big three (miciaron)

Des avantages que je ne connaîtrai jamais. Misère. Mais il continue de taquiner, comme à son habitude. C'est qu'l est comme ça et bon courage pour essayer de le changer. Une pique à Ciaràn mais le genre de pique amusante et positive. Est-ce que c'est toujours comme ça, entre eux ? Bien sûr que oui, quelle question. Certes, ils peuvent quand même avoir une discussion sérieuse, tout les trois. Quand même. Aaron parle et rigole un peu trop vite car la jeune blonde n'a pas tout à fait tord. Voilà, la place de troisième et certainement pas la meilleure. Bien que dans le fond, il se fiche de l'ordre, tant que tout les trois peuvent avoir leur moment. D'accord, d'accord, prenez-le comme ça.. dit-il main en l'air, en marchant à reculons avant de reprendre. Mais vous le savez, ma vengeance sera terrible. Vous ferez mieux de trembler. Un gosse, des gosses. Mais plus trop le temps de jouer puisqu'ils arrivent à l'activité.

« Arrête-tu n’as pas besoin d’avoir à servir des cocktails pour récupérer des numéros toi ! » dis-je avec un clin d’œil à l’intention d’Aaron. Si je n’avais pas l’occasion de rencontrer du monde au bar où je travaille, je ne sais pas où je pourrai les rencontrer, entre mes études de design mode où la plupart des étudiants, suis des étudiantes, où a un léger penchant pour les autres hommes. Et concernant la Quincy, on ne peut pas dire que les hommes soient très nombreux entre nos rangs. Oui de nos jours les rencontres c’est souvent virtuel malheureusement. « Je n’aurai pas travaillé au bar, je ne vous aurai pas rencontré…ma vie aurait été rudement calme. » dis-je en riant en tournant mon regard vers les deux mathers tandis que je double Cia pour me faire équiper avant lui, ne tenant pas à ce qu’il me pique ma place de number one. « me mettre en danger non … mais je suis sûr que si je hurle à la mort en descendant, tu ne seras pas le dernier à rire. » dis-je en souriant. Je les adore, mais il faut avouer, que ce n’est pas les derniers pour se moquer de moi, gentiment. Tout comme on risque de se moquer d’Aaron lorsque nous allons le voir descendre, la bouche grande ouverte, hurlant à s’en déchirer les cordes vocales je suis sûres. « Ah oui, tu vas nous faire quoi . Nous dénoncer au père Noël ? » dis-je en souriant avant de m’installer en suivant les conseils de l’équipe. « On se rejoint en bas les gars. » dis-je avant de sauter et de me laisser glisser le long de la tyrolienne en ne pouvant m’empêcher de crier.

Boucle d'or a dit vrai ! T'es un vrai tombeur, Calimero ! Regarde moi ça, même quand tu le complimentais tu trouvais le moyen d'ajouter ce petit truc pour camoufler l'éloge. D'ailleurs tu savais bien que tout ça n'était que mise en scène. Aaron savait mieux que personne qu'il avait ce truc avec les femmes. T'as entendu ça ? Le sel et le poivre ! L'idiot que tu étais répliquais à la remarque de Mira, presque déclaration d'ailleurs, en t'adressant Aaron. Il fallait le reconnaître jamais tu n'aurais pensé qu'elle aurait pu vous supporter aussi longtemps, mais c'était ce qui prouvait qu'elle n'était pas la transparence, l'innocence incarnée. En attendant, il fallait reconnaître que tu n'étais pas non plus le genre innocent. C'est d'ailleurs ce qui te poussait à regarder la blondie en levant les mains en l'air de dire que tu ne saurais pas promettre que tu ne rirais pas. Te marrant en la voyant chambrer Aaron, tu la saluais d'un signe de main alors qu'elle s'élançait dans le vide et rien qu'à l'y voir ta hâte de voir ton tour arriver s'imposait de plus en plus. Vous aviez juste apprécié le spectacle avec Aaron avant que ton tour n'arrive et une fois attaché, tu lançais à Aaron. On attendra sagement ta vengeance, en bas ! Tu le narguais un peu sans trop te méfier véritablement, et peut-être avais-tu tort. En attendant une fois lancé tu t'exaltais de ce moment. Les sensations procurées par ce lancer dans le vide te faisait vibrer.

L'humeur taquine. Il est en vacance, il se laisse complètement aller. Ouais, ça me plait. J'aime l'image que je vous donne. Et il en rit. Mais oui, il est conscient d'être un tombeur et qu'il a une certaine facilité. Pas tout le temps. Parce que oui, ça lui arrive de se prendre des vents. Un petit coup à l'égo mais rien de bien méchant. Il est assez compréhensif sur ce sujet. Large sourire qu'il lance sur les paroles de Mira et Ciaràn. Bien qu'il finit par faire son Caliméro, comme dirait Ciaràn. Préparant alors une vengeance. Mais en vérité, va-t-il réellement se venger ? Non, même pas. Il aura déjà oublié, dans quelques minutes. Parce qu'il a une hâte de devoir se plonger dans cette activité. Oui, à force de voir les gens le faire et surtout ses deux amis, qui passent l'un après l'autre. Mira, en première. Tu pourrais être surprise. qu'il lui lance avant qu'elle ne décolle. Fais pas trop le malin, toi. qu'il réplique d'un rire léger à son pote. Le regardant partir. Bordel, allez, à son tour, à son tour, à son tour ! Le voilà, prête à démarrer sur la tyrolienne. La bouche grande ouverte, il profite à fond de cette sensation que cette activité procure. Il crie un peu, oui avant d'arriver, au point suivant où les deux amis l'attendaient. Interdiction de se moquer ! Oui, juste pour prévenir. Mais il reste amusé. Il s'éclate.

