Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThe party did not start for me ❥ EDWEISS
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The party did not start for me ❥ EDWEISS

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The party did not start for me
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Tu regardes les gens autour de toi, s’animer comme des automates. L’alcool coule à flots, la musique est si forte que personne ne s’entend parler mais ce n’est pas grave, rien ne dérange les corps qui s’animent devant toi. Ils dansent, ils rient, ils font semblant de communiquer, certains se bécotent même et toi tu es là, assise en tant que spectateur, à regarder cette scène doucement s’animer devant toi. Tes yeux se ferment un instant et tu passes une main dans tes cheveux blonds. Qu’est-ce que tu fais ici, ce n’est pas toi ça. Tu regardes ton verre qui est presque vide, combien tu en as bu ? Tu l’ignores, tu as un petit souci avec l’alcool en ce moment, depuis que ta vie est devenue un sacré scénario de film dramatique. Tu termines ton verre d’une gorge puis tu le jettes dans la poubelle après t’être levée. Tu quittes le lieu de la party où quasiment tous les élèves d'Harvard se trouvent. Tu rentres à l’hôtel qui doit être désert ou presque, tu ne risques pas de trouver quelqu’un à cette heure-ci, du moins c’est ce que tu espères. Tu te faufiles vers la sortie de la fête, évitant les corps un peu trop lourds et maladroits à cause de l’alcool. Tu enlèves tes chaussures puis tu finis par marcher sur le sable fin jusqu’à l’hôtel. Tu y arrives en seulement quelques minutes, tu peux encore entendre les basses de la musique d’ici. Tu regardes derrière toi une dernière fois pour être sûre que tu n’éprouveras pas de regrets, puis tu rentres dans le hall de l’hôtel qui est désert. Tu progresses alors dans ce grand hall en direction de ta chambre, tes chaussures à la main.
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The party did not start for me
feat. edelweiss & edgar

Tu n'as pas envie de jouer aux surveillants ce soir. Les étudiants sont majeurs, -vaccinés pour la plupart-, tu as donc décidé de rester dans ta suite et de te blâmer pour ces dernières années. Tu regardes ton téléphone portable et les nombreuses photos de ton ex-petite amie, de ta fille qui n'a pas encore ses dents. Elles te manquent mais tu sens que votre trio ne sera plus jamais réunis, d'ailleurs il ne l'a jamais vraiment été, à part à la naissance d'Arlo. Des larmes coulent sur tes joues, tu as merdé et il serait temps que tu te reprennes, que tu redémarres à zéro. Te morfondre de la sorte n'arrangera rien. Tu jettes ton portable contre le mur, ce dernier explose en plusieurs morceaux sur le sol. Tu prends ta tête entre tes mains et gueules tout seul. Tu enfiles ensuite un jean délavé et une paire de tennis confortable pour aller prendre l'air de la Jamaïque afin de calmer ta rage teintée de tristesse. Tu ravales tes larmes, descendant vers le hall de l'hôtel plutôt désert. Tu essaies de passer inaperçu en baissant les yeux vers le bout de tes chaussures mais tout à coup ton épaule heurte un corps en mouvement. Ton regard d'acier se relève et reconnait une de tes étudiantes. " Edelweiss ? Tout va bien ? " lui demandas-tu plutôt curieux de l'apercevoir si seule à cette heure-ci. Tu savais qu'il y avait une fête qui battait son plein plus loin sur la plage, la voir rentrer avec cette moue t'inquiétais un peu. Puis c'était ton rôle de prendre soin des âmes égarées. " Laisses-moi deviner, la musique est à chier ? " dis-tu en prenant une grande inspiration tout en regardant à droite et à gauche avec la crainte qu'un paparrazi te pourchasse.   


