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ARTWALd + I know we'll be alright this time

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Je n’étais pas forcément énervé. Plutôt blasé. De cette situation qui dégénérait sans que je puisse y faire grand-chose. Je savais qu’Ivy n’abandonnerait pas. Quand elle avait quelque chose en tête, elle finissait toujours par l’avoir. J’avais longtemps cédé. Aujourd’hui, ce n’était plus le cas. Je n’en avais ni l’envie, ni la force. Celle que je désirais, c’était celle que j’attendais sur ce rooftop, alors que le vent légèrement glaciale pénétrait mes vêtements. La question que je me posais en l’attendant, c’était comment Ivy avait pu dépasser cette limite-là ? Lui envoyer un texto, simplement pour remuer le couteau dans la plaie…c’était absurde. Puérile. Et Absurde. Si son stratagème était simplement l’envie de semer la zizanie, pour moi, c’était tout l’inverse. J’avais besoin de voir Oswald, pour lui poser une question. Une simple question. Mais j’avais eu envie de prendre l’air aussi, alors doucement, j’avais finis par contacter Thomson, qui m’avait ouvert à bras ouvert. Ce rooftop au bord de la plage était une merveille. On entendait les vagues ricocher au loin, tandis que du coin de l’œil les lumières de la ville nous éblouissaient. La porte en verre finit par s’ouvrir derrière moi, et j’entendis ces pas légers dans mon dos. Me retournant avec mes béquilles, je les posais en équilibre sur une table, alors qu’elle traversait cette infime distance entre nous. Mes bras se tendirent alors qu’elle vint se plaquer contre mon corps, sa tête dans mon cou. « Bébé, j’suis désolé. »

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« J’en ai pas pour longtemps ! » J’affirme en enfilant mon manteau par-dessus ma tenue rouge de médecin. En réalité j’ignore pour combien de temps j’en ai parce que je ne sais pas ce qui m’attend. Une dispute ou non ? Je ne pense pas, pas au vu des derniers messages que nous nous sommes envoyés. « Si le dragon me cherche dis-lui que je suis aux toilettes. » Le dragon ou Maël sur qui je n’ai pas du tout envie de tomber. Maggie opine et je m’empresse de partir avant de tomber sur le cracheur de feu. Il me faut quelques minutes en voiture pour atteindre Harbor Area et le Fringe où je dois retrouver Arthur. Je suis ses instructions, sonne une fois et un homme apparait presque aussitôt devant moi. « Oswald ? » J’opine et devine qu’il s’agit de Thomson, comment connaitrait-il mon prénom autrement ? A moins qu’il y ait une nouvelle mode qui voudrait que tout le monde sache tout de moi ces dernières heures. Je le suis en silence, plus angoissée que je le pensais, vers le toit où il me laisse seule. J’observe Arthur un instant, sa silhouette découpée dans les couleurs du ciel et je sens mon cœur se serrer. J’ai été jalouse ce qui ne met jamais arriver par le passé. J’ai eu peur de le perdre, peur de ne pas être assez bien et ça m’a mis en colère. Finalement, je pousse la porte et me dirige vers lui d’un pas décidé et une fois à sa hauteur, je me précipite dans ses bras. « Bébé, j’suis désolé. » Je frissonne légèrement et dépose un baiser dans son cou pour ensuite me décaler de sorte à le regarder. « J’ai arrêté d’être en colère au moment où je t’ai vu. » Pour confirmer mes paroles je lui adresse un tendre sourire. « La vue y joue peut-être aussi pour quelque chose. »