Je souffle doucement en regardant le vide à quelques centimètres de moi. Et dire que je vais me jeter dans la gueule du loup volontairement. Comme quoi il y a des cinglés pour faire ce genre de chose. Mais en attendant qu’on me répare je continue de blablater tranquillement avec les deux mathers, ignorant le stresse qui, lentement, s’insinue dans mes veines. « Ah d’ailleurs Aaron… si jamais u attires aussi les hommes tu peux leur filer mon numéro. J’en aurais sans doute besoin pour trouver un cavalier pour le bal. » dis-je avec un clin d’œil à son intention. Mon couple tombait à l’eau, je ne me fais pas trop d’illusion non plus pour le fait de retrouver quelqu’un en 2 mois de temps je suis tellement une l'oseuse en amour que je ne préfère plus trop y croire. Comme l’année dernière, je reprendrai un ex peut-être pour m’accompagner. L’équipe chargée d’encadrer l’activité de Tyrolienne m’indique finalement que je peux me lancer, sans risque. J’inspire un grand coup, le moment de montrer que tu es courageuse Mira ! J’agrippe la corde sur laquelle je suis relié à la tyrolienne, adressant un sourire à mes acolytes avant de me jeter dans ce vide que je regardais encore avec appréhension une seconde auparavant. Le vent dans mes cheveux, la rapidité de la descente, me fait monter les larmes aux yeux tandis que je ne retiens pas mes cris, de joie ou de peur, je ne sais pas, sans doute les deux. C’est à peine si j’ai le temps de m’habituer à cette sensation qui m’envahit que j’atterris déjà au sol. Une descente bien trop courte. Je souffle, reprenant ce dernier, ayant l’impression de mettre arrêter de respirer durant cette descente. J’attends cette fois qu’on me détache, les yeux rivés vers le haut de la montagne, où le visage des mathers n’est qu’un petit point. Puis je vois l’un d’entre eux commençait la descente, Ciaran sans aucun doute qui crie autant qu’une fillette.

Une fois la blondie partie, élancée en criant, tu en riais gentiment alors qu'on te mettait en position et sans prévenir, tu lançais à l'intention de Bucley. Pourquoi tu ne l'y emmènerais pas, toi ? Enfin si toutefois tu n'as encore personne de prévu. Ça méritait qu'on en doute n'est-ce pas ? De ton côté, tu n'étais pas fan de ce genre de bal. Tu y allais pour la boisson et les nanas seules. Pas celles qui désespérait de trouver un cavalier mais plutôt celles qui rejetait toute cette mise en scène. Mais le comble c'était que cette année, en couple pour la première fois à cette période, tu irais autrement. Accompagné, en couple. Cavalier parfait, certainement pas. Mais Bambi avait fini par t'accepter avec tes manquements. Lancé, tu glissais profitant pleinement du moment avant de rejoindre Mira. T'as encore des étoiles dans les yeux, toi. As-tu en voyant les yeux de la blondie encore larmoyant. Okay il fallait le reconnaître tout ça faisait un bien fou. Tu ne pensais même plus à ce qui te tracassait depuis des jours, des semaines, et voilà qui faisait un bien fou. Tout de suite sur la défensive ! As-tu à propos de Buckley. C'était clairement comme si il vous avait vu venir. Oui parce que sois honnête, tu l'aurais chambré sans trop hésiter. On va se prendre un verre, c'est ma tournée ! Oui Halstead, tu adorais tes moments avec ces deux-là.

Pour le moment, il ne pense pas vraiment à son tour. Sachant qu'il est troisième, il est davantage occuper à se moquer un peu de ses amis. Mais il fera bien moins le malin, quand son tour arrivera. Mais là encore, ce n'est pas pour tout de suite. Tu veux que j'te présente à des potes ? Ouais, il m'est difficile de te partager, ma chère. qu'il lâche d'un sourire en coin alors que Ciàran propose qu'ils aillent au bal, ensemble. Il ne serait pas contre s'il n'avait pas quelques idées en tête. J'ai quelques idées et ce que je peux lui proposer, c'est une danse. Et il est loin de s'imaginer, à quel point, cette soirée va être une dure épreuve. Oui, à l'heure actuelle, il ne sait pas toujours pas avec qui, il y va. Il pense à certaines filles dont une mais, il finira par prendre de la distance avec elle. Malheureusement. Il pensait que maintenant, les choses seraient plus différentes et qu'il n'y a pas besoin de jouer sur le hasard pour se retrouver. Mais qu'il se console, sa future cavalière est parfaite. Et il n'a pas besoin de jouer de son charme. Ses deux amis passent l'un après l'autre, jusqu'au tour d'Aaron. Il profite à fond. Et un large sourire en prime, quand il arrive au bout. Non, personne ne se moque, comme promis. J'aime quand tu parles comme ça ! Allons boire ! Bah ouais, toujours partant ! Il faut changer les idées de Blondie. dit-il d'un sourire rassurant à Mira.w/blockquote>