♡ ♡ ♡
MACFLY
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Tu marches dans le majestueux hall de l’hôtel sans vraiment prêter attention à ce qui t’entoure. Tes chaussures dans tes mains, tu avances en te dandinant, certainement un peu ivre, de toute manière tu te fous de tout, tu te penses seule. D’un coup, tu heurtes une épaule et tu manques de trébucher. Tu t’arrêtes, ta main vient automatiquement se poser sur ton épaule, tu n’as pas eu mal mais ça t’a bousculé. Tu relèves la tête vers Edgar qui semble s’inquiéter, tu lui offres alors un sourire rassurant. « Bonsoir Edgar. Je vais bien et toi, ça va ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette… » D’habitude, tu le vouvoies, c’est un professeur que tu respectes mais ce soir, tu n’es plus une élève, tu es une simple jeune femme qui déambule dans les couloirs d’un sublime hôtel, alors tu ne réfléchis pas et tu le tutoies car tu l’apprécies. Tu te mets à rire alors qu’il te parle de la musique puis tu te contentes finalement de hausser les épaules, que peux-tu répondre à ça ? « Il n’y a pas que la musique ça ce n’est… pas moi. Et puis je n’ai pas très envie de m’amuser de cette manière alors je quitte la fête. Tu comptais y aller ? La fête bat son plein en tout cas, il y a quasiment tous les étudiants de Harvard là-bas. » Tu l’interroges tout en posant ton regard sur lui, peut être qu’il est sur le chemin de la plage pour aller chaperonner ses étudiants qui sait. Tu le regardes balayer le hall du regard alors machinalement tu le fais aussi, angoissée par ce qui pourrait l’angoisser tout à coup.
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Tu ne t'es jamais pris la tête sur ce que tu incarnais publiquement. Tu n'as jamais été un adepte des manières et règles de politesse. Depuis que tu as pris tes fonctions à Harvard, tu tutoies tous tes étudiants et malgré que le retour ne soit pas le même, tu n'as pas arrêté pour autant d'instaurer cette intimité avec eux. D'ailleurs, Edelweiss qui avait tant l'habitude de te vouvoyer a vraisemblablement décidé de changer de pronom à ton égard. Tu soupçonnes tout de même qu'une bonne dose d'alcool parcoure ses veines à ce moment. Néanmoins, elle n'a pas dû suffisamment boire car elle s'est rendue compte que tu es dans un état pitoyable. " Ça va, je ne dors pas très bien en ce moment, c'est pas bien grave. " Ouais, tu ne dors pas bien à cause d'un décalage horaire ou de la chaleur, tu ne dors pas bien parce que tu as perdu ta femme et par conséquent ta fille.
Curieux de l'avoir arpenter l'hôtel toute seule, tu suspectas avec humour que la musique de la fête ne soit pas sa tasse de thé. Erreur, il s'agissait d'un mal être apparemment plus profond. Le ton de sa voix s'était modifié en cours de phrase. Tu avais ensuite entendu sa question mais tu avais été préoccupé par un problème qui te hantait encore, les paparazzis. Parfois, tu en imaginais même, ces hallucinations teintées de paranoïa avaient eu tendance à s'accentuer ces derniers temps. " Euh non, je comptais aller me balader, tu veux m'accompagner ? ". Ta proposition avait été faite avec un regard fuyant et sûrement paniqué. Tu dévisageais les plantes vertes du hall tout en te servant d'Edelweiss comme bouclier pour te protéger. " Viens, vite, par là ! " crias-tu en attrapant son bras pour l'attirer dehors. La jeune femme pieds nus fût alors emportée par ta folie. Tu l'embarquas à l'extérieur, courant à allure modérée dans le noir, en direction de la plage. " Il faut pas qu'ils nous aient ces enfoirés ! Ils vont encore inventer des conneries " te parlais-tu à toi même en t'enfonçant dans la pénombre pour éviter qu'ils ne vous retrouvent. Bien évidemment, vous étiez seuls. Uniquement vos ombres vous suivaient. Après plus de cent mètres parcourus tu aperçus un muret séparant le complexe hôtelier de la plage. Tu crias à la blonde que tu venais de kidnapper de sauter. Vous aviez alors bondi simultanément, vous écrasant de l'autre côté, sur le sable. En quelques secondes, tu t'étais adossé au mur, recroquevillant tes genoux vers ta poitrine. " Ils sont encore là ? " lui chuchotas-tu avec le souffle saccadé.