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Sa simple présence m’apaisait. Elle avait ce pouvoir sur moi, qui aurait dû me faire peur. Du moins, à l’époque, j’aurai eu peur. Je n’étais pas doué dans l’expression de mes sentiments, encore moins, lorsque je commençais sincèrement à m’attacher à mes copines. J’arrêtais simplement tout alors, préférant une nouvelle conquête. La seule qui était resté là pendant ces années c’était Ivanka, dans cette relation malsaine et dangereuse. J’en avais bien conscience, mais autrefois j’étais faible – j’étais incapable de lui résister. Aujourd’hui, j’avais appris à l’être, ou du moins, j’arrivais à ne plus l’être, parce que cette partie qui autrefois me faisait peur, me rendait exécrable et vulnérable, avait trouvé son complément. Et j’embrassais un peu plus cette chaleur qu’elle me diffusait. Je n’étais plus le même, et même si j’avais hais cette moto pendant des mois, aujourd’hui, je comprenais. Elle m’avait simplement ouvert une porte ; la porte d’un avenir entièrement désiré. Son baiser dans le cou me fit frissonner, et lorsqu’elle planta ses yeux dans les miens, je ne pu m’empêcher de lui caresser la joue. « J’ai arrêté d’être en colère, au moment où je t’ai vu… » Je souris, par reflexe, satisfait d’entendre ça. « La vue y joue peut-être aussi pour quelque chose » J’approchais mon visage du sien, collant nos fronts, et murmura : « La vue de Boston, ou la mienne… ? » Un léger sourire au coin s’afficha sur mes lèvres qui finirent par rejoindre les siennes en quelques secondes rapide. Me reculant un peu, je finis prendre une grande inspiration. « J’avais besoin de te voir Oswald. Je ne suis pas très doué pour parler de ce que je ressens, et par téléphone c’est encore pire » Je regardais autour de moi, saisis une chaise et finit par m’asseoir, les jambes douloureuses. « Je pensais tout ce que j’ai dit. Je veux être avec toi, t’es la première à me faire ressentir ça. J’ai… » J’humidifiais mes lèvres une seconde avant de reprendre : « J’ai eu du mal à être fidèle à mes anciennes copines, parce qu’elle ne me donnait pas autant que tu puisses me donner. J’ai envie de l’être avec toi. Je le suis depuis notre première fois. Je veux pouvoir me dire que t’es mienne autant que je suis tiens. J’enrage à chaque fois qu’un mec de reluque, et imaginer que t’es pu être avec un autre me rebute. Je veux juste… »

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« La vue de Boston, ou la mienne… ? » Bonne question, très bonne question même mais je n’ai pas le temps d’y répondre, ses lèvres se posent sur les miennes et j’apprécie que trop ce moment. Avec la peur que j’ai ressenti tout à l’heure et cette vague de colère, c’est la meilleure façon de me rassurer. « Un peu des deux. » Je souffle quand même lorsque nos visages s’éloignent l’un de l’autre. La sienne principalement mais je pense qu’il me connait assez pour ne pas avoir besoin de le lui dire. Arthur s’éloigne un peu, prend place sur une chaise et je le rejoins en restant un instant debout pour ensuite m’asseoir sur ses genoux. J’ai que trop besoin de cette proximité. « J’avais besoin de te voir Oswald. Je ne suis pas très doué pour parler de ce que je ressens, et par téléphone c’est encore pire » Je ris un peu en me remémorant notre dernière conversation qui portait sur le sujet Maël et à la manière dont elle s’est terminée. Non clairement, pour communiquer ce n’est pas ce qui a de mieux pour nous deux. « Je pensais tout ce que j’ai dit. Je veux être avec toi, t’es la première à me faire ressentir ça. J’ai… » Je cherche son regard, pose ses mains sur son torse comme pour l’inviter à continuer sans jamais le couper. « J’ai eu du mal à être fidèle à mes anciennes copines, parce qu’elle ne me donnait pas autant que tu puisses me donner. (…) Je veux juste… » De nouveau je frissonne et ça n’a rien à voir avec le vent qui souffle à cette hauteur. C’est ce qu’il me dit, l’intensité que je ressens au fond de moi à chaque parole qu’il prononce qui me fait cet effet. « L’exclusivité. » Je termine pour lui. Une de mes mains va se poser sur sa joue alors que je penche légèrement la tête. « C’est ce que tu veux. Arrêter de te cacher, pouvoir être avec moi quand bon te semble sans avoir peur que quelqu’un le découvre. Pouvoir dire fièrement ‘’Vous voyez cette personne ? Elle m’appartient et je lui appartiens.’’ ? » Questions purement rhétoriques parce que je ne fais que dire ce que moi je pense depuis plusieurs jours déjà, depuis cette soirée qui m’a fait comprendre que j’ai trouvé ce que je cherche depuis des années. « Pouvoir faire ça … » Je me penche et l’embrasse à pleine bouche avant de me redresser. « … devant tous tes amis ? Ça te surprendrait si je te disais que ça fait des jours que je ressens tout ça mais que j’ose pas t’en parler ? »

