux, voyages hors de prix, voiture de luxe à mes 16 ans et j’en passe. Cependant mes parents n’étaient plus là et chaque jour, à chaque seconde je ressentais leur manque, impossible d’en guérir … je n’avais pas le courage de guérir, je n’avais nullement le courage de les laisser partir. J’aurais pu tout donner pour les avoir à coté moi, le demi-milliard dont j’avais hérité, le manoir, les bijoux … j’aurai abandonné tout ça, jusqu’à mon âme qui appartenait déjà au diable ne serait-ce que pour les avoir une toute petite minute à côté de moi. Alors à la seconde ou elle avait mentionné mes parents et leur manque je n’avais  plus été là, trop occupée à lutter contre cette myriade d’émotions qui voulaient m’exploser à la figure. Je ne prêtais même pas attention à son allusion concernant Denys et au mal que j’avais pu lui faire, ni même à ses paroles insignifiantes concernant la relation beaucoup trop subtile, pour que son stupide intellect puisse la comprendre, que j’avais avec Noah. J’étais ailleurs, j’empêchais mon cœur d’exploser, je retenais les larmes dans ma gorge et ma colère au bout des doigts pour éviter qu’elle ne finisse sur sa face. Foutue sensibilité qui ressortait toujours au mauvais moment. J’étais figée, le regard vide, muette, saisissant à peine la conversation que pouvait avoir les deux jeunes femmes. Je déglutis difficilement, presque douloureusement et je me tournai vers elle, cherchant dans ma mémoire ce qu’elles avaient bien pu raconter pendant les quelques secondes qui avaient précédées. Je me tournai vers mon amie, essayant de reprendre contenance et je laissai échapper un « pardon ? » un peu trop spontanée lui faisant alors comprendre que j’avais été ailleurs et que malheureusement ou pas, je n’avais pas écouté ce qu’elle racontait.



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