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« Je ne peux que te comprendre, le sommeil et moi nous sommes fâchés en ce moment. » Tu te contentes d’esquisser un léger sourire puis tu hausses tes frêles épaules. Tu boudes le sommeil depuis que ton viol s’est produit. Ces douloureux souvenirs provoquent en toi des angoisses que tu n’arrives à maitriser alors quand vient le soir, tu te contentes de t’allonger sur ton lit et de laisser tes larmes salines dégouliner le long de ton visage pour atterrir sur ton coussin. Parfois tu trouves le sommeil mais bien souvent tu te réveilles en sursaut, en pleurs et tu mets du temps avant de reprendre complètement tes esprits. Tes crises d’angoisse sont connues chez les roses et les filles ne s’étonnent même plus de t’entendre crier au beau milieu de la nuit. Tu relèves la tête alors qu’il te proposait d’aller te balader avec lui. « J’allais rentrer mais je crois que prendre l’air peut me faire du bien. » Tu as esquivé la soirée car tu n’es plus cette fille qui profite de la vie, cette fille qui rigole aux fêtes et qui s’amuse. Depuis cette soirée funèbre, tu évites les gens, tu te fais discrète, tu es renfermée sur toi-même et tu ne sais pourtant plus où te mettre. Tu es terrorisée dès que quelqu’un t’approche d’un peu trop. Tu avais peur de l’alcool avant et puis que ta vie a à nouveau basculé, tu sombres dans ce péché, petit à petit. Tu te mets à crier, sans faire exprès alors qu'Edgar t’attrape par le bras et t’entraine dehors, dans le noir. Tu manques de faire tomber tes chaussures mais tu te laisses diriger. Tu te mets alors à courir sans vraiment savoir ce que tu fuis, puis à sa demande tu te mets à sauter le petit muret qui va avoir pour but de vous cacher. Haletante, tu te laisses glisser avec lui jusqu’à t’asseoir sur le sable encore chaud. Tu te mets alors à rire alors que Edgar est visiblement troublé par des gens inexistants. Tu as du mal à t’arrêter de rire mais c’est une bonne raison : l’adrénaline. Tu te redresses alors doucement et tu regardes par-dessus le muret, tu viens alors à nouveau te glisser dans le noir avec lui puis tu lui donnes un léger coup d’épaule. « Je ne sais pas qui on fuyait mais on a réussi à les semer ! »
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Assis derrière le muret, le souffle irrégulier, tu repenses enfin à ta crise qui s'estompe  petit à petit. Tu viens d'embarquer ton étudiante dans un sprint contre ... personne. Ce n'est pas la première fois que tu t'imagines pourchassé ou épié. Tes délires paranoïaques se sont multipliés et lorsqu'ils se produisent en compagnie de quasi inconnu, c'est plus qu'embarrassant.
Soudain, tu entends Edelweiss te signaler qu'il n'y a personne tout en te balançant un léger coup d'épaule. Tu te souviens alors de votre brève discussion dans le hall, comme si ta mémoire avait tout gardé dans un minuscule coin mais qu'elle n'avait pu traité l'information que maintenant car tu te sens enfin plus en sécurité. Après avoir récupéré tes capacités pulmonaires, tu pus de nouveau entreprendre une discussion censée. " Excuses moi de t'avoir entraîné là-dedans. Alors comme ça tu ne dors pas bien aussi... Il y a forcément une autre raison que la chaleur ou le fait d'être loin de chez toi non ? Si tu ne veux pas en parler je comprendrais... Ou alors je peux commencer à t'expliquer pourquoi je roule moi-même dans mon lit sans trouver les bras de Morphée. "  Bon, à mon avis, à la rentrée, Edelweiss ne fera sans doute plus partie de ton cours car après avoir été témoin de ton comportement insensé, elle préférera de loin rester en sécurité chez elle. " S'il n'y a plus personne, tu veux qu'on aille manger une glace pour se rafraichir ? " proposas-tu ensuite avec des yeux de gosse probablement à peine visible dans l'obscurité.  