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« Un peu des deux. » Je ne pus m’empêcher de sourire doucement. Je m’étais foutu dedans sans que je puisse y faire quelque chose. J’étais tombé dans ces bras naturellement, sans presser les choses. Maintenant, j’aimais cette relation. Plus que n’importe quelle autre. Lorsque j’avais commencé à lui dire ce que je ressentais, cette valve était ouverte, et j’arrivais plus à m’arrêter. C’était comme si mon cœur avait besoin d’être à nu devant elle, comme si mon être avait besoin de vider ce qu’il ressentait uniquement pour mieux sentir bien. « L’exclusivité » finit-elle par dire en finissant ma phrase. C’était ça que je voulais. Qu’on soit officiellement ensemble, et pas dans une relation qui n’avait pas de signification, parce que pour moi, elle en avait une. « C’est ce que tu veux. Arrêtez de te cacher, pouvoir être avec moi quand bon te semble, sans avoir peur que quelqu’un le découvre. Pouvoir dire fièrement ‘vous voyez cette personne ? Elle m’appartient et je lui appartiens’ ? Pouvoir faire ça… » Elle m’embrassa à pleine bouche sans que je ne m’y attende. Je resserrais un peu plus mon étreinte, mes bras se déposant au creux de ses reins. « …devant tous tes amis ? Ça te surprendrait si je te disais que ça fait des jours que je ressens tout ça mais que je n’ose pas t’en parler ? » Je déglutis, bizarrement sous le choc de ce qu’elle venait de me dire. Je m’étais attendu à une réponse hésitante de sa part, elle qui m’avait fait promettre. Mais, c’était tout le contraire. « Sérieusement ? » finis-je par dire, les yeux ronds. Lorsqu’elle acquiesça une seconde fois, je repris la parole : « Oui. Non. Enfin, Oui, je veux ça. Je veux pouvoir dire à la terre entière, que cette sublime nana c’est la mienne. » Je souris timidement en faisant pression sur son corps. « Mais…tu l’as dit, on s’est promis. Je ne veux pas que les médias brisent ce qu’on a, je ne veux pas qu’une tierce personne vienne s’interposer. J’ai besoin de toi, et j’ai envie que ça dure. » J’étais contradictoire, j’avais envie de cette exclusivité, j’avais envie de pouvoir montrer notre relation, mais j’avais peur que si on sortait de cette bulle, tout vienne nous rappeler qu’on était dans deux mondes différents. Je me blottis contre elle alors, humant son parfum dans son cou, et fini par souffler : « Dis-moi qu’il n’y a que moi… »

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« Sérieusement ? » J’agite doucement la tête en humectant mes lèvres. Oui, je suis tout ce qu’il de plus sérieuse. Ça fait des jours que j’essaye de combattre la peur que j’ai de me lancer, de lui demander de faire disparaitre cette promesse entre nous et maintenant qu’il lance plus ou moins le sujet je ne peux que saisir l’occasion. « Oui. Non. Enfin, Oui, je veux ça. Je veux pouvoir dire à la terre entière, que cette sublime nana c’est la mienne. » Un petit sourire vient étirer mes lèvres et je passe mes bras autour de son cou. « Mais…tu l’as dit, on s’est promis. Je ne veux pas que les médias brisent ce qu’on a, je ne veux pas qu’une tierce personne vienne s’interposer. J’ai besoin de toi, et j’ai envie que ça dure. » Je mords l’intérieur de ma joue pour retenir mon frisson. Si j’avais conscience de notre attachement, entendre Arthur me dire clairement qu’il a besoin de moi et qu’il veut que notre relation dure me renvoie mon amour en plein visage et me coupe le souffle. « Dis-moi qu’il n’y a que moi… » Son visage dans mon cou, je resserre mes bras contre lui et ferme les yeux. Je reste silencieuse non pas parce que je ne sais pas quoi répondre mais bien parce que j’ai peur. Délicatement, je passe ma main sous son menton et l’oblige à me regarder. « Il n’y a que toi. »  J’affirme sans la moindre trace d’hésitation. « Et j’ai conscience de ce qu’on s’est promis mais je suis fatiguée de devoir me cacher, ça surpasse la crainte que les médias s’en prennent à James. Je sais que je veux la protéger mais si on veut que ça dure il faudra qu’on sorte de notre bulle et je me dis que le plus tôt sera le mieux. » Pourtant, je tremble en disant ça parce que j’ai toujours la crainte de ne pas être capable de protéger ma fille. Je resserre mon emprise sur Arthur et pose mon front contre le sien. « Mais je sais aussi que je suis amoureuse de toi … » J’hésite. Les mots semblent se coincer dans ma gorge. La dernière fois que je les ai prononcés remonte à la dernière fois où j’ai vu ma mère, des années en arrière. « Je … je t’aime, Arthur. »

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« Il n’y a que toi » Ce n’était pas le froid la raison de ce frisson le long de mon échine ; Non, c’était ses paroles qui rassuraient mon être tout entier. L’idée même qu’elle aurait pu voir quelqu’un d’autres me rendait complètement fou. Ce n’était pas le genre d’Oswald, et c’était peu probable vu son emploi du temps chargé, mais j’avais besoin de savoir qu’elle n’était que mienne. J’avais besoin de savoir que j’étais le seul dans sa vie, dans sa tête, dans son cœur, le seul à lui donner du plaisir, à pouvoir l’embrasser autant que je voudrais, à pouvoir la voir dormir dans mes bras, à pouvoir caresser sa peau douce et ses endroits sensibles. J’avais appris son corps, parfaitement. Et je me plaisais quant à l’idée de me dire que j’étais le seul. « Et j’ai conscience de ce qu’on s’est promis mais je suis fatiguée de devoir me cacher, ça surpasse la crainte que les médias s’en prenne à James. » Je relevais la tête, plongeant de nouveau mes yeux dans les siens. « Je sais que je veux la protéger mais si on veut que ça dure, il faudra qu’on sorte de notre bulle et je me dis que le plus tôt sera le mieux. » Je sentis son corps frissonner, alors qu’elle resserre son emprise, son front sur le mien. « Mais je sais aussi que je suis amoureuse de toi…Je…Je t’aime, Arthur » D’ordinaire, j’aurai fuis en entendant ça. J’aurai lâchement fuis parce que ça n’avait jamais autant été réciproque. Mais là, elle assise sur moi, son visage trop proche du mien, je me reculais, prenant son visage entre mes mains comme pour mieux l’observer. « Quoi ? » soufflais-je bêtement en digérant l’information. Mon estomac était retourné. Mon cœur s’était accéléré. Et tout mon être brulait d’envie pour elle. Elle me regarda, ses yeux grands ouverts, avec cette impatience d’entendre une quelconque réaction de ma part. Réaction qui eut du temps à venir mais qui finit par arriver, prenant l’une de ses mains et la plaquant contre mon cœur. « Tu fais ça, Oswald. » Il était trop accéléré pour qu’elle ne puisse pas l’entendre, le sentir « T’as pris le contrôle de mon cœur le jour où tu m’as embrassé par surprise dans la piscine. Et même avant ça, t’avais déjà pris le contrôle de ma tête. T’as changé ma vie, bébé. Tu m’as changé moi. Et pour ça, je t’aime, plus que tu ne pourrais l’imaginer. »

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Mon dieu, je suis en train de paniquer. A la minute où j’ai prononcé ces quelques mots je me suis mise à angoisser comme je ne l’ai jamais fait par le passé. Depuis le décès de ma mère je n’ai pas eu le courage de prononcer à nouveau ces mots parce que la dernière fois que je l’ai fait j’ai perdu la personne qui comptait pour moi. J’ai peur qu’il en soit de même avec Arthur mais je suis tellement soulagée de l’avoir fait que cette contradiction me donne presque la migraine. « Quoi ? » Souffle-t-il. Je redescends sur terre et plante mon regard dans le sien. Je n’arrive pas à ouvrir la bouche, je peux seulement le regarder avec intensité et envie. Et si ce n’était pas du tout ce qu’il voulait entendre ? Et si je me prenais une claque magistrale ? Serais-je au moins capable de m’en relever ? Et si j’arrêtais de me torturer ne serait-ce pas mieux ? Sa main prend la mienne et la pose juste au-dessus de son cœur. Dieu qu’il bat vite ! C’est une bonne chose, non ? « Tu fais ça, Oswald. » Je relève les yeux pour croiser les mordorés de ses iris le souffle court. « T’as pris le contrôle de mon cœur le jour où tu m’as embrassé par surprise dans la piscine. Et même avant ça, t’avais déjà pris le contrôle de ma tête. T’as changé ma vie, bébé. Tu m’as changé moi. Et pour ça, je t’aime, plus que tu ne pourrais l’imaginer. » Ma réaction ne se fait pas attendre. Je plaque mes lèvres contre les siennes, passe mes mains dans ses cheveux et me colle à lui. Je ne m’en sépare que lorsque le besoin d’air se fait ressentir. « Je pourrais t’écouter me le dire pour le reste de ma vie. » J’effleure ses lèvres des miennes. « Je veux pouvoir dire que tu es mon petit ami même si ça veut dire devoir affronter des milliers de questions mais je t’aime tellement que je suis prête à tout essayer … et ma fille rêve de devenir princesse donc ... » Je plaisante dans un petit rire en caressant sa joue. « Je veux ce que toi tu veux. »