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« Deal, si je te parle de moi, tu me parles de toi. » Tu lui tends ta main bienveillante puis tu lui adresses un large sourire qui doit être à peine visible dans la pénombre. Tu n’as pas l’impression d’être devant un professeur mais plutôt devant une personne bienveillante que tu aimerais connaitre davantage. Tu réfléchis un instant, tu baisses la tête, un peu nostalgique. Tu dois parler de tes peurs, de tes angoisses à Edgar et tu n’es pas forcément prête. Est-ce que c’est une bonne chose de raconter tes souffrances à un homme que tu ne connais pas énormément et surtout à un professeur ? Tu as peur qu’après tout ceci, il te regarde en coin et t’évite. Tu te redresses alors, les lèvres entrouvertes, tes mots en suspens. « Va pour une glace, j’adore ça. » Tu es devenue à nouveau cette gamine qui est totalement insouciante. Les années ont beau être passées, tu es toujours naïve. Tu te lèves, puis tu attrapes la main de l’homme à côté de toi pour qu’il se lève à son tour. Tu remets ensuite tes chaussures puis tu le suis tranquillement jusqu’à un petit marchand de glaces qui se trouve non loin de la plage. Tu prends alors une grande respiration puis tu te décides à te lancer. « J’évite les fêtes, les gens alcoolisés, tout ce qui m’angoisse. Il y a quelque temps j’ai vécu quelque chose de traumatisant lors d’une soirée et je n’étais déjà pas une fêtarde alors… j’évite ce genre d’endroit désormais. Mais… au-delà de ça… Ma vie n’est pas ce que j’espérais au jour d’aujourd’hui, pour être honnête je ne suis pas vraiment bien dans mes baskets comme on dit. Ces temps-ci, ma vie prennent une tournure étrange et il n’y a rien qui va, c’est… juste compliqué tu sais. » Tu as quasiment les larmes aux yeux, tu repenses à Enzo, à Maxence, au fait que l’on se soit totalement foutu de toi, qu’on ait piétiné ton cœur. Tu repenses à toutes les atrocités de ta vie, ton viol, le fait que tu es assisté à un meurtre de sang-froid…
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La course poursuite contre l'invisible étant terminée, tu pouvais de nouveau te concentrer sur ta rencontre inattendue de la soirée, Edelweiss. Charmante, douce, polie, tu n'aurais jamais pu te douter qu'elle était une âme en souffrance. Si tu n'étais pas allé jusqu'ici, en Jamaïque, que tu n'étais pas sortie de ta suite luxueuse pour prendre l'air, jamais tu n'aurais su que cette blonde avait d'énormes blessures enfouies au fond d'elle. Pour qu'elle puisse se confier, tu proposas un marché, une confidence sur toi équivalait à une confidence sur elle. La jeune femme accepta le deal et même la glace ! Tu lui souris et te laissas t'aider à te relever. Elle enfila ensuite ses chaussures avant que vous ne commenciez à rejoindre un marchand de glace sur le bord de mer. Sur la route, Edelweiss se livra la première. Tu l'écoutais en silence, compatissant et ému. Bien évidemment, en grand curieux, tu te demandais quel sorte d'évènement avait pu la traumatiser à ce point, mais il était sûrement trop tôt pour creuser plus loin. La suite de sa confession résonna en toi, tu avais l'impression qu'elle parlait de toi ce qui te faisait froid dans le dos. " Je comprends ce que tu veux dire... Saches que tu n'es pas toute seule dans ce genre de posture. Enfin, tu as l'air maligne, tu dois être au courant. Puis même si on sait qu'on est pas seul, cela arrange rien au problème n'est-ce pas ? " Tu venais de te mélanger les pinceaux en beauté, tu n'étais vraiment pas doué pour réconforter les gens. Enfin peut être que si parce que c'était tellement ridicule qu'on finissait par en rire et oublier nos tracas. " Ben moi ma femme m'a plaqué alors qu'elle portait mon enfant, depuis elle vit avec et je ne la vois que lorsqu'elle me l'accorde. Le pire c'est que je ne l'ai jamais trompé mais j'ai conscience que j'ai merdé, je suis trop proche des femmes et cela porte à confusion. Bref, du coup je me retrouve seul et les événements de ma jeunesse remontent puissance mille, Evie réussissait à m'ôter mes souvenirs douloureux et là je n'ai plus personne... "  livras-tu en enfonçant tes mains dans les poches de ton jean. La promenade était tranquille, il n'y avait pas de monde sur le bord de mer, seuls les talons de la blonde animaient les lieux. " Finalement, on est un peu deux cas sociaux, on devrait monter un nouveau club à Harvard " plaisantas-tu en relevant enfin le regard vers l'horizon obscur. Tu aperçus alors le glacier itinérant éclairé par un lampadaire, de quoi balayer momentanément tes peines.