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Après une telle déclaration, j’avais redouté ce que j’aurai pu ressentir. De la peur, du soulagement, ou peut-être un peu d’excitation. A vrai dire, je ne ressentais rien d’autre qu’une certaine paix. Cette paix d’avoir parlé librement, ouvertement, d’avoir enfin pu dévoiler mon cœur à quelqu’un. Il n’avait jamais été ouvert comme ce soir, et même si la sensation me paraissait bizarre, j’aimais cette chaleur diffuse que cela véhiculait. En guise de réponse, elle vint plaquer ses lèvres aux miennes, et je ne pus m’empêcher de lui répondre, mes mains s’infiltrant sous sa veste et sa chemise, m’embarquant un peu plus sur sa peau nue. Elle se détacha, manquant d’air et ajouta d’une voix désireuse : « Je pourrais t’écouter me le dire pour le reste de ma vie. » Je souris, en sentant ses lèvres si proches. « Je veux pouvoir dire que tu es mon petit ami même si ça veut dire devoir affronter des milliers de questions, mais je t’aime tellement que je suis prête à tout essayer…et ma fille rêve de venir princesse. » Elle me caressa la joue tandis que je me mis à rire. James était futé, elle nous imaginait déjà mariés, mais même si l’idée me semblait plaisante, c’était loin, trop loin pour moi. Pour le moment, je voulais prendre ce que la vie m’offrait. Et ce qu’elle m’offrait c’était elle. « Je veux ce que toi tu veux. » « Je te veux toi, bébé » dis-je avant de l’embrasser à nouveau d’une manière bien trop passionnelle. J’eus envie d’ouvrir sa chemise, de dégrafer son soutien-gorge, de dézippé la fermeture éclair de son pantalon. J’eus envie de la soulever, et de lui faire l’amour sur cette foutu table en verre, devant ces milliers d’étoiles que le ciel dégagé apportait. Mes lèvres glissèrent sur sa mâchoire, dans son cou, dans le haut de son décolleté, mes mains accrochant sa chemise bien trop vite. Entre deux baisers, je lui demandais : « T’as pause touche à sa fin non ? »

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Du soulagement à l’état pur. Voilà ce que je ressens après avoir dit ce que j’avais sur le cœur mais surtout après avoir entendu que ce besoin presque viscéral d’être à lui aux yeux de tous est partagé. Je me retrouve sur un petit nuage duquel je n’ai pas la moindre envie de descendre. Rester là indéfiniment est ce que je souhaite, près de lui, dans ses bras avec pour seuls témoins de ce moment le ciel et le vent glacial qui s’abat sur Boston. J’apprécie ses lèvres chaudes sur les miennes, ses mains sur ma peau qui me font frissonner et je sais que je ne pourrais jamais m’en passer. Comme je ne pourrais me passer de lui. Il est ancré en moi, je l’ai dans la peau et ça ne changera pas, quoi qu’il advienne. « Je te veux toi, bébé » Arthur ne me laisse pas le temps de répondre, il m’embrasse avec une passion qui me fait perdre le fil de mes pensées, ses mains s’agrippant à moi éveillant une chaleur au creux de mon ventre. J’espère sincèrement que cette attirance, cette passion que nous avons l’un pour l’autre ne s’éteindra jamais même si l’idée de voir quelqu’un débarquer alors que nous sommes s’y proche me fait peur. « T’as pause touche à sa fin non ? » Ses lèvres contre ma peau puis tout près me font perdre la tête. J’ai du mal à regarder l’heure sur ma montre et encore plus à faire le calcul du temps qu’il me reste. Une demi-heure moins les vingt minutes qu’il me faut pour atteindre l’hôpital à partir d’ici. « J’ai encore dix minutes maximum à t’accorder. » Dis-je encore à bout de souffle à cause de notre dernier baiser. A mon tour de glisser mes mains sous sa chemise et sur la peau de son dos. « Encore dix minutes à profiter de mon petit ami. » Je souffle à quelques centimètres de ses lèvres. Ces deux petits mots me semblent avoir une signification tellement forte que mon cœur s’emballe. Mon petit ami … Arthur est mon petit ami.

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