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Tu le tutoies, tu t’apprêtes à passer la soirée avec lui, à manger une glace en sa compagnie après avoir exécuté une course-poursuite effrénée. Ce soir, tu oublies totalement professeur, tu laisses place à Edgar, un homme aux attentions bienveillantes, au regard attendrissant et aux douces et gentilles paroles. C’est peut-être l’alcool qui te donne ces impressions, ou ton côté naïf qui ne te laissera jamais, mais tu décides de lui faire confiance. Il y a quelque chose chez lui qui te pousse à te confier et ça n’est pas arrivé depuis une certaine personne qui t’a brisé le cœur justement. Tu repenses vaguement à tes anciennes relations, tu n’es pas vraiment douée avec les hommes. Tu décides alors de te confier, tout en restant vague et tu réalises que ça te fait du bien de te confier ainsi. Tu te contentes d’acquiescer d’un léger coup de tête alors que tu remets une mèche de cheveux blond rebelle derrière ton oreille. Est-il en train d’insinuer qu’il te comprend vraiment, qu’il est dans une situation semblable ? Tu es doute et pourtant, ce soir pour la première fois, tu sens qu’il y a une faille chez lui, une brèche ouverte par un drame, quelque chose de touchant. C’est à son tour de se confier, alors tu continues de marcher tout en prêtant une oreille. Tes lèvres s’entrouvrent, tu es légèrement choquée par ses paroles, par ce qu’il est en train de vivre. Tu n’as pas d’enfant mais tu connais des personnes comme Raphaël et Nevada qui sont parents célibataires, qui ne pourraient pas se passer de leurs enfants. « Je suis désolée… je comprends que ce soit difficile à vivre, enfin j’imagine. » Tu fais une moue et tu tentes de te montrer compatissante. Tu n’as pas d’enfant, encore moins de petit-ami alors tu ne peux qu’imaginer cette souffrance. Tu glousses alors qu’il t’informe que vous pourriez monter un club, c’est vrai mais d’un autre côté cette phrase te rend nostalgique. Quelqu’un t’avait déjà dit ce genre de phrase, Tobias, qui était parti sans te laisser ne serait-ce qu’un vulgaire mot, il faut croire que c’est une habitude chez les hommes… « Oui ce serait peut-être une bonne idée, j’ignore si nous aurions du monde ceci dit. » Tu lui adresses quand même un sourire plus gai puis vous arrivez enfin devant le glacier. Tu consultes alors rapidement ce qu’il propose tout en guettant la réaction de ton ami.
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À force de verbaliser ton histoire, tu commences enfin à t'en détacher. C'est terrible d'avoir vécu cette séparation alors que tu étais encore amoureux mais il est peut être temps d'abandonner et de redémarrer autre chose ailleurs. Toutefois, tu comptes être présent pour ta petite, qu'Evie le veuille ou non.
Pour détendre l'atmosphère, tu lances une blague ridicule à Edelweiss puis vous arrivez enfin devant l'étalage du glacier. Le choix est monumental ce qui te fait d'abord paniquer. " Aheum, toi d'abord ! " dis-tu à la demoiselle en reculant d'un pas pour avoir un plan large sur les bacs de crème glacées. Pendant que la blonde adressait son choix au marchand, tu t'étais de nouveau avancé vers le comptoir, cherchant les parfums disponibles pour les glaces italiennes. " Pour moi ça sera glace italienne vanille-chocolat s'il vous plait " tu adressas un sourire poli à l'homme travaillant si tard puis tu fouillas dans la poche arrière de ton pantalon. Tu en sortis un portefeuille en cuir imitation croco dans lequel tu attrapas quelques billets pour payer votre commande. Tu déposas en avance le pognon à l'endroit adéquat puis tu te rapprochas ensuite de la jeune femme. " Tu m'excuseras mais je ne connais pas encore mes propres étudiants en majeure, donc encore moins ceux en club, du coup tu es dans quelle filière toi ? " as-tu demandé en passant nerveusement une main dans ta chevelure rugueuse à cause des embruns marins. Entre temps, vos glaces vous furent tendues et tu décidas une fois ton cornet en main de reprendre la marche le long de la plage. Tu happas quelques quantité de crème glacée avec gourmandise tout en écoutant la voix douce d'Edelweiss. Plus tu l'écoutais et plus tu la regardais plus tu pensais à Evie, ton ex. Edelweiss disposait de cette même fragilité apparente, de cette même carapace invisible. Ce qui avait d'ailleurs attrapé ton coeur en un rien de temps car tu savais que ce genre de femme pouvait abriter des richesses exceptionnelles.